La présentation suivante comportera deux questions donné par le présentateur et deux réponses donné par la mère même de Victor, la célèbre Fanny Derek, amie proche du grand Général Jackie ! Sans plus attendre de temps, le texte ! >> Bonjour, madame ! Asseyez-vous là, je vous prie. Faites attention au Héricendre … Voilà ! Bien, si vous êtes ici, c'est parce que nous souhaitons en savoir plus sur votre fils, Victor. Que pouvez-vous nous dire sur lui ? Physiquement parlant je veux dire.
- Mme. Derek : Bonjour à vous, mon cher ! Je suis heureux de venir participer à cette émision avec vous ! J'espère que vous ne serez pas jaloux après avoir entendu ce qui le décrit, hahaha ! Hum … Enfin bref ! Mon fils est ce qu'on appelle communément une grande tige. Avec le mètre quatre-vingt-cinq qu'il atteint, je puis vous avouer qu'il nous sert beaucoup pour attraper des choses ! En plus, il supporte tout ça avec soixante petits kilos la plupart de muscle ! On n'avait jamais espéré autant de lui. Je suis vraiment fier d'être sa mère, surtout que je lui apporté une aide peut-être considérable, je n'en sais rien, dans sa décision devenir Pokéathlète. Il s'est beaucoup entraîné pour parvenir à son but : devenir puissant. Je ne puis qu'admirer sa persévérance dans ce domaine ! Vous savez, ce n'est pas non plus facile d'être apprécié des autres comme lui. Quand on a une différence avec les autres, comme lui avec ses cheveux oranges, on est souvent sujet de moqueries des camarades. Et pourtant, je vois qu'encore aujourd'hui, son regard couleur noisette est toujours aussi chargé de courage et de persévérance, mêlé d'un sourire enthousiasme qu'il sort toujours quand il fait du sport. Et vous pouvez imaginez qu'il s'amuse beaucoup quand il fait du sport. Quand on a de longues jambes et des bras musclés comme les siens, une fois sapé de sa tenue sportif qu'il a hérité de son père, il ne put s'empêcher d'y aller à fond, mettre ses adversaires au tapis. Je regrette juste qu'il n'ait pas encore toutes les capacités nécessaires à son perfectionnement, mais j'espère qu'il les obtiendra en travaillant dur à l'académie où je l'enverrais dans peu de temps !
>> Bien, bien ! Je vois que votre fils est taillé pour le sport ! Mais est-ce qu'il en est autant niveau caractère ? Je veux dire : Quels sont ses expressions, ses sentiments ?
- Mme. Derek : Mon Vivi est un enfant dont le caractère est très hétérogène, mais qui s'exprime par des détails qui le touchent tout particulièrement, cependant lorsque rien ne se passe, ou qu'il s'ennuie, il a l'habitude de pointer le regard vers le paysage qui l'entoure, et prend un air calme, sérieux et désinvolte jusqu'à ce qu'il se passe quelque chose. Quand il fait son sport, ou qu'il pratique une activité qui lui demande de bouger, il devient immédiatement très enthousiasme et amicale, toujours avec le sourire sur ses lèvres, toujours jovial, très fair-play, il est attentif et obéissant quand il le faut. Quand quelque chose de grave est arrivé, il devient le garçon protecteur que notre famille adore tous, un garçon attentionné et gentil, calme et à l'écoute de ses proches. On peut souvent lui faire confiance pour régler les petits problèmes de cœurs et autres. Il lui arrive également d'être dans ce même type de comportement lorsqu'il apprécie réellement la personne. Je parle ici des gens qu'ils aiment le plus : amoureuse, famille … En revanche, je vous le dit : IL-NE FAUT-JAMAIS-L'-ENERVER ! Il déteste les gens qui se pense le centre du monde. Un seul mot de leurs vaniteux discours, et c'est fini. Vivi s'énerve tellement qu'il faudrait se mettre à quatre plus un bon raisonneur pour l'arrêter ! Si, si je vous jure ! Il déteste également les bandits, et tout ceux qui sont méchants avec les autres. Je dis bien tous. S'il vous surprend en train de voler, ce sera vous qui volerait quelques secondes plus tard. C'est un conseil que je vous donne : si vous êtes un voleur ou un vaniteux, il vaut l'éviter, sinon ça risque de dégénérer ! Et bien qu'il n'ait pas tendance à frapper une quelconque personne, s'il se met en colère, il ne fait plus aucune distinction. Seul reste cette personne au caractère irritable. Je vais vous dire, c'est ce qu'on m'aurait dit il y a trois semaines. Mais depuis quelques temps, il essaye de se contrôler, d'éviter de s'emporter trop facile. Et je trouve qu'il s'est bien assagi depuis. J'ignore s'il arrivera à tenir cela, mais pour l'instant, le simple fait d'être parvenu à ne plus s'énerver que si celui qu'il vise l'a vraiment cherché. J'espère qu'il parviendra à se faire plus d'amis grâce à ça, et qu'il trouvera même l'amour quelque part là-bas. Courage mon vivi !
