région : Galar
age : 15 ans
genre : Masculin
ambitions futures
Mon objectif est de travailler dans la recherche. J'ambitionne donc de devenir scientifique, sans encore avoir vraiment trouvé de branche vers laquelle me tourner. Je sais que cela concernera la génétique ou la biologie pokémon, mais ça reste encore assez vague dans mon esprit.
Je préfère la compagnie des livres !
en quelques mots
Le forum m'a tout l'air très bien construit, et l'ambiance semble y être chaleureuse. Il me tarde de pouvoir rejoindre pleinement votre communauté. Cela fait un petit moment que je n'ai pas rp, d'autant plus dans l'univers de pokémon. Donc excusez-moi les quelques bêtises que j'ai pouvoir faire à l'occasion !
pseudo : Johan
age : 25 ans
pronoms : il / lui
caractère
Esprit
J'oscille constamment entre mon envie de m'enfermer sur moi-même pour éviter les mondanités du quotidien et cette irrépressible besoin de converser pour en apprendre plus sur l'être humain qui me fascine en un sens presque autant que les pokémon. Je fais mon possible pour nouer des relations avec les autres lorsque je le peux, même si c'est encore loin d'être ma priorité. Au quotidien, je préfère largement trouver du réconfort dans les livres, naviguant entre les pages pour venir abreuver mon esprit de connaissances. L'enrichissement culturel est pour moi la principale source de réjouissance, bien plus que l'optique d'être entouré d'âmes aux sourires faux.
Comme vous pouvez-vous en doutez, je suis plutôt solitaire. J'accorde difficilement ma confiance aux autres, et je n'aime pas imaginer que l'on puisse mettre en cause ce que je considère comme acquis. Aussi, je préférerais toujours me renfermer sur moi-même, ignorant le monde qui m'entoure pour me complaire dans mon petit monde onirique.
Je n'ai pas de relation particulière aux pokémon, hormis celle de les voir comme de parfaits objets d'étude. Je m'intéresse à eux, à leurs compétences, à leur anatomie. Ce qu'ils sont profondément, la nature même de leur existence est pour moi un sujet d'étude enrichissant, que je tente d'approfondir au fil de mes études. Je ne sais pas encore comment j'aborderai les choses avec mon premier compagnon, mais j'imagine que je serai compliant avec lui. Tout autant que je puisse l'être avec quelqu'un.
Corps
Je ne suis pas un athlète dans l'âme. Mon corps d'adulte commence tout juste à se dessiner, et je ne fais rien pour l'entretenir outre mesure. Certes, je fais en sorte d'avoir une alimentation variée et nutritive, mais je ne considère pas qu'il me soit important de forger mon corps à quelconque exercice exténuant. Je laisse cela volontiers aux adolescents bodybuildés que l'on peut retrouver dans certaines classes de l'académie.
J'arbore fièrement de longs cheveux blonds qui tombent en légères cascades sur mes épaules. Héritage de mon patrimoine maternel, je suis le seul de mes frères à avoir hérité des cheveux de notre mère. C'est sûrement sa plus grande fierté d'ailleurs, et elle ne cesse de me le rabâcher depuis ma tendre enfance. J'en viens parfois même à douter, à savoir si l'amour qu'elle me porte est sincère, ou bien si elle s'inquiète que mon corps et mon cerveau ne viennent dénaturer la beauté capillaire dont j'ai hérité.
Mes yeux, eux, ils me viennent de mon père. D'un profond vert émeraude, ils viennent encercler des paupières cernés par mes nuits de sommeil à étudier. Ils sont d'ailleurs généralement larmoyants, surtout lorsqu'une fatigue profonde vient m'envahir. Là, ma démarche prend également l'allure de celle d'un zombi, même si c'est également celle que j'arbore au quotidien.
histoire
Et je n'ai eu pour moi que la richesse encyclopédique, l'amertume des livres et la droiture d'esprit.
Je ne suis pas ce que l'on peut appeler un garçon à la sociabilité facile. J'ai pourtant grandis au sein d'une fratrie de six enfants, six garçons que je suis heureux d'appeler frères. Selon ma mère, ma douce mélancolie m'habite depuis mon plus jeune âge et déjà, au jardin d'enfants, j'appréciais rester à l'écart des autres, à me perdre dans des considérations d'âmes qui n'étaient pas de mon acabit. Je n'ai jamais vraiment compris le fonctionnement de l'être humain, cette machine complexe que je ne peux m'empêcher d'observer d'un œil suspect et maladroit. C'est certainement cela qui m'a valu les esbroufes mesquines qui sont venues doucement éteindre la flamme de ma confiance personnelle.
