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« Le truc, avec la perfection, c’est que ça n’existe pas. »
« Plaisir partagé ! J’ai également hâte qu’on travaille ensemble sur un nouveau sujet d’étude ! Attends, quoi ?? »
« Moi Apsu, fils du grand Bahamut, Héritier du dragon créateur, Futur souverains des Carchacrok de l'ancien Hisui, avatar de la Sainte baie Nanana, sauveur légendaire d'oeuf draconique, et libérateur des opprimés de la prison de cristal, je ne laisserai personne faire du mal à l’humaine qui m’aidera à monter aux sommets. »
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« Je ne suis pas toi. Je ne suis pas fainéante au point de ne pas vouloir faire d’effort. Je ne suis pas de mauvaise foi au point de refuser changer. Et je ne pense pas qu’abandonner quelqu’un soit une solution à ses problèmes. »
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Alban Abernaty
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Région d'origine : Hoenn
Âge : 17 ans
Niveau : 70
Jetons : 20638
Points d'Expériences : 2487
Hoenn
17 ans
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Hoenn
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Alban Abernaty
est un Pokeathlète Coach
Oh, pauvre Alban. Ton âme en peine et tes tourments d'adolescents n'étaient rien face à la tornade qui allait bientôt s'abattre sur toi. Mais après tout, comment aurais-tu pu prévoir tout cela, toi, pauvre oiseau délaissé par les bras réconfortants mais si lunatiques du ciel ? Comme tu l'avais dit à Maxine, l'artiste du dortoir de la froide et calme intelligence, tu avais choisi le chemin difficile d'Héracles. Celui-là même qui était long, malheureux, mais destiné à un grand héroïsme final. Notion encore très vague que celle de l'héroïsme final, qui pouvait aussi bien décrire une fin de vie oisive et pavée de popularité, qu'une mort spectaculaire. Et toi Alban, tu n'étais pas vraiment intéressé par le fait d'avoir une belle mort, n'est-ce pas ? Alors rêve encore Petit Prince. Car demain, tu ne seras peut-être plus en mesure de le faire.
‗‗‗‗‗‗‗‗‗‗‗‗‗‗‗‗‗‗‗‗‗‗‗‗‗‗‗‗‗‗‗‗‗‗‗‗‗‗‗‗‗‗‗‗‗‗‗

Il ouvrit ses yeux d'un bleu moucheté d'or avec lenteur. Au-delà de la paroi de verre des lunettes qu'il portait occasionnellement lorsqu'il était fatigué, il aperçut son carnet de notes noir d'inscriptions minuscules, et les doigts de Janice Jauplain qui tapotaient sur son bureau. Dans un sursaut, il se redressa et entendit quelques rires fuser derrière son dos. Il s'était encore assoupi dans un cours de la référente des Givrali ? Le rouge empourpra immédiatement ses joues, et il baragouina quelques excuses tandis que la femme aux longues boucles brunes repartait dans ses envolées lyriques haut-perchées, suivie du tas d'immondices qui lui servait de Pokémon. Pire qu'un Grotadmorv baveux et répugnant ? Un Grotadmorv baveux et répugnant affublé d'un ruban et répondant au doux nom de Princesse. Décidemment, cette école et ses enseignants l'étonneraient toujours. Dans un murmure, le châtain demanda à son voisin de table ce qu'il avait manqué. Pas grand-chose bien heureusement, mais ce cours sur les relations qu'entretenaient les spectres de Lavanville avec les tombes de son célèbre cimetière l'avait assommé. Et pourtant, il était friand de ce genre de mythes et légendes venues d'autres contrées. Il n'aurait su expliquer clairement la raison de cette fatigue soudaine. Depuis quelques jours, et précisément depuis que son genou avait recommencé à le faire souffrir, il se trouvait moins attentif. Cette période coïncidait également avec le début de ses cauchemars mettant en scène Cirrus, son vieux Roucarnage qu'il avait laissé tomber dans la mer lors d'une course. Il revivait sans cesse le moment où, attaqués par un Airmure, ils s'étaient sentis dégringoler vers l'océan. La sensation du sel de mer qui était venue agresser tous les pores de sa peau et hurler ses yeux. L’impression de percuter une plaque de métal. Et surtout, cette chaleur qu’il avait sentie sur ses cuisses au moment où Cirrus avait été touché…

