YUTAKA Yuki | |
Nom : 豊か YUTAKA Prénom : 雪 Yuki Âge : 15 ans Région d'origine : Kalos Ambitions futures : Devenir un topdresseur spécialiste de pokemon de type feu de renom. Pourquoi pas un Maître d'Arène ou siéger à la Ligue Pokemon ? | |
« Bien observés, nos Pokemon sont pour nous de bons professeurs. » Yuki Yutaka | |
Description |
Riche beau et célèbre ! Tout pour plaire, réussit tout ce qu'il entreprend, adulé, idolâtré par les femmes, jalousé par les hommes et effigie des enfants, que lui demander de plus, n'est-ce pas ? Avouez que c'est ainsi que vous pensiez que je me présenterai ? Eh bien désolé de vous décevoir, mais non. Peut être que certains passages pourraient être vrais, mais ça, je vous laisse en juger par vous même. Pour ma part, je vais me contenter de me présenter comme je me vois. Ainsi, vous pourrez mieux me cerner, même si j'oublie de nombreuses choses. Si nous commencions par le physique... Je suis assez grand pour mon âge, ayant bénéficié d'une poussée de croissance soudaine fulgurante. Je mesure 1m75 pour quelques 68 kilos. Je ne suis pas maigre, loin de là, juste élancé. Doté d'une fine musculature, je n'ai aucune honte à l'exhiber, n'aimant guère porter trop de vêtements. J'ai un visage que je trouve plutôt gracieux, non pas par vanité, mais juste parce qu'il est un parfait mélange de celui de mes parents que je trouve magnifiques, que j'aime et que je respecte, alors j'en suis fier. après, si tout ceci vous plait, tant mieux, sinon, je m'en fiche tout aussi royalement. Le regard des gens et leur avis sur ma personne ne m'importe que peu, sauf en ce qui concerne mes ambitions. J'ai des yeux couleur ambre flamboyante, éclairant un visage au teint légèrement pâle. De longs cheveux châtains/bruns tombent en cascade le long de mon dos, jusqu'à mes fesses et deux grandes mèches parallèles me barrent le visage, allant mourir dans les environs de ce qu'on peut timidement qualifier de pectoraux. Je ne les attache jamais, aimant les laisser libres comme moi. Un nez fin, une bouche toute aussi fine, des belles dents blanches, une peau douce, je ne me trouve pas à plaindre. Mon allure peut être clairement qualifier d'androgyne. Il est fréquent que des personnes me confondent avec une fille lorsqu'on ne regarde que mon visage. Et les deux énormes boucles d'oreilles tombantes noires, rondes avec une étoile et un pourtour argentés, n'aident pas, mais j'aime vraiment cela. Parlons un peu de mon style vestimentaire. Comme préalablement déclaré, je ne m'habille pas énormément. Je suis quasiment tout le temps torse nu, portant parfois un poncho blanc. J'aime porter des très larges jeans baggys affublés de sangles à motifs étoilés, ou même des jeans tout aussi décorés. Les jeans étant généralement noirs. Je porte de larges et longs gants noirs et orangés. Y figurent une étoile argentée et une plaque métallique qui peut faire penser à un Lego. Comme vous l'aurez compris, j'aime les étoiles. Pourquoi ? Pas de raison particulière ou peut être simplement parce qu'elles semblent inatteignables et pourtant si proches, un peu comme mon but dans la vie. Tel un de ces astres incandescents, je rêve d'éclairer ce monde qui est le notre et de briller haut dans le firmament, parmi les dresseurs de renom les plus doués, toutes générations confondues. Venons-en à mon mental, la suite logique de notre description déjà amorcée par les lignes précédentes. Je ne suis pas une personne au tempérament de feu comme on peut le croire, mais plutôt calme. J'aime observer, analyser ce qui m'entoure. Je n'agis que rarement à tête baissée. Je n'aime pas l'échec, mais l'accepte volontiers s'il n'est pas définitif et me permet de pouvoir rebondir. Il est bon de se casser les dents parfois pour pouvoir se perfectionner. Il n'y a aucun plaisir à tout réussir trop facilement je trouve. J'aime le challenge, il n'y a rien de