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Alban Abernaty
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Région d'origine : Hoenn
Âge : 17 ans
Niveau : 70
Jetons : 20638
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Alban Abernaty
est un Pokeathlète Coach



L'ennemi dans la glace
Alban Abernaty & Max Arago

Dehors je croise des étrangers
des ombres qui marchent dans le noir
Ce n'est pas d'eux que vient le danger
mais je reconnais chaque soir
mon pire ennemi dans ce miroir

Ce n’était pas possible.

Il ne se reconnaissait pas. Ça ne pouvait pas être lui.

A la fois abasourdi et tétanisé par ce qu’il venait de dire et de faire, Alban resta quelques secondes sans bouger. Sa main était tendue vers le poignet de Maxine, qu’il serrait entre ses doigts. Il avait conscience du fait qu’il l’avait attrapée beaucoup trop fort. Qu’il devait probablement lui faire mal. Qu’il aurait dû relâcher sa prise dès lors qu’il s’était comme brûlé au contact de la peau de la jeune fille. Mais il ne pouvait pas. Il n’y arrivait pas. A la fois victime, bourreau et témoin, Alban assistait à la scène, impuissant. Comme s’il n’y appartenait pas vraiment. Comme s’il n’était qu’un esprit qui flottait autour d’eux et qui regardait son propre corps se mouvoir à la manière d’un pantin. Il ne pouvait pas se contrôler. Il ne pouvait plus se contrôler. Il n’avait aucune maîtrise de ses gestes, de ses mots, de la rudesse de ses actions. Il aurait voulu hurler. Se hurler de faire marche arrière. De lâcher Maxine. De s’excuser, et de lui promettre de ne plus recommencer. De la prendre doucement dans ses bras pour tenter de se faire pardonner. Si elle le voulait. N’importe quoi. N’importe quoi d’autre que ça.

Mais il n’y parvenait pas. Au fond de lui, il avait l’impression qu’un véritable monstre venait d’être libéré. Il n’était plus maître de lui-même. Il n’arrivait plus à penser de façon raisonnée. Son esprit se livrait une véritable bataille ; et, malheureusement, ce n’était pas lui qui allait la gagner. Etouffé et harassé par des forces qui lui étaient supérieures, Alban sentait qu’il n’allait plus pouvoir résister à cette mascarade très longtemps. Il se détesta d’être ainsi ; se détesta de laisser ses émotions prendre le pas sur la raison. Mais il ne parvenait plus rien à retenir. D’un côté, il y avait l’Alban habituel. Celui qui était gentil, prévenant, toujours à faire passer les autres avant lui-même. Celui qui aurait tout fait pour la rendre heureuse, quitte à la voir partir avec un autre si cela signifiait son bonheur avant le sien. Mais de l’autre, il y avait l’Alban égoïste. Celui qui n’aurait pas supporté de la voir s’éloigner de lui. Celui qui voulait la garder jalousement pour lui, quitte à détruire tout le reste. Celui qui voulait l’enchaîner et ne plus la laisser s’envoler. Celui qu’il détestait et qu’il ne voulait pas être.

Mais celui qu’il était, malgré tout.

Ses doigts toujours aussi étroitement serrés autour du poignet de Maxine, Alban sentit qu’elle tremblait. Elle devait avoir peur. Devait avoir mal, également. Il le voyait dans son regard mordoré. D’un côté, elle devait sûrement ne pas comprendre pourquoi il venait d’agir ainsi. Pourquoi, alors que tout allait parfaitement entre eux ce matin-même, avait-il fallut que leur ciel se couvre d’orage ? Pourquoi, alors qu’ils filaient la parfaite relation depuis leur nuit dans la Grotte Luminescente, les choses avaient-elles pu dégénérer à ce point ? Elle devait le trouver lunatique. Incompréhensible. Instable. Et c’était bien ce qu’il était, au final. Ou en tout cas ce que le monstre en lui était. Car ce n’était pas lui. Il ne voulait pas que ce soit lui. C’était toujours beaucoup plus simple de rejeter la faute sur les autres. Ce n’était pas Alban. C’était de la faute de son lui intérieur. De ce Doppelgänger. De ce double maléfique. C’était lui qui était à blâmer.