Helena Carmeline, ma génitrice, était femme de chambre au sein du luxueux hôtel Iona, à Ludester. Elle a perdu son emploi après ses nombreuses grossesses, victime d'une infâme discrimination sexiste malvenue. Mon père, lui, officiait et officie encore comme homme d'entretien aux thermes de la ville, s'occupant de l'entretien des canalisations vieillissantes de l'endroit vétuste. Il est donc inutile de vous signifier que je n'ai pas grandi dans l’opulence, et que je me suis toujours contenté du moindre. En tant que benjamin de cette grande famille, j'ai pris l'habitude de passer en dernier, d'être toujours la dernière roue d'un carrosse rutilant.
J'ai ainsi vu, peu à peu, mes aînés quitter le foyer, en plus ou moins bons termes avec mes parents. Le plus âgé, Samuel, est parti faire ses études à Sinnoh, mettant une distance non-négligeable avec nous. Je crois qu'il ambitionne encore aujourd'hui de devenir professeur des écoles, mais je n'en suis pas sûr. Je n'ai pas souvent de contact avec lui. Tout au plus une carte postale pour Noël, quand il y pense. Le deuxième, Kiernan, a chois la voie de entrepreneuriat. Il a tenté de monter sa propre entreprise de revente d'objets de combat aux abords des stades de Galar, sans grand succès. Aujourd'hui, il travaille en tant que vendeur pour une boutique de mode, à Motorby. Il revient de temps en temps à la maison, mais je ne me suis jamais vraiment entendu avec lui. Trop prétentieux, trop ambitieux. Le troisième, Lucas, est celui de qui je suis le plus proche. Il est parti Hoenn pour tenter sa chance en tant que dresseur pokémon. Il m'envoie souvent des nouvelles de son aventure par téléphone, et ça semble se dérouler pour le mieux de son côté. Enfin, les jumeaux Owen et Sven, âgés de dix-sept ans, ne vont pas tarder à quitter le domicile familial. Ce sont de vrais garnements, mais ils sont plutôt débrouillards. J'ai peu de doute sur le fait qu'ils risquent de s'en sortir aisément dans leur vie future.
Et au milieu de tout ce beau petit monde aux ambitions modestes, il y a moi. Moi et mon envie muette de m'éprendre de connaissances nouvelles pour venir abreuver une soif intarissable. L'étude des pokémon a depuis longtemps été mon domaine de prédilection, et je m'y perds bien plus que dans les apprentissages pratiques. J'aime comprendre les rouages de l'anatomie si particulière de ces créatures magnifiques, déceler les moindre parcelles de mystères qui continue à persister sur leur condition. Je me plonge depuis l'enfance dans la compréhension de ces phénomènes, et les livres sont mon meilleur refuge pour espérer ne pas perdre totalement conscience de la réalité qui m'entoure.
Et j'ai compris la valeur de la rigueur scientifique à travers la mise à distance de mes semblables.
Imaginez-vous bien que je me suis vite rendu à l'évidence que jamais je ne pourrai avoir l'opportunité de réaliser mes rêves. Adolescent discret, je n'ambitionnais rien et je me contentais de n'être qu'une ombre discrète sur les murs, ne voulant déranger personne de ma vacillante présence. Je n'ai jamais parlé à mes parents de mes projets d'avenir. Il faut dire qu'ils auraient certainement été bien embarrassés de devoir m'expliquer qu'étudier coûtait plus d'argent que ce qu'ils n'avaient à m'offrir. Pour éviter de les mettre en mauvaise position, je me suis toujours tu à ce sujet.
Jusqu'à l'appel de Lucas, ce frère dresseur que j'affectionne. Il m'a parlé d'une école pokémon, sur l'île d'Adala, à l'autre bout du globe. Une école d'élite que je connaissais déjà de nom – comme quatre-vingt-dix pourcents des personnes de cette planète – que l'on disait former la future génération dans le domaine du dressage, de l'élevage et de la recherche pokémon. Selon lui, il avait amassé assez d'argent durant sa courte carrière pour m'offrir l'inscription. J'ai bien évidemment refusé. Il a insisté. J'ai de nouveaux refusé. Il m'a harcelé. Et j'ai fini par céder, des étoiles dans les yeux.
pokemons
surnom : Tanaris
espèce : Dedenne
nature : enthousiaste
description
Tanaris est ma némésis parfaite. Là où je suis calme et réfléchi, lui est profondément impulsif et colérique. Petite pile électrique à l'énergie débordante, il adore venir me taquiner pour essayer de me sortir de ma morosité naturelle. Très câlin, il réclame beaucoup d'affection au quotidien que je peine encore à lui apporter convenablement.