D’un geste  nerveux, il enleva ses lunettes et les reposa sur un coin de sa table. Il ne prêtait même pas attention à ses quelques camarades qui le regardaient avec inquiétude, comme s’il n’était plus que l’ombre de lui-même depuis une semaine. Ses paupières picotaient désagréablement, et la présence chaleureuse de Zéphyr sur son épaule n’arrangeait rien. La mouette chromatique frottait en effet ses plumes sur son visage, et cette caresse bienvenue avait le don de l’apaiser et le calmer. Il se sentait somnolent et luttait avec lui-même pour ne pas se rendormir. Il ne fallait pas qu’il se rendorme. Dans cette salle de classe, il y avait Khal et Nolan. Qu’allaient-ils penser de lui s’il piquait du nez une nouvelle fois, comme ça, sans prévenir ? Il ne voulait pas inquiéter ses colocataires, ni subir un interrogatoire le soir même. Les yeux brûlants, il scella ses paupières. Juste un instant. Ca ne ferait aucun mal. Son stylo traça une ligne maladroite sur son cahier, et il se sentit partir vers l’avant, comme si une force inconnue l’attirait dans ses bras. Son esprit était beaucoup trop embrouillé pour réagir à quoi que ce soit, et ses bras demeurèrent le long de son corps tandis que sa tête se rapprochait dangereusement du bois de son bureau.

Une main surgit à côté de lui et le rattrapa avant que son nez ne vienne cogner sur la table. Son camarade, un Voltali avec qui il parlait occasionnellement, l’interrogea du regard. Il n’osa pas bavarder puisque Princesse rôdait dans le coin, mais il glissa un mot griffonné à la hâte vers le châtain. « Tu vas bien ? Tu veux que je demande à t’amener à l’Infirmerie ? ». Oh. Grands dieux non. L’infirmière Needle était un personnage qu’il valait mieux éviter tant qu’on le pouvait. Mais cette brusque interrogation lui fit reposer les pieds sur terre. Qu’est-ce qui lui arrivait, pour qu’il soit comme ça ? Zéphyr à côté de lui le regarda, profondément inquiet. Allons petite boule de plumes, ce n’était rien. Il se frotta les yeux et pinça l’arête de son nez pour tenter de se réveiller. Par chance, la cloche qui annonçait la fin du cours tinta, douce mélodie de délivrance, et Alban se sentit comme revivre. Il avait prévu des choses à faire le soir même, mais pour le moment, une sieste s’imposait. Il fallait absolument qu’il retourne à son dortoir pour se reposer avant tout, car dans l’état dans lequel il se trouvait, il était inutile. Profondément frustré, il bascula la bretelle de son sac à dos sur son épaule et se mêla à la foule qui se déversait dans le couloir.

Dehors, le temps était à l’orage. De lourds nuages noirs annonçaient que les cieux allaient se déchaîner le soir même. Malgré tout, pour le moment, c’était plus une chaleur écrasante qui incommodait les élèves. Alban déboutonna légèrement le haut de sa chemise, et se posa un instant contre un mur pour souffler. Inspire. Expire. Il grimaça lorsqu’il bougea sa jambe droite. Ce fichu genou le faisait toujours autant souffrir. Et malgré tous les onguents et les calmants qu’il pouvait prendre, ses os restaient sourds à ses désirs. Encore plus de mauvaise humeur, il écrasa d’un geste rageur la briquette de jus de fruit qu’il venait de vider, et la lança dans la corbeille à côté. Puis, après avoir vérifié que Zéph’ était bien sur son épaule, il fit sortir Auster et Mistral de leurs Pokéballs. Le Noctali et le Tylton chromatique apparurent dans un rayon de lumière rouge, et l’un vint se frotter à ses jambes tandis que l’autre se posa sur l’épaule non occupée par le Goélise. Il ne les avait pas laissés rester avec lui en cours car Auster avait tendance à se faire « dégouliner » sur les pattes par Princesse, tandis que Mistral était pris d’envies compulsives de faire le ménage face à tant de manque d'hygiène.

- Salut vous deux, comment allez-vous ? leur demanda-t-il en se penchant vers Auster pour lui caresser la tête.