Il commença à se sentir trembler. Il ne savait pas si c’était de la colère ou de la peur. Ou de la colère ou de la peur de lui-même. Il se sentait perdu. Comme si cette journée n’existait pas vraiment. Comme si toute cette scène n’était pas réelle. Un simple souvenir brumeux. Un simple rêve qu’on peut oublier après s’être réveillé. Mais ce n’était pas juste un rêve. C’était la réalité. Et, quoi qu’il fasse, il ne pourrait plus effacer cette réalité-là.

Il plongea ses yeux dans ceux de Maxine. Elle ressemblait à une biche apeurée face à un prédateur. Malgré son apparente folie, il lui restait un minimum de lucidité pour comprendre ce qui se jouait devant lui. Il y avait de la peur, dans ce regard-là. La peur de ce qui allait se passer. La peur de ce qu’ils allaient devenir. Et la peur de lui, également. Bon sang… Il ne voulait pas qu’elle lui fasse ce regard-là. Il ne voulait pas qu’elle ait peur de lui.

Mais elle avait peur de lui.

Ses paupières se fermèrent l’espace d’un instant. En rouvrant les yeux, ce fut toujours le même visage qu’il avait en face de lui. La même crainte. La même incompréhension. Et la même rage, aussi. Elle lui en voulait. C’était sûr et certain. Comment aurait-il réagit, si quelqu’un avait fait la même chose à une personne qui lui était chère ? C’était évident. Déglutissant avec difficulté, il eut l’impression que le temps venait de s’arrêter. Et qu’il se rembobinait à l’infini, comme une boucle infernale. Il revoyait la scène de plus tôt se rejouer comme une entêtante cassette maudite. Encore et encore. Encore et encore.

La journée n’avait pourtant pas mal commencé. Comme depuis plusieurs jours déjà, il s’était montré attentionné envers elle. Il l’avait saluée d’une bise sur la joue, puis avait détourné les yeux pour ne pas qu’elle puisse voir à quel point il était gêné et heureux à la fois. Il avait caressé sa main blessée pour la rassurer. Il lui avait promis qu’ils iraient faire un truc ensemble le soir-même. Comme deux amis. Comme deux simples potes. Et puis tout avait dérapé.

Il avait rencontré Andersen au détour d’une promenade avec ses Pokémon, et il avait eu la discussion qui allait tout gâcher. Il pouvait encore l’entendre comme si elle venait juste de se dérouler, d’ailleurs. Andersen lui disant qu’il avait rendez-vous avec Maxine dans l’après-midi pour qu’elle « l’aide à travailler sur son devoir d’Archéologie ». Lui, tentant de tout faire pour ne pas montrer son trouble devant son éternel rival. Travailler. Mon œil, ouais. Les sous-entendus lourds n’avaient pas été difficiles à interpréter. Dans l’esprit d’Andersen, il y avait clairement un autre objectif à ces innocentes « séances de travail ». Mais ce n’était pas parce que Maxine lui plaisait particulièrement. Et c’était bien ça, qui était le pire. Car Alban savait très bien pourquoi Andersen essayait de se rapprocher de la Givrali. Il savait très bien pourquoi il venait s’en vanter devant lui. Et ça ne lui plaisait pas. Oh non, que ça ne lui plaisait pas.

Alors il avait contenu toute sa rage. Il s’était retenu d’envoyer son poing valser dans le visage autosuffisant du Noctali. Il avait pris sur lui, tout simplement. Il était retourné dans sa hutte pour espérer parler à Maxine. Pour lui demander innocemment ce qu’elle allait faire, cet après-midi-là. Il n’avait pas prévu que tout allait dégénérer à ce point. Il ne s’était pas attendu à ce qu’elle se soit faite « belle » pour une simple « séance de travail ».