tel. A prime abord, je semble orgueilleux, vaniteux, arrogant et solitaire, mais ce n'est pas plus vrai que cela. Je ne renie pas ces qualificatifs car ils sont tous présents en chacun de nous, mais ils ne sont nullement représentatifs de mon existence. Il est vrai qu'on me voit souvent seul, mais ce n'est pas par arrogance. Je suis issu d'une famille riche et j'ai beaucoup voyagé. Je n'ai donc pas d'ami et n'ai pas l'habitude de nouer des liens avec les autres enfants ou humains tout courts. Je ne suis donc pas doué pour les relations sociales. De plus, ne restant jamais longtemps au même endroit, je ne voulais pas non plus souffrir des séparations. A dire vrai, j'ai un ami ou ai eu un ami autrefois dans le passé, mais nos chemins ont été séparés lorsque j'ai quitté Kanto et nous avons fini par perdre contact. Ayant grandi au milieu de Pokemon, j'ai plus de facilités avec eux. Je les aime énormément et ils me le rendent bien, en particulier les Pokemon de type feu. Ma mère dit qu'ils sentent la chaleur incandescente de mon âme et de ma volonté et j'aime assez ses mots. Je ne parle que peu, il est vrai, mais autant je peux parfois paraître distant, autant je reste un jeune de mon âge et peux paraître exubérant. Je suis chaleureux et ouvert d'esprit, fidèle en amitié comme en amour, entier. Serviable, je ne les laisserai jamais dans le pétrin. La souffrance et la solitude de ceux que j'aime m'est insupportable et j'essaierait tant bien que mal d'y pallier. J'aime rire et taquiner. Mes amis pourront donc bénéficier de facette de moi, quelque peu exclusive. Les Pokémon sont mes amis ! Je ne les considère pas comme mes larbins et j'ai une sainte horreur de les voir souffrir. Je méprise viscéralement les gens qui les maltraitent. Aussi sérieux que je ne puisse l'être, j'ai parfois des phases assez... étranges pour le moins. Il m'arrive de craquer totalement à la vue de Pokemon pour des raisons diverses, occultant totalement ce que je faisais ou la personne qui me parlait quelques secondes auparavant. L'âge et les hormones en ébullition aidant, je suis dans une phase assez particulières de ma vie et je dois avouer un côté un peu pervers. Les femmes deviennent mon point faible, mais j'essaie tant bien que mal de le cacher. Tout ceci peut me conduire à des situations cocasses, je vous le concède, mais c'est moi, c'est ma vie et j'en suis heureux. Je vis libre et mène ma vie comme je l'entends. Un seul mot d'ordre : vivre à fond pour ne jamais avoir de regrets. Il est parfois déconcertant de voir avec quelle facilité je peux faire abstraction de certains événements, passer du rire aux larmes. Je ne m'éternise pas sur des futilités, la vie est trop courte pour qu'on perde du temps. avancer, toujours avancer, mais à mon rythme tout de même... BREF ! N'en disons plus d'avantage, sinon, il n'y aura plus aucun plaisir à me découvrir pour ceux qui le désirent. |
Histoire |
Extraordinaire, fantastique, héroique, épique. Chaos, sang, bataille, quêtes, princesses, champs de bataille, massacres, carnages, meurtres, coffres forts, pièces d'or et bien d'autres encore. Voilà ce qui résume ma vie de héros. J'ai vécu les plus belles choses de ce monde, mais aussi les pires. La cicatrice que j'ai sur l'oeil, je la dois à un dragon que j'ai combattu à mains nues en ayant la fièvre il y a quelques nuits de cela. Vous ne me croyez pas ? Eh bien moi non plus ! A vrai dire, ce n'est pas ma vie, mais un piètre résumé d'un roman que j'ai lu récemment. Ma vie est banale et elle me convient tout à fait car je la façonne de mes mains et il n'y a rien de plus jouissif. Qu'on l'envie ou qu'on la déteste, c'est ma vie et je n'en changerai pour rien au monde. Laissez-moi donc vous la présenter brièvement ici. Mon histoire prend place il y a de cela une quinzaine d'années mais nous allons remonter u peu plus loin encore dans le temps. Je