Simon Custer
Nom. Custer
Prénom. Simon
Âge. 14 yo
Région d'origine. Hoenn
Ambitions futures. Topdresseur
oh. waw. you look like an old jinx.
Description
Simon, il a le teint mat. On voit qu'il a vécu au soleil. Près de la mer. Et que c'est imprégné dans sa peau. Il n'est pas particulièrement grand. Il est plus du genre petit et sec. Il n'est pas musclé, ou du moins, il ne ressemble pas à une armoire. Au contraire, sa musculature est fine, et assez discrète, mais marquée tout de même. Parce que la pêche ça vous forme un homme. Puis, il a des cheveux sombres. Ils sont noirs en hiver, et l'été s'éclaircissent légèrement à cause du soleil qui les matraque.
Simon, c'est tellement de choses. Mais c'est avant tout cette personne qui rit. Qui sourit. Qui fait des blagues tout le temps. Il est ce qu'on appelle joyeux. Simon il n'est pas prise de tête. C'est comme si tout lui passait au dessus. Comme si rien n'était grave. Rien d'important. Y'a pas grand chose qu'il prend au sérieux. Et y'a pas grand chose qui l'énerve non plus.
On pourrait dire qu'il est altruiste. Qu'il aime le contact avec les autres. On pourrait même dire que Simon, c'est quelqu'un d'ouvert et sociable. Seulement, ça ne serait qu'une part de la réalité. Finalement, Simon, il est fermé sur lui même. Il ne parle pas de lui, pas de ce qu'il a pu traverser avant d'arriver ici. Il ne parle pas de sa mère. Pas de Lola. Et encore moins de son père. Simon, en y regardant bien, il paraît superficiel. Toujours à vanner les autres. À rire aux éclats. Et puis, à faire de la merde. Parce qu'il n'y a que comme ça qu'il ne pense pas. Qu'il s'amuse. Qu'il passe au-dessus de sa vie. Puis, il n'y a que comme ça, qu'on ne s'intéresse qu'à ce qu'il montre. Qu'on ne cherche pas à creuser cette couche de maquillage fictif.
Mais, le truc, c'est qu'on peut pas vraiment dire qu'il soit superficiel, c'est juste un gamin un peu traumatisé. Il est de ce genre à préférer garder ses distances. Il veut plus s'attacher. Il veut plus souffrir. Le pauvre petit. Pourtant, c'est assez paradoxal, parce qu'il ne peut s'empêcher de s'attacher au gens. Plus vite qu'il ne le souhaiterait. La solitude c'est pas trop son truc. Il aime pas être seul. C'est pas comme ça qu'on l'a éduqué. Même s'il déteste qu'on vienne fourrer son nez dans ses affaires. Il serait un peu comme un chat, c'est quand il veut, et comme il veut.
Il est très observateur. Il verra très vite un mensonge, le flairera. Il fera comme s'il ne savait pas. Il jouera à l'idiot jusqu'à ce qu'on lui dise la vérité. Parce qu'il pense que le mensonge à son utilité. Il ne faut pas faire souffrir les gens, et c'est là précisément ce à quoi sert le mensonge, ne pas souffrir jusqu'à qu'on soit prêt. Du coup, il ne force pas. Il attend. Il est patient.
Par contre, s'il y a bien quelque chose qui aurait la folle tendance à le faire sortir de ses gonds, c'est bien la faiblesse. Ces gens incapables de se défendre face aux autres. Ceux qui se laissent faire. Ils ne les supporte pas. C'est physique. Il se sent obligé de les secouer, parfois en étant un peu méchant. Il a ce truc, ce semblant de brutalité qui se manifeste généralement dans ses mots. Il crache aux gens qu'il faut se battre. Il hurle qu'il ne faut pas compter sur les autres, uniquement sur soi.
Alors, il est facile d'imaginer le p'tit con. L'adolescent dans doute sa splendeur. Avec sa profondeur généralement cachée. Et surtout avec ses raisons connues de lui seulement. Mais il aussi simple de l'imaginer à la fois populaire parce que grande gueule. Bien qu'en même temps détesté à cause de son côté p'tit con. DESCRIPTION ICI
Histoire
Un jour, à Pacifiville, dans la région d'Hoenn, la femme du pêcheur accoucha. Et contrairement à ce qu'on aurait pu penser. Il n'y eu qu'un seul bébé qui vit le jour. Et ce n'était pas un mal, deux bébés auraient été difficile à gérer. C'était un jour de tempête. On ne savait pas si le nouveau né pourrait un jour rencontrer son père. Mais il était là. Et rien n'aurait pu combler d'avantage la mère. Son bébé, Simon. Nommé ainsi parce que c'était joli. Parce que c'était ce que voulait pêcheur. La mère savait qu'il n'aurait probablement pas la vie rêvée. Qu'il perdrait sans doute leur père bien plus vite qu'il n'aurait fallu. Pour autant, elle voulait lui fournir ce qu'il y avait de mieux. Ce qu'elle pourrait. Comme pour rattraper des erreurs passée.