Oh, entendons-nous bien. Maxine avait toujours été belle, et elle lui avait toujours plu. Mais il était capable de déceler quand elle faisait encore plus d’efforts pour s’habiller ou se coiffer. Il était capable de voir quand elle était enthousiaste pour quelque chose. A moins que son esprit ait été influencé par ce qui s’était dit plus tôt ? Toujours est-il qu’il lui avait demandé où elle allait. Beaucoup plus froidement qu’il ne l’aurait voulu. Et, quand elle lui avait répondu en amorçant un pas vers la porte pour partir, il l’avait brutalement rattrapée par le poignet pour l’en empêcher. Ça non plus, il ne l’avait pas prévu. Mais le pire, c’était sûrement ce qu’il lui avait dit à ce moment-là.

« Je t’interdis d’aller le voir. »

Ce n’était ni à faire, ni à refaire.

Mais en attendant, c’était ce qu’il avait fait. Et quelque chose lui disait que la réponse ne lui plairait pas vraiment…


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Max Arago
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L'ennemi dans la glace

Avec alban abernaty

Depuis leur soirée à la grotte Luminescente, Max se sentait vraiment bien. Heureuse. Elle appréciait ce léger jeu du chat et de la souris dans lequel ils s’étaient lancés. Je te suis tu me fuis. Tu me suis je te fuis. C’était agréable. Ce sentiment d’être aimée. Elle aimait passer du temps avant de choisir sa tenue parce qu’elle voulait qu’Alban ne voit qu’elle. Elle aimait quand il la suivait du regard quand elle sortait. Elle aimait qu’il lui demande à chaque fois où elle allait, qui elle allait voir. Elle aimait la lueur qu’elle lisait dans ses yeux quand elle disait allait voir un garçon. Elle aimait quand leurs regards se croisaient et qu’ils détournaient les yeux au même moment avant de les refaire se croiser. Comme deux adolescents qui découvraient ensemble l’amour. Comme les deux adolescents qu’ils étaient. Elle aimait l’apprivoiser. Elle aimait quand il posait ses lèvres sur sa joue chaque matin pour lui dire bonjour et s’il savait à quel point elle aimait ça et à quel point ça éclairait sa journée. S’il savait …

Alors elle forçait un peu le trait. Alors elle repoussait les limites. Elle voulait voir jusqu’où il tiendrait. Si il était vraiment si jaloux. Si il la voulait vraiment rien que pour lui. C’était peut-être stupide et ça l’était certainement mais le sentiment si agréable de chaleur qui l’emplissait à chaque fois qu’elle décelait un peu de jalousie était trop agréable pour qu’elle arrête. Pour qu’elle arrête de vouloir sentir à quel point il ne pensait qu’à elle.  À quel point il ne voyait qu’elle. Parce qu’elle n’avait aucun doute. Elle ne voyait que lui et il n’y avait que lui. Que lui auprès de qui elle se sentait si bien. Si entière. Comme s’il était sa moitié.

Elle était peut-être niaise. C’était peut-être parce que c’était sa première histoire. C’était peut-être parce qu’elle faisait partie de ces inconditionnelles romantiques. C’était peut-être un peu des trois. Mais elle repoussait toujours les limites. Et elle en était arrivée au point où elle acceptait de fréquenter Andersen. Elle savait pourtant, elle se devait de le savoir car ça concernait Alban et que si elle ne savait pas ça elle ne méritait pas d’appartenir à son dortoir, elle savait qu’Alban et Andersen se détestaient. Qu’ils s’envoyaient piques sur piques. Qu’ils étaient ennemis. Elle le savait et pourtant, juste par égoïsme, juste pour sentir et apprécier la jalousie d’Alban, elle le côtoyait.

Elle savait que c’était pas bien. Elle se servait d’Andersen, mais étant donné qu’il se servait d’elle, elle n’avait pas tant de remords que ça, et surtout, elle blessait Alban. Elle attisait sans le savoir le dangereux feu de la vicieuse Jalousie. Elle n’aurait peut-être pas dût porter ce rose à lèvre. Elle n’aurait peut-être pas dût allonger ses cils d’un peu de mascara. Elle n’aurait pas dût porter ce short là. Elle aurait dût faire comme d’habitude.

