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« Le truc, avec la perfection, c’est que ça n’existe pas. »
« Plaisir partagé ! J’ai également hâte qu’on travaille ensemble sur un nouveau sujet d’étude ! Attends, quoi ?? »
« Moi Apsu, fils du grand Bahamut, Héritier du dragon créateur, Futur souverains des Carchacrok de l'ancien Hisui, avatar de la Sainte baie Nanana, sauveur légendaire d'oeuf draconique, et libérateur des opprimés de la prison de cristal, je ne laisserai personne faire du mal à l’humaine qui m’aidera à monter aux sommets. »
parApsu
« Je ne suis pas toi. Je ne suis pas fainéante au point de ne pas vouloir faire d’effort. Je ne suis pas de mauvaise foi au point de refuser changer. Et je ne pense pas qu’abandonner quelqu’un soit une solution à ses problèmes. »
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année 11, semestre 2
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Bienvenue sur Leiar ! Une île hébergeant la Pokémon Community, campus universitaire accueillant de tous les profils, humains comme Pokémon. Élève ou adulte, vous vivrez au jour le jour une vie trépidante au sein du campus, votre quotidien ponctué de mille et unes folles histoires typiques de la Pokémon Community. Cette île couverte de cristaux vous réserve quelques surprises, tout ça entre deux cours ou mission pour devenir le meilleur dans vos spécialités respectives ! En savoir plus ?
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Caim Amaryo
Région d'origine : Alola
Âge : 18
Niveau : 0
Jetons : 2
Points d'Expériences : 3
Alola
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pokemon
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Caim Amaryo
est un Nouveau Membre
Caim Amaryo
NOM. Amaryo
PRÉNOM. Caim
ÂGE. 18 ans
RÉGION D'ORIGINE. Alola
AMBITIONS FUTURES. Etre avec Nate.
ÉVOLUTION ENVISAGÉE Quand Caim sort de prison, il n'a aucun projet d'avenir en tête. Pendant toute la durée de sa peine, il ne s'est même pas interrogé sur cette question aussi futile. La seule chose qu'il veut, c'est retrouver Nate. Après être arrivé sur l'île, il comprend néanmoins qu'il va devoir trouver un travail pour vivre comme il l'entend. Il cherche un poste dans lequel il n'aurait pas besoin de mettre trop d'efforts mais où il pourrait contrôler tout et surtout la vie de Nate. Au début, il a tenté de rentrer dans la police, mais à cause de son casier judiciaire, ils ont refusé. Ainsi, après avoir pas mal vagabondé entre des boulots sans importance, il finit par comprendre que la police doit obéir à l'Etat et que travailler pour l'Etat, ça s'est pas compliqué. Donc il rentre à la mairie.

GRADE 0. Vagabond. Je vous l'ai dit, Caim a rejoint Adala avec rien d'autre qu'un sac sur le dos, et avec aucun autre objectif que revoir Nate. Donc les premiers temps, il se contente de profiter de la crédulité et de la gentillesse des locaux, qu'il manipulera un peu pour avoir un logis et le couvert. C'est bien pratique d'avoir des serviteurs.
GRADE 1. Barman/Ouvrier de batiment. Alors ça dépend de ce qu'il trouve comme boulot. Parce qu'à force il en a marre de devoir partager ses jours avec des serviteurs, et comme il n'arrive pas à trouver une personne assez riche et crédule pour lui donner un appartement sans aucune contrepartie, il doit travailler. Il s'en fiche un peu au fond. Il a de l'expérience dans un peu près tous les jobs classiques mais il préfére travailler dans un bar ou dans un chantier pas trop loin de l'académie.  
GRADE 2. Employé municipal. Un jour, c'est la réalisation. Il y a un meilleur moyen qu'entrer dans la police pour être avec Nate. Les politiques ont l'autorité sur sur la police, les policiers doivent obéir au maire et à l'Etat. Il précipite le départ en retraite d'un employé et prend sa place.
GRADE 3. Chargé des bonnes relations entre l'académie et la mairie. Il n'allait pas rester longtemps à faire des tâches administratives. A la première occasion, il monte en grade. Pour ce poste me diriez-vous ? Je suis d'accord avec vous, tout l'intitulé respire le rose bonbon et les après midi horriblement longues avec des gosses idiots. Mais Nate était encore à l'académie et Caim avait commencé à se faire repérer par le gardien, il avait besoin d'un nouveau laissez-passez. Ce job ferait l'affaire.
GRADE 4. Chargé de la sécurité d'Adala. Comme ça ce poste n'existe pas ? Comme ça vous vous attendiez à maire ? Non, Caim n'allait pas s'entrainer dans un processus aussi ennuyeux et inutile que des élections. Il a fait mieux. Il s'est crée un poste. Vous pensiez que l'île n'en avait pas besoin ? Vous avez tort. L'ile n'en avait peut être pas besoin avant.. mais maintenant qu'il l'a voulu oui. Comment cette transformation ? Croyez-moi vous ne voulez pas savoir.
GRADE 5 & 6. Chargé de la sécurité de ?. Tout dépendra de Nate. En effet, il se passera bien des années avant que Caim arrive à ce choix professionnel et si Nate décide de partir de l'île, Caim n'allait pas rester pourrir seul sur cette île. Où que Nate aille, il ira. Et il pourra aller partout, pendant toutes ces années il aura travailler ses contacts et inflitrer un peu près tous les départements de tous les gouvernements du monde pokemon. Et oui, il peut être prévoyant quand il veut. Et puis si Nate décide de rester, alors Caim restera. Après tout, ici, il a déjà toutes les choses et personnes nécessaires sous contrôle.
Description

- C’est aujourd’hui qu’il sort non ?

