https://vocaroo.com/i/s1EKNI18XelSBlblblblbl, le son est un peu naze mais bon >.> (EDIT : J'ai trouvé le problème, ça sera mieux la prochaine fois u-u)
Et c'est pas un RP maaaaais, voilà. Et c'était trop dur de trouver où couper :c
Rp à lire
Tu n’étais plus que l’ombre de toi-même, Hélios. Larveyette parmi les Larveyette déchus. Depuis le départ d’Arya, tu t’étais laissé dépérir. Ton teint était devenu terne. Ta feuille était trouée de partout, et d’un vieil orange disgracieux. Elle n’avait même pas la superbe d’une feuille d’Automne. Tu avais sans cesse des cernes immenses sous les yeux. Bref. Tu étais laid à faire peur. Et le pire, c’était que ton apparence était ce qui t’intéressait le moins.
Décidé encore une fois à en finir avec la vie, tu attendis que les parents d’Alban soient attablés pour les contourner et te diriger vers la volière. Pouic pouic pouic faisait ton pas précipité sur les lattes de bois.
Enfin à destination. D’un coup de patte déterminé, tu ouvris la porte à la volée. Cette dernière claqua, et la centaine de Pokémon Vol tourna un œil surpris vers toi.
(Allez-y sales bêtes, mon corps est à vous ! Je veux en finir avec la vie. Allez, mangez-moi !)hurlas-tu, les bras tendus comme un martyr, prêt à accueillir sa sentence.
Tes yeux étaient luisants de larmes mais tu étais prêt à te faire harakiri par une dizaine de serres et de becs courroucés. Néanmoins, les Pokémon Vol levèrent les yeux au ciel et prirent un air blasé. Malgré tes sanglots et tes hoquets hystériques, tu entendis dans le concert de piaillement, quelques bribes de conversations. « Oh non, encore lui. » « Le jeune maître nous a dit de ne pas lui faire de mal, je passe mon tour. » « Moi aussi » « Moi aussi » « Même s’il fait chier à venir nous embêter tous les jours comme ça. Franchement » « Je suis sûr que si je le mangeais, il continuerait de brailler dans mon bide » « Honnêtement je m’y risquerai pas. Vous avez vu sa tronche ? Il risquerait de nous filer des maladies… » « Toute façon le jeune maître ne veut pas qu’on le touche, donc… » « Oh le jeune maître, il me manque tellement… » « Au fait, vous avez vu le nouveau petit pos- »
Le respect était m o r t.