Mais Max avait voulu jouer avec le feu. Et elle se brûlait.

D’abord était venue la surprise. La surprise qu’Alban agisse. Il ne l’avait jamais fait après tout. Il avait toujours pincé les lèvres et eut cet air désapprobateur. Il avait toujours été si doux. Elle avait toujours lut sa jalousie dans d’infimes indices que dans de grandes démonstrations. Mais elle était allée trop loin. Il s’était levé. Il avait saisit son poignet avec autant de force. Il avait eut l’air si menaçant. Si en colère.

Alors de la surprise, elle était passée à la peur. Peur d’Alban et de sa jalousie qu’elle affectionnait tant et qu’elle cherchait à provoquer. Peur du monstre en le Voltali qu’elle avait réveillé. Peur de ce qu’il allait lui faire. Mal aussi. Il le cachait assez bien mais derrière les chemises et l’air sérieux, Alban avait de la force et cette force se concentrait autour de son poignet droit. Et ses yeux. Ses yeux si vivants, si chauds, si réconfortants, ses yeux qu’elle aimait tant, ses yeux. Ils étaient si froids. Si glaciaux. Elle eut un frisson. De peur. De froid. Elle avait éveillé quelque chose qu’elle n’aurait pas dût. Elle s’était voulue joueuse. Elle avait perdu. Elle s’était tassée, penaude, faible. Comme si elle était dans l’erreur. Elle l’était quelque part. C’était bien elle qui déclenchait tout ça. Elle était impuissante face à sa colère. Elle avait envie de s’excuser. De s’aplatir. Qu’il arrête de la regarder comme ça. Elle voulait juste qu’il l’aime aussi fort qu’elle l’aimait.

Et après la peur vint la colère. Elle s’était sentit coupable. Elle s’était sentie mal. Elle avait été prête à tout pour qu’il arrête d’être aussi déçu. Puis ses mots avaient fusé. Il lui interdisait ? Par quel pouvoir ? Comment pensait-il avoir le droit de lui interdire quelque chose d’aussi trivial que d’aller voir quelqu’un. Elle chassa les quelques larmes qui étaient nées sous la peur d’un clignement des yeux avant de darder un regard ombrageux sur le jeune homme. Elle ne lui appartenait pas. Elle n’était pas son objet. Elle avait suffisamment souffert à cause de lui pour vouloir garder sa liberté. Elle …

Elle déglutit. C’était dur. C’était dur de détester et d’aimer quelqu’un aussi fort. C’était dur de ne pas savoir quoi dire. Elle tenta de récupérer son poignet et grimaça en constatant qu’il ne la lâchait pas. Elle aurait probablement dût garder la bouche fermée. Elle aurait dût ne pas envenimer la situation. Pourtant, avant qu’elle ne puisse le réaliser, elle parlait. Doucement, froidement.

- Pardon ? Tu m’interdis ? Et pourquoi aurais-tu le droit de m’interdire de faire quelque chose ? Je ne suis pas ta chose Alban. Si j’ai envie de faire quelque chose, je le fais. Surtout quelque chose d’aussi innocent que d’aller voir un ami pour l’aider dans ses devoirs. Si … c’est même pas comme si j’étais ta copine.

Prend tes responsabilités. Embrasse moi. Montre moi à quel point je compte pour toi.

Aime moi.

Elle était prête à l’accepter cette puissante et maladive jalousie. Elle était prête à l’accepter parce qu’elle aimait tous les Alban. Même cet Alban terrifiant. Parce qu’elle sentait, au fond, que c’était parce qu’il tenait à elle. Mais … elle ne voulait pas le laisser faire. Elle le voulait jaloux mais elle le voulait confiant. Elle voulait lui hurler qu’elle n’aimait que lui et que personne ne comptait et qu’il n’avait rien à craindre. Elle être prête à l’accepter. S’il prenait les devants. Qu’il officialisait la chose. Il était hors de question qu’un ami puisse la contrôler. Elle voulait rester libre. Elle était capable de concession. Mais elle voulait quelque chose d’équivalent en échange. Si elle ne pouvait pas voir Andersen, elle aurait le droit de lui interdire de voir quelqu’un. Elle voulait pas se soumettre. Elle voulait et ne voulait pas. Et c’était dur.