Pliant sa jambe astucieusement pour éviter d’avoir encore plus mal, il gratouilla l’arrière des oreilles du Noctali. Oreilles qui se dressèrent vivement en pointe lorsqu’une fille à la longue chevelure rousse passa devant eux. Alban leva la tête aussitôt et un sourire se dessina sur son visage tandis qu’il marchait derrière elle pour la rattraper. Tendant son bras, il se saisit du poignet de la demoiselle pour la retenir et amorça :

- Hey, salut Do-, avant de s’arrêter brusquement.

Car les yeux d’un bleu électrique et la moue insolente de la jeune fille n’avaient rien à voir avec le visage si doux de Calliope. Pourtant, en dehors, elles avaient la même taille et les mêmes jolis cheveux d’un orange vif. Lâchant doucement le poignet de cette inconnue, il se recula d’un pas et son visage repris ses traits neutres.

- Désolé, je t’ai confondu avec quelqu’un d’autre, s’excusa-t-il d’un ton monotone, qui n’avait plus rien à voir avec les inflexions enjouées de plus tôt.

Ah, cours vite Petit Prince. Car pour une erreur, tu n’en auras pas fini avec les suites de catastrophes et de malheurs…

Dernière édition par Alban Abernaty le Lun 2 Nov - 13:33, édité 1 fois
Alex J. Lovell
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Taille de l'équipe : 8/15
Région d'origine : Kanto
Âge : 19 ans
Niveau : 29
Jetons : 765
Points d'Expériences : 598
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Alex J. Lovell
est un Adulte Comportementaliste Pokémon
What I'd do to be significant
Elle avait quinze ans, dans son corps et dans sa tête. Elle avait des rêves et des ambitions à ne plus savoir quoi faire, mais qui n'allaient jamais bien loin. Des idées préconçues sur tout, des revendications à revendre, et toute l'amertume d'une adolescence qui croyait avoir déjà vécu les quinze années les plus importantes de sa vie. Des désillusions plein le coeur, aussi. Du mascara sur les cils, et des complexes plein la tête. Elle se croyait déjà grande, mais elle ne connaissait encore rien de la vie.

Alex, elle voyait le monde avec une espèce de naïveté désabusée, petit jeu élaboré d'une adolescente contemporaine. Personne ne lui avait appris à remettre les choses en perspective. Alex se plaignait tout le temps, de tout et de tout le monde, mais au fond elle n'avait jamais connu de véritable déception. Élevée dans une sorte de cocon douillet, couvée, surprotégée, étouffée ; elle ne s'était jamais heurtée à l'échec. Et jamais, oh non jamais, jusqu'à ce jour, elle ne s'était tournée vers autre chose que vers elle-même. Tristement égocentrique, animée d'une sorte de mal être surfait, éternelle insatisfaite ; elle était l'exemple parfait d'une adolescente en pleine crise existentielle. Alors qu'elle entrevoyait enfin le monde au-delà du sien et que ses faux-semblants et ses préconceptions se fissuraient inexorablement, remettant en cause tout ce qu'elle avait gauchement construit jusque là, il ne lui restait plus que quelques vestiges auxquels se raccrocher. Mais c'était comme si elle avait enfoui la plupart de ces trésors depuis bien longtemps, et qu'elle avait perdu la carte. Honnêteté, courage, aventure. Simplicité. Les valeurs vraies de l'enfance, que l'on délaisse peu à peu tandis que perce le doute ; à chaque fois un peu plus, au lieu de s'y raccrocher sereinement. Ces valeurs qu'il lui fallait à présent redécouvrir pour apprendre à se reconstruire.

Mais ça prenait du temps.

Et pendant ce temps, elle se retrouvait bancale. Maladroite. Petite équilibriste sur un fil, assaillie de peurs et de doutes, et trop fragile pour les reconnaître. Alors elle criait, criait encore, criait plus fort, tâchait d'en couvrir le bruit. Et ça, Alex, elle savait crier.