Pour toute réponse, l’homme se contenta de grogner et de tourner la page de son journal.

- Je l’ai lu dans son dossier, continua l’interlocuteur, c’est impressionnant qu’il n’en ait pris que pour un an, il n’y a pas à dire la justice des mineurs ça sert. Et son avocat ! J’ai halluciné quand j’ai vu le nom, que faisait un ténor du barreau à défendre ce petit délinquant alors qu’il n’est même pas de l’île ?

- Tu as fini oui ou non ? finit par s’énerver l’homme.

Il baissa le journal. Il le replia et le posa sur son bureau.

- George, commença-t-il, je suis sincèrement en train de me demander qu’est-ce qui te fait croire que tu peux passer tes pauses dans le bureau de ton supérieur. Je ne vois que l’idiotie, mais éclaire moi.

Il fixait son subordonné. Ses yeux vert clair reflétaient son calme mais aussi sa force. George ne put s’empêcher de ressentir un frisson. Le commissaire était un homme qui avait de la prestance. Il se dégageait de lui une aura d’autorité naturelle qui avait intimidé et découragé de nombreux délinquants et criminels en herbe dès leur entrée dans son bureau. C’était ça qu’il allait devoir affronter s’il sortait du droit chemin ? A réflexion, pas de doute les cours sont moins effrayants. Les cheveux grisonnants du commissaire témoignaient de son âge pourtant ses épaules larges et robustes ne laissaient pas de doute sur sa forme physique. George savait qu’il ne tiendrait pas une seconde avant de finir à terre si le commissaire décidait de l’obliger à sortir du bureau. Mais après une année passée à ses côtés, George savait aussi que le commissaire ne désapprouvait pas réellement sa compagnie. Un peu d’animation joyeuse entre deux personnes qui vous insultent, cela faisait toujours du bien. Il ignora la question de son supérieur et commença à lire.

- L’enquête a prouvé que la victime avait reçu deux coups de scalpel dans les côtes. Il est resté par la suite plus de six mois à l’hôpital et devra vivre avec les conséquences de cet acte toute sa vie puisque un de ses reins a été endommagé blabla le suspect n’a pas montré de remords et n’a pas souhaité s’excuser auprès de la victime blabla les autres adolescents présents ont été rapidement mis hors de cause... ect. Je ne vais pas le lire en entier chef, je sais que vous le connaissez par cœur.

Le commissaire ne broncha pas. Il récupéra le dossier d’un geste sec.

- Tu n’es pas autorisé à fouiller dans les archives sans mon autorisation George. Mais tu le sais très bien. Alors viens-en au fait. Que veux-tu savoir ?

Un sourire éclaira le visage de George et le commissaire grogna. Ce jeune était un véritable exemple, il faisait mieux que n’importe qui son travail et en une année seulement, tout le commissariat l’adorait. Mais. Car il y a toujours un mais. Le commissaire était souvent mal à l’aise avec l’insistance que George avait sur ce dossier. Ce n’était pas la première fois qu’il s’y intéressait et il connaissait ce regard. Il ne saurait dire s’il faisait ça par intérêt ou par curiosité, mais chose sure c’était une obsession.

- Qui il était. Vous ne le savez peut-être pas mais il est devenu une légende urbaine dehors.

- J’ai une tête à connaitre des légendes ?

- Vous devez bien lire des histoires à votre petite fille non ?

Le commissaire hésita. Il voyait où cette conversation les menait. En temps normal, il y coupait court. Mais aujourd’hui… Il soupira.

- Après tout, cette histoire fait maintenant partie du passé. Allez suis-moi, je t’accompagne dans ta pause.

*

Le commissaire alluma une cigarette, inspira et commença à parler.

- Caim Amaryo. Appréhendé le 10 février 2018 suite à un appel d’un de ses amis à la police. Apparemment une bagarre de rue avait mal tourné. Elles étaient assez fréquentes à l’époque, ça ne m’a pas étonné. J’ai envoyé Hug et les deux autres. Et j’ai attendu. Ils sont revenus avec tout le gratin. Les jeunots de la Team Skull n’en menait pas large, il y a en a même un qui nous a fait une crise de panique. Le genre de petit con qui ne pense pas aux conséquences. Ce n’est pas une école ici, je les ai pris en premier et la suite tu la devines. Je crois qu’ils font encore des détours pour ne pas passer à côté du commissariat maintenant qu’ils sont rangés.