© BB Dragon



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Alban Abernaty
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L'ennemi dans la glace
Alban Abernaty & Max Arago

Il avait l’impression de s’automutiler avec ses propres paroles. Une sorte de douleur malsaine et acide. Les yeux froids, il regardait Maxine comme s’il aurait voulu la posséder. C’était probablement ça, ce sentiment. Il voulait qu’elle soit à elle. Pas à Andersen. Pas à n’importe qui d’autre, d’ailleurs. Il ne voulait la laisser à personne. Contrairement à Calliope, à qui il avait renoncé, Alban ne comptait pas arrêter de se battre pour Max. Pourtant, elle semblait vouloir le pousser vers la sortie. Avec ces yeux apeurés. Avec ces bras tremblants. Avec cette expression qui lui montrait qu’elle avait peur de lui. Bon sang. Il ne voulait pas de tout ça. Mais la bête à l’intérieur de lui l’empêchait de faire marche arrière. L’empêchait d’être raisonnable et raisonné. L’empêchait d’être Alban, le garçon doux et gentil qui n’aurait jamais fait de mal à personne. Mais c’était indéniable ; avec sa main verrouillée autour de celle de Maxine, le message semblait être clair. Tu es à moi. Le genre de pensée qu’il ne serait jamais permis d’avoir. Le genre de pensée qu’il n’aurait jamais eu pour quelqu’un d’autre qu’elle. Etait-ce un mal que de vouloir qu’elle soit juste pour lui ? Probablement était-il trop étouffant. Probablement était-il bien trop insistant. Il voulait la garder égoïstement. Être le seul à bénéficier de ses sourires. Lui couper les ailes et lui ôter sa liberté, puisqu’il voulait que ce soit lui, son monde. La seule personne qui compte.

Comme un oiseau qu’on enferme dans une cage pour son plaisir égoïste et sadique, Alban avait envie d’elle. C’était son oiseau. Celui qu’il ne voulait pas partager.

Mais celui qui voulait s’échapper.

Envolé, le petit oiseau. Maxine avait crocheté sa cage, car elle ne voulait pas être à lui. Elle darda un regard furibond vers lui, après avoir essayé de se défaire de son emprise. Néanmoins, Alban ne relâcha pas la pression de son poignet. Il l’avait déjà lâchée une fois, ce qui avait conduit à leur froid du début d’été. Pas deux fois. Il ne la lâcherait plus.

Probablement agacée de son attitude néanmoins, Maxine commença à se défendre. Les mots claquèrent sur lui avec violence. Elle n’était pas sa chose. Il n’avait pas le droit de lui interdire quoi que ce soit. Et pire que tout ; elle n’était pas sa copine.

Il resserra ses doigts autour de son poignet par réflexe. Son intention première n’avait jamais été de lui faire mal, mais il était furieux. Inconscient de sa propre force et de la douleur qu’il devait lui infliger, le châtain fronça les sourcils. Il sentait la colère gronder en lui comme une tempête. Non, il n’était pas son petit copain. Et non, ils n’entretenaient pas une relation amoureuse qui aurait pu justifier un tel excès de jalousie. Mais bordel. Il la voulait tellement que c’en était douloureux. Elle n’avait pas le droit… Pas le droit de lui dire des choses aussi rudes. Pas le droit de lui balancer au visage qu’il n’était rien, rien du tout pour elle. Certes, il n’avait pas su saisir sa chance lorsque celle-ci s’était présentée. Certes, il avait toujours été maladroit vis-à-vis d’elle. Mais cela ne voulait pas dire qu’elle devait le rejeter de cette façon. Pas après tout ce qu’ils avaient vécu. Pas après ce semblant d’amitié qu’ils avaient, et à laquelle il croyait. Non. Hors de question.

- Quelque chose d’innocent ? Quelque chose d’innocent, Maxine ? répéta-t-il avec incrédulité.