commencerai donc par évoquer mes parents et leur rencontre. Après tout, sans eux, je ne serais pas... Ils devaient avoir à peu près mon âge lorsqu'ils se rencontrèrent. Tous deux deux étaient dans la même classe. Hiro, fils d'une famille riche de Celadopole, la famille Yutaka et Ayako, fille de modeste famille dont les parents travaillaient au parc Safari, originaires de Parmanie et rêvant que leur fille fasse sa percée dans le monde, se retrouvèrent à suivre le même cursus scolaire, visant à faire d'eux des élites de l’ingénierie. Hiro était ambitieux et terre à terre, rêvant de monter sa propre société à long terme et de faire fortune, sa propre fortune, indépendante de celle de sa famille. Ayako, quant à elle, était plutôt du genre rêveuse et tête en l'air. Les cours ne la motivaient pas plus que cela, seul son rêve de devenir championne de concours Pokemon la faisait vibrer. L'élève modèle et la bout en train. Ces deux là ne s'aimaient pas et rien ne les prédestinaient à s'unir. Pourtant, de fil en aiguilles, par une succession hasardeuse de faits, ils finirent par se rapprocher, s’apprécier et finalement s'aimer. Ils avaient à présent grandis. Leurs diplômes en poches, ils avaient pris chacun leur voie. L'un avait signé chez le Sylphe SARL et l'autre, débutait dans le monde des concours Pokemon. Tous deux tentait de percer son trou tant bien que mal et y parvenait lentement. Même si leur chemin semblait différent de l'autre et qu'ils voyageaient pas mal, ils avaient un point de chute commun, une maison à Safrania. Au début, on ne pensait pas qu'ils tiendraient plus que quelques mois ensemble. Ils venaient d'horizons bien trop diverses, leurs métiers les amenaient à différents bouts de monde. Pourtant, leur amour tint bon contre vents et marais et les détracteurs se firent de moins en moins fréquents. Ils allèrent même jusqu'à décider de fonder une famille. Ils se marrièrent et décidèrent de créer une vie issue de leur amour. Le bébé mis en boite, la jeune championne mis sa carrière de côté. Les deux tourtereaux pensaient avenir, mais un facteur imprévu bouleversa leurs projets, sans pour autant leur déplaire au final. Hiro se retrouvait muté à Kalos pour une durée de 4ans. Cette perspective d'avenir dans un nouvel horizon les motiva au plus haut point et quelques mois plus tard, ils débarquèrent à Illuminis. C'est dans cette merveilleuse ville, capitale de la mode de Kalos, que je vis le jour, il y a maintenant 15 ans. Le début de vie était des plus joyeux. Mon père travaillait énormément, certes, mais ils rentrait à la maison tous les soirs. La journée, j'étais principalement avec ma mère qui s'occupait de moi en parallèle de ses Pokemon qu'elle continuait à maintenir en forme en vue d'une prochaine reprise de concours. Lors des jours de repos de mon père, nous sortions. Mes parents ne déléguaient rien à qui que ce soit, malgré leur apparente richesse. Ils se débrouillaient par leurs propres moyens et m'ont inculqué ces valeurs. Ainsi, pas de nourrice ou de domestiques à la maison, chacun y mettait du sien. Ainsi aimé, je ne pouvais qu'être aux anges. Ma vie me paraissait parfaite, d'autant que je baignais dans un monde empli de pokemon, ceux de ma mère et de ses amies qu'elle s'était faite dans cette belle ville. Trois magnifiques mais courtes années passèrent ainsi mais tout pris fin avec la fin de mission de mon père. L'heure du retour à Safrania avait sonnée et très vite, nous rallions Kanto, j'allais alors sur mes 4 ans. Pour mes parents, ce n'était qu'un simple retour aux sources, retrouvant leur maison, leurs amis et leurs anciennes habitudes. Pour moi, c'était un véritable chamboulement. Au début, ce fut doux, ne devant m'habituer qu'à un nouveau monde, mais très vite, ce fut tout mon système de vie qui changea. J'avais alors quatre ans lorsque ma mère décida qu'il était temps pour elle de