Un sourire de satisfaction ornait le visage du commissaire et George put constater qu’un homme qui avait su monter aussi haut depuis le bas de l’échelle n’allait surement pas se laisser attendrir par trois pequenots. Le visage du commissaire s’assombrit.

- Après, j’ai fait appeler Caim. J’ai dit aux autres de s’occuper du reste de la bande. Ce n’était pas la première fois qu’il rentrait dans mon bureau. Des conneries il en avait fait, et il ne se cachait pas spécialement. Mais c’était un gosse. Tu connais la procédure, on engueule jusqu’à ce qu’ils aillent pleurer dans les jupons de leur mère et après on ne s’en occupe plus. Avec lui, c’était différent. A chaque fois qu’il franchissait ma porte, il avait cet air blasé imprimé sur son visage. Ce que je lui disais coulait sur lui comme de l’eau de pluie et répartissait dans la foulée. C’était un enfant difficile, contexte familial compliqué, caractère compliqué…

Il s’arrêta quelques instants. Quand il reprit, son ton de voix avait viré vers le grave et il regardait George comme s’il ne le voyait pas.

- Pour être honnête, je n’arrête pas de répéter que c’était un enfant parce que j’aimerais bien y croire. Parce que dans deux ans, mon petit-fils atteindra l’âge qu’il avait quand il est rentré pour la première fois dans mon bureau et que j’ai envie d’y croire. Mais la vérité c’est que chaque fois que je le voyais, je voyais une bête. Rien qu’à le regarder c'était comme se retrouver face à une bête sauvage. Le type de bête que personne ne peut dompter. Parce que c'est entrainé pour être ce que c'est, comme un chien de combat est entrainé pour tuer. Alors non, pas vraiment une bête sauvage mais une bête incontrôlable qui te sautera à la gorge quand tu essaieras de l'approcher.

Il fit une pause, la cigarette vint lui bruler les bouts des doigts.

- Je reverrais toute ma vie son regard ce jour-là. Je crois que quand il est entré dans mon bureau, quelque chose a explosé, je sais pas il devait retenir ce qui venait d'arriver surement, ou il ne l'avait pas encore évacué complétement. Mais j'ai eu peur. Tu ne vas surement pas comprendre. Il avait juste 16 ans, il était grand d'1 mètre 75, j'en avais 52, je fais deux mètres. Il s'est avancé vers mon bureau, il n'avait rien dans les mains, mais il avait un tel regard. Ses yeux avaient virés au jaune. Il me fixait comme s'il pouvait me tuer avec un battement de cils. Il s'est avancé tellement proche que ses cheveux tombaient sur mes mains et je pouvais sentir son souffle.

Le commissaire s'arrêta.

- Et alors ? demanda George.

- Je lui ai dit de reculer. Il n'a pas réagi. J'ai repété et là il m'a entendu. Et c'est à ce moment-là où j'ai eu le plus peur. Juste devant moi, pendant une seconde, une courte seconde, j'ai eu l'impression de voir un adolescent. Un pauvre gosse qui vient de réaliser sa bêtise et qui regrette. Une seconde après, il s'est mis à sourire, il a reculé et il s'est assis.

- Je comprends pas, c'est normal, c'était un gosse. Qu'est-ce que vous a choqué chef ?

Le commissaire prit une pause avant de répondre.

- De savoir qu'un gamin était piégé dans ce corps justement.

Il écrasa sa dernière cigarette.

- La pause est finie George ! Au boulot.

George suivit le commissaire puis retourna à son bureau. Il prit le dossier papier qui y tronait. "Caim Amaryo, Sexe : masculin, Date de naissance...". Sur le coin droit en haut du dossier, une photo était collée. George mit ses lunettes et l'inspecta. Elle représentait une adolescent au teint halé et aux cheveux longs et bruns. Sur les pointes, ses cheveux prenaient une teinte orangée, rouge, mais George n'arriva pas à savoir si la coloration était naturelle. L'adolescent fixait l'objectif, son regard était intense. C'était le regard des gens sûr d'eux, commenta George pour lui-même. Cela lui correspondait bien, rien que sur la photo on pouvait deviner que Caim était le genre de personne qui attire les gens autour d'eux, un leader fier, jusqu'à l'excès. C'était les deux facettes d'une même médaille : leur force de caractère les rendait attirants mais elle causait aussi leur perte car personne ne peut être la seule étoile dans le ciel.
Je suis un poète, pensa George avant de refermer le dossier et le ranger dans un tiroir.

Histoire
La rue est vide. Pas une voiture ne passe, seul le vent anime les arbres. Un haut mur jaune longe le trottoir de droite tandis que celui de gauche côtoie un champ. Seule trace de passage, un arrêt de bus délabré fait face à la grande porte en fer incrustée dans le mur.

Surgissant du tournant, une moto arrive. Elle s’arrête à proximité de l’arrêt et le conducteur descend. La jeune femme enlève son casque et regarde l’heure. Il n’allait plus tarder. Elle s’appuya contre la moto et fixa la grande porte de fer. Elle sait qu’il ne serait pas heureux de la voir, elle. Et elle s’en fichait. Elle réfléchit quelques instants pourquoi elle était venue. Elle ne trouva aucune réponse satisfaisante et se contenta de repousser la question d’un geste de main.