Le volume de sa voix était beaucoup trop fort. Son ton, beaucoup trop brusque et méchant. Mais peu lui importait. Elle n’avait pas le droit de lui foutre une claque pareille. Elle n’avait pas le droit d’être aussi… insensible, envers lui.

- Parce que tu crois que c’est quelque chose d’innocent pour lui, vos petites « séances d’étude » ? Laisse-moi rire. T’es carrément aveugle ou tu le fais exprès ? C’est pas possible d’être aussi stupide. Ou peut-être que ça te plaît, de flirter avec cet abruti. Tu sais quoi ? Il n’en a absolument rien à faire de toi. Il cherche juste à me foutre en rogne, et grande nouvelle : bingo, c’est très réussi.

Mais qu’est-ce qu’il racontait ? Qu’est-ce qu’il était en train de faire ? Trop tard pour faire marche arrière. Lâchant brusquement le poignet de Maxine, il plaqua les paumes de ses mains contre le mur, emprisonnant la rosée entre ses deux bras tendus.

- Alors effectivement, tu n’es pas ma chose. Effectivement, je n’ai pas le droit de t’interdire quoi que ce soit. Mais tant que tu continueras de le voir, garde-bien en tête que tu peux clairement faire une croix sur moi, et sur tout ce que ça implique.

Et voilà… Voilà qu’il avait atteint le point de non-retour. Furieux, il se recula et se dirigea vers la porte. Il avait cette envie puérile de l’atteindre avant Maxine. Comme un gamin à qui on refuse quelque chose, il voulait quitter la pièce en claquant la porte derrière lui. Insensible aux larmes qu’il voyait pourtant au coin des yeux de la jeune fille, il détourna la tête et abaissa la poignée avec une violence qui ne lui était pas habituelle.

- Toute façon j’en ai plus rien à faire de toi. T’as qu’à sortir avec qui tu veux, et même Andersen si ça te chante. Tu te souviendras peut-être juste, quand il t’aura jetée comme un objet défectueux, que je t’avais prévenue. Et à ce moment-là, ce sera trop tard pour revenir vers moi en pleurant.

Puis, il ouvrit à la volée la porte de leur hutte, et s’engouffra à l’extérieur. Laissant ensuite Maxine derrière lui, il claqua la porte et prit la fuite.

Son cœur tambourinait dans sa poitrine. Son âme lui était douloureuse. Il ne réalisait toujours pas ce qu’il venait de faire. Et pire, tout ce qu’il venait de dire. Mais c’était fini. Il était allé bien trop loin. Il s’était laissé consumer par sa jalousie. Et à présent, sûrement le détestait-elle. Mais ça lui était égal. Il n’avait plus envie de s’en préoccuper. Il avait envie de faire une croix sur elle, aussi brusquement qu’elle lui avait claqué la vérité au nez. Il s’arrêta de courir à l’ombre d’un palmier, et s’écroula sur le sol à genou. Qu’avait-il fait… Qu’avait-il fait ?

Il réalisait à peine l’ampleur de cette dernière dispute qu’il venait d’avoir avec Maxine. Il réalisait à peine à quel point il s’était montré détestable. Et pourtant, des vagues de culpabilité l’inondaient. Il prit sa tête entre ses mains et eut une crise de larmes. Secoué de tremblements, il saisit ses cheveux par touffes, comme s’il avait voulu se les arracher. Mais la douleur n’était rien face à ce qu’il ressentait. Il l’avait perdue. C’était sûr et certain. Jamais plus elle ne lui pardonnerait. Jamais plus ils ne riraient ensemble.

C’était fini. Juste… fini.

HRP : RP Terminé pour Alban
Max Arago
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L'ennemi dans la glace

Avec alban abernaty

Il était bizarre ce conte de fée. Il ne ressemblait à rien de ce que Max avait lut. Jamais la princesse ne se rebellait. Jamais la princesse n’était amoureuse du dragon qui la gardait enfermée. Jamais la princesse n’était confrontée à ce terrible dilemme. Jamais la princesse ne se retrouvait prisonnière entre son cœur et sa raison. Parce que Xerneas savait à quel point elle avait envie de s’aplatir pour lui, à quel point elle voulait lui plaire et tout ce qu’elle pensait faire pour y arriver, mais en même temps, Max ne voulait juste pas devenir une petite chose fragile pour les beaux yeux d’un garçon. C’était hors de question. Et les mots qu’elle prononça la blessèrent autant qu’ils blessèrent Alban.

