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« Le truc, avec la perfection, c’est que ça n’existe pas. »
« Plaisir partagé ! J’ai également hâte qu’on travaille ensemble sur un nouveau sujet d’étude ! Attends, quoi ?? »
« Moi Apsu, fils du grand Bahamut, Héritier du dragon créateur, Futur souverains des Carchacrok de l'ancien Hisui, avatar de la Sainte baie Nanana, sauveur légendaire d'oeuf draconique, et libérateur des opprimés de la prison de cristal, je ne laisserai personne faire du mal à l’humaine qui m’aidera à monter aux sommets. »
parApsu
« Je ne suis pas toi. Je ne suis pas fainéante au point de ne pas vouloir faire d’effort. Je ne suis pas de mauvaise foi au point de refuser changer. Et je ne pense pas qu’abandonner quelqu’un soit une solution à ses problèmes. »
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année 11, semestre 2
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Bienvenue sur Leiar ! Une île hébergeant la Pokémon Community, campus universitaire accueillant de tous les profils, humains comme Pokémon. Élève ou adulte, vous vivrez au jour le jour une vie trépidante au sein du campus, votre quotidien ponctué de mille et unes folles histoires typiques de la Pokémon Community. Cette île couverte de cristaux vous réserve quelques surprises, tout ça entre deux cours ou mission pour devenir le meilleur dans vos spécialités respectives ! En savoir plus ?
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Noah A. Knox
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https://pokemoncommunity.forumactif.org/t7626-noah-a-knox-phyllali
Icon : [335 Luce C. Agnelli ♦ where noon and night cross [GIVRALI] GQNueW5
Taille de l'équipe : 1
Région d'origine : Hoenn.
Âge : 15 ans.
Niveau : 0
Jetons : 1404
Points d'Expériences : 223
[335 Luce C. Agnelli ♦ where noon and night cross [GIVRALI] GQNueW5
1
Hoenn.
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Noah A. Knox
est un Nouveau Membre
LUCE C. AGNELLI
Nom. Agnelli.
Prénom. Luce Chiara.
Âge. 14 ans.
Région d'origine. Joliberges, Sinnoh.
Ambitions futures. Elle ne sait pas encore bien, perdue comme elle est. Après avoir été inscrite un peu contre son gré, elle tente de faire des efforts pour s'impliquer, et elle s'est renseignée sur le parcours d'archéologie, ce qui lui ressemble le plus.
I WAS LEFT ALONE SOMEWHERE IN A
SILENT WORLD, A FABRICATED WORLD
Description
Souris un peu, Luce !

Tu baisses les yeux. Tu tentes, le cœur un peu lourd, d'esquisser ne serait-ce que l'ombre d'un sourire. Tes lèvres s'étirent légèrement, mais rapidement elles retombent, scellant l'expression morne constamment affichée sur ton visage. Sempiternelle. On te l'a toujours dit, de sourire. Ta mère, ton frère et ta sœur, tes grands-parents. Mais bizarrement, c'est comme plus fort que toi. Tu n'y arrives pas. Ta main se lève pour rajuster l'écharpe jaune enroulée autour de ton cou, celle que ta grand-mère t'a tissé, comme pour camoufler cette incapacité à montrer ta joie. A montrer tes émotions en général. Peut-être parce que tu as un peu honte. Parce que tu as un peu peur. T'es un peu une trouillarde - effrayée par tout, tout ce qui t'entoure, depuis toujours. Encore plus depuis que ton père est parti. Peur des cris de ta mère, peur de ce liquide rouge qui coule parfois quand tu te blesses, peur quand ton frère pour s'amuser t'enferme dans le placard, peur des monstres sous ton lit - parce que tu y crois encore.

