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année 11, semestre 2
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Bienvenue sur Leiar ! Une île hébergeant la Pokémon Community, campus universitaire accueillant de tous les profils, humains comme Pokémon. Élève ou adulte, vous vivrez au jour le jour une vie trépidante au sein du campus, votre quotidien ponctué de mille et unes folles histoires typiques de la Pokémon Community. Cette île couverte de cristaux vous réserve quelques surprises, tout ça entre deux cours ou mission pour devenir le meilleur dans vos spécialités respectives ! En savoir plus ?
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Alex J. Lovell
https://pokemoncommunity.forumactif.org/t3913-0283-alex-j-lovell-how-can-you-expect-to-be-taken-seriously-givrali
https://pokemoncommunity.forumactif.org/t3917-alex-j-lovell-givrali-uc
Icon : devotion. (solo) TkMjVtj
Taille de l'équipe : 8/15
Région d'origine : Kanto
Âge : 19 ans
Niveau : 29
Jetons : 765
Points d'Expériences : 598
devotion. (solo) TkMjVtj
8/15
Kanto
19 ans
29
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pokemon
devotion. (solo) TkMjVtj
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Alex J. Lovell
est un Adulte Comportementaliste Pokémon
Toi.

Toi, qui n'as toujours vécu que dans ton intériorité.
Toi, qui ne te définissais que par toi-même.
Toi, l'identité propre et individisible.
Toi, seul et égoïste.

Toi, cellule coupée du monde,
tu as vécu l'inexistence.




Tu avais grandi dans une solitude satisfaite. De ton enveloppe protectrice, tu observais le monde extérieur dont rien ne t'atteignait, pleinement content de ne vivre que pour et par toi-même. Tu n'avais besoin de rien ni personne, et tout ce qui n'était pas toi n'était que distractions distantes à tes yeux.

Et voilà pourtant plusieurs mois que ton monde, réduit à ce petit environnement familier à l'intérieur de ta prison sphérique, avait perdu toute saveur. Quand avais-tu perdu tout intérêt pour toi-même ? Étendu ton univers au sien ? Commencé à la regarder comme si ta vie dépendait des battements de son coeur ?

Tu ne sais pas vraiment.
Mais dans ton triste exil, tu avais tout le loisir d'y songer.




Tout commence par de la curiosité.

Tu te souviens, sur cette petite île désaffectée où tu vivais sans te poser de questions, le jour où elle est venue sans crier gare, perturber la monotonie de tes jours. Tu ne rencontrais pas souvent de telles contrariétés dans ton paysage mental. Elle s'était imposée dans ton espace sans même le savoir, instable, bouleversée, et pleine de contradictions. Elle t'avait aussitôt flanqué un mal de crâne. Et tu l'avais maudite, furibond, prêt à la faire détaler.

En y repensant, derrière les excuses que tu te donnais, probablement avait-elle déjà piqué ta curiosité. Elle te laissait deviner tant d'émotions, comme une tempête contre laquelle elle luttait en vain. Et c'était la futilité de son combat - contre toi, contre elle-même - qui t'avait captivé. Qui t'avait fait rendre les armes dans la petite pokéball. Tu voulais comprendre.

C'est ainsi qu'elle t'avait emporté loin de ton île, et peu à peu intégré à sa vie. Tu t'étais imposé à elle comme elle s'était imposée à toi, t'immisçant dans son esprit, sans manières, sans détour, tout pour te rendre impossible à oublier ; la provoquer, l'exposer. Et plus tu la découvrais ainsi, plus c'est elle qui te restait inexplicablement en tête.  Elle t'agaçait, tu ne comprenais pas. Mais petit à petit, sans le vouloir, tu t'étais mis à la trouver touchante. Attachiante, comme tu avais entendu les humains le dire.




C'est ce jour de décembre, où votre route avait croisé celle de la neitram, que tu t'en étais finalement rendu compte.

