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année 11, semestre 2
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Bienvenue sur Leiar ! Une île hébergeant la Pokémon Community, campus universitaire accueillant de tous les profils, humains comme Pokémon. Élève ou adulte, vous vivrez au jour le jour une vie trépidante au sein du campus, votre quotidien ponctué de mille et unes folles histoires typiques de la Pokémon Community. Cette île couverte de cristaux vous réserve quelques surprises, tout ça entre deux cours ou mission pour devenir le meilleur dans vos spécialités respectives ! En savoir plus ?
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Léonie d’Aurélius
https://pokemoncommunity.forumactif.org/t9548-645-leonie-daurelius-s-evertuer-dans-les-cieux-givralitermine
https://pokemoncommunity.forumactif.org/t9858-leonie-d-aurelius-givrali#97928
Icon : /
Taille de l'équipe : 4
Région d'origine : Hoenn
Âge : 19 ans
Niveau : 30
Jetons : 1654
Points d'Expériences : 808
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Hoenn
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pokemon
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Léonie d’Aurélius
est un Topdresseur Spé. Type


Mission scientifique
Erreur Sytsème

Ranya Illuzion



La tête devant le miroir, pour vérifier que tout est en ordre sur ton minois de belle jeune femme, tu ne surveilles pas tant que ça l’heure. Tu sais que tu as rendez-vous pour une mission, mais tu ne saurais exactement dire si tu es en retard ou en avance. Tu te maquilles discrètement, mais proprement. L’ordre du jour est assez spécial, et même très agréable. En-dehors du fait que tu n’y piges pas grand-chose dans le domaine scientifique, tu sais qu’on ta réquisitionnée pour tes qualités de dresseuse et de spé-type. La qualité du type vol, c’est aussi de pouvoir de contrôler les cieux, n’est-ce pas ?

Simplement vêtue d’un pantalon techwear assez épais, noir, tu l’a accordé avec un gros pull à capuche sous lequel se cache un débardeur. La matière du pull est la même que pour les sportifs avec l’imitation du duvet d’Hélédelle, ça garde absolument toute la chaleur et évacue toute l’humidité. Une veste imperméable légère et verte s’accorde à tes chaussures en gore-tex. Là aussi, on mise sur l’efficacité et le style à la foi. Rien n’est laissé au hasard. La présence de tes pokémons, quoi que nécessaire pose la question de leurs présences.

Tu veux prendre ton starter, Taranis, mais celui-ci est toujours aux prises avec son homologue féminin Ritona. L’Altaria que tu as récupérée il y a maintenant dix mois reste très difficile à appréhender. Violente, solitaire, mais aussi très demandeuse d’attentions et d’exigence, cela réclame beaucoup de travail de ta part. Tu ressens parfaitement le sentiment d’abandon de ton petit Tylton et cela t’agace, surtout qu’il est de moins en moins réceptif à tes approche. Tu soupires longuement. Au moins, la Bleuseille et l’Apitrini restent plus calmes.

- Bon, Rosmeta, tu viendras avec moi, des fois qu’on se perde tu nous aidera à retrouver le chemin, ensuite, j’aimerai volontiers que tu m’accompagnes Taranis.

Le petit nuage volant s’illumine, c’est la première fois que tu l’emmènes pour une mission, tu as préféré l’Altaria avant. Celle-ci manifeste d’ailleurs durement sa désapprobation et commence à battre des ailes. Les objets les plus légers tombent au sol, le reste virevoltes. L’apitrini recul derrière toi et cette fois une querelle explose entre les deux pokémons bleu et blanc. Tout va très vite, car on dépasse rapidement le stade des cris, des insultes et des coups d’ailes. Cette fois Ritona lève les serres et Taranis n’a d’autre choix que de riposter avec violence. La seule différence c’est 19 kilos et 70 centimètres d’écart. L’appartement et en bordel infini avec les vents qui se lèvent, la fenêtre s’ouvre en claquant.

- C’est pas bientôt fini ic

Tu prends un cahier dans les côtes, séchant ta phrase et tu décides de séparer tout même les pokémons, au diable tes cheveux, au diable ton maquillage, ici, on est plutôt sur une urgence qui dépasse tout ça. Une main sur chacun de tes pokémons tu commence à les repousser, mais l’Altaria te repousse d’un coup d’aile au sol, ton Tylton, lui, avait déjà commencé à désamorcer la situation comprenant qu’il te mettait lui-même en danger. Ritona, n’apprécie pas du tout que tu t’ingères dans sa dispute avec un pokémon qu’elle considère bien plus faible que lui. Le Dragon semble s’en prendre à toi en chargeant littéralement une attaque Dracossouflee sur toi, l’éclat lumineux fuse dans la pièce et c’est le type normal qui s’interpose en prenant l’attaque et te rejoignant au sol, directement dans tes bras.