Alors, silencieusement, tu continues à avancer sur ce petit chemin, plongée dans l'ombre du groupe de filles riant un peu plus loin devant toi. Ton regard se pose sur elles, sur leurs silhouettes se dessinant sur la toile du crépuscule. Tes "amies". Tu ne sais pas vraiment si tu peux les appeler ainsi. Elles ne sont pas toujours très gentilles, et elles ne s'occupent pas beaucoup de toi. La plupart du temps, elles te demandent de les aider à faire leurs devoirs. Tu ne refuses pas, parce que tu aimes aider. Mais, sans trop savoir pourquoi, tu continues à traîner avec elles. Peut-être pour ne pas te sentir aussi seule. Tu ne sais pas vraiment. Même si souvent, tu préfères rester isolée, dans un coin de la cour, un livre à la main, à faire défiler des pages et des pages, des mondes et des mondes. Ta relation avec elles est tellement différente de celle que tu entrevois dans ces ouvrages que tu aimes tant. Au fond, peut-être que les livres sont tes réels amis. Tu as toujours préféré leur compagnie à celle des vrais gens. Eux, au moins, ne te font pas aussi mal. Avec eux, tu peux t'enfuir de cette maison dans laquelle tu te sens étrangère. Avec eux, tu peux penser à autre chose que ce creux omniprésent dans ton cœur.

T'es pas drôle, Luce.

Tu serres le poing. Ta timidité ne t'a jamais vraiment permis d'être "drôle", comme ils le disent. Toujours effacée, toujours recluse, toujours à bégayer quand on t'adresse la parole. Il y a toujours ces bouffées d'angoisse, ces montées de stress qui t'envahissent, à chaque pas, à chaque instant, celles qui te poussent au bord des larmes et qui font fleurir les sanglots dans ta gorge. Tu ne sais pas comment t'en débarrasser. Cela fait tellement longtemps qu'elles sont là, alors tu as fini par t'y habituer. Les choses vont toujours trop vite dans ta tête, comme un maelström, une tempête dans laquelle rien n'a de sens. Tu peines à mettre des mots sur tes idées, alors tu préfères rester silencieuse. C'est mieux pour les autres, c'est mieux pour toi. Alors tu t'isoles. Tu te fais oublier. Mais malheureusement, il y a des gens qui ne t'oublient pas.

Hé, Luce. Elle est jolie ton écharpe. Tu veux pas me la donner ? Allez, dis oui. ...pourquoi tu réponds pas ? Allez, réponds. Réponds, putain--

Tu poses la compresse sur ton bras - tu serres les dents - et jettes un rapide coup d’œil au réveil posé sur ta table de chevet. A cette heure, personne n'est encore rentré. Tant mieux. Tu ne veux pas les inquiéter. Tu ne veux pas leur causer des problèmes. Ton regard s'arrête sur le miroir en face de toi. T'es pas grand chose, Luce. Juste une gamine d'à peine quatorze ans, avec les cheveux mal coiffés et des yeux sombres. Toujours à porter le même manteau, la même écharpe. Avec peu d'intérêt pour ce à quoi elle ressemble aux yeux des autres, mais pourtant terrifiée à l'idée de ce que les autres peuvent penser de toi. Tu te dis, parfois, que tu devrais plus t'inquiéter pour toi que pour eux. Mais au fond, tu y es habituée. Tu peux encaisser plus que ça. Alors tu sèches tes larmes, seule dans cette chambre au crépuscule.
Histoire
Son cœur se serre. Parcourir les pages de cet album est bien plus éprouvant que prévu. Mais elle a envie de continuer - non, elle doit continuer. Parce qu'elle doit savoir. Elle est sûre qu'ici, quelque part, il y a un indice, quelque chose qui pourrait la mener à le retrouver. Son regard aux teintes rougeâtres se pose sur l'une des premières photos disposées dans l'ouvrage. Une photo d'elle, alors tout bébé, lovée dans les bras de sa mère. Elle est parcourue d'un frisson: elle n'est pas habituée à se voir ainsi. La majorité des photos qui traînent dans sa maison et dans celle de ses grands-parents ne datent que d'à partir de ses cinq ans. Elle n'a évidemment aucun souvenir de cette époque, mais sa mère et sa grand-mère se font toujours un plaisir de ressasser un million d'histoires à propos de sa plus tendre enfance. Cela ne la dérange pas vraiment, parce qu'après tout, cela fait plaisir à sa famille. Mais au bout d'un moment, entendre sans arrêt les mêmes réminiscences devient un peu...fatiguant. Ce n'est pas gentil, Luce. Elle se mord la lèvre, ne se pardonnant pas de penser de telles choses. Avant que sa valse d'autodénigrement ne se remette à tournoyer de plus belle, comme elle en a souvent la fâcheuse habitude, elle se replonge dans la contemplation de la photo qu'elle a soigneusement extraite de la pochette. Ses yeux balayent chaque petit détail: de la peluche de Ponyta que la petite Luce, alors à peine âgée de quelques mois, tient en main, jusqu'au collier de sa grand-mère, dont le pendentif est en forme de Lun'Aile. Avec du recul, elle se demande s'il s'agit vraiment d'une vraie ou non - certains vendeurs situés en ville en vendent souvent des fausses. Cependant, elle digresse, et retourne le cliché, un peu par instinct. A l'arrière, se trouve une date, qui correspond probablement à la date à laquelle la photo a été prise. Sa mère a toujours été un peu maniaque, alors au fond, ce n'est pas très étonnant. Un vingt-quatre juin, exactement cinq mois après sa naissance à Joliberges, une nuit plutôt orageuse.