reprendre sa carrière en main. Forte de son séjour dans la capitale de la mode, elle était déterminée à faire souffler un vent nouveau sur le monde des concours pokemon et il faut dire, que cela lui a plutôt bien réussi. Mon père ayant été promu, il travaillait beaucoup plus et faisait de nombreux voyages d'affaire. J'allais donc être envoyé chez mes grand-parents maternels afin de ne pas me retrouver seul, ceux paternels étant souvent en déplacement. A partir de là, je n'allais plus voir mes parents aussi souvent, mais je n'allais pas pour autant être malheureux. Mes grand-parents s’occupaient merveilleusement bien de moi, m'inculquant des valeurs d'amour, de respect de partage et tout un tas d'autres, à la foi envers les humains, mais aussi des Pokemon. Tous deux étaient retraités et passaient leur temps à s'occuper de Pokemon diverses et variés. De temps à autre, ils se livraient à des combats contre des dresseurs de passage à Parmanie. Lorsque mes parents rentraient, ils passaient me voir et s'ils avaient un long congé, ils me prenaient avec eux pour un voyage. De temps à autre, on ma mère m'emmenait avec elle. Il était donc fréquent que je parte pour de longues périodes. Je n'allais donc pas à l'école. Mon éducation était dispensée par mes proches. Je n'avais pas d'amis et n'en cherchait pas non plus à vrai dire. Seuls les Pokemon comptaient pour moi. Je devais avoir six ans lorsque mon amour des Pokemon allait se spécialiser pour un type particulier. En effet, j'étais parti en voyage avec mes parents. Lors d'une promenade, je m'étais perdu, ayant échappé à la surveillance de mes parents. Il fallait dire que j'étais sacrément tête en l'air, peut être même plus que ma mère d'après les dires de mon père. J'avais suivi petit groupe de Rattata et avait fini dans une grotte je ne sais où. Dépité et ne sachant pas comment retrouver mon chemin, je m'étais résigné à passer la nuit en ce lieu sombre et froid, dans lequel je ne tardais pas à trouver le sommeil. Plongé dans un rêve dont je ne saurais plus vous en évoquer le contenu, j'allais soudainement être rappelé à la réalité. Pour cause, ce qui m'avait extirpé de mon songe, n'était autre que le cri mélodieux d'un Pokemon. Je n'en avais jamais entendu de semblable auparavant. Curieux de nature, je m'étais alors risqué à l'extérieur de mon abri de fortune pour y voir la chose la plus incroyable qu'il m'est été donné de voir de toute ma courte existence. Posé à quelques mètres devant moi, un Pokemon oiseau enflammé se dressait fièrement devant moi. Le souffle coupé, les yeux emplis d'étoiles, je restait immobile, absorbé, fasciné, non, écrasé par tant de grandeur et sa prestance extraordinaire. Il me toisa un instant. Il ne me craignait pas. Il semblait me jauger en fait. Je n'avait aucune animosité à son égard et ne cherchais rien. Le simple fait de le regarder me rassasiait et me comblait de bonheur. Après ce qui me sembla une éternité, l'oiseau de feu poussa un cri mélodieux, puis après un signe de tête, prit son envol. J'avais interprété ceci comme une invitation à le suivre, ce que je fis avec plus ou moins de joie et d'enthousiasme. Son envol était des plus majestueux. Dans un panache de feu, il avait gagné les airs avec une grâce et une rapidité déconcertante pour ses supposés deux mètres. Des ailes, une crête et une queue enflammées. Cet image serait à jamais gravée en moi. Volant au dessus de moi, il maintint son allure un certain temps puis accéléra soudainement et après avoir poussé une dernière fois son cri, il prit de l'altitude et disparut. Il m'avait laissé près de la ville. J'étais à la fois heureux et triste. Je ne savais pas qui était ce Pokemon providentiel, ni même pourquoi avait-il agit ainsi et si même cela était bien réel. Je retrouvais alors mes parents et leur racontait mon histoire, mais personne ne sembla me croire. Vexé, je m'étais