Plus que quelques minutes. Elle alluma une cigarette. Elle savait ce qu’elle devait lui dire. Elle savait pourquoi.

Son téléphone indiqua dix heures. Elle jeta la cigarette dans le champ.

Une minute après, la porte en fer grinça et s’ouvrit. Un jeune homme brun au teint halé en sortit. Le gardien referma derrière lui sans rien dire. Caim regarda autour de lui puis s’avança dans sa direction. Son visage était neutre, comme elle s’y entendait, impossible de dire s’il était surpris de la voir, déçu, heureux ? Mais elle n’avait pas besoin de regarder. Elle le savait d’avance. Il s’attendait à quelqu’un d’autre, pas à elle.

Elle lui tendit le deuxième casque qu’elle avait emmené.

- Salut.

- Salut Tina, lui répondit-il.

Il semblait encore réfléchir à quel était le meilleur comportement à adopter. Pour l’instant, il s’était figé sur son sourire automatique. Elle reprit une cigarette.

- Je t’emmène à ton appartement puis au port. Nate n’est pas resté longtemps après ton départ, son père l’a inscrit à une académie de gens riches sur une île loin d’ici. Je t’ai pris un billet, le départ est dans deux heures.

Un de ses véritables sourires, ceux carnassiers, ceux qui ne signifiait pas qu’il était content, apparut sur le visage de Caim.

- Merci de t’en préoccuper chérie, à vrai dire je le savais, ce n’est pas la prison qui allait m’empêcher d’avoir des informateurs. Ceci dit je prends volontiers ton offre. Et tu le sais. Tu l’as rendue tellement alléchante que je ne peux pas refuser. Alors je suppose que tu as une raison de vouloir mon départ. Te connaissant sûrement pas pour toi, mais peut-être que tu obéis maintenant aux ordres de quelqu’un d’autre ?

Caim était maintenant plus qu’à quelque centimètre du visage, et la main qu’il avait posée sur son épaule la serrait un peu trop pour que ce soit amical. Tina ne réagit pas.

- Enfin, ça n’a pas d’importance, continua-t-il après avoir jeté un coup d’œil vers la caméra de surveillance qui les observait.

Il relâcha la pression et envoya le casque qu’elle lui avait donné mourir dans le champ.

- Passe-moi les clés.

Elle s’exécuta et monta rapidement derrière lui pour pas qu’il parte sans elle.

- Je suppose que tu n’as pas de questions à propos des autres ? demanda-t-elle alors que la moto filait vers la ville.

- Qui ?

- C’est bien ce que je pensais.

Tina se balança vers l’arrière de la moto. Pourquoi était-elle venue le chercher déjà ? Ce n’était pas pour éviter qu’il apprenne que le quartier était maintenant contrôlé par un ancien de sa bande qui n’avait aucune envie de le voir revenir. Ce n’était pas parce qu’elle l’appréciait. Non Caim était quelqu’un de détestable. Elle soupira et fixa le dos du garçon. Elle était plus attachée au passé qu’elle ne croyait finalement. Leur mère fera une syncope si elle la voyait. Elle qui croyait avoir réussi.

Après avoir grillé une douzaine de feux rouges, Caim s’arrêta devant un bâtiment délabré. Les noms sur les boites aux lettres indiquaient que malgré l’insalubrité apparente, l’immeuble était encore habité. Caim n'attendit pas Tania et monta au 4e étage. Là, deuxième porte du couloir, il ouvrit en grand mais ne trouva pas ce qu’il attendait.

Tina émergea de derrière lui et pénétra dans l’appartement.

- La vieille veut récupérer la chambre, je l’ai convaincue d’attendre que tu reviennes prendre tes affaires. Ca n’a pas été dur, elle tremblait encore à entendre ton nom. Mais merci de vraiment ficher le camp d’ici avant ce soir par contre, sinon c’est moi qui serait embêtée et je n’ai aucune envie d’avoir cette folle à dos.

Elle se retourna vers Caim, toujours sur le seuil.

- Je t’ai dit qu’il n’était pas là.

- La ferme. Tu m’énerves à être là.

Tina recula de quelques pas. La limite avait été atteinte plus rapidement que prévue.

- Passe-moi le ticket et dégage.

Une fois sortie de l’immeuble, Tina se fit la remarque que la prison avait enlevé quelques manières à Caim. Enfin, elle ne doutait pas qu’elles allaient finir par revenir. Le charisme et savoir se faire aimer étaient essentiels pour qu’ils vivent après tout. Elle repensa à la raison pour laquelle elle était allée le chercher. Premièrement, ça occupait sa journée. Deuxièmement, il lui faisait pitié. C’était surement la plus grande raison.

