MORRIGAN MEGWAEN EVELYN
"Vis comme si tu devais mourir demain, apprends comme si tu devais vivre toujours."
| Nom : Morrigan Prénom : Megwaen de son second prénom Evelyn, surnommée Meg ou Morrigan. Âge : 14 ans, son anniversaire étant le 27 mai. Région d'origine : Unys, de la ville de Volucité plus précisément. Ambitions futures : Avoir mon propre Ptera. J'imagine que ça veut aussi dire que je dois devenir une archéologue ou un truc comme ça, mais c'est secondaire. Remarque ce serait bien de trouver une nouvelle espèce de Pokémon, comme le professeur Roseverte par exemple, mais un Ptera ce sera encore mieux. |
"Mademoiselle Morrigan? Mademoiselle Morrigan?! Aaah! Mademoiselle!! Relâchez ce Metamorph tout de suite! Quatre fois déjà que vous l'envoyez au centre Pokémon ce mois ci. Il faut cesser ces expériences farfelues ou vous n'aurez jamais votre propre Pokémon!"
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DESCRIPTION
De quoi j'ai l'air? Voilà une question bien difficile. Enfin, ce n'est pas que je manque de mots pour me décrire, c'est juste que je prends plus de temps à lire qu'à regarder ce dont j'ai l'air. Le nez toujours fourré dans les études, je ne m'occupe que peu de mes cheveux, les nouant en une haute queue de cheval parce que c'est plus pratique comme ça, autrement je finis toute échevelée et ce n'est pas génial. Sinon il n'y a pas grand chose à dire sur ma crinière. Trop tumultueuse pour être lisse, mais trop calme pour être un amas de boucles souples et rebondies, le seul attrait qu'on pourrait trouver à ce signe de féminité est la richesse de sa couleur chocolat, encore heureux. Mes yeux, pour leur part, sont pairs. Ils oscillent entre les bleus, les gris et même parfois les verts ou les marrons très clairs. C'est une question d'éclairage, d'humeur, de saisons et même d'agencement aux vêtements que je porte, aussi étrange que cela puisse paraître. Malheureusement, aussi beaux et changeant peuvent ils être, je suis aussi myope, ce qui n'est pas étonnant quand on a toujours passé ses nuits à lire éclairée d'une lampe de poche plutôt qu'à dormir. Je porte donc presque toujours mes lunettes, sauf quand je peux me permettre de les retirer pour travailler sur des trucs écrits, lire ou même dessiner. Tout ce qui se fait de près, je peux le faire sans mes lunettes, grosso modo. C'était un peu énervant au départ, mais je les porte depuis si longtemps que j'ai l'habitude maintenant.
Cela mis à part je suis assez grande pour une jeune femme de mon âge, mesurant tout de même 170cm pour un nombre de kilos indéterminé, merci. N'ayez toutefois pas craintes, je suis tout à fait dans mon poids santé, même que je pourrais presque me permettre de manger un peu plus. Enfin, ce n'est pas que je me prive ou quoi que ce soit, mais voyez, je ne pense pas tout le temps à ces choses là, du coup il m'arrive de faire de longues séances d'études ou de recherches et de complètement oublier de me nourrir. J'ai aussi tendance à privilégier les vêtements confortables et surtout durables et faciles à laver. Je ne suis pas très "tendance", je dois l'avouer. J'ai déjà essayé de l'être, pour faire plaisir à ma mère, mais je ne suis pas douée, mais alors là pas du tout. Enfin, j'arrive à dire quand un truc est joli, j'arrive à remarquer les trucs que portent les autres filles, mais quand vient le moment de les porter à mon tour, sur moi ça ne fonctionne pas. Ainsi je me contente de jeans, de basket, de t-shirt et de vestes, sans plus d'artifices. Des trucs simples, serrés et passe-partout.