Tu vas trop loin Max. Tu en as conscience.

Joli duo d’imbéciles. Elle l’aime mais elle ne dit rien. Elle l’aime et elle joue. Stupide Max. Elle s’étonnait de le voir s’enflammer alors que c’était ce qu’elle cherchait à faire. Elle s’étonnait de le voir s’énerver alors qu’elle n’attendait que ça. Elle avait voulu le voir jaloux, elle était servie. Cette situation horrible dans laquelle elle était, avait été formée par elle. C’était sa faute. C’était sa faute si ses yeux la glaçaient, c’était sa faute si elle lisait cette fureur noire dans les prunelles d’Alban. Elle avait réveillé le monstre de jalousie qui sommeillait dans le garçon qu’elle aimait et elle était morte de peur.

Elle était sotte. Elle jouait. Elle perdait. Elle payait.

C’était logique, c’était normal. Elle aurait dû s’y attendre. Elle déglutit légèrement après sa légère perte de contrôle. Elle était peut-être stupide mais il lui restait un minimum d’instinct de survie. Elle savait pertinemment qu’elle était allée trop loin.  Elle s’en voulait et en même temps, elle ne s’en voulait pas. C’était compliqué. C’était oui et non. Je t’aime, je te déteste. Elle voulait déclencher un déclic. Qu’il l’embrasse. Qu’il lui dise qu’il ne voyait qu’elle. Qu’enfin, ce jeu cesse. C’était stupide, elle aurait dû prendre son courage à deux mains et faire le premier pas. Mais elle avait l’impression d’être tellement transparente et elle avait tellement peur.

Tellement peur qu’il ne l’aime pas autant qu’elle. Tellement peur qu’il la rejette.

Elle avait mal. Mal à son poignet qu’il serrait si fort. Mal à son cœur alors qu’ils s’éloignaient à nouveau. Ils s’étaient frôlés et ils se séparaient, sans jamais oser s’effleurer. Toujours, toujours séparés par ce centimètre. Toujours et incapables de franchir la limite. Les doutes et les peurs. Les incompréhensions et les quiproquo. Depuis le début, ça avait toujours été ça entre eux.

Mais juste. Je t’aime. Je t’aime tellement fort Alban. Pourquoi ne le vois-tu pas ? Pourquoi tu ne comprends pas que je t’aime et que je ne vois que toi et que je ne pense qu’à toi. Aime moi. Embrasse moi. Enlace moi.

Et les mots qui claquent encore, et son regard qui fuit. Et elle savait. Xerneas qu’elle savait. Elle savait qu’elle poussait un peu trop. Elle était allée trop loin. Elle savait qu’elle méritait les mots durs d’Alban. Elle savait qu’elles étaient les intentions d’Andersen. Elle jouait avec ça. Elle jouait avec ça depuis le début parce qu’elle voulait être sans cesse dans l’esprit d’Alban. Elle était stupide. Et même Alban le savait. Elle gâchait tout.

Elle avait peur. Peur que ce soit le grand final. Le grand final qu’elle redoutait. Le moment où Alban réaliserait à quel point elle ne le méritait pas. Les mots d’Alban la terrorisaient. Elle était bien loin la Max qui voulait se rebeller. La pression sur son poignet, l’acide de ses paroles, elle avait peur. Elle avait envie de hurler et elle se taisait. Elle subissait incapable de riposter. Elle avait toujours été lâche et c’était probablement mieux quand on voyait où la menait ses rares excès de colère. S’il savait, si elle osait. Elle voulait lui dire tant de choses et elle se taisait. Petite chose effrayée. Bien sur que oui elle savait. Bien sur que oui elle savait que c’était pas si innocent. Mais elle voulait juste qu’il …