À Pacifiville, la vie ne pouvait pas être si difficile. Loin des soucis de la ville. De sa nuisance. De tout cet embourgeoisement inutile. De toute cette fausse prétention. Loin de ces buildings. De ces centres-commerciaux. Loin de cette vie facile où tout est acquis. L'enfant apprendrait à vivre comme il se doit. Il deviendra fort. Une personne honnête et respectable. Simon sera un homme, un vrai. Pas l'un de ces lâches qui n'a jamais vécu que l'on trouve un peu partout une fois que l'on se rapproche de la ville d'un peu trop près. Un homme.
Le pêcheur revint au village après plusieurs de disparition. Grâce à Kyogre il avait pu revenir en bon état. Et Simon connaîtrait leur père. Ce qui était important pour lui qui aurait besoin d'une figure paternelle en grandissant. Plutôt que de rester béatement dans les pattes de sa mère. Le cadre n'était pas forcément le meilleur. Mais il avait assez régulièrement ses deux parents présents pour le chérir.
Mais puisqu'il est connu que rien ne peut se passer simplement dans la vie, il fallu que Simon tombe malade. Et dès lors il n'arrêta pas. L'enfant semblait faible. Assez chétif alors qu'il était nourrit convenablement. On voyait bien qu'il avait hérité des traits mat de son père. Pourtant, il restait assez blême. Un teint malade. Heureusement, cela n'empêchait pas le petit d'avoir des amis. Enfin, surtout une petite. Elle s'appelait Lola. Et ils étaient toujours fourrés ensemble. Elle était sa meilleure amie, et l'enfant qu'il était n'aurait changé ça pour rien au monde.
Les années passaient et Simon avait déjà bientôt dix ans. À un an près. La maladie le guettait toujours. Mais, depuis qu'il accompagnait son père pour aller pêcher le magicarpe. Il semblait bien plus vif. Bien plus épanouit. Il avait cette passion pour la mer qu'avait pu avoir le Pêcheur. Et ce contacte avec la nature semblait fortifier les défenses du jeune Custer. Mais ça lui apprenait aussi les ficelles du métier. Car un jour, il reprendrait le filon.
La seule chose qui l'effrayait à cet âge-là, c'était de savoir qu'un jour, lui et Lola prendraient des directions opposées. Elle voulait devenir dresseuse. Spécialisée comme les champions d'arènes dans un type de pokémons en particulier. La plus grosse différence qu'il y avait entre eux était là. Simon adorait la mer. Il aimait prendre le bateau. Il aimait pêcher. Il aimait tout ça. Alors qu'elle c'était l'inverse. Elle était malade en mer. Elle ne savait pas nager malgré le temps qu'avait pu passer Simon a tenter de lui apprendre. Elle avait peur de l'eau. Et surtout des types eaux. Et encore plus des pokémons des profondeurs tel un relicanth.
Ainsi, Lola partirait à l'aventure et Simon serait le rois des mers.
Mais un jour, la femme du pêcheur tomba malade. D'une maladie qui semblait être nouvelle dans ces contrées. Bien sûr, à ce moment-là Simon et son père le pêcheur était déjà loin en mer. Partis plusieurs jours car cette période de l'année l'exigeait. Il ne restait à Pacifiville que Lola, et ses parents. Par chance, elle était l'assistante du médecin de village. Ce qui semblait normal lorsqu'on savait qu'il s'agissait de son père. Ils rencontrèrent plusieurs difficultés. La chaleur n'aidait en rien la fièvre que subissait Mme Custer. Et cette même chaleur n'aidait pas à conserver les aliments. Elle n'aidait en rien. C'était un poids supplémentaire dans le processus de l'analyse de la maladie. Pour plus de simplicités et pour ne pas stresser la malade, c'était Lola qui s'occupait d'aller voir la mère de Simon. Elle faisait l'intermédiaire entre le médecin et la malade, la plupart du temps.
Et ce temps passé au contact de la maladie fut de trop. Il permis cependant d'apprendre que cette fameuse maladie était contagieuse. Et que plus les jours passaient, plus mal ça allait. Et bientôt, la petite Lola âgée de douze ans fut elle aussi contrainte de rester au lit. Incapable de faire le moindre effort. Ou du moins, il lui fallait conserver ses forces pour combattre la maladie. Il avait donc était convenu qu'il n'était pas la peine de disperser les malades. Alors, Lola resterait dans la chambre de Simon. Le médecin avait beau essayer, il ne trouvait pas le bon remède. Pourtant ce n'était pas faute d'y passer son temps. Ses nuits.