Tu parviens à récupérer la pokéball du dragon volant pour la rappeler, en vain, elle attaque à nouveau, te blessant à la main, la capsule roulant plus loin dans la chambre. Tu regrettes parfois que ta sœur ne soit pas là pour t’aider. Tu es dépassée, toi qui avais toujours réussi à calmer les disputes, cette fois, rien n’y fait, ce n’est plus de ton ressort. Prises par les émotions les joues perlent et la pluie s’installe dans cette pièce. Tu fais rentrer le pokémon miel et l’oiseau de Galar pour les protéger, mais tu vois très mal autour de toi.

Situation désespérée, solutions inopinées. C’est le petit Tylton qui prend les choses en main en se jetant vers son aînée. Une rivalité malsaine qui produit un résultat inattendu. Une grande lumière jaillit, aveugle la pièce et les cris d’Altaria se mêlent entre eux, puisque le petit Taranis s’approprie son essence draconique par cette splendide évolution. D’une taille démesurée pour un Altaria, ses serres écrasent brutalement Ritona, la clouant sur le lit dont les lattes sont entrain de céder. Le message est clair, ne plus t’emmerder et découvrir quelle est sa véritable place. Tu restes pantoise, assise, les joues humides. Quelques cris plus tard, ton premier pokémon lâche sa prise, laissant son vis-à-vis en état de choc, surprise d’avoir été ainsi dominée sans quelle ne puisse rien y faire. La main tremblante, tu récupères la pokéball de la dragonne pour la ramener dans sa pokéball sans qu’elle ne s’y oppose.

Aucun mot ne sort de ta bouche, mais le jeune évolué se niche contre toi, tu peux sentir la douceur de son plumage, ou pelage, difficile à dire. Tu as l’impression d’être sur un nuage reposant et tu te laisses aller en silence, sans voir quoi dire. Le féliciter ? Pourquoi faire, piqué dans son ego, ses valeurs, il s’est surpassé ? Cela semblerait inapproprié.

- Je t’aime, tu sais, merci d’être toujours là.

Après quelques minutes, tu finis par te relever, la main endolorie te fais mal, pas de sang, juste engourdie, tu passes un peu de crème avant de te recoiffer et reprendre ton maquillage qui aura quelques imperfections.

- Fait chier, mais c’est pas un défilé aujourd’hui

Tu vas être en retard, le temps de prendre le bus, d’attendre, tout ça… Puis ton regard se pose sur ce grand Altaria d’un peu plus de deux mètres. Un moyen de transport idéal. Tu jettes un œil à ta chambre, à part le lit qu’il faudra réparer… C’est seulement le bordel, t’as vu pire et entendu pire dans cette académie.

- Taranis, tu m’emportes jusqu’à la forêt ? On a un point de rendez-vous à l’arrêt de bus le plus proche.

C’est à dos de dragon que tu t’envoles pour ta destination retrouvé Ranya. La scientifique sera le quota intellect de cette histoire, t’es certes très studieuse, tu te contentes du corpus de base pour avoir toute la culture générale nécessaire. Le vol est agréable, avec le talent ciel gris d’Altaria, les nuages se dissipent, ne laissant que le bleu du ciel et la chaleur délicate du soleil rincer ta peau.

Tu arrives en retard, Ranya est déjà là et ne maîtrisant pas parfaitement sa nouvelle forme, le Dragon fait voler pas mal de poussière autour de lui. Un petit dérapage au sol qui mélange habilement le ridicule et le sensationnel. Tu descends presque dignement de ta monture avant de tapoter le corps de ton taxi volant.

- Y avait un monde fou devant ma chambre, tu sais ce que c’est les problèmes de belles femmes fortes et convoitées.

Tu souris en regardant celle que tu aperçois danser dans un bar ou dans le dortoir. Une connaissance des plus charmante, mais avec qui tu n’as jamais pu échanger ou discuter plus que des banalités.

- Bon, le topo, c’est quoi ? J’ai compris que je devais t’escorter dans cette forêt d’arbres morts où les objets électroniques marchent pas, c’est ça et la brume rend la zone dangereuse ?

T'es pas au max de ta forme, tu laisses ta main endolorie le long de ton corps pour pas trop attirer l'attention et ton maquillage ne parviens pas trop à cacher que tu pleurais y a vingt minutes. Tu lui souris, histoire de se mettre en route rapidement.