★  ★  ★


Elle réfléchissait trop, depuis qu’elle était arrivée sur Lansat. Beaucoup trop. Elle avait pas l’habitude. Ça faisait quelques semaines, et elle ne se sentait toujours pas à l’aise. Elle avait le mal du pays, et, pire encore, elle était toujours persuadée de ne pas avoir sa place ici. Et pourtant, les professeurs commençaient à se faire insistant ; bientôt, il lui faudrait choisir un parcours spécialisé. Peu importe lequel, songeait-elle alors avec un haussement d’épaules négligé. Elle irait là où on voudrait quelle aille, choisirait le parcours le plus facile ; c’était juste pour quelques années, après tout. Et après, elle n’en entendrait plus jamais parler, et pourrait reprendre une vie normale, et peut-être même d’autres études.

C’est la tête remplie de ce genre de questions que l’adolescente sortit de son cours de géographie, qu’elle avait suivi distraitement. Les paysages désertiques de Hoenn ne l’intéressaient que peu (et elle n’y mettrait jamais les pieds), et lui rappelaient désagréablement l’écrasante chaleur qui pesait ce jour-là sur le campus. Elle était pressée de retrouver le dortoir des Givrali avec son air climatisé, et d’attendre bien à l’abri dans sa chambre que l’orage éclate. Elle avait déjà rempli son quota de douches inopinées en extérieur.

Les mains crispées sur son carnet de notes (principalement recouvert de gribouillis), Alex tentait de ne pas prêter attention aux différentes bestioles au milieu desquelles elle évoluait sans cesse. Elle commençait à s’habituer, tout du moins parvenait-elle à en faire abstraction la plupart du temps, mais elle était encore loin de se sentir dans son élément.
Elle senti alors une main se resserrer sur son poignet, et sursauta, tandis qu’un garçon lui adressait la parole d’une voix enjouée. Le temps qu’elle se retourne, il avait visiblement réalisé son erreur, et son ton changea significativement. Prise de court et un brin vexée, il n’en fallut pas plus à la jeune fille pour devenir aussi électrique que son regard.

« Eeeeh on n’attrape pas les gens comme ça sans prévenir ! Et puis c’est quoi cet air dépité ? »

Elle croisa les bras sur sa poitrine, toisant le jeune homme avec suffisance.

« Si tu penses que c’est comme ça que tu vas attirer les nanas ! C’est déjà assez lourd comme attitude, mais j’avais encore jamais vu une tentative aussi peu convaincante. T’as une vraie tête d’enterrement. »

C’est alors qu’elle recolla les morceaux, eut une illumination, et que sa moue râleuse se mua en un sourire narquois. Elle se pencha vers lui pour le regarder de près, avec insistance.

« Ou alors peut-être que tu t’es vraiment trompé ; tu t’attendais à qui, hmm~? Tu m’as l’air bien décu… »

Ah, Alex, jolie petite idiote, tu n’es pas possible. Tu es là, comme si le monde tournait autour de toi, à te mêler de ce qui ne te regarde pas. Mais tu te fiches bien de raconter des sottises, et tu te fiches bien qu'il te trouve intrusive ; tant que tu fais durer un peu la conversation. Tu ne sais pas être honnête.

Au fond, tu es juste contente qu’il t’aie adressé la parole.
Alban Abernaty
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Alban Abernaty
est un Pokeathlète Coach
Sa main avait jaillit sans réfléchir. Il avait juste voulu la retenir pour pouvoir lui parler. Ah ça, se parler, ils le faisaient pourtant souvent depuis qu’elle s’occupait de sa rééducation. Mais à l’issue d’une journée aussi pourrie ? Il avait besoin de voir son visage ; d’un rayon de soleil qui perce son plafond nuageux. Alors il avait couru automatiquement, sans prêter plus d’attention à la douleur dans son genou. Celle-ci s’était d’ailleurs estompée comme par magie dès lors qu’il avait entrelacé ses doigts autour de son poignet. Il avait amorcé un salut, avec ce surnom si particulier qu’il lui donnait à chaque fois. Elle s’était retournée, dans un jet de ses adorables cheveux roux et… ce fut le drame. Yeux bleus espiègles, voix perçante et offusquée. Oh ça non, c’était loin d’être sa Doc. Bon en soit, même si c’était dommage, ce n’était pas forcément dramatique ; il ferait avec, comme toujours. Pour le coup, il aurait pu tomber sur une jeune fille qui aurait juste gloussé comme d’ordinaire, puis il se serait excusé et la belle aurait bafouillé deux trois mots avant de s’enfuir en courant. En général, c’était le genre de chose qui se produisait quand on était un garçon aux yeux kaléidoscope et à la mine froide et mystérieuse. Allez savoir, ça attirait les adolescentes. Mais là, c’était une véritable lionne qui s’était retournée vers lui. Son visage avait aussitôt pris une moue indignée. Elle avait retiré son poignet de son emprise, puis l’avait houspillé. Comme quoi on n’attrapait pas les gens comme ça. Bon certes pour le coup, elle n’avait pas tort. Mais si ça avait été Calliope, elle n’en aurait pas fait tout un fromage. Et malheureusement d’ailleurs, ce n’était justement PAS Calliope.