Pour continuer dans cette lancée, il n'est pas rare de me voir ronger mes ongles ou mordiller le bout de mes crayons lorsque je réfléchis, mais seulement ceux à mine depuis qu'un crayon à l'encre s'est mis à couler partout à cause de mon zèle. L'encre ça goûte mauvais, croyez en mon expérience. J'ai aussi pris l'habitude de prendre des notes un peu partout, que ce soit dans la paume de ma main, sur un bout de papier trouvé au hasard ou sur les bureaux, je déteste laisser mes idées s'échapper. L'air pensive, je donne souvent l'impression d'être lancée sur plusieurs projets en même temps, ce qui est souvent le cas. D'un naturel souriante et expressive, pour ne pas dire impliquée corps et âme, mon visage s'illumine dès qu'un sujet me passionne et, à l'inverse, s'éteint complètement lorsque je suis désintéressée. On dit aussi que je dégage un petit quelque chose de fier et d'ambitieux, une façon de relever la tête avec un air malicieux. Toujours droite, digne, prête à m'affirmer avec le sourire, le doigt en l'air alors que je donne mes instructions ou que je partage mes opinions. C'est sans doute un héritage familial ça, ou en tout cas je n'en serais pas surprise.
Beaucoup s'entendent pour dire que je suis ouverte d'esprit, bien que certains plus directs se plaisent à dire que je suis insouciante et inconsciente. Pas naïve, non, mais certainement pas dans le même monde que les autres. Curieuse, je sauterais à pieds joints dans n'importe quel terrier pour suivre le lapin blanc, sans hésitation. Il semblerait que d'avoir été surprotégée si longtemps m'ai donné l'impression que rien ne pourra jamais m'atteindre ou me blesser. Je peux tout faire, tout affronter, survivre à tout et, surtout, rien n'est hors de ma portée. Pourtant, malgré toute cette volonté divine, j'ai moi aussi mes points faibles. Je suis un peu maladroite, lorsque viens le moment de parler avec les autres. Enfin, non, ce n'est pas exact. Il est devenu très clair pour moi, et ce très tôt, que les choses qui me fascinaient moi n'intéressaient pas les gens que je côtoyais et que, surtout, ce n'était pas les choses que j'étais supposée aimer.
Je regardais des livres d'images de Kabutops, on m'offrait une peluche de Teddiursa. J'affichais un poster de l'anatomie d'un Ptera dans ma chambre, au soir il n'était plus là, remplacé par une jolie murale d'eeveelutions. C'est à cause de ça qu'un certain malaise s'est créé en moi et que j'ai beaucoup de mal à m'ouvrir aux autres. La plupart du temps je cherche des façons d'esquiver les conversations, de rester vague et de ne pas trop m'impliquer, car je me doute de l'accueil que l'on réserve à mon enthousiasme. Les gens ne se soucient pas des fossiles, des capacités de transformation des metamorph ou des secrets de l'évolution Pokémon. Ce qu'ils attendent de moi, la Mademoiselle Morrigan, c'est un maintien de jeune femme et une passion qui est plus présentable comme la coordination ou quelque chose comme ça, mais ce n'est tout simplement pas moi. Je suis une passionnée de science, d'aventure, de découvertes, je suis même une fan de Franklin Roseverte et je rêve d'archéologie depuis que je suis gamine. Voilà qui je suis vraiment, moi et personne d'autre.
HISTOIRE
D'aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours été "Mademoiselle Morrigan". Oh, regardez, Mademoiselle Morrigan a fait ses premiers pas! L'autre jour, Mademoiselle Morrigan m'a dit une phrase entière. C'est une bonne chose que la jeune mademoiselle Morrigan aime lire, mais c'est une vraie plaie quand viens l'heure du coucher, elle ne veut rien entendre. Encore et toujours le même cirque. Pourquoi? Eh bien, il me semble que c'est évident. Je suis née dans une noble et riche famille de la région d'Unys, possédant une vaste compagnie dont le siège social est à Volucité, tout comme notre résidence familiale. L'empire Morrigan propose une grande variété de produits, allant des accessoires pour coordinateurs aux équipements pour centre Pokémon tout en passant par la fabrication de badges pour les champions de la région et j'en passe. Vous voyez là, dans votre monde, le petit "Made in China" imprimé sur tous vos trucs possibles et imaginables? Bah à Unys, tout est "Made in Morrigan" ou presque tout est une compagnie qui a été rachetée par l'Empire Morrigan. Même mes poupées Pokémon, quand j'étais petite, portaient le "sceau officiel de qualité de la princesse Morrigan", avec une jolie petite moi dessinée en chibi avec le pouce en l'air et le sourire fendu jusqu'aux oreilles avec mon petit diadème. Si si, je suis une marque déposée. On croirait pas hein? Pourtant c'est le cas. Avec mon père en guise de Directeur général et ma mère en charge de la publicité et de la mise en marché, il était impossible que je ne termine pas comme ça.