Caim était son frère. Son demi-frère pour être plus exact. Si elle savait qui il était, lui n’avait jamais su qui elle était. Pour lui, elle était un de ses pions sur lequel il n’était pas utile de passer trop t’attention. Ça ne l’avait jamais gêné. La seule raison pour laquelle elle le fréquentait c’est que vu qu’il n’y avait qu’un lycée et collège sur l’île, elle n’avait pas eu d’autre choix. Et la raison pour laquelle elle était venue le chercher aujourd’hui, de la faiblesse surement ? Elle se rappelait de temps à autres, Caim enfant, Caim enfant normal, qui avait des amis, qui jouait à des jeux stupides. Même si tout autour de lui n’était qu’un monde complétement tordu et cruel, il ne se rendait pas compte. Il ne s’en est jamais rendu compte. Mais il a été happé dans ces tourbillons noirs.

Ainsi Caim n’allait jamais raconter son histoire et même s’il le faisait, il n’en dirait que la moitié. Car le plus frappant dans la vie de Caim c’est qu’il n’a jamais eu l’occasion de comprendre ce qui lui arrivait.

Tina le savait. C’était une des rares. Pourquoi ? Parce que Tina avait la même mère de Caim et alors que celui-ci était trop jeune ou pas assez cynique pour réaliser ce que faisait leur mère, elle l’avait compris à partir de ses 7 ans. Elle se sentait d’ailleurs peut-être un peu coupable car c’est parce qu’elle s’est rendue compte que sa fille était comme elle que cette femme a pu l’abandonner complétement et surveiller de plus près Caim. L’histoire était simple. La femme avait eu deux enfants avec deux pères différents, deux hommes qu’elle avait pu trouver qui allaient s’occuper le moins bien possible des enfants, qui n’allaient pas les aimer. Avec le père de Tina, la mère fit une réussite totale, Tina ne se souvenait d’aucun moment passé avec lui, il n’était là que pour ne pas alerter les secours sociaux et maintenir l’illusion d’une famille. Avec le père de Caim, par contre, leur mère avait fait une grave erreur qu’elle ne réalisa pas tout de suite. Son père était un des pires salauds de la ville, Tina ne connaissait pas le nombre exact mais elle savait que quelques tombes du cimetière lui devaient une signature, la mère de Caim avait ainsi pensé qu’il ne s’occuperait pas de Caim. Mais par un malencontreux hasard, elle s’était trompée. Sans que personne ne puisse comprendre pourquoi, le père de Caim l’aimait et il s’occupait de lui dès que la femme était partie. Caim grandit donc aimé et ressemblait à n’importe quel des enfants de son âge. La mère ne s’en rendait pas compte entre les allers-retours entre les deux maisons, elle était persuadée d’avoir raison, elle croyait manipuler les pères comme elle le voulait. Mais un jour Tina eut ce regard. Ce regard si particulier, ce regard identique à sa mère et la femme sut qu’elle n’avait plus rien à lui apprendre, Tina était sa création achevée, vide de sentiments, sans envie de vivre, un robot qui manipule à souhait. Alors elle prit sa valise et ne revint plus jamais. Tina ne l’avait pas revu. Mais il lui était simple de comprendre le fonctionnement de sa mère. La mère alla s’installer définitivement chez le père de Caim, en effet, Caim ne tournait pas comme elle voulait. Il était temps de plus se concentrer sur ce fils rebelle. Et c’est là qu’elle comprit. Qu’elle avait été trop naïve. Et puis tout est allé très vite. Le père était trop attaché à Caim. Il fallait qu’elle décroche l’enfant. Un soir alors que Caim rentrait de l’école, il trouva son père allongé à même le sol, de la bave dégoulinait des coins de sa bouche. Lorsqu’il tenta de le réveiller, l’homme se redressa soudainement et se mit à crier le nom de Caim. Il insultait son fils. Il le saisit par le col, le lança contre la vitre qui se fissura sous l’impact, puis il positionna les mains contre le cou de son fils et appuya. La mère attendit que Caim ait perdu connaissance pour le soutirer à cette étreinte. A partir de ce moment-là, tout était décidé. Tina ne savait pas comment sa mère avait procédé exactement, drogues, alcool ou tout simplement le classique de manipulation mentale. Mais le piège s’était refermé sur Caim. Suite à cet incident, la mère se débarrassa de l’homme puis se rapprocha de son fils, le convainc fermement que son père le haïssait et qu’il voulait le tuer, que pour survivre, il ne fallait pas compter sur les autres, qu’il devait toujours être en position supérieure, que les autres ne valaient rien. Il était facile de faire un lavage de cerveau à un enfant en choc post-traumatique. Elle resta encore avec lui deux années, où elle s’assura que le changement était définitif et que Caim ne pourrait plus jamais revenir en arrière. Caim n’avait plus d’amis, il avait des sous-fifres, il commençait à se battre, il passait des soirées à se muscler, un véritable charisme naissait alors qu’il n’était qu’en fin de primaire. Il apprit à manipuler les gens, adultes comme enfants. Il était aimé, il était craint. Il ne se rappelait plus de son enfance, de l’avant l’accident, ni de l’accident lui-même. Il ne pensait plus pareil. Maintenant tout ce qui comptait était dominer. La mère fut satisfaite du résultat et elle plia une nouvelle fois bagage, cette fois pour une destination que même Tina ignorait. Elle ne prévint pas son départ. Caim avait 11 ans quand il se retrouva seul sans argent dans un appartement où il devait payer le loyer s’il ne voulait pas se faire expulser le mois d’après. On dit souvent que c’est quand ils sont poussés dans leurs limites que les gens changent. C’est vrai, Caim cassa réellement toutes ses illusions à partir de ce moment-là. Le monde n’était pas rose et je vous passerais les détails de ce qu’un enfant de 11 ans pouvait trouver comme boulot après les cours pour survivre. Heureusement cela ne dura pas longtemps, Caim devint un maitre en manipulation à partir du moment où il comprit que les autres pouvaient faire à sa place ce que lui devait faire. Les leçons de sa mère furent bien utiles et lorsqu’il arriva à ses 16 ans, Caim n’avait plus à se préoccuper de l’argent ou du logement. C’est aussi à partir de cette période-là qu’il rencontra Nate. Au début, il l’avait choisi pour son physique, une bande avait toujours besoin de grands costauds et il ferait parfaitement l’affaire. Et puis après, ça a changé. Tina trouvait que c’était là la grande différence avec son frère, elle ne pouvait pas connaitre l’amour, elle n’en avait jamais reçu, mais lui, si, il connaissait cette sensation et qu’il le veuille ou non, que ça plaise à leur mère ou pas, elle avait trouvé moyen de revenir. Car oui il aimait Nate. Bien sûr il ne se l’admit pas à lui-même. Pendant les premiers mois, il se persuada que c’était juste une envie, sans rien derrière. Mais ça devenait de plus en plus fort. Cette façon qu’avait Nate de le regarder. Cette chaleur qui l’envahissait quand il le voyait sourire. Il voulait le voir sourire. Il voulait être avec lui. Caim lui avait montré son appartement, c’était le seul à connaitre son adresse, Nate était le seul à le voir en dehors des cours. Parce que Caim voulait voir Nate. C’était comme une drogue. Il savait que quand il était avec lui il ne contrôlait plus rien. La manipulation marchait sur Nate, mais c’était différent, Caim avait le pouvoir mais pour une fois il ne souhaitait pas s’en servir, il ne voulait pas que Nate le suive parce qu’il l’avait manipulé. Mais au final, il finit quand même par commettre une erreur.