juré de leur montrer que je ne mentais pas et le lendemain, je m'étais mis en quête de retrouver la fameuse grotte dans l'espoir que ce soit son nid, mais l'oiseau n'était pas là. La seule chose que je pus trouver, fut une empreinte partielle de ses pattes sur la terre meuble, à l'endroit où il se tenait la nuit passée et j'en fis un moule. Mes parents finirent par me croire et me parlèrent de ce Pokemon légendaire nommé Sulfura. Mon coeur s'emballa et ma vie se dessina devant moi. Je serai dresseur de Pokemon de type feu, le meilleur qui soit et à défaut d'avoir ce Pokemon légendaire dans mon équipe, je voulais le revoir et devenir son ami ou au moins pouvoir discuter une fois avec lui, tels étaient à présent les buts de ma vie. De retour à Parmanie, je racontais mon histoire à mes grands parents qui me crurent aussitôt. Ce furent les seuls. Contents pour moi et fiers de mes ambitions, ils eurent à coeur de m'aider à démarrer dans ma vie de dresseur. Ils essayaient de m'apprendre tout ce qu'ils savaient des Pokemon et notamment sur le type feu. Ce fut aussi à cette période que je rencontrais mon premier ami, le seul et unique jusqu'à présent. Humain je parle, hein ? Son rêve à lui était de devenir champion d'arène et de siéger à la Pokemon League. De fil en aiguille, nos rêves se sont mêlés et sont devenus similaires, à l'exception de notre affinité élémentaire et du donc du pokemon légendaire que nous voudrions rencontrer ou posséder. J'avais maintenant neuf ans lorsque le contrat de mon père et ma mère avaient décidés de rallier Illuminis de manière définitive. Pour mon anniversaire, mon grand père m'avait offert un Ouisticram fraîchement capturé et prénommé Kong et nous étions vite devenus inséparables. Le jour du départ arriva et nous partîmes. Mes parents avaient acheté une propriété somptueuse dans laquelle nous vivrions notre nouvelle vie. Mon père avait ouvert sa propre société et ma mère avait décidé d'ouvrir sa propre boutique de mode pour les Pokemon, qu'elle espérait faire fructifier pour devenir une grande marque à travers le monde et spécialisée dans l'univers des concours de beauté. Cette marque n'étant autre que S&Y. Notre installation avait débuté de manière plutôt bonne. Tous semblait allez pour le mieux dans le meilleur des mondes, mais cette vie ne m'allait pas plus que ça en fait. Mes grand-parents me manquaient et la nouvelle vie me semblait fade. L'habituel défilé de Pokemon et les longs horizons verdoyants avaient laissé place à des défilés d'hommes d'affaire, de ferrues de mode et autre parasites en tous genre de même accabie. Ca et là, du gris, toujours du gris partout. Les arbres n'étaient plus que succession d'immeubles. Les chants et cris de Pokemon s'étaient mués en brouhaha citadin. Nous avions à présent, des domestiques à la maison. Quelle joie ! Mais au moins, ils aimaient les Pokemon. Avec certains, nous nous livrions à des combats afin de mesurer la force ou l'évolution de nos chers amis. Ceci était l'un des meilleurs moments. Je n'allais toujours pas à l'école et mes cours m'étaient dispensés à la maison. Je n'arrivais pas à m'intégrer aux autres jeunes. J'étais différent d'eux et ils ne m'acceptaient pas. Peut être même que je ne cherchais pas non plus à l'être tout compte fait. Nous semblions à des années lumière les uns des autres... Les jours, puis les mois et enfin les années passaient. J'avais enfin trouvé mes marques dans ce monde. Kong avait bien progressé, c'était le meilleur, mais aussi mon meilleur ami. Dans cette ville où le style était maître bien plus puissant que le talent de dresseur, j'avais voulu dénoter avec le monde. Ils voulaient s'accoutrer toujours de manière plus chic, alors je ne mettait rien qu'un poncho au début, puis simplement torse-nu le reste du temps. Ce qui au début n'était qu'une fantaisie protestataire d'un jeune en homme en