Résultat, mes parents n'avaient jamais le temps de s'occuper de moi. Je ne les voyais qu'une fois par jour, durant l'heure du repas lorsqu'ils arrivaient à se libérer, et nous ne parlions que très peu. Ils me questionnaient sur ce que m'avaient enseigné mes tuteurs aujourd'hui, sur ce que j'allais faire le lendemain, sur quel livre j'étais en train de lire et sur mon solfège, pour le piano. Puis, une fois tous ces sujets écartés, ils discutaient entre eux de la compagnie et je m'eclipsais, pour aller profiter de mon rare temps libre. Malgré tout, chaque année, pour Noël, ils trouvaient le moyen de prendre une semaine complète de vacances et nous partions au Nord, dans les montagnes, dans notre chalet de luxe. Nous n'étions alors que tous les trois, nous allions faire de la luge, regardions des films et préparions les repas ensemble. Noël a toujours été ma période de l'année préférée, parce que c'était le seul moment où j'avais vraiment l'impression de faire partie d'une famille. Sans oublier que, durant cette semaine là, j'étais leur petite Megwaen d'amour et non pas "Mademoiselle Morrigan". Enfin, ne venez pas croire pour autant que j'étais triste et malheureuse tout le reste de l'année! J'avais mon propre chauffeur -qui faisait aussi office de garde du corps maintenant que j'y pense-, j'avais une dame de compagnie aussi chargée de m'enseigner les bonnes manières et finalement j'avais un professeur privé pour chaque matière importante. Une prof de piano, un prof d'histoire et de géographie, un prof de langues, une prof pour les sciences et les math et finalement même un professeur pour me parler des Pokémon, des métiers qui y étaient reliés et l'implication de l'Empire Morrigan auprès des dresseurs d'Unova. Chacun était différent et certains étaient plus stricts que d'autres, mais ils étaient tous très attachés à moi et me le montraient de façons variées. Enfin, ça avait souvent un lien avec des douceurs à saveur de baie nanana, mais ce pouvait aussi être des livres en cadeau par exemple, ou de nouvelles poupées Pokémon ou une petite sortie surprise au zoo, financée par Monsieur et Madame Morrigan.
Il va sans dire que je ne m'ennuyais jamais, n'ayant pas le temps pour ça. Et, surtout, c'est très jeune que j'ai commencé à être curieuse. Voyez, mes parents avaient des Pokémon. Un Pinsir et un Ditto pour mon père, un Leopardus et un Delcatty pour ma mère. Parmi tout ce beau monde, je devais toujours être accompagnée d'au moins l'un des quatre, pour ma protection, même si je ne l'entendais pas de cette oreille. Il va sans dire que mon choix se portait presque toujours sur Baron, le Metamorph. Je m'amusais à tester son élasticité, à essayer de le comparer avec de la gelée de fruits, à lui demander de se transformer en tout ce que je voyais, le jeter du haut de la cage d'escalier pour voir s'il arriverait à conserver sa forme de gelée à l'atterrissage et... Quoi? Ne faites pas cette tête, je suis certaine que vous aimeriez le savoir. Quoi qu'il en soit, au bout de deux ans et de quatre-vingt trois hospitalisations mon père fini par comprendre que c'était une mauvaise idée et me refila plutôt Empereur, son Pinsir. Je ne sais pas qu'est-ce qui a pu le motiver à laisser cette paire de pinces géantes et destructrices entre les mains d'une petite fille de neuf ans, mais toujours est-il qu'il ne lui a fallu qu'une cuisine complètement ravagée pour changer d'idée. C'est à partir de ce moment que j'ai commencé à faire des courses à dos de Duchesse, la Leopardus de ma mère, dans les couloirs de la résidence Morrigan. Voyez, je voulais trouver un moyen de mesurer sa vitesse maximale et de voir si l'ajout de poids faisait une grosse différence dans ses performances. Non, bon, d'accord j'admets il n'y avait rien de scientifique, mais c'était tellement amusant! Et c'est comme ça que, dès mes onze ans on m'empêcha de choisir et, ainsi, je fus toujours accompagnée de Marquis le Delcatty. Vachement ennuyeux à côté des autres, ça je vous le promets.
