Izusa est une jeune fille aux chevaux lisses et arrivant en dessous de ses épaules. Ces derniers étaient teintés d'une couleur grisâtre aux doux reflets mauve et blanc. Elle ne possède pas une frange mais une longue mèche partant sur le côté droit de son visage. Son front est assez petit et est parsemé de quelques rares boutons. Elle possède ensuite un nez fin lui aussi et des yeux assez serrés et d'une couleur bleu océan mais elle vous dira que tout le monde à les yeux comme ça. Ses pommettes sont assez marquées et rosée et ses lèvres, elles, sont assez épaisse et d'une couleur rose pâle. Son visage, dans l'ensemble, reste dans une forme assez ovale et creusée. Elle possède un coup de taille normale et ses épaules, elles, sont très marqués à son grand désespoir. Elle possède d'assez long bras aux poignet robuste et aux doigts longs et fin pour ne rien changer. Elle a longtemps fait de l'escalade ce qui lui a permis de muscler ses bras toujours aussi fin. Sa poitrine est assez petite mais ça ne la dérange aucunement. Son ventre à gardé les anciennes marques de blessures contre la roche et contre les ficelles qui lui valurent de nombreuses entailles et brûlures. Ses cuisses sont aussi fines que tout le reste de son corps tout en sauvegardant elles aussi les diverses blessures qu'elle eut endurée. Ses genoux et ses tibias possède la même description que ses cuisses donc inutiles d'y revenir, n'est ce pas ? Ses chevilles sont de nature enflés à tout moment et ses pied sont très fragile au niveau des chaussures, les ampoules arrivent vite. Pour finir elle est plutôt de couleur clair, le bronzage est peu marquée chez elle et ses chevaux sont souvent attachés en queue de cheval pour éviter toute gêne.
 Elle est souvent vêtue d'un t-shirt ne lui couvrant point ses épaules et laissant apparaître une petite partie de son ventre. Ce t-shirt est bien souvent de couleur marron bien qu'elle en possède des noirs ou des gris voir des blanc. Ses mitaines ne la quitte jamais, elle ne sort jamais sans sinon elle ne se sent pas alaise. Son pantalon trois quart de couleur marron lui aussi est orné d'un foulard jaune au niveau de la ceinture. Pour finir, ses bottes sont elles aussi de couleur maronés elles lui arrivent à mis tibia.
 C'est une jeune demoiselle au caractère indescriptible. Elle renvoie une image froide au première abord mais rien ne l'empêche de s'ouvrir à d'éventuels personnes qui pourrait lui être proche. Elle ne dévoilera pas tout sur elle, du moins pas tant qu'elle ne veut pas en parler. C'est une adolescente qui cherche qui elle est et comment elle doit se comporté envers les autres. Elle n'est pas des plus sociables, elle préfèrera être seule plutôt qu'avec des personnes qui pourrait se moquer d'elle et parler dans son dos. Elle reste tout de même très studieuse, sérieuse et appliquée dans son travail. Elle aime apprendre et travailler mais une chose dont elle à horreur, rigoler pour rigoler, s'amuser pour s'amuser. Elle ne suivra pas les autre quand l'ambiance ne lui convient pas, elle ne suivra pas les autres quand tous riront et qu'elle ne trouvera pas ça drôle, etc. Mais n'ayez pas peur d'allez la voir, elle ne mord pas.

Je me souviens, ce jour où j'annonça à mes parents que je partais de la maison. Ce jour resterait gravé de ma mémoire et dans celle de mes parents. Je m'étais levée ce jour là, un mardi plus précisément, j'avais cherché toute la nuit des informations sur cette fameuse école mais mes parents avaient mainte et mainte fois refusés de m'y inscrire. Pourquoi ? Parce que je n'ai jamais était sociable et il craignait l'harcèlement morale et physique voir pire. Je les comprenais et je ne leurs en voulait pas, je savais que j'étais une jeune fille assez solitaire, timide et sans caractère mais il n'empêchais que cette école me faisait plus envie qu'aucune autre école. Ce matin là donc je mettais levée, j'avais les diverses fiches informatives que j'avais passé la nuit à écrire et à soigner pour les présentés le matin même. Ils étaient sur le canapé, tranquille lorsque j'arrive devant eux, m’assaillant sur un petit pouf de mousse de couleur rosé. Je leurs avais demandé quelques minutes de leurs temps pendant lequel j'avais déposé mes arguments sur la table et pendant lequel il méditait sur mon envie. Ce fut ma mère qui fit le premier pas, les larmes à l’œil et les mains tremblantes qui avait en leurs creux mes feuilles à grand carreaux orné de mon écriture la plus soignée. Elle ne voulait pas que je parte, elle ne voulait pas que je le quitte mais il le fallait si je voulais avoir un avenir correcte et pouvoir trouvé quelque chose pour vivre ma vie par la suite je devais m'y rendre. Ma mère était claire, elle refusait. Les larmes me montaient aux yeux mais un refus ne voulait pas dire qu'il n'y aurait pas une approbation. J'avais donc ravalés mes craintes avant de diriger lentement mon regard sur mon père, qui fixait les travaux que j'avais fais. Il releva à son tour la tête avant de me fixer longuement dans les yeux pour discerner ce que je voulais vraiment je suppose. Mais à ma grande surprise il hocha très lentement la tête de haut en bas tout en dévoilant un très léger sourire camouflé par les pleures de ma mère. Je m'étais levée avant de serrer mes parents dans les bras, laissant mes pleures monter. Je les aimais plus que tout mais je devais me résoudre à les quitter pour quelques années. Nous étions restés plusieurs minutes, plusieurs dizaines de minutes ainsi avant que je me lève et que je regagne ma chambre pour faire envoyé mon inscription.