>> Je comprends, je comprends … Bien ! Je vous offre une petite pause ma chère ! Nous vous retrouverons dans quelques minutes pour que vous nous parliez de la vie qu'il a vécu jusqu'à maintenant. Mais en attendant, chers téléspectateurs, il est l'heure de vous présenter les news, présenté par Totor, le Keunotor ! Et ainsi s'achève cette première partie ! |
La présentation suivante comportera trois questions donné par le présentateur et trois réponses donné par la mère même de Victor, la célèbre Fanny Derek, amie proche du grand Général Jackie ! Sans plus attendre de temps, le texte ! Nous avouons dans notre grande tristesse que nous n'avons pas assez de sous pour changer tout le texte, aussi ne vous étonnez pas si cette introduction est la même que la précédente. >> Il est temps de revenir vers vous, Madame Derek ! Nous souhaiterions en savoir un peu plus sur le passé de Victor, pas vrai le public ? *cris hystériques d'un public bourré* Bien, alors dite-nous tout ! Comment a débuté sa vie ?
- Mme. Derek : Eh bien … C'était au départ un bébé lambda, un de ceux qu'on confond avec les autres à la naissance. Il était d'un doux regard noisette que j'aime beaucoup et qui lui venait de son père. Nous l'avons chouchouté pendant trois bonnes années, jusqu'à ce qu'il commence à aller à l'école. Il n'était pas particulièrement bon, mais il avait des notes convenables et c'est tout ce qui nous importait. Il avait toute sa famille chérie pour lui : malgré nos boulots respectifs, nous étions toujours là pour lui, et sa sœur qui a maintenant une bien grande fille était là pour nous aider en cas de problème, et ce, peut importe la situation. Victor n'avait vraiment aucun problème de vie particulier. Mais il n'était cependant pas encore engagé dans ses préférences. Il adorait tout, admirait tout, mangeait tout, écoutait tout, demandait tout. Ce n'est qu'à l'âge de sept ans qu'il commença à avoir l'envie de faire du sport, et qu'il en fit son activité principale dans sa journée. L'envie lui était venu d'une de ces journées de compétition que je faisais habituellement chaque année, et auquel je l'avais fait venir parce qu'il voulait « connaître ce que maman faisait », comme il me le disait. Je n'aurais cru qu'il y trouve plus tard une façon de vivre. C'était en tout cas avec le sourire que nous avons accueilli sa décision de devenir un grand sportif. Et il n'avait encore que sept ans !
>> Oh, le gamin bien comme il faut qu'il était, ce Victor ! Dites m'en plus ! Que s'est-il passé jusqu'au début de l'adolescence ?
- Mme. Derek : Petit à petit, pendant trois longues années intensifs, Victor s'est entraîné avec moi pour apprendre l'athlétisme, puis le sport en général. Il suscitait beaucoup d'admiration chez les adultes de par la détermination qu'il donnait dans ce domaine. Il en oubliait presque l'école ! Et puis, les dix ans atteint, il commença à faire du sport un quotidien chargé, mêlé aux cours d'écoliers. Il avait cherché avec nous quelques orientations pour ce qu'il voulait, nous étions d'ailleurs très impressionné de voir à quel point il y allait franchement pour ça. C'en était presque étrange, mais nous n'avions pas à nous en faire, c'était un bon garçon que nous avions là, nous ne pouvions qu'être fier de lui. Il avait complètement intégré ce domaine dans sa vie habituelle, et sa vie semblait tourner autour de ça. On espérait fortement qu'il parvienne comme il faut à ses fins, seulement ...
>> Seulement ? Quoi, que s'est-il passé ensuite ?!
- Mme. Derek (la larme à l'œil) : Cela me fend le cœur de vous dire tout ça, Vous devriez connaître cette affaire, non ? Mon mari avait été accusé à tort d'un cambriolage d'une pokébanque, et qu'il avait été confronté à un jury plus que vaniteux corrompu par les pokédollars que leur avait donné le juge du même panier. Il a terminé en prison où les prisons l'ont tué sans raison particulière. Victor en a profondément souffert, il lui a fallu deux ans pour se remettre de ça, et de là est survenu sa colère contre ce type de gens, ceux qui avaient amenés mon mari à la mort. Je ne puis que l'admirer aujourd'hui qu'il ait pu contenir cette rage. J'espère qu'il arrivera un jour à se remettre complètement du choc de la mort de son père. En attendant, il a fini par reprendre son quotidien sportif habituel, son sourire est revenu après deux ans d'absence, et il est aussi frais qu'un Maraccachi heureux ! Trois ans sont passés depuis cette affaire, et mon garçon a maintenant atteint la seconde moitié de sa seconde décennie. Je pense que l'avoir envoyé à la Pokemon Community est la meilleure décision que j'ai pu prendre. Il y découvrira quelque chose qu'il avait jusque-là oublié : l'amour d'un pokémon pour son maître.