plein malaise de crise d'adolescence, devint ma marque de fabrique et malgré moi, je devins "stylé" selon leurs dires, même si d'aucun n'osait s'accoutrer comme moi. Mon style s'affirma en même temps que moi. Je prenais mes marques. J'avais mes rêves en tête et ma détermination brûlait vivement en moi, plus ardente que jamais. En même temps que j'avais entraîné Kong, j'avais forgé mon corps. Si je voulais être LE dresseur de feu, il fallait que je soit moi même une flamme du genre impossible à éteindre. Ainsi, Kong et moi nous pliions à toute sorte de tests les plus farfelus qui soit pour renforcer nos corps, notre mental, ses capacités, mais aussi notre cohésion et notre camaraderie car, il faut le dire, nous rigolions énormément tous les deux. J'avais 14 ans à présent. La vie me semblait savoureuse. Mon grand père était tombé malade et sa santé déclinait. J'avais obtenu le droit de passer du temps avec lui afin de l'aider à se rétablir et de soutenir ma mamie dans cette épreuve. J'étais alors des plus heureux. J'allais leur montrer quel type de dresseur j'étais devenu, ainsi que l'évolution de mon cher Ouisticram d'ami. Durant la croisière, des gens mal intentionnés firent irruption et dépouillèrent chacun d'entre nous de tous pokemon. Ils n’avaient que faire des richesses des gens présents, seuls les Pokemon n'avaient d'importance à leurs yeux. Certains tentèrent de résister en livrant bataille et Kong et moi en firent partie. Malheureusement, il fut mis hors de combat très vite et ma ceinture, délestée de son unique Pokéball. J'étais mort. Mon seul et unique ami avait été enlevé et je n'avais rien pu faire. C'est complètement vide, que je débarquais chez mes grand-parents qui furent peinés de ma mésaventure. Ma motivation pris un hydrocanon qui l'avait bien douchée. La flamme en moi ne vacillait presque plus et malgré les efforts de mes proches et l'affection des Pokemon alentours, je n'arrivais plus à la raviver. Pourtant, je pris sur moi-même, pour faire bonne figure et ne pas soucier mon pépé plus qu'il n'en fallait. Il devait guérir. Le temps passait et sa santé périclitait. Il y a quelques mois, il me fit venir dans sa chambre et me demanda de m'installer près de lui. Il me parla alors longuement de sa vie, des rêves accessibles et inaccessibles, de ceux qui ont la chance de les réaliser, ceux qui ne peuvent pas et ceux qui n'en ont plus la chance. Il me parla de mon projet, de ma vie, me questionna, me conseilla, mais jamais, non jamais, ne me sermonna ou ne me gronda. Il y avait cette académie dont il avait entendu parler qui ouvrait ses portes et il souhaitait que je la rejoigne. C'était ma chance de devenir ce que j'avais rêvé d'être et de réaliser son rêve le plus précieux, me voir réussir. Je l'avais écouté, mais j'avais juste quitté sa chambre sans rien ajouter de plus, partant pour une virée au Parc Safari. C'était la dernière fois que je le voyais. Quelques heures tard, il mourait. Une dernière lettre pour moi, voilà ce qu'il avait laissait sur sa table de chevet. Cette lettre, me marqua au plus profond de moi et je la garde toujours près de moi, la lisant très souvent pour ne jamais oublier. Cette perte fut douloureuse pour moi. Mon meilleur ami Kong et mon papy la même année... Sans trop de motivation, je m'étais juré de ne plus me laisser aller et d'au moins essayer de reprendre ma route et d'honorer la volonté de mon grand-père. J'exposais les faits à mes Parents et tous d'eux s'enthousiasmèrent à l'idée que je rejoigne cette académie. Ils m'y inscrivirent aussitôt et j'y fus envoyé. Fut un temps, j'aurais été heureux, mais là, je n'étais pas très jouasse. La finalité m'emballait quand même, mais l'idée d'avoir un nouveau Pokemon, ne m'emballait pas. J'en avais côtoyé des centaines, de tous genres, mais un seul m'avait appartenu et je n'en voulais pas d'un autre. Je n'eus pourtant