Caim était le king du quartier et il comptait rester l’être. Les passages à tabac étaient fréquents. La bande servait à ça. Le racket et le harcèlement n’échappait pas à la règle non plus. En plus des embrouilles de collégiens, Caim étendait son influence sur les trafics, ceux que font les adultes. C’était long et plus périlleux que les disputes des adolescents prépubères mais Caim voulait un contrôle total sur la zone. Il ne satisfaisait pas de ce qu’il avait, il fallait tout et toujours plus s’il ne voulait pas être renversé. Pour les missions, plus chaudes Caim n’emmenait pas Nate. Nate avait des propos parfois… certaines idées… Caim avait peur que Nate n’approuve pas. Que Nate soit repoussé. Alors il lui cachait. C’était toujours plus simple. Mais un jour, il fit une erreur. Une simple erreur. Et tout bascula. Nate qui l’avait toujours suivi, Nate qui l’avait toujours admiré, ce fut fini en un instant. Quand il s’interposa et la lame du scalpel le blessa. Et là quelque chose avait stoppé chez Caim. Il était resté interloqué quelques secondes puis un sentiment de plus en plus grand était monté en lui. Des souvenirs. Qu’il avait oublié. Trahison. Trahison. Et plutôt que se rendre compte d’à quel point cela faisait mal, il préféra tout rejeter dans la colère. Il s’énerva.

Il n’avait pas revu Nate après. La police l’avait gardé, puis son procès avait enchainé, pas une fois le blond n’était venu le voir. Ça faisait mal. Autour de lui, tout était comme sous un cache spectral, il le cherchait partout du regard mais ne le trouvait pas. L’amour rend idiot. L’amour rend con. Le choc l’empêcha de manipuler les policiers, de fournir le bon témoignage, les bons éléments dédouanants, il finit en taule. Un an. Ferme. Le monde semblait considérer ce verdict comme un en faveur de l’accusé. En faveur de Caim ? Un an enfermé ? Un an avec lui dedans et Nate dehors ? Il cassa la barre des accusés de fureur quand il l’entendit. Cinq policiers durent le maitriser. L’avocat lui dit que c’était trop tard qu’il ne pouvait s’en prendre qu’à lui-même et qu’il ressortirait plus fort. Tina s’était renseignée après, l’avocat avait été commissionné sur l’affaire par leur mère qui lui avait ordonné que le verdict des juges soit d’un an de prison. L’année était passée sans que Caim s’en rende compte. Quand il sortit, il n’avait qu’une envie, retrouver Nate. Il dut réfléchir une dizaine de secondes avant de se remémorer le nom de la fille qui se tenait devant lui. Tina ? Hum il avait essayé de la mettre dans son lit avant de rencontrer Nate, mais elle n’avait pas cédé, elle avait fait partie de la bande et pourtant il avait toujours eu l’impression bizarre qu’il ne la manipulait pas. Nate. Il était sorti il allait revoir Nate. Cela faisait un an mais le souvenir était toujours aussi fort. Il sortit de son appartement, et quitta sans regrets son quartier. Arrivé au port, il monta dans le ferry. Il regarda le billet, la date du départ était le 13 février, il arrivait à Adala le 14 février. Une pensée surgit soudain dans sa tête. Et si Nate l’avait remplacé. La bouteille qu’il tenait dans la main se cassa. Il se calma. Il regarda la mer qui filait sous ses yeux. Il n’aura qu’à s’en débarrasser. Les amis aussi. Personne ne pouvait avoir Nate. Il était à lui. Et à lui seul.