Son poignet se retrouva libre et pendant un instant, elle pensa que c’était finit. Qu’il avait finit avec elle, qu’il allait l’abandonner comme on abandonne un chiot qui a trop grandit. Mais c’était trop simple, la colère qui avait prit Alban n’était pas prête de se taire et si son poignet était à nouveau libre, c’était tout son corps qui se retrouvait enfermé. Derrière, le mur, devant, Alban et sur les cotés ses bras. Elle était prise au piège. Cage aux barreaux d’or. Cage qu’elle n’était plus si sûre de vouloir quitter. Elle l’aimait tellement fort. Ses bras ne devaient pas être aussi éloignés d’elle. Ses bras devaient se poser sur ses hanches. Ses yeux devaient être chaleureux et réconfortants. Ses mots tendres et doux. Ses lèvres sur les siennes.

Elle avait envie de lui crier dessus. Elle voulait juste, égoïstement, qu’il ne pense qu’à elle, qu’il ne regarde qu’elle. Elle le voulait. Tout entier. Tout à elle. Rien qu’à elle. Elle avait envie de hurler. Qu’est ce que ça impliquait ? Elle pensait avoir été assez claire, elle voulait juste qu’il lui hurle qu’il l’aime. Elle pensait lui avoir suffisamment montré à quel point elle l’aimait. Mais il n’agissait pas alors elle avait été plus loin. Toujours plus loin, jusqu’à ce qu’il agisse. Elle ne voulait pas de toute cette situation, elle cherchait juste à le faire réagir, le faire réagir suffisamment pour qu’enfin, les sous-entendus cessent et que tout devienne réel. Qu’au lieu de sa joue, Alban embrasse ses lèvres. Elle voulait tellement fort. Ça lui faisait tellement peur.

« De toute façon, j’en ai plus rien à faire de toi. »

Un hoquet surprit s’échappa. C’était comme ça alors ? Une crise de jalousie et tout était finit ? Elle avait envie de le frapper. Elle ne voyait pas comment le blesser autant que ce qu’il la blessait. Pourquoi l’aimait-elle ? Pourquoi s’accrochait-elle alors qu’elle avait de plus en plus mal ? Elle espérait et il brisait ses espoirs. Encore une fois. Combien de fois encore lui faudrait-il avait qu’elle ne comprenne ? Elle n’était qu’une imbécile.

Elle n’essaya même pas de le retenir. Elle se sentait tellement stupide avec ses cheveux bien coiffés et ses lèvres rosées. Elle se sentait stupide. Tous ses efforts n’avaient servis à rien. Elle s’y était mal prise, elle n’était qu’une sotte gamine qui croyait être plus forte que l’amour. Elle avait voulut jouer, et maintenant, le dos appuyé contre le mur, les joues couvertes de larmes, elle payait le prix de la défaite.

Elle avait mal. C’était finit. Max avait été trop loin. Elle le savait. Elle l’avait sut à l’instant où les mots avaient franchis la barrière de ses lèvres. Elle était stupide. C’était sa faute, sa faute.

Elle leva les yeux vers Apa qui venait de la rejoindre. Elle était incapable de dire quoi que ce soit, effondrée sur le sol, les yeux pleins de larmes.

C’était juste finit. Over. Le rideau se ferme.

Le conte finit mal. La princesse a trahit le dragon. Le dragon la laisse dans sa tour d’or, à la merci de n’importe quel chevalier. Et pourtant la princesse ne veut qu’une seule chose, le baiser du dragon, l’amour du dragon. Et la princesse est bien stupide, parce que la princesse est novice en amour, la princesse fait des erreurs impardonnables, la princesse va trop loin et son bien-aimé dragon s’enflamme et la libère de la pire des façons.

Alors tu es là Max, masse de pleurs et de larmes. Alors tu es là et tu ne peux rien faire d’autre que pleurer et regretter. C’est en faisant qu’on apprend, c’est ce qu’on dit souvent, mais là tu te dis que quand même, on aurait put te prévenir que l’amour ça faisait aussi mal.

Elle voulait juste l'oublier.

© BB Dragon



Rp terminé pour Max.


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