C'est en partie à cause de ce Delcatty vieux et ennuyeux que j'ai commencé à vouloir mon propre Pokémon. Mais attention, je voulais le meilleur de tous! J'ai donc commencé à faire des recherches, dans les livres, pour trouver le Pokemon idéal. Un Pokemon assez résistant pour que je puisse l'étudier, assez fort pour que je puisse détruire de nouveaux ensembles de cuisine et ainsi tester sa force et assez gros et rapide pour que je puisse faire des courses sur son dos. Résultat des recherches? Père, Mère, je veux un Ptera! Je ne vous raconte pas ma déception lorsqu'ils m'ont appris leur extinction, la difficulté de trouver un fossile pour le ramener à la vie et, surtout, le niveau d'agressivité de ces créatures jurassiques. Est-ce que cela allait m'arrêter? Non, au contraire. Je suis devenue encore plus curieuse et j'ai commencé à me renseigner sur le sujet, sur les Pokémon antiques qui avaient la possibilité, grâce à certains procédés scientifiques, de venir fouler le sol à nouveau. C'est aussi comme ça que je découvris les travaux d'un certain monsieur Franklin Roseverte, l'homme qui a découvert les Relicanth. Découvrir une nouvelle espèce de Pokémon, ça c'est du progrès! Ça c'était ce que je voulais faire, pas hériter de la compagnie familiale et devenir une jolie et féminine Mademoiselle Morrigan qui travaille en tailleur et qui fait la promotion d'articles de coordination. Lorsque j'ai appris qu'il était professeur dans une Académie Pokémon, laissez moi vous dire que j'étais prête à tout pour y aller.
Malheureusement, les nouvelles d'un vol de masse s'étant produit à l'académie la discrédita, aux yeux de mes parents. Il me fallu donc leur vendre la nouvelle direction, rendue publique au début de l'année, avec toute la ferveur du monde et, surtout, il me fallu user d'une arme secrète qui fonctionne seulement dans le monde des nobles et des riches. "Pourtant, c'est aussi là-bas que l'héritier des Wills de Sinnoh fait ses études à ce qu'il paraît. Vous ais-je parlé de la famille Yutaka? Le nom des McNellis, ça vous dit forcément quelque chose, non?" Il ne m'en fallut pas beaucoup plus pour que mes parents échangent un regard et que, après de faux soupirs, on accepta de m'envoyer à la Pokémon Community. Victoire! Enfin, presque. Je suis vite redescendue de mon nuage lorsque je suis arrivée face au Collectionneur et que, malgré toute mon insistance, j'ai découvert qu'il n'avait pas de Ptera à me donner. Qu'à cela ne tienne! Je n'ai plus qu'à devenir une grande archéologue et à les ranimer moi-même, ces superbes fossiles!
STARTER
Surnom : Hypérion, surnommé Hippy. Si si, un surnom pour un surnom c'est possible. Espèce : Zangoose Nature : Loyal Description : Hypérion est un Pokémon plutôt flemmard. Il aime dormir, manger et je le soupçonne d'être une sorte d'otaku, quelque chose comme ça, ce qui expliquerait son amour des modèles réduits et autres figurines. Pourtant, malgré ça, il est de nature plutôt ouverte et lève toujours une oreille, bien que sceptique, pour m'écouter, se donnant corps et âme pour tenir le rôle d'assistant lors de nos recherches. C'est un brave et loyal Pokémon qui, même si un peu lent parfois, a beaucoup de bonne volonté. Je lui ai aussi découvert un certain côté protecteur, revêche et même un peu méfiant envers les étrangers, mais en même temps il est normal qu'un Mangriff ne soit jamais totalement apprivoisé.
| HORS RPG
Pseudo/Prénom : Meg ou Estelle Age : 20 aux dernières nouvelles. Comment avez-vous connu le forum ? Ohlala, je sais plus xD Quelque chose à ajouter ? J'ai eu l'autorisation pour le reroll et pour le nouveaux pseudo je voudrais "Megwaen Morrigan" merci beaucoup =) (Aussi si je peux choisir le dortoir, j'aimerais aller avec les Pyroli) |