SURNOM. -
ESPECE. Persian
NATURE. Violent
DESCRIPTION. Qu'on se le dise tout de suite, Caim n'aime pas les pokemons. Néanmoins, il ne déteste pas le Persian. Il le tolère. Et ce, pour deux raisons : d'une part, parce que Nate l'aime bien et qu'il jouait avec le pokemon quand il venait chez Caim. Et d'autre part, parce que le Persian a déjà arraché un œil à un type un jour, et que Caim aime assez voir le pokemon perdre tout contrôle et se jeter enragé dans des batailles. Il le laissait souvent en liberté et le récupérait généralement toujours avec du sang sur sa fourrure, mais jamais le sien. Un jour un enfant avait disparu dans la ville et le persian était rentré plus tard qu'à son habitude, avec un peu plus de sang qu'à son habitude. Caim n'avait pas cherché à savoir. Il s'était contenté de lui donner plus de viande ce soir-là.
SURNOM. -
ESPECE. Korillon
NATURE. Dépressif
DESCRIPTION. Vous savez tous qu'un Korillon évolue en Eoko s'il est suffisamment heureux ? Et que ce pokemon fait un bruit de clochette dès qu'il bouge. Et bien oubliez tout. Car ce korillon ne fait aucun bruit. Et malgré qu'il soit très vieux, il n'a jamais évolué. Il appartenait à la mère de Caim. Celle-ci ne le supportait pas, et elle l'enferma dans un placard. Pendant dix ans, il y resta. La mère de Caim veillait à ce qu'il ne meurt pas, dans le doute qu’il pourrait lui être utile un jour. Chaque jour, elle ouvrait, le nourrissait de force et renfermait. Un jour, elle le sortit pour la première fois. Elle le donna à son fils et disparut pour ne plus jamais revenir. Malgré sa liberté retrouvée, le korillon ne devint pas heureux. Il vivait avec la peur au ventre. Il n'aimait pas Caim qui ne l'aimait pas non plus. Il n'avait jamais vu quelqu'un d'aussi violent et d'aussi terrifiant. Du haut de ses 8 ans (l'âge que Caim avait quand sa mère l'abandonna et laissa le korillon pour le chaperonner), il faisait trembler la pauvre créature. Caim le trouvait faible et dégoutant, l’enfant le frappait dès qu'il avait le pokemon avait le malheur d’être sur sa route. L’enfer de la boite avait laissé place à l’enfer de l’extérieur dans la vision du korillon. Pourquoi être resté alors ? Ce n'était pas Caim qui allait le retenir. Mais le Korillon ne pouvait pas partir. Tous les jours, il sentait sur lui le regard de la mère de Caim et il savait qu'il n'avait pas le droit de partir. Elle lui avait dit. Il retournerait dans la boite. Tout sauf ça. Le Korillon voulait mourir. Mais il ne pouvait pas. Elle ne lui pardonnerait pas. Alors il allait et venait en silence comme un fantôme, jamais trop loin de Caim mais jamais assez proche pour que celui-ci puisse le battre. Il était un spectre avec aucune autre raison de vivre que la peur. Le bonheur, cela fait longtemps qu'il avait oublié ce que c'était…
SURNOM. -
ESPECE. Rondoudou
NATURE. Crédule
DESCRIPTION. Vous ne vous y attendez pas ? Ce n'est pas son style à Caim. Rassurez-vous il ne s'y attendait pas non plus. D'ailleurs il ne s'en remet toujours pas. Il le déteste autant que le Korillon, à la différence que le Rondoudou, il en a besoin, donc il prend sur lui pour le supporter. Rondoudou chante une berceuse pendant que Caim vole. Leur relation s'arrête là pour le jeune homme. Le pokemon lui n'a pas encore compris... ce qui tape sur les nerfs de Caim.
PSEUDO OU PRÉNOM. Aria
ÂGE. Bientôt 20 ans
COMMENT AVEZ VOUS CONNU LE FORUM ? Embrigadée par une des membres du staff, mais ça fait longtemps maintenant.
QUELQUE CHOSE À AJOUTER ? Alex come here Keur première fois que je fais une fiche en un jet j'espère que ça va xD