La photo suivante est, déjà, un peu plus intéressante à ses yeux, dans la poursuite de son objectif - et en la voyant, elle sent le battement de son cœur accélérer. C'est une photo de ses parents, un peu ancienne, aux bords cornés et abîmés. Dessus, sa mère, avec ses caractéristiques yeux émeraude pétillants de joie, tient la main de son père, qui sourit, de manière bien plus éclatante que dans ses souvenirs. Étrangement, elle se sent un peu triste. Elle ne s'attendait pas à une différence aussi radicale entre les parents qu'elle a toujours connu et ceux présentés sur l'image. Ils avaient l'air tellement plus heureux, à cette époque. Au fond d'elle, elle ne peut s'empêcher de penser que c'est peut-être de sa faute. Un genre de pensée parasite qu'elle supporte depuis longtemps. Elle reconnaît très bien le bâtiment qui se tient derrière eux: c'est l'endroit où elle a passé la majeure partie de son enfance. La bibliothèque de Joliberges, dont le maintien est assuré depuis des générations par la famille de sa mère. C'était entre autres partiellement grâce à son grand-père que la bibliothèque avait connu une telle popularité, et c'était, en quelque sorte, la fierté de la famille - et cela faisait également la fierté de Luce, qui avait quasiment fait ses premiers pas là bas, pour ensuite finir par passer ses journées assise confortablement dans un des fauteuils de la zone de lecture, à avaler livre après livre - enfin, du moins, ceux qu'elle pouvait lire. Pour être franche, c'est ce qu'elle fait toujours, dès qu'elle a du temps libre. Les livres l'ont toujours passionnée, grâce à ses parents, eux et leurs histoires qui la tirent loin, loin de ce monde qu'elle trouve un peu trop triste à son goût, ce monde dans lequel elle ne trouve pas sa place. Elle se dit que peut-être, elle finira bien par en trouver un où elle se sentira bien, au milieu des rayons de la bibliothèque.

Elle retire à nouveau un cliché de l'album, et cette fois-ci, le retourne immédiatement. Un autre vingt-quatre juin, quelques années plus tard. Le jour de son anniversaire. Âgée d'à peine quatre ans, elle se tient à côté de sa mère, agrippant sa robe, et déjà elle remarque qu'à cet âge là, elle n'arrivait pas à sourire non plus. Pourtant, les choses n'avaient pas encore tout à fait empiré. C'était encore l'époque où tout se passait bien dans le meilleur des mondes et où elle pouvait passer des moments complices avec ses progéniteurs. Certes, comme dans toute famille, ses parents se disputaient de temps à autres, mais...ce n'était clairement pas au point d'il y a quelques années. Son père, lui, est agenouillé  aux côtés de sa sœur aînée, tenant dans ses bras le Chaglam de la famille. Un Pokémon qu'elle n'a jamais vraiment apprécié, d'ailleurs. Elle préférait largement le Malosse de ses grands parents, qui, malgré qu'il lui fasse un peu peur, était bien plus affectueux, et bien moins vicieux. C'était à partir de cette époque là qu'elle avait commencé à avoir un minimum d'intérêt pour les Pokémon. Sur le chemin de la bibliothèque, son père s'arrêtait souvent à l'arène de Joliberges pour lui montrer comment se déroulaient quelques combats. Mais bien qu'elle appréciait la présence des Pokémon, elle n'avait jamais vraiment aimé les combats. Elle trouvait ça beaucoup trop violent - bien qu'elle en trouve  souvent décrits dans les livres qu'elle lisait. C'était peut-être un peu hypocrite de sa part, mais elle était probablement trop jeune pour y avoir pensé. Même si, aujourd'hui, son point de vue sur les Pokémon n'a au final pas tellement changé.