Quand un autre être que toi avait voulu s'infiltrer dans son esprit, et que tu avais découvert la jalousie. Quand tu l'avais vue souffrir, vraiment, pour la première fois, et que tu avais tremblé de colère. Quand, sans même le réaliser, tu t'étais déjà interposé, prêt à tout pour sa défense. Prêt à détruire et à briser quiconque oserait s'en prendre à elle. Tu ignores ce que tu aurais fini par faire si elle ne t'avait pas arrêté, mûe par une force qui te dépassait. (Elle qui était pourtant si fragile.) Pour la première fois, tu avais découvert cette tempête d'émotions puissantes et confuses si caractéristique des humains, et tu t'étais senti submergé. Pour elle. Pour la première fois, tu t'étais mis à exister pour et par autre que toi.

Et ça t'avait terrifié.




Tu l'avais dans la peau - dans ta membrane, dans ton code génétique. Tu gravitais autour de son organisme. Tu t'oubliais, à trop vouloir la regarder. Il t'avait fallu quelques mois pour apprivoiser ces sentiments nouveaux. Quelques mois pendant lesquels tu l'avais laissée dans l'ignorance, froid et distant, désespérément silencieux, intimidé à l'idée de partager ainsi l'intimité de tes émotions. De te sentir à ton tour vulnérable, fragile et impuissant.

Mais elle s'était à nouveau mise en danger, et tu n'avais pu venir à son secours, cette fois-ci. Tu n'avais su que t'en remettre au Spectre - marquant ainsi le début d'une longue collaboration au service d'une cause commune. Il aurait donné sa vie pour elle, sans hésiter. Et ce jour-là, tu finis par admettre que ta fierté ne valait rien face aux regrets qui te hanteraient si tu venais à lui faire défaut.




Vous vous étiez peu à peu découverts, différemment. Sincèrement. Elle n'avait plus de secrets pour toi, et tu apprenais d'elle un peu plus chaque jour, partageant avec elle l'évolution de ton coeur. C'était devenu tellement naturel. Le lien qui vous unissait désormais était si fort, que tu en oubliais peu à peu ce que c'était que de vivre sans elle.

L'idée de la perdre te frappa de plein fouet, sans prévenir. Une vision d'avenir - vision d'horreur - qui vous avait glacé le sang. Un an et demi. C'était le temps durant lequel tu avais seul porté le fardeau de  ce secret. Ou presque - il y avait une humaine avec qui tu le partageais. Mais ni elle ni toi n'aviez la trempe de réecrire l'histoire. Un an et demi à cacher ton angoisse, à devenir paranoïaque, à défier le destin. Un an et demi d'anticipation, à comprendre que tu n'y pouvais rien.

Un an et demi pour mener à ce jour funeste.

L'Accident.
Tant redouté.
Que tu avais finalement manqué.




Tu avais été tellement bête. Tu avais vu ce qu'il se passait, la pente glissante sur laquelle elle s'aventurait. Ce besoin d'accomplissement, de reconnaissance, cette confiance débordante qu'elle revêtissait soudain, cette façon qu'elle avait de se pousser toujours plus loin, d'exiger d'elle-même, et d'en oublier la prudence. Mais tu la connaissais mieux que ça, pourtant. Tu aurais dû prévoir qu'elle ne t'écouterait pas. Qu'elle se braquerait à tes sermons. Qu'elle te laisserait sur la touche.

Une bête dispute, comme tant d'autres, et pourtant celle-ci fut fatale. Ta pokeball laissée sur le bureau, la porte de la chambre qui claque. Et puis ta dresseuse qui ne rentre pas ce soir-là. Ni le suivant. Ni celui d'après. Plusieurs jours qui passent, avant que l'on ne vienne te récupérer dans la chambre désertée pour t'amener à son chevet, à l'hôpital. Tu mets du temps à comprendre, ton esprit inquiet élabore mille théories mais tu refuses d'y croire. Jusqu'à ce que tu perçoives la présence de son esprit affaibli, depuis le couloir, depuis l'intérieur de ta pokéball. Jamais encore tu ne l'avais connue comme ça. Le choc sembla te priver d'air, suffoquant, tu laissais les images s'engouffrer das ton esprit, en te recroquevillant, gémissant. La grotte, le florizarre, le smogogo, la douleur et puis le noir, le noir de l'inconscience et de de la mort. Le sougfle de vie qui revient, dans la chambre pâle, et la douleur qui se réveille, qui brûle, qui lacère. Les bandages qui lui font peu à peu prendre conscience des conséquences. Puis l'annonce. Les séquelles du florizarre. La mort du smogogo.