pas le choix et très vite, je fus contraint d'aller voir celui qu'on dénommait le collectionneur. Il me fit passer une série de tests des plus farfelus. Je n'ai pas trop compris la logique de la chose et je ne la comprends toujours pas à présent, mais la finalité de la chose fut qu'il m'octroya un Pokemon. Un... Ouisticram... BLAGUE ? Notre première confrontation se soldat par un rejet mutuel. Il m'avait attaqué en me lançant les pokeball qu'il avait pu saisir et refusait de m'écouter. Retour à la Pokeball. Décidément, cela ne s'annonçait pas de la meilleure façon qui soit. Malgré tout, je voulais faire un effort et essayer de copiner avec cette énergumène. Le soir venu, dans le dortoir, je m'étais risqué à le faire sortir pour essayer de discuter avec, de me présenter et de repartir à zéro. Le résultat fut juste catastrophique. Un champs de bataille sans nom et un "Je te hais !" fut hurlé. Sa réponse fut simple. Après un regard triste appuyé, le Ouisticram dont j'avais hérité, tenta de se rapprocher de moi à son tour. alors que je lui tournait le dos, allongé sur mon lit, je l'avais vivement rembarré et dépité de ne pas le voir déguerpir, je lui avais lancé la pokéball en lui signifiant que je ne voulais plus jamais le voir. Il ne se fit pas prié. Ma nuit fut agité ce soir là. J'étais tourmenté et je n'eus de cesse de me rappeler diverses événements. Mon grand-père, Kong, mes parents, tout un tas de choses se bousculèrent en moi et je n'avais pas pu dormir. Le lendemain, j'avais passé ma journée à le chercher, me sentant mal et il me fallut presque la journée pour le retrouver. Ce ne fut pas de suite une partie de plaisir, mais au final, je pus m'en approcher. Nous eûmes notre petite confrontation, notre discussion. Des excuses , puis une promesse d'amitié indéfectible. Elle, car oui, c'était une femelle comme je venais de l'apprendre, hérita du nom d'Hikari, qu'elle adopta tout de suite, sa signification la comblait de joie. Ainsi, une nouvelle amitié naissait en même temps que deux flammes vacillantes s'unissaient pour former un brasier qui jamais plus ne devrait s'éteindre... |
Hikari | |
Surnom : Hikari Espèce : Ouisticram Nature : Brave Description : Rejetée par les siens, cette jeune femelle Ouisticram n'était pas très sociale et détestait tout le monde, refusant le contact autre qu'agressif avec qui que ce soit. Ayant noué un lien particulier avec son maître, elle a enfin dévoilé une nouvelle facette de sa personnalité. Hikari est dévouée à Yuki et fera tout son possible pour le rendre heureux et fier d'elle. C'est une battante dans l'âme et refuse la défaite, n'ayant pas peur de dépasser ses limites. Elle veut aider le dresseur dans sa quête et être la plus forte de son espèce si possible, pourquoi pas l'une des plus forte parmi tous les pokemon de ce monde. Sa personnalité est riche et la définir est tout aussi difficile que de définir celle d'un humain. Toutefois, on peut noter ceci. Hikari est méfiante et très protectrice. Elle peut être jalouse des femmes qui s'approchent de trop près, et n'aime pas se sentir délaissée. Elle recadrera très fréquemment Yuki lorsqu'il aura tendance à laisser vagabonder son esprit pervers. Elle aime apprendre et ne rechigne jamais à l'effort, peu importe l'intensité du labeur. La défaite lui est insupportable et déprimera à chaque fois, se sentant indigne de sa place et voudra se surpasser. Mais quelques câlins suffisent à lui redonner le moral. Elle adore les gestes affectueux. Voilà pour le peu qu'il peut en être dit. |
Hors RPG |
Pseudo/Prénom : Yuki : Hyougaki Yuki / Aoi Yuki / Tenjou Yuki. Age : 27 Comment avez-vous connu le forum ? Par Ambre-chan l'année dernière déjà, mais c'est une relance il y a peu qui m'a déterminé à tenter ma chance pour vous rallier. Quelque chose à ajouter ? Hmmm... Nope ! |
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