Encore une photo, cette fois-ci qui date d'un bon nombre d'années plus tard. Elle prend un moment pour calculer, mais si le compte est bon, elle doit avoir environ dix ans. La même année que ce qu'il s'est passé. Son regard s'arrête sur le visage de son moi d'il y a maintenant quatre ans, sur un détail en particulier: un œil au beurre noir. Elle baisse les yeux. Cela ne fait pourtant pas si longtemps, mais visiblement, ça avait déjà commencé. Toutes ces histoires à l'école, le bizutage, parce qu'elle était trop passive, parce qu'elle ne se mêlait pas aux autres, étant beaucoup trop timide. Le bouc-émissaire. Elle ne comprend pas. Elle avait déjà connu ça plus jeune, mais jamais de manière aussi violente. Elle n'avait non plus jamais été du genre à contre-attaquer, faisant d'elle la victime parfaite. Maintenant qu'elle le réalise, elle s'en veut un peu. Mais elle sait, elle ne sait que trop bien qu'elle n'arrivera jamais à le faire. Parce qu'elle n'est pas comme ça. Parce qu'elle ne veut pas faire de mal aux autres. Elle ne s'était jamais plaint - et c'était peut-être pour ça qu'en vérité, maman et papa se disputaient. L'intensité des querelles augmentait de jour en jour. Jusqu'à ce que finalement, du jour au lendemain, son père décide de partir. Sans prévenir qui que ce soit, et laissant sa femme à la tête de la direction de la bibliothèque. Elle n'en avait pas parlé, comme à son habitude, mais cela lui avait fait tellement mal. Elle s'était senti trahie. La famille Agnelli était bien connue à Joliberges, et Luce se rappelle que cela avait fait parler beaucoup de gens. Et évidemment, à l'école, les brimades n'avaient pas cessé.

Maintenant qu'elle y repense, l'album photo sur les genoux, assise ici sur ce bateau qui l'emmène vers l'île Lansat, c'est peut-être pour cette raison que ses parents l'ont inscrite à la Pokémon Community. Pour la faire changer d'air. L'emmener loin de tout ça, toutes ces choses qui la faisaient souffrir. Sa mère était quelqu'un de gentil, bien qu'elle soit stricte. Au fond, c'était peut-être son éducation qui l'avait rendue aussi passive. Aujourd'hui cependant, elle a d'autres choses auxquelles elle doit réfléchir. Ce que son père est devenu. Où est-ce qu'il est parti. Elle ne sait pas si sa nouvelle école lui apportera des réponses. Mais dans cet endroit, qui lui offre un tout nouveau départ, peut-être que les chances de le revoir sont plus qu'infimes. Et peut-être qu'un jour, elle pourra lui dire tout ce qu'elle a sur le cœur.
Surnom. Albireo, surnommé Reo.
Espèce. Farfuret ♂.
Nature. Sérieux.
Description. La description du Pokédex d'un Farfuret mentionne souvent le côté malin et vicieux du Pokémon. Quand on parle d'Albireo cependant, ce n'est pas tout à fait le cas. Certes, il fait preuve de beaucoup d'astuce, mais plus on le côtoie, plus on se rend compte qu'il lui manque cruellement le côté sournois normalement attribué à son espèce. Reo est un Pokémon profondément calme et avant tout responsable, l'incarnation parfaite du leader. Il est également plutôt intelligent, et en rencontrant sa nouvelle dresseuse, il a rapidement compris qu'elle n'était pas du genre très dynamique. Cependant, malgré sa tentative d'approche sans aucune animosité, Luce a vite pris peur, intimidée par l'apparence du Farfuret - et en particulier de la balafre qu'il porte sur l'oeil droit - et s'est réfugiée aussitôt derrière la chaise du Collectionneur. Après cette rencontre plutôt particulière, il a décidé de jouer la carte de la sécurité et d'agir le plus calmement possible avec elle, se positionnant presque comme un parent de remplacement pour elle. Il a cependant un énorme défaut: sa fierté. Une fierté un peu mal placée associée à une susceptibilité un peu trop forte qui le pousse parfois à se montrer agressif - au grand dam de sa dresseuse.
Pseudo ou prénom. Luca ♥
âge. 21 ans.
Comment avez vous connu le forum ? Reroll de Cornélia (anciennement Tabatha). Je suis vraiment désolée de reroll encore une fois comme ça mais j'ai vraiment envie d'être plus active ici et j'arrive à rien avec Cornélia, du coup je me suis dit que j'allais réessayer avec un type de personnage avec lequel je suis plus à l'aise ;v; Promis c'est la dernière fois, je ferai de mon mieux pour assurer cette fois-ci!
Quelque chose à ajouter ? Ah et, est-ce que ça serait possible de supprimer tous les topics de Tabatha du coup? (Cornélia n'en a pas normalement) Et je vous aime ;___;