Même sous le coup de la surprise et de la précipitation, Alban était parvenu à s’excuser brièvement. Son ton visiblement déçu n’avait cependant pas échappé à la rouquine, qui le lui fit remarquer. A ce stade-là de la conversation, le Voltali se sentait juste un peu stupide de s’être trompé, et n’était que très légèrement agacé. Rien de bien méchant, il avait simplement l’impression de perdre son temps. Et aussi que ses tympans allaient exploser tellement sa voix lui était insupportable. Mais ça, c’était une autre histoire.
La jeune fille embraya cependant et l’abreuva de critiques toutes aussi déplacées les unes que les autres. Qu’est-ce que ça venait faire dans l’histoire, son potentiel d’attraction ou quoi que ce soit ? Pas qu’il y prête la moindre attention. Mais Alban avait une certaine fierté. Et piquée ainsi, mon petit doigt me dit qu’il n’allait pas pouvoir en supporter encore plus. Et voilà qu’elle continuait sur sa lourdeur, sa tête d’enterrement, et compagnie. Passablement agacé à présent, Alban ouvrit la bouche pour argumenter avec diplomatie. Mais voilà qu’une idée lumineuse venait de traverser l’esprit de la rousse, et que ses traits colériques se muaient en un visage espiègle. Et là, les questions intrusives. Une vraie girouette, croisée avec un moulin à parole. Elle lui rappelait Audrey, l'aspect sympathique en moins. Ah ! Il aurait largement préféré se prendre encore un coup de grenade-chantilly dans la tronche que de devoir supporter l'étrange trublion qui était en face de lui. Lorsqu’elle lui demanda avec qui il l’avait confondue, il fut piqué à vif. De quoi se mêlait-elle ? Elle n’avait pas besoin de savoir, enfin ! Et puis vu comme elle avait l’air d’être une commère et une pipelette, toute l’académie serait forcément au courant s’il laissait échapper la moindre information. Sûr et certain qu’elle irait le crier sur tous les toits. De mauvaise humeur, il fit mine de boucher une de ses oreilles, et son visage impassible montra rapidement son agacement.

- Ouah c’est bon t’as fini de parler ? Tu me pètes les tympans depuis tout à l’heure. J’ai déjà dit que j’étais désolé, ok ? C’est bon, on peut passer à autre chose ? railla-t-il d’une voix trainante.

Lui ? Désagréable ? D’ordinaire non. Mais il avait passé une journée pourrie, et Alex était la cerise sur le gâteau, en quelques sortes. Il ne savait pas pourquoi, mais cette fille l’énervait plus que de nécessité. Etait-ce parce qu’elle avait parlé de Calliope ? Ou parce qu’elle l’avait blessé en lui disant qu’il avait une tête d’enterrement ? Ou encore qu’elle avait piétiné sa fierté ? Aucune idée, mais il se sentait d’humeur joueuse. Dans le mauvais sens du terme. Car d’ordinaire, il aurait pu passer outre. Il se serait excusé une seconde fois, puis serait parti dans la plus grande indifférence. Mais pas cette fois-ci. Etrangement bavard, il croisa les bras pour être dans la même position qu’elle. C’était puéril, c’était stupide, et on aurait dit qu’ils étaient deux gamins. Mais il était comme ça, Alban ; quand on le titillait d’un peu trop près, et qu’il était dans un mauvais jour, ça pouvait très rapidement faire des étincelles.