Ils arrivèrent trop tard.
Ils rentrèrent en pleine nuit. Ce soir-là, les étoiles s'étaient cachées derrière d'épais nuages. Ils furent d'abord étonnés de voir la maison éclairée. Puis les ombres se mouvant à l'intérieur les terrifièrent. Et Simon se mit à courir. Comme si son instinct lui avait cracher dessus pour l'avertir. Depuis le début il sentait que les trois semaines qu'ils avaient passé en mer étaient trop. Il aurait pu le dire. Mais comment aurait-il pu savoir ? Il ouvrit la porte avec tant de brutalité. Son père sur les talons. S'il s'attendait à ça... Des blouses blanches. Trop pour lui. Et tout fit son chemin trop vite. Il comprit. Il y avait quelque chose. Il repéra rapidement le père de Lola dans un coin de la cuisine, l'air dépité, sa femme à ses côtés. Il se releva néanmoins en apercevant les arrivants.
« Pendant que vous n'étiez pas là, quelque chose est arrivé. Eloïse et Lola sont tombées malades. »
Il ne mentionnerait pas que c'était Eloïse qui avait rendu l'enfant malade, par respect.
« J'ai essayé de faire le maximum pour les sauver, mais c'était au-dessus de mes compétences... J'ai été obligé de faire venir des médecins de Lavandia. Vous arrivez juste à temps, Éloïse est entrain de reprendre conscience. Ils disent cependant qu'elle aura des séquelles ; qu'elle sera incapable de marcher à nouveau. »
Tout sauta au yeux de Simon. Ces paroles il les avait à peine entendues. Mais il avait remarqué. Il voyait bien que le docteur évitait son regard. Qu'il semblait fuir. Alors, parce qu'il était Simon, posa la question. Il fallait qu'il sache. Et Lola. Il hurla. Il avait compris. Il n'était pas bête. C'était évident.
« Elle partira rejoindre Kyogre demain soir. »
Il n'avait jamais rien entendu de plus horrible. Mais il demanda à la voir. Il le fallait. S'il était un homme, il fallait qu'il affronte ça. Il ne pouvait faire le lâche. Il l'avait abandonné. Il s'en voulait. Il n'avait pas pu lui dire au revoir. Ni même être avec elle alors que ce moment avait dû être si éprouvant pour elle... La voir comme ça, pâle couvert d'un draps blanc lui fit probablement plus de mal que de bien. C'était une sacrée claque qu'il s'était infligé. Mais il surmonterait ça. Pour elle. Il passa le reste de la nuit au chevet de sa mère endormie. Il ne parla pas. Il refusait. Il avait tant de rancoeur en lui. Comme si c'était sa faute. Les médecins de Lavandia durent même le mettre dehors pour pouvoir s'occuper correctement de Mme Custer car il ne voulait pas la laisser.
Voir Lola partir sur ce canot, vêtue de cette robe blanche. Avec elle des souvenirs, divers. Tout le monde était là. Tout le monde aimait Lola. Simon se força même à regarder le boit prendre feu au loin. Pour qu'il n'ait jamais de doute. Pour qu'à jamais il sache que Lola ne reviendrait pas.
Il lui fallut plusieurs mois avant de reparler. Et la première chose qu'il dit fut qu'il partait. Plusieurs mois durant il était resté à s'occuper d'Éloïse Custer pendant que le pêcheur partait faire ce qu'il savait faire le mieux. Cependant, dans ces conditions, il lui fallait d'abord s'assurer que tout irait bien pour tout le monde. Alors, il sortit de sa bulle. Du moins en apparence. Il redevint un petit un peu insolent, la langue bien pendu. Mais il avait fait les choses biens. Si bien qu'on ne put lui refuser de partir pour l'île Lansat. ICI
Surnom. Festus
Espece. Griknot
Nature. Jovial
Description. Globalement, on peut dire que Festus et Simon s'entendent comme à merveille. Bon, c'est le premier pokemon de Simon, donc il a un peu dû mal, parce qu'il n'a pas l'habitude d'avoir à s'occuper d'une p'tite bête qui a bien sûr la facheuse tendance à toujours être dans ses pattes. Mais même s'il ne dira rien, il est content d'avoir de la compagnie.
Pseudo ou prénom. nana
âge. quelques patates
Comment avez vous connu le forum ? une certaine personne m'a fait vot' propagande. et puisque je suis faible, je suis là.Quelque chose à ajouter ? j'aimerais dire que si jamais c'est aussi kk que mon skill en graph, il ne faut surtout pas hésiter à me fouetter.