>> De biens tristes paroles que voilà ! Nous espérons tous qu'un jour, Victor se remettra de la mort de son père ! Mais il est temps de vous laisser chers spectateurs ! Nous vous offrons comme à notre habitude la vidéo gag pour la fin, et espérons vous revoir demain ! A bientôt ! Et ainsi s'achève cette émission ! *** Je vous souhaite bienvenue dans les bonus de l'émission, comme si on n'avait pas déjà assez de sous à dépenser comme ça ! Ici, nous posons les questions les plus personelles à l'invité, et vous présente les plus intéressantes. Je me dois malheureusement dans l'obligation de vous informer que seul trois questions et réponses seront donnés. Nous subissons dernièrement quelques problèmes financiers qui réduisent notre budget. Néanmoins, cela ne change rien au fait que nous avons choisi pour vous chers téléspectateurs le meilleur de cette échange ! Laissez-vous allé, et profitez ! >> Cette émission avait pour sujet ce cher Victor, mais je souhaiterais désormais en savoir un peu plus sur vous. Dites-moi : comment avez-vous connu le Général Jackie ?
- Mme. Derek : Je ne sais pas si je dois … Cela concerne une personne autre que mon cher Vivi … Mais nous ne sommes pas en retransmission, alors je peux vous le faire. C'était il y a très longtemps, je ne sais pas combien d'années exactement. J'étais encore bien jeune, et mon hobby était la danse. Je venais souvent faire des cours de danse après les cours et m'entraîner à en perdre le souffle. J'étais heureuse, et je me disais que ce quotidien continuerait comme ça pendant encore un bon bout de temps … Jusqu'à l'arrivée de Jackie. *Le présentateur jubile* Elle n'était pas particulièrement impressionnante à l'époque, ni très compétente dans la chose, mais cela semblait lui plaire. En la voyant tous les jours si persévérante, si déchaîné pour s'améliorer, je me suis étrangement dit que je devais aller lui parler. Ce que je fis. Trois semaines après m'être décidé à le faire. Mais je le fis. Elle était resté impassible devant mes salutations affectifs, et elle me repoussa même au bout d'un moment. J'étais énervé, mais pas étonné. Son regard sévère trahissait son caractère. Je n'avais cependant pas plié devant ces airs et après des dizaines de tentatives infructueuses de discuter avec elle, ce fut elle qui vint vers moi. J'en fus d'abord étonné, presque surpris, mais j'étais contente. Enfin jusqu'à comprendre sa motivation de venir me voir. Elle voulait me défier pour connaître son niveau par rapport au sien. J'avais accepté sans hésitation, me disant que c'était toujours super de partager quelque chose avec quelqu'un, et je l'affrontais sur la chanson légendaire qu'était « la danse des Lakmégycgnes ». On aurait alors dit deux lionnes qui se battaient pour savoir qui aurait le lion pour elle toute seule. Nous enchaînions nos pointes, puis nos demi-relevés, nos pirouettes. J'étais fort étonné de voir à quel point elle arrivait à me tenir tête. Je fus cependant content de gagner la bataille, la sueur dégoulinant de mon visage souriant. Je fus de nouveau étonné lorsqu'elle vint vers moi et me tendit sa main en me remerciant de ce duel. De là débuta notre relation. Nous étions d'abord des rivaux en danse, puis nous devînmes de très bonnes amies lorsque nous décidâmes de quitter ce loisir. Nous avons été quelques temps séparés lorsqu'elle est parti à l'armée et que je suis resté pour démarrer une nouvelle carrière, celui de pokéathlète. Quand elle fut revenu, elle avait énormément changé, mais elle restait mon amie, et quand je la retrouvais enfin, nous nous serrions mutuellement de joie. Je n'ose imaginer le regard des passants en voyant celui de Jackie. En tout cas, nous sommes restés le super duo que nous formions, et lorsque je découvris, bien vite, qu'elle avait plongé dans le même domaine que moi, j'en étais que plus content. Nous avons ensuite grandi ensemble sur le grand échelon de pokéathlète ensemble où nous avons partagé de très bons moments comme de mauvais. La naissance de mon fils nous avait un peu éloigné, mais elle était plutôt contente que j'ai eu la petite sœur de mon Vivi. C'est ce qui a d'ailleurs finalement permis de nous faire devenir ce qu'on pourrait presque considérer comme des meilleures amies. Nous nous revoyons de temps en temps quand la possibilité s'en fait sentir, et nous discutons de choses et d'autres. C'est ainsi que j'ai appris que Jackie officiait dans l'académie où j'envoie mon fils. J'espère qu'elle arrivera à adopter le même caractère avec lui qu'avec sa sœur.