- Et oui, je me suis vraiment trompé. Tu crois que j’allais aborder une fille inconnue dans un couloir, comme ça, d’un claquement de doigt ? J'ai vraiment l’air de courir après la moindre jupe qui passe ? Et pour ce qui est de la personne à qui je m’attendais, ça ne te regarde pas vraiment. Mais rassure toi, c’était loin d’être toi.

Mettez-vous tous aux abris, Alban a pété un plomb ! Zéphyr le regarda un instant en piaillant doucement, comme s’il avait du mal à comprendre pourquoi son dresseur se montrait si vache et si désagréable avec une personne qu’il venait à peine de rencontrer. Elle n’était pourtant pas vilaine, cette fille-là. Avec ses longs cheveux roux, son visage bien dessiné et ses grands yeux d’un bleu turquoise, elle aurait fait tourner la tête de plus d’un. Le Goélise ne fut d’ailleurs pas insensible à ses charmes, car il se mit immédiatement à gargariser et à se cacher derrière son aile, comme si le fait de se camoufler les yeux allait le faire disparaître définitivement. Auster quant à lui toisa la demoiselle de son regard froid et calculateur. Son dresseur ne l’appréciait pas ? Eh bien il allait en faire autant. Se plaçant souplement à ses côtés, il continua de la fixer pour la mettre mal à l’aise. Mais Alex, n’était-ce pas ce que tu voulais ? L’ambiance était électrique. Le ciel était à l’orage, mais quelque chose disait à Alban que la véritable tempête se passait dans ce couloir.
Alex J. Lovell
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Alex J. Lovell
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I'm talking loud, not saying much
I'm criticized but all your bullets ricochet
Elle dissimula un sourire en voyant le garçon répondre à ses provocations. Il avait mordu à l'hameçon, et elle considérait sa mine vexée comme une victoire à son compte. Il aurait pu hausser les épaules et tourner les talons — l'ignorer ! Elle qui se donnait si souvent des airs faussement détachés, rien ne lui laissait de goût plus amer que l'indifférence. C'était un domaine dans lequel elle supportait mal qu'on lui renvoie la balle.

Oui mais voilà, il n'avait pas détourné son regard. Bien au contraire, il se tenait fermement campé devant elle, les bras croisés, et son regard planté dans le sien. Il avait de beaux yeux, d'ailleurs, d'un bleu intense dans lequel elle se plongerait volontiers. Il y avait quelque chose de terriblement gamin dans son attitude : la posture, cette lueur de fierté bafouée dans son regard. Alex s'en amusait — probablement sans trop réaliser qu'elle avait tout autant l'air d'une gamine que lui.

Mais pour l'heure, c'était lui qui se vexait pour de vrai, et elle se sentait agréablement en contrôle. Quand il répondit à sa stance, Alex répliqua en relevant un peu le menton. Elle était un peu plus petite que lui, mais la prétention du geste lui redonnait l'ascendant.

« Et oui, je me suis vraiment trompé. Tu crois que j’allais aborder une fille inconnue dans un couloir, comme ça, d’un claquement de doigt ? J'ai vraiment l’air de courir après la moindre jupe qui passe ? Et pour ce qui est de la personne à qui je m’attendais, ça ne te regarde pas vraiment. Mais rassure toi, c’était loin d’être toi. »

Elle lui affichait toujours son sourire moqueur, ostentatoire. Elle aurait presque pu ne pas répondre, tant sa moue était évocatrice (et, sans aucun doute, agaçante). Mais elle cherchait à entretenir la conversation, à prolonger l'échange. Elle voulait juste de la compagnie, peu importe comment elle l'obtenait. Elle voulait quelqu'un auprès de qui râler, quelqu'un de moins bonne humeur qu'elle encore, pour arrêter de tourner en rond dans sa tête. T'étais juste mal tombé, mon pauvre Alban.

Les pokémon du garçon s'étaient mis à s'intéresser à l'échange. Alex prêta peu d'attention au deux oiseaux perchés sur les épaules de son interlocuteur (tout du moins tâchait-elle de ne pas se laisser impressionner). L'évolition qui la fixait froidement l'inquiétait davantage. Mais elle prit sur elle pour ne pas céder de terrain.

