Auchon Paul | |
Nom : Auchon Prénom : Paul Âge : 13 ans Région d'origine : Hoenn Ambitions futures : Futur, eh ? Commençons par gérer le présent... | |
On verra bien. Qui vivra verra... | |
Description |
Paul est un jeune homme mesurant un peu moins du mètre soixante, pour un poids pas très imposant. Il possède un visage assez anguleux se terminant sur un menton ressortant légèrement. Une paire de grands yeux marron brillant de curiosité sont surplombés par des sourcils peu broussailleux, et encadrent un petit nez. Sil on descend encore, on aperçoit une bouche aux lèvres fines, souvent pressées l'une contre l'autre dans un mince sourire rêveur. Ses oreilles ne sont que rarement visibles, du fait de la chevelure brune qui possède une certaine longueur, tombant de chaque côté du visage de l'adolescent, et jusqu'à sa nuque. Un cou aussi pâle que le reste de son corps relie sa tête à son tronc. Le torse du garçon n'est pas particulièrement musclé, et encore moins en sur-poids. Il est juste... mince. Très mince. Pour accentuer cette impression, les bras et jambes de Paul ne montrent absolument aucun résultat prouvant un attachement au sport. Pour ce qui est de ses vêtements, l'adolescent préfère principalement les baggys et chemises (avec un petit coup de coeur pour l'ouverture des boutons quand ce n'est pas trop inapproprié.), tandis que ses pieds reposent dans une paire de baskets, ou des Getas (encore une fois, si c'est en période relaxe, hors cours). Dernier détail physique : le jeune homme porte constamment un collier comportant trois griffes animales. Cependant, il ignore de quelle genre de créature il s'agit. Pour ce qui est de son caractère, Paul possède un tempérament assez particulier. Pour expliquer en détails, commençons par dire que l'adolescent n'est pas doué du tout socialement. Personne ne comprend vraiment d'où ça vient, mais Paul a toujours été très solitaire. Déjà tout jeune, lorsqu'il se promenait avec ses parents, c'était les adultes devant, et lui loin derrière en train de rêvasser sans prêter plus attention que ça à ce qui l'entourait. Il arriva de temps à autre qu'il perde de vue sa famille, mais d'avantage sera dit dans l'histoire. Autant dire que Paul ne craint pas la solitude. C'est son mode de vie depuis toujours. Les amis, il n'a jamais vraiment su s'en faire. Mais ce n'est pas comme s'il sait par où commencer pour y parvenir. Depuis toujours, le garçon a essayé de comprendre le monde de manière rationnelle, presque mathématique. Il tentait de rationaliser chacune de ses actions, de déchiffrer le code secret qui expliquait comment se comporter dans telle ou telle situation. Ce qu'il n'a jamais saisi (ou n'a pas voulu entendre), c'est que la vie n'a rien d'ordonnée, et encore moins quand ça touche au comportement humain. Vu qu'il ne peut pas prévoir comment les gens vont réagir dans une quelconque situation, alors il a peur. L'inconnu, ce qu'il ne peut expliquer et analyser de manière à aborder sans problème, ça le terrifie, et il le rejette. C'est pour ça que même le simple fait d'aborder quelqu'un pour lui demander l'heure devient un véritable défi pour Paul. Défi qu'il aura de bonnes chances de ne pas relever, d'ailleurs. Peut-être est-ce dû à sa vie de solitude (hors de sa famille, évidemment), ou bien il y a des chances que la raison soit à cause de son manque total de compétences sociales. Quoi qu'il en soit, le résultat est que les émotions du garçon sortent souvent de son contrôle. Pour citer des exemples, il y a le fait qu'il semble vide à l'intérieur face à une situation triste, au lieu d'être... ben, triste. Ou encore, qu'une sorte de réflexe primaire face aux remontrances que peuvent lui infliger verbalement les gens soit une envie incontrôlable de rire, comme si l'accumulation de la pression sur ses nerfs se relâchait dans une explosion soudaine. Dans ce second cas (et même parfois dans le premier, face à la tristesse), Paul se bat pour chasser ce sourire sur ses lèvres qui menace de laisser place à des ricanements. Il ne comprend pas pourquoi. Et il déteste ça. Étrangement, malgré tout ce qui a été dit plus haut, le garçon a tendance à se moquer totalement des insultes dont le but est de le provoquer. Le conflit est une chose qu'il fuit comme la peste, au moins de mentir librement pour cacher une vérité dérangeante. Le mensonge, qui au départ pouvait servir de défense, s'est transformé en mode de vie. Paul ment tellement souvent, même pour des choses totalement