Dernière édition par Caim Amaryo le Ven 15 Fév - 15:57, édité 1 fois
Ranya Iluzion
https://pokemoncommunity.forumactif.org/t6896-471-danse-avec-moi-ranya-givrali
https://pokemoncommunity.forumactif.org/t6897-ranya-iluzion-givrali
Icon : [545] Caim Amaryo - Caim, Nate et les autres. [ADULTE] 6gxr
Taille de l'équipe : 14
Région d'origine : Johto
Âge : 19 ans
Niveau : 50
Jetons : 924
Points d'Expériences : 1707
[545] Caim Amaryo - Caim, Nate et les autres. [ADULTE] 6gxr
14
Johto
19 ans
50
924
1707
pokemon
[545] Caim Amaryo - Caim, Nate et les autres. [ADULTE] 6gxr
14
Johto
19 ans
50
924
1707
Ranya Iluzion
est un Scientifique Archéologue
Me voilà plus rapide que l'éclair pour te valider ! Caim est terrible olala. Encore un "méchant" chez les adultes, à croire qu'Adala n'attire que les gens pas très très gentils. Qu'importe, le développement du personnage est hyper intéressant et cette maman a l'air terrifiante. J'ai hâte de voir comment il va évoluer sur Adala et surtout retrouver Nate ! (faut pas se mentir on attend tous que ça). Bref je n'en dis pas plus et je te valide ! Tu connais la maison de toute façon Wink


Bienvenue chez les Adultes  ! N'hésite pas à poser tes questions si tu as le moindre soucis au staff ou aux autres Adultes du forum (www). Tu peux dès lors poster ta T-CARD dans la partie correspondante, ainsi que gérer tes RPs grâce à aux RECHERCHES DE RPs ET RELATIONS. N'oublie pas de remplir les champs de ton profil dès que possible (T-card et Fiche de Présentation) pour faciliter la navigation aux autres joueurs, et de réserver ton AVATAR dans la partie adéquate !  Ton numéro ID est 545. Bon jeu sur Pokémon Community !
Ariel Alphard
https://pokemoncommunity.forumactif.org/t9658-ariel-alphard-coated-lashes-soul-of-ashes#96339
https://pokemoncommunity.forumactif.org/t9660-ariel-alphard-voltali#96371
Icon : collapsing star
Taille de l'équipe : 2
Région d'origine : Johto (Rosalia)
Âge : 17 ans
Niveau : 3
Jetons : 4003
Points d'Expériences : 72
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2
Johto (Rosalia)
17 ans
3
4003
72
pokemon
collapsing star
2
Johto (Rosalia)
17 ans
3
4003
72
Ariel Alphard
est un Coordinateur Novice
POUSSEZ-VOUS C'EST MY BOI. Regardez comme il est beau, comme il est fier, comme il est intelligent comme c'est un connard

edit ; cette fiche est parfaite, caim est parfait, je suis comblée et j'ai beaucoup trop hâte.

Keur

Dernière édition par Nathanaël D. Rake le Ven 15 Fév - 12:51, édité 1 fois
Rodrigue Miles
https://pokemoncommunity.forumactif.org/t3859-0279-rodrigue-miles-phyllali
https://pokemoncommunity.forumactif.org/t3877-rodrigue-miles-phyllali
Icon : Choco ~chocolate
Taille de l'équipe : 23 / 65 (+2)
Région d'origine : Sinnoh
Âge : 22 ans
Niveau : 42
Jetons : 1748
Points d'Expériences : 1477
Choco ~chocolate
23 / 65 (+2)
Sinnoh
22 ans
42
1748
1477
pokemon
Choco ~chocolate
23 / 65 (+2)
Sinnoh
22 ans
42
1748
1477
Rodrigue Miles
est un Adulte Gestionnaire de Club de Combat
IL EST LA

ARIA EST LA

2019 VA ETRE UNE BONNE ANNEE



MAÎTRE DES TOP-SITES
MEILLEURS AMIS WITH coPAINS

Rod (le PJ) parle en vert #00cc00 / Rodeux (le PNJ) parle en vert #009900
Bouddha Socket
https://pokemoncommunity.forumactif.org/t7091-bouddha-socket-vague-a-larmes-termine#72104
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Icon : [545] Caim Amaryo - Caim, Nate et les autres. [ADULTE] 1549924579-bouddha
Taille de l'équipe : 4
Région d'origine : Alola
Âge : 17 ans
Niveau : 16
Jetons : 284
Points d'Expériences : 331
[545] Caim Amaryo - Caim, Nate et les autres. [ADULTE] 1549924579-bouddha
4
Alola
17 ans
16
284
331
pokemon
[545] Caim Amaryo - Caim, Nate et les autres. [ADULTE] 1549924579-bouddha
4
Alola
17 ans
16
284
331
Bouddha Socket
est un Pokeathlète Médecin
Non mais quel connard ce Caim. Blublublu il est beaucoup trop bien, ça promet plein de drama héhé.

Par contre. Pas touche a charlie.
pokemon
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