« Eh, à voir ta réaction, je me doute bien que tu ne cours pas après toutes les jupes. »

Elle ricana.

« On dirait que tu as déjà du mal à en attraper une. »

Elle tenait visiblement un filon, et elle ne le lâcherait pas de sitôt. Elle tatônnait, cherchait ce qui touchait ou non. L'objectif ? Marquer plus de points que la partie adverse. Ne pas être celle qui ressortirait de la confrontation avec les blessures les plus profondes. C'était pas tant de la méchanceté que de la bêtise — mais ne dit-on pas que les enfants ont des jeux bien cruels ?

Quelques élèves qui passaient par là commençaient à se retourner sur leur passage, intrigués par la scène. L'un d'eux, adossé contre un mur non loin de là, sembla s'en amuser.

« Allez, raconte, poursuivit-elle, un peu crâne. Ça fait combien de temps que tu lui cours après ? »

Elle y allait au bluff. Pour ce qu'elle en savait, ils étaient peut-être sur la bonne voie, voire même déjà en couple. C'était peut-être même pas une histoire de fille. Mais quand bien même elle serait complètement à côté de la plaque, il avait visiblement du mal à digérer le fait de passer pour un désespéré. Il paraît qu'il n'y a que la vérité qui blesse ; mais Alex n'était pas d'accord avec ça. L'amour-propre s'offusque même des offenses les plus gratuites.
Alban Abernaty
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Hoenn
17 ans
70
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Alban Abernaty
est un Pokeathlète Coach
Ce qu’il pensait d’Alex ? C’était simple ; elle incarnait globalement tout ce qu’il détestait chez une fille. Assurance, vulgarité, insolence, intrusion. Il fallait dire que la pauvre n’avait pas beaucoup d’atomes crochus avec ce cher Alban. Alors quand on mettait deux personnes diamétralement opposées dans le même rayon d’influence, que se passait-il ? Il aurait pu l’ignorer à dire vrai ; hausser les épaules et repartir avec son habituel air blasé. Mais non. Il ne savait pas pourquoi, mais cette fille l’agaçait bien plus que de nécessité. Il n’aurait pas dû lui accorder autant d’importance, il le savait. Mais son cerveau fatigué n’était pas en mesure de réfléchir posément et intelligemment. Le voilà donc qu’il était parti dans ce qui ressemblait fortement à un échange de gamins de maternelle. Honnêtement, s’il avait analysé la situation d’un point de vue extérieur, il se serait trouvé vraiment ridicule. Mais fierté et fatigue obligent, Alban était redevenu un parfait crétin des cours de récrés. Grand bien lui fasse ! Alex semblait elle aussi se prêter au jeu. Pourquoi s’arrêter en si bon chemin, donc ? Mais oui Alban, pourquoi tourner les talons et ignorer quand tu pouvais te comporter comme un gros gosse ? Passant une main dans ses cheveux, il vit le regard azuré de la Givrali se poser sur Auster. Le Noctali grogna une nouvelle fois, mais la demoiselle lui prêta bien peu d’attention, se reconcentrant sur Alban. Et là, ce fut la goutte qui fit déborder le vase. Ahahahah. Bon ok, elle ne pouvait avoir plus raison que ça. Avait-elle touché un point sensible ? Certainement, oui. Pourtant, le Voltali fit appel à tout son self-control pour ne pas lui céder de terrain. Son visage resta impassible, et c’était bien dans ce genre de moments qu’il remerciait le ciel de lui avoir confié un faciès aux articulations si rigides.

Il écouta donc Alex ricaner en faisant comme si tout cela ne l’atteignait pas. Evidemment que ça l’atteignait, mais il était trop fier pour laisser paraître quoi que ce soit. Même si le terme n’était pas vraiment adéquat, il y avait effectivement une fille qui l’intéressait et lui plaisait. Oh, il n’en était pas encore au stade d’espérer qu’il se passe quelque chose ; après tout, il se contentait uniquement de profiter de leurs rencontres hebdomadaires ou fortuites lorsqu’il en avait l’occasion. Mais dire que Calliope le laissait indifférent aurait été un mensonge… Cependant, Calliope lui était inaccessible, et ça, il l’avait bien compris. Même si ça ne l’empêchait pas parfois d’espérer un peu.