Et pire encore que les souvenirs de l'accident, les pensées de la survivante.

Tu découvres tout d'un coup, et quand on te laisse à son chevet, toujours dans ta cellule métallique, tu es anéanti. Tu aurais dû l'éviter. Tu aurais au moins dû y être. Le monde extérieur est flou pour toi, mais tu le perçois tout de même, et tu sens sa conscience se pencher sur toi, son regard se tourner vers toi. Tu te remémores, plus que tu ne le vois, son oeil unique qui te regarde. (Tu te glaces en repérant la Faucheuse, à ses côtés, et la rage te dévore l'âme.) Au milieu de la tempête, tu comprends qu'elle pense à toi. Désolée. T'avais raison. Puis son esprit se tait, et tu sens votre lien qui se brise. Tu comprends que tu l'as perdue, et qu'elle vient de te dire au revoir.

Elle est peut-être en vie.
Mais celle que tu connaissais et chérissais ne sera plus jamais la même après cela.

Et, seul, tu te lamentes. Parce que tu sais que tu n'y pourras rien. Que tu ne peux que te taire et espérer.

Espérer qu'elle finisse, un jour,
par revenir vers toi.




Voici l'histoire de ton éveil au monde. L'histoire de ton amour. L'histoire qui raconte comment, après avoir appris à vivre pour elle, tu as un jour cessé d'exister.

Plusieurs mois sont passés depuis.
Presque huit.

Et tu es toujours dans ta pokéball.

On dit qu'un pokémon y est en sécurité, dans un environnement confortable et familier, et qu'il peut vivre ainsi plusieurs années. Mais rien ne t'est plus confortable ni familier sans elle. Rapidement, tu t'es retrouvé dans un sac, dérobé à sa vue. Tu essayais de suivre ce que tu pouvais de son monde, tant bien que mal. D'écouter les médecins qui apportaient des nouvelles, de sentir ce qu'elle ressentait. Mais tu n'avais que des morceaux éparpillés, difficiles à recoller. Et l'esprit de ta dresseuse demeurait inaccessible.

Enfin, elle a quitté l'hôpital, et toi avec. Du sac, tu es passé au tiroir. Puis d'un tiroir à un autre. Et encore un autre. L'attente a commencé. Dans l'oscurité et le silence, de retour dans ton isolement, désormais ton châtiment. Tu comprenais, tu savais que ça se passerait ainsi, tu l'avais compris à l'hôpital. Tu percevais ses autres pokéballs aux côtés de la tienne. Elle vous avait mis de côté, le temps de prendre une décision. Elle ne pouvait vous faire face. Pas après ce qu'elle avait vécu. Pas après ce qu'elle vous avait fait. Alors tu attendais. Tu te faisais patience et pardon. Tu comptais les jours qui passaient, jusqu'à perdre le compte - et inexorablement, tu l'attendais.

Un jour, le tiroir s'est ouvert, et une pokéball en est sortie. Une seule. Tu peinais à percevoir la présence des autres, derrière vos parois métalliques ; alors tu as réfléchi. Elle devait avoir choisi le nidoran. Tu savais que le fantominus et toi, trop personnels, trop proches, représentaient un challenge particulier, que vous ne sortiriez pas de si tôt. Ni le florizarre, bien évidemment. La kangourex, dont elle se sentait si responsable, serait probablement difficile à regarder en face. Elle ne pouvait se montrer vulnérable face au venipatte. Le ludicolo ne comprebdrait rien. Le nidoran, calme et mature, était le choix évident. Et tu savais que ça se passerait bien. Tu étais rassuré.

Pendant quelques temps, le tiroir s'est ouvert et refermé, les pokéballs sortaient et revenaient. Tu ne savais pas toujours lesquelles, mais tu savais que ça tournait un peu. Tu attendais patiemment, cherchant à deviner où elle est était, comment ça pouvait bien se passer. Tu n'avais rien d'autre à faire que de réfléchir.