insignifiantes. Parfois, il va jusqu'à s'inventer des anecdotes, comme si se forger un passé pouvait lui apporter quelque chose. Ce n'est pas comme s'il savait ce que ça lui amenait. Non, mentir, au fil des ans, c'est devenu naturel. Peut-être est-ce une manière de donner plus de piment à sa petite vie banale. Qui sait ? pas lui, en tout cas. Quand on parle d'émotions, les sentiments ne sont pas souvent bien loin. Eh bien dans le cas de Paul, c'est faux. Car le garçon n'arrive pas à ressentir quoi que ce soit, pour qui que ce soit. Du moins, c'est son impression. Selon son avis, la raison est principalement dans le fait, comme dit plus haut, qu'il cherche à classer chaque chose de manière rationnelle. Mais les sentiments, ça ne s'explique pas. Du coup, Paul se sent toujours vide, et voit même sa propre famille comme des gens avec qui il partage un nom et un logement. Rien d'autre. Peut-être n'est-ce qu'une impression, et qu'il existe bel et bien des sentiments chez lui. mais l'adolescent est incapable de les comprendre, ou de repérer leur présence. Alors, il se dit simplement qu'ils sont absents. Et il se contente de voir les termes comme " amis, famille, couples " et bien d'autres comme de simples mots définissant une appartenance à des groupes. Comme s'il n'y avait rien d'autre derrière. Face aux gens, Paul a l'impression de marcher constamment sur du verre. Comme si ses propos ou actions allaient le conduire vers une voie sans retour, avec ses interlocuteurs pour juges de son parcours. C'est comme s'il avait l'impression de se voir dans le regard des autres, lorsque leurs yeux sont posés sur lui. Et quand on sait la piètre opinion que l'adolescent a de lui-même, autant dire qu'il ne souhaite pas voir les conséquences de ce que peuvent voir ses vis-à-vis à son sujet. Vous ne verrez jamais Paul fixer quelqu'un dans les yeux quand il parle. Le garçon jettera des regards vers le visage de la personne, avant de fixer un point ailleurs, puis reviendra vers son interlocuteur pour ne pas donner l'impression de l'ignorer, et le manège reprendra. Les yeux sont le miroir de l'âme, dit-on. Après ce que je vous ai dit dans ce paragraphe, essayez d'imaginer l'opinion de Paul à ce sujet... Le jeune homme est quelqu'un de très gentil (normal, s'il souhaite ne pas donner une mauvaise opinion de lui-même...), mais aussi assez naïf dans le sens où il sera incapable de refuser de rendre un service si la demande est dans ses cordes, et ne l'envoie pas trop loin. En revanche, Paul est assez paresseux. Il aura facilement la flemme de faire ce qu'il peut reporter à plus tard, et posera sans problème des lapins à n'importe qui pour n'importe quoi, si les horaires du rendez-vous ne sont pas à son goût, ou si c'est dans un lieu assez éloigné. Quand il ne pourra échapper à la confrontation avec la personne en question, il fera ce qu'il fait de mieux : mentir, inventer une excuse. Et paniquer intérieurement en espérant que l'autre ne va pas continuer à s'énerver trop longtemps. En parlant de flemme, vous avez sans nul doute vu son nom. Lorsqu'il devait naître, ses parents se sont dit que ce serait amusant de faire ce petit jeu de mot. Un peu d'humour, ça ne fait pas de mal, n'est-ce pas ? Ouais, probablement, sauf quand vous vous retrouvez à porter le nom en question toute votre vie. Et après, ses parents s'étonnent que leur gosse soit inapte socialement... |
Histoire |
Paul est né un certain soir de février treize ans plus tôt à Nénucrique. Ses parents, Jack et Elena, se rendirent vite compte que leur fils préférait passer son temps dans sa tête plutôt que sur Terre. Les deux adultes n'étaient pas du genre à faire des débordements de sentiments, sans pour autant traiter leur fils comme un gosse lambda. Ils se contentaient de l'élever comme ils parvenaient. Paul n'eut jamais de frères et soeurs, du coup l'attention de sa famille lui était entièrement consacrée. L'enfance du garçon n'eut rien de bien extraordinaire. Jack travaillait dans le domaine des téléphones, tandis que sa femme occupait un poste d'infirmière dans l'hôpital le plus proche. La famille Auchon possédait du coup un style de vie assez aisé, l'emploi des adultes leur rapportant pas mal d'argent. Et avec un seul enfant à charge, ça aidait pas mal de ce côté là. Mais Paul ne s'intéressait pas plus que ça aux cadeaux matériels qu'on pouvait lui offrir. La plupart du temps, il rêvassait, laissant aller son imagination, et incarnant toutes sortes de personnages plus loufoques et