Dernière édition par Cornélia E. Leblanc le Mar 23 Fév - 13:38, édité 2 fois



before you call it convenient, please
heal my wounded heart
Max Arago
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Taille de l'équipe : 10/30
Région d'origine : Kalos, Romant-Sous-Bois/Illumis
Âge : 19 yo
Niveau : 50
Jetons : 441
Points d'Expériences : 1786
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Kalos, Romant-Sous-Bois/Illumis
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Max Arago
est un Scientifique Archéologue
gnnnnnnn

C'est tellement cute et gnnn et feels et puis voilà

Love sur toi Lulu et puisse tu réussir à rp avec Luceeeeeeeee <3


t h e f i r e i n s i d e
Elisabeth Snow
Région d'origine : Kalos
Âge : 28 ans
Niveau : 0
Jetons : 5000000
Points d'Expériences : 368
Kalos
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pokemon
Kalos
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Elisabeth Snow
est un Directeur
Rebienvenue !

Par contre, désolée mais je ne vais supprimer aucun sujet. ^^
Donc, je modifie ton pseudo. Et, comme c'est ton deuxième reroll :
- Jeton : 495 > 165
- Expérience : 13 > 6

Je pense que tu regagneras facilement ta place dans le dortoir Givrali, qui correspond très bien à ton personnage. Personnage d'ailleurs très attachant. =)


Bienvenue dans le Dortoir Givrali ♀ et bonne intégration parmi tes confrères ! N'hésites pas à poser tes questions si tu as le moindre soucis à ta préfète qui est Calliope Pryde. Tu peux dès lors poster ta T-CARD dans la partie correspondante, ainsi que gérer tes RPs grâce à aux RECHERCHES DE RPs ET RELATIONS. N'oublie pas de remplir les champs de ton profil dès que possible (T-card et Fiche de Présentation) pour faciliter la navigation aux autres joueurs, et de réserver ton AVATAR dans la partie adéquate ! Tu repars aussi avec 2 Pokeball, données par le Collectionneur. Ton numéro étudiant est 0335. Bon jeu sur Pokémon Community !


• Tu es officiellement arrivée le 01 Février 2016 et fais donc partie de la promotion du 6e semestre.
• L'Event #4 Saint Valentin est lancé sur Lansat. En route pour une petite virée sur un luxueux paquebot !
Noah A. Knox
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Région d'origine : Hoenn.
Âge : 15 ans.
Niveau : 0
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Points d'Expériences : 223
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Hoenn.
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Noah A. Knox
est un Nouveau Membre
Aucun problème pour les sujets, c'était juste pour éviter que ça prête à confusion, mes excuses xD

Merci beaucoup pour la validation!! ** Je suis contente de retourner chez les Givra gnnn ;v; Et merci pour le compliment sur ma petite Luce ihi. ♥



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Aileen Sôma
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Taille de l'équipe : 23/30 + 2.
Région d'origine : Illumis, Kalos.
Âge : 20.
Niveau : 80
Jetons : 16666
Points d'Expériences : 3148
[335 Luce C. Agnelli ♦ where noon and night cross [GIVRALI] Gdy0
23/30 + 2.
Illumis, Kalos.
20.
80
16666
3148
pokemon
[335 Luce C. Agnelli ♦ where noon and night cross [GIVRALI] Gdy0
23/30 + 2.
Illumis, Kalos.
20.
80
16666
3148
Aileen Sôma
est un Pokeathlète Agent
Elisabeth Snow a écrit:
Jeton : 495 > 165


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Rebienvenue I love you



Sing me to sleep ★ Remember me now, time cannot erase, I can hear your whispers in my mind, I've become what you cannot embrace, our memory will be my lullaby.
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