HRP :


© BBDragon
Ranya Iluzion
https://pokemoncommunity.forumactif.org/t6896-471-danse-avec-moi-ranya-givrali
https://pokemoncommunity.forumactif.org/t6897-ranya-iluzion-givrali
Icon : [Mission Scientifique]  Erreur système [Léonie / Ranya] [En cours] 6gxr
Taille de l'équipe : 14
Région d'origine : Johto
Âge : 19 ans
Niveau : 50
Jetons : 924
Points d'Expériences : 1774
[Mission Scientifique]  Erreur système [Léonie / Ranya] [En cours] 6gxr
14
Johto
19 ans
50
924
1774
pokemon
[Mission Scientifique]  Erreur système [Léonie / Ranya] [En cours] 6gxr
14
Johto
19 ans
50
924
1774
Ranya Iluzion
est un Scientifique Archéologue


Erreur système
Mission / Arbres morts / Léonie d'Aurélius
Ranya soupire en poussant sa chaise roulante de son bureau. Assez pour l’instant, sa prochaine thèse n’avancera pas plus aujourd’hui. Les ouvrages forment sur son espace de travail des piles immenses et peu solides. Parfois ils sont ouverts, parfois fermés, et ils débordent de post-it et de note sur des bouts de papier. La blonde souhaite travailler sur les 3 premières créations d’Arceus, Dialga Palkia et Giratina. Si sur le papier le sujet peut paraitre évident tant ces créatures sont connues même pour les non-croyants, dans la réalité ça l’est beaucoup moins. Les dernières fouilles ayant mises en exergue l’ancien Sinnoh, ou Hisui, ont complètement remis en perspective ces trois pokemons, en particulier les créateurs de l’espace et du temps. Quant à ce dernier, il existe depuis la nuit des temps des récits parlant d’une corruption de ses pouvoirs. Bref, les études ne manquent pas, mais synthétiser tout ça tout en gardant une certaine crédibilité aux yeux des plus réfractaires, ce n’est pas si simple.

Toujours est-il qu’elle est également obligée de s’arrêter pour s’atteler à ses tâches d’étudiante. Ou plutôt tête de turc de Katia. Enfin ça, Ranya en est persuadée. La scientifique n’hésite jamais à lui refiler tout un tas de tache parfaitement aléatoire et le plus souvent bien loin de l’archéologie. Administrativement ça n’est pas si mal puisque ça lui permet de valider tout un tas de trucs pour ses grades. Mais bon, Ranya reste Ranya. Elle est bien obligée de râler, même pour la forme.

Cette fois-ci, elle doit se rendre dans la forêt pour rallumer les appareils de mesure des mécanos. Sans être dans cette filière, elle en a suivi certains courts et avec les tutoriels que la dirigeante du pôle lui a fourni  ça devrait le faire. Pour être sûre de ne pas faire de grosses boulettes, la danseuse a même demandé à Nico de lui donner deux trois conseils de nerd supplémentaire. A défaut de l’accompagner dans la forêt directement (Nico sortir de sa chambre sous son plaid avec sa console un samedi ? Jamais), il a au moins fait de son mieux pour que son amie ne galère pas trop. Ranya l’a évidemment remercié pour ça.

Accompagnée d’Ulti et de Mentouhotep, la Givrali quitte enfin sa chambre, sac à dos en place, pour prendre le bus en direction de la forêt. C’est techniquement là-bas qu’elle doit y retrouver sa partenaire attitrée, une certaine Léonie dont le nom ne lui est pas étranger.

Les deux filles se sont rencontrés presque un an plus tôt lors de leur installation sur Leiar, dans le bar des Nymphalis. Il y a eu une petite discussion, un jeu de regard, mais rien de plus. Et tout a continué comme ça. Des jeux de regards, des phrases très hasardeuses, mais jamais rien de plus. La blanche ne l’a jamais approché très frontalement, et encore moins invitée à sortir. Peut-être que d’une certaine façon ce n’était pas plus mal. Ranya n’était sans doute pas prête à ce moment-là pour s’engager dans quelque chose, même léger. Elle devait encore se reconstruire. Et si aujourd’hui elle va mieux, cela ne veut pas dire que pour autant elle voit un avenir avec cette femme à la beauté venue d’ailleurs.

Sortie du bus, écouteurs encore dans les oreilles, la blonde lève la tête vers le ciel, et ne tarde pas à apercevoir son homologue Givrali atterrir à dos d’Altaria. Une très belle créature, même si la danseuse n’échangerait pour rien au monde sa propre monture volante Nessie. Ranya hoche la tête dans un premier temps pour la saluer, constