Le bon air frais de la plage... un si bon air, quelque chose qu'on aime respirer, qui nous donne la véritable impression d'être en vie de part ses bienfaits sur le corps et la sensation de légèreté qu'il nous donne... wait. Depuis quand je suis poète ? Enfin... Depuis quand je tape dans le poétique... dans un rp de Seth ?! Non, non et re-non ! Ce n'est pas bon, mais alors vraiment pas bon. Pourquoi ? Pourquoi fais-je cela ? Oubliez tout ce que j'ai dit et focalisons nous sur le principal : la folie. Notre cher vert gambadait donc tranquillement... C'EST QUOI CETTE TRANSITION DE MERDE ? Kof kof. Veuillez me pardonner.
Le bon air frais de la plage... un si bon air qui pue le poisson à plein nez, qui nous donne envie de nous jeter du haut d'un pont pour ne plus avoir à supporter cette odeur... Pourquoi ? Pourquoi ce destin si cruel a-t-il décidé de conduire notre vert national ici ? Honnêtement, j'en ai pas la moindre idée. Ah si ! Je suis narrateur, je sais tout. Bref. Tout ça pour dire que le stratège ne foutait littéralement rien, si ce n'est rêvasser. Pourquoi ne pas bouger ? Bah... en fait, il attendait un vendeur. En retard ? Non, pas vraiment. Cet idiot de topdresseur est juste venu une heure à l'avance. Si, c'est possible ! Au lieu de comprendre "16h sur la plage", ce bougre d'imbécile a compris "15h sur la plage". Résultat, le voilà à se les cailler comme un con alors qu'il attendait un certain Loki Asulf, un type de son dortoir. Maudissant Arceus, le stratège se résigna finalement à appeler Nutty, son Maganon chromatique dans l'unique but que celui-ci réchauffe son dresseur en faisant cramer des brindilles, créant ainsi un feu de camp improvisé. Tâche assez ingrate, je sais. Mais que vouliez-vous faire alors que le soleil est présent mais ne tapait pas assez fort ? Hiver de merde. Entre nous, printemps, tu peux pas ramener tes fesses un peu plus vite ?
– B-b-b-b-bordel de froiiiiiiid. Ch-ch-ch-chuuuck ! Va chercher plus de b-b-b-bois.
Après avoir rendu un salut militaire à son dresseur, le Machoc accourut alors après de la masse végétale la plus proche, de laquelle il brisa sans la moindre gêne des branches en plusieurs morceaux. Bien évidemment, il ne s'attaquait qu'aux plus épaisses dans l'unique but de se faire les muscles. Qu'à cela ne tienne ! Le principal est qu'il ramène encore plus de bois que Nutty pourra par la suite cramer. Le travail d'équipe, c'est beau. Bref ! Pendant ce temps, Seth s'assit tel le plus commun des clochards, tentant ses mains vers le petit feu déjà mis à disposition. Bien évidemment, le Maganon aurait pu faire bien plus gros mais... ç'aurait sans doute cramé une bonne partie de la plage. Je vous laisse deviner la réaction en chaîne qui s'en suivra. Peut-être un grand incendie à la PC, qui sait ? Bref, on s'en fout ! Chuck revînt les bras chargés d'épaisses branches qu'il jeta sur le sable comme si de rien n'était. Il se frotta les mains avec un sourire tout fier alors que Nutty fit immédiatement cramer les quelques troncs sans même réfléchir. Bon... Pour le coup, le feu était assez imposant, et même un peu trop. Il faisait deux fois la taille de Seth. Génial !
– Bah bravo les boulets ! Encore heureux que ça se propage pas facilement sur le sable, hein. En attendant, Chuck, go me ramener des cailloux et... oh ! 16 heures ! PERPEKTO !