Mais ton tour n'est pas venu.

Un jour, le tiroir s'est vidé. Toutes les autres pokéballs sont parties. Mais pas toi. Te laissant seul affronter le retour des ténèbres.

Il ne s'est plus rouvert depuis, et tu ne comprends pas. Malgré toi, tu te demandes, et tu t'indignes. Qu'as-tu fait ? Tu ne pouvais faire taire l'espoir, malgré tes efforts de patience. Tu avais attendu si vaillamment. Tu n'avais cessé de penser à elle. Avait-elle peur de ton jugement ? De tes remarques désobligeantes, moralisatrices ? Ne lui avais-tu finalement jamais fait comprendre qu'elle était tout ce qui comptait, envers et malgré tout ? Avait-elle peur de s'exposer ? Se mentait-elle à elle-même ? Avait-elle peur que tu lui rappelles de mauvais souvenirs ? Cherchait-elle à oublier, encore une fois ?

Non.

L'idée se fraie un chemin parmi les autres, et tu sens le poids de la fatalité s'abattre une nouvelle fois sur tes craintes.

Si elle a découvert que tu lui as menti.
Il y a bien une personne capable de lui dire.
Une personne qui ne pouvait probablement pas faire face à votre échec sans avouer.
Idalienor.




Le temps passe (et Dialga aussi). Tu ne comptes plus, tu as perdu le fil des heures, sans parler des jours. Tu tombes à court de questions à te poser.

Et alors, un jour, le tiroir s'ouvre une dernière fois, et tu te retrouves ramené à la lumière. Tu regardes, ébloui, et finis par discerner la silhouette de ta dresseuse, qui fixe la pokéball. Elle inspire, et dans un bruit de détonation, tu te sens happé.

Tu es libre à nouveau.
Avec ta dresseuse, là, devant toi.

Tu la contemples avec admiration, la détaille de tes yeux avides, scrupuleusement, comme pour rattraper ces derniers mois, repréciser son image qui s'affaiblissait dans ton esprit, apaiser tes inquiétudes. Elle a l'air plutôt bien. Elle est belle. Elle est forte.

Tu soupires de soulagement. Te voilà rassuré. Prêt à affronter ton sort. Tu croises son regard endurci, presque froid, braqué sur toi. Tu sens qu'elle s'est armée de détermination face à toi, et ton coeur souffre. Mais tu te dis que ce n'est rien comparé à ce qu'elle a dû affronter. Son esprit se dérobe à toi, et tu n'insistes pas.

Un silence pèse entre vous pendant quelques secondes qui paraissent des heures. Et tu t'aventures enfin à regarder le cache oeil. Tu la sens qui se crispe.

Il se passe alors un évènement inédit. Car pour la première fois, de soulagement et de culpabilité mêlés, ton rictus se tord et se déforme. Tu voudrais parler comme le font les humains, pouvoir exprimer tout ce qui te martèle l'âme, pouvoir l'expulser de ton être, et le porter à ses oreilles. Tu réalises pour la première fois, alors qu'elle te le refuse en rejetant ce lien mental que tu avais fini par prendre pour acquis, ce besoin vital de communication. Tu te sens perdu, face au mal être qu'elle ne sait comment formuler, face au mal être que tu ne sais comment exprimer.

Et des larmes, lourdes et sincères, se bousculent soudain au bord de tes yeux, pour venir se noyer dans ton gel protecteur.

Tu ne te savais pas capable de pleurer.

Et il faut croire qu'elle non plus.
Car, désemparée, c'est son tour de laisser tomber le masque.

Et de se mettre à pleurer avec toi.




Vous avez oublié les rancoeurs, les doutes, les milliers de questions pendues à vos lèvres. Il n'y a que les retrouvailles, comme si vous veniez de récuperer une part de vous-mêmes, perdue depuis trop longtemps. Sans remparts entre vos coeurs, vous aurez tout le loisir de discuter plus tard. Au fond, vous le saviez déjà : c'était enfin terminé.


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