>> Ha, ha, ha ! Je trouve cette façon de devenir amies très étonnante. Qui pourrait croire aujourd'hui que cette célèbre sportif aurait rencontré l'une de ses amies les plus proches dans un cours de danse ? En tout cas, je n'y songeais même pas avant que vous nous l'avouez ! J'en ai presque les larmes aux yeux ! En attendant, vous pouvez être sûr qu'on prie pour votre fils !Sautons un peu quelques questions, et arrivons-en à l'une d'elles qui me semble intéressante. Vous pouvez remercier votre présentateur pour ça ! >> Nous traitons maintenant le sujet académie, et je commence par la question suivante : comment votre fils va-t-il se rendre là-bas ? Je veux dire, qu'est-ce qui se passera durant son trajet depuis Sinnoh jusqu'à l'île Lansat ?
- Mme. Derek : Vous savez : il n'y a pas grand-chose à savoir de tout ça. Il profitera de son trajet sur un superbe paquebot luxueux, il n'est pas énormément non plus, en première classe. Le tout est payé à mes frais, bien évidemment. Je ne me traite pas de riche, mais je voulais pas regarder le porte-monnaie pour que Vivi puisse profiter de son intégration pour l'académie. Il est clair qu'arriver dans un confort comme celui-là, c'est toujours mieux que de rester planté sur un pauvre dossier de chaise à attendre que le pauvre navire te dépose à ta destination. Je voulais surtout que mon fils puisse profiter d'un dernier instant de bonheur avant de débuter ses cours, alors j'ai cherché un navire qui posséderait en son bord quelques installation pour les sportifs comme lui. Je suis sûr qu'il profitera très bien de ce luxe et qu'il s'amusera bien une fois arrivé, et même avant.
>> Je trouve votre raisonnement un peu bateau, de mon opinion. Cependant, vouloir le bien de votre fils, c'est bien et je pense tout de même eu raison de faire ça. Je ne connais pas ses envies et ses goûts, mais je suis sûr que votre fils saura profiter de ce cadeau que vous lui avez fait.Voilà un enfant bien gâté que voilà ! Je me demande bien s'il se pose des questions sur la provenance de tout ça. Je ne doute de son étonnement, en revanche, je suis ici pour vous présenter le bonus, aussi y revins-je. Je vous dévoile la dernière question posé par la présentateur. Elle a désormais dépassé les limites du hors-sujet, mais elle semble tellement bien posé. Je vous laisse voir ça de vos propres yeux ! >> Il est temps pour moi de balancer sur les questions les plus indiscrètes, et je vais débuter avec celle-ci : D'après vous, quel serait le délire le plus énorme qu'aurait fait votre fils ?
- Mme. Derek : Ha ha ! Rien que d'y penser, je ne peux m'empêcher de rire ! Le plus gros délire qu'aurait accompli mon cher Vivi ? J'ai n'avais rien de plus à savoir que le fait qu'il ait un jour décidé de courir sur sa balançoire. Allez savoir pourquoi, il s'était soudainement mis en tête cette idée, et avait grimpé sur le dossier de la balançoire avant de se mettre à courir sans s'arrêter. Cela avait semblé original un instant, jusqu'à ce qu'il lâche les cordes. Il n'eut pas le temps de réagir qu'il avait déjà accompli une triple roulade en arrière dans l'herbe, atterrissant dans les buissons. Et si la chose était passé de géniale à complètement imbécile, elle fut passé à l'amusement lorsqu'il se releva tout fringuant avant d'avancer tranquillement et de se mettre à courir avant de se rendre compte qu'il essayait de monter le toboggan qui y avait été monté, continuant malgré tout de donner son maximum sans s'arrêter pour atteindre le haut, comme si ce qui venait de se passer quelques secondes avant n'avait jamais eu lieu. Ce délire d'enfant fut celui qui nous marqua sûrement le plus dans notre famille. Il avait montré deux facettes de notre Vivi en même temps que nous ne connaissions pas jusqu'alors : sa persévérance et son hétérogénéité caractérielle.
>> Bien, bien ! Je vois que votre fils n'est pas de ceux qui ne s'amusent pas en dehors de ce qu'ils aiment. Il déborde apparemment d'énergie, et je ne vais tout de même pas aller jusqu'à dire que j'en suis fan, mais on en est pas loin. Je lui adresse un clin d'œil et l'encourage vivement dans sa scolarisation. Bonne chance mon garçon !Ainsi s'achève notre émission bonus. Pas de soucis, nous avons le consentement de Mme Derek, ne vous en faites pas. C'est en attendant avec joie que je vous dis au revoir ! |