héroïques les uns que les autres. Quand il eut atteint l'âge d'aller à l'école primaire, Paul découvrit un nouveau visage du genre humain : les moqueries sur son nom. Au début, il passa beaucoup de temps à essayer de surmonter les difficultés que l'attitude de ses camarades lui causaient émotionnellement. Mais avec le temps, il lâcha juste l'affaire, et se renferma encore plus qu'avant. Se concentrant uniquement sur l'école et sa famille, Paul découvrit au fil des ans que rien ne l'attachait vraiment à qui que ce soit. Alors il se détacha de plus en plus de tout le monde, s'isolant toujours d'avantage, jusqu'à ce que ses parents ne commencent à s'inquiéter et ne l'envoient en consultation chez une psychologue. Les années de primaire se poursuivirent, puis se conclurent. Quand le collège arriva, ce fut comme être jeté dans la fosse aux lions. Paul se rendit compte que les jeunes adolescents étaient encore plus sans pitié avec ceux qui étaient mis de côté. Pour quelqu'un qui passait la plupart de son temps isolé, ou dans son monde, nul doute que le fils Auchon faisait partie de cette catégorie d'individus. Au final, il se rendit compte que les choses pouvaient se résoudre d'une manière très simple : il commença à sécher les cours. Une heure par-ci, une autre par-là. La flemme vint s'ajouter à son désir de rester loin de ces gens qu'il ne comprenait pas du tout. Si bien que Paul en vint à manquer de plus en plus d'heures, voire de jours, jusqu'à ce que ses parents ne soient convoqués par la direction de son collège. Les tensions à la maison devinrent telles que Jack et Elena prirent une décision lourde de conséquences : envoyer leur fils en pensionnat. Sauf que voilà, ils ne savaient pas exactement où l'inscrire. Leur unique but était de voir leur enfant s'épanouir dans une école où il dormirait sur place, l'empêchant de sécher les cours. Et puis, peut-être qu'en s'éloignant un peu de la région où il avait grandi, ça lui permettrait de changer d'air et de prendre un nouveau départ. Quelques semaines avant la fin de l'année scolaire, les parents de Paul lui firent part de leur dernière trouvaille : l'académie Pokemon Community. L'adolescent savait bien sûr ce qu'étaient des Pokemon. Cependant, il n'imaginait pas vraiment les intégrer à sa vie. Mais, conscient qu'il n'aurait pas de meilleure alternative, et que ça pourrait peut-être lui permettre de souffler loin de Nénucrique ( ce qu'il pouvait détester cette ville, après les expériences qu'il y avait vécues...), il accepta. Lorsque l'été arriva à son terme, Paul se retrouva aux portes de son nouvel établissement, accompagné par ses parents. L'avenir est encore à écrire, et nul ne sait de quoi demain sera fait. |
Tito | |
Surnom : Tito. Espèce : Parecool. Nature : Glandeur. Description : Tito passe la plupart de son temps à dormir. Normal pour un Pokemon de son espèce, me direz-vous. Le truc, c'est qu'il n'est pas capable de rester immobile dans son sommeil. Il se tourne, se retourne, rumine, voire même se met à ramper. Mais il ne se réveille pas pour autant. Quand il n'est pas en train de roupiller (ne ratez pas l'évènement avec votre caméra) Tito fixe le monde qui l'entoure avec un désintérêt total. Et rien ne saurait le faire réagir plus qu'il ne le souhaite. Amenez les catastrophes naturelles, il va ronfler pendant tout l'bordel. |
Hors RPG |
Pseudo/Prénom : Seb Age : Pas loin de la trentaine Comment avez-vous connu le forum ? Simple recherche sur Google, puis Top-Sites. Quelque chose à ajouter ? Chaussette. Tout le monde, beaucoup merci. |
Bienvenue dans le Dortoir Phyllali ♂ ! N'hésites pas à poser tes questions si tu as le moindre soucis, et bonne intégration parmi tes confrères ! Tu peux dès lors poster ta T-CARD dans la partie correspondante, ainsi que gérer tes RPs grâce à aux RECHERCHES DE RPs ET RELATIONS. N'oublie pas de remplir les champs de ton profil dès que possible (T-card et Fiche de Présentation) pour faciliter la navigation aux autres joueurs, et de réserver ton AVATAR dans la partie adéquate ! Ton numéro étudiant est 0021. Bon jeu sur Pokémon Community ! |
BELLE the Victreebel | ||
Tendre et affectueuse, elle traite les élèves comme ses propres enfants, comprenant caresse, léchage et autres douceurs matinales. Elle n'en est pas moins autoritaire et ayant la main-mise sur son dresseur, elle l'a aussi sur le reste de l'école. Si jamais vous souhaitez vous accorder ses faveurs, elle adore les poffins et autres offrandes ! | perso' le plus badass |