Il sentit les serres de Zéphyr se crisper sur son épaule. Ce fut à ce moment-là qu’il remarqua qu’il y avait beaucoup d’élèves autour d’eux. Certains s’étaient arrêtés pour regarder, tandis que d’autres faisaient semblant de leur passer à côté pour entendre le maximum d’informations l’air de rien. Voilà bien une chose qui l’agaçait, en plus d’Alex ; les commérages, toujours les commérages… Avec un air détaché, il décroisa les bras et mis les mains dans ses poches. Il ne savait pas trop quoi répondre, et avait pour une fois opté avec sagesse pour un silence indifférent. La rouquine s’empressa cependant d’enchaîner, et s’avança très légèrement de lui pour lui poser LA question fatidique. Le châtain se crispa ; évidemment qu’il n’allait pas lui répondre, mais penser instinctivement à la réponse lorsqu’on lui posait pour la première fois cette question le rendit mal à l’aise. Depuis combien de temps, au juste ? Peut-être depuis qu’elle avait décidé d’être son Doc, lorsqu’il était sorti de l’hôpital en début du mois de Juillet. Peut-être lors de cette Expédition avec Ambre et Aaron. Peut-être encore lors de cette journée au Parc d’Attraction… A moins que tout cela ne date de bien avant, dès le jour où ils s’étaient raccrochés l’un à l’autre dans le but de faire face à l’horreur du kidnapping des élèves ? Ce fut la goutte de trop pour Zéphyr, qui, sentant la vague de trouble que lui transmettait son dresseur, décida d’intervenir de lui-même. Il ouvrit le bec et lâcha une trombe d’eau sur Alex.

Quelques élèves crièrent en s’écartant précipitamment de la grosse flaque qui venait de naître au beau milieu d’un couloir. La Givrali fut trempée de la tête aux pieds ; ses cheveux dégoulinaient tandis que sa frange lui tombait de façon peu élégante sur les yeux. Alban fut pétrifié par le geste de son Goélise, mais repris bien rapidement ses esprits. Bon certes, ce n’était pas la façon la plus élégante de parler à une jeune fille, mais si c’était une fille comme elle, quelle importance ? Son cerveau analysa la situation et lui livra une réponse toute faite. Avec un sourire narquois, il s’approcha un peu plus de la rousse. Zéph’ lui avait livré la distraction parfaite pour se dépêtrer de la situation compliquée dans laquelle elle l’avait mise. Rôles inversés ma pauvre dame !

- Allons, allons… Pourquoi toutes ces questions ? Est-ce que je t’intéresse tant que ça ? Ta vie est-elle si inintéressante pour que tu doives te raccrocher à celle des autres ? railla-t-il avec un certain plaisir mesquin.

Le geste de Zéph’ aurait dû le rendre un peu honteux. Mais bon, il n’était pas contre sortir un peu du rang de temps à autres, non ? Voyant que la jeune fille ne lui répondait pas, il continua.

- Tu ferais mieux de t’occuper un peu de ta jupe avant de t’occuper de celle des autres, ajouta-t-il en faisant référence aux vêtements trempés de la Givrali. Sur ce, fais attention à ne pas attraper froid et retiens bien qu’à trop fouiner dans les affaires d’autrui, l’arroseur peut parfois se retrouver arrosé.

Bon ok, il poussait le dicton un peu loin mais c’était un littéraire ce cher Alban, si on creusait bien il y avait effectivement un lien dicton-situation et… Oui bon ok, c’était capillotracté mais il trouvait ça amusant sur le moment. Sans lui laisser le temps de dire quoi que ce soit, il détourna les talons et lui adressa un salut nonchalant de la main. Son nom ? Il ne le connaissait pas, mais peu lui importait. Il préférait se carapater en ayant eu le dernier mot plutôt que de risquer de passer sa fin de journée à arguer avec la jeune fille. Ses Pokémon sur les talons, il disparut à l’angle d’un couloir, ses sombres pensées toutes effacées par la vision de cette agaçante inconnue complètement trempée. Décidemment, Zéphyr l’étonnerait toujours. Avec un petit rire, il regagna son dortoir ; finalement, la journée plutôt mal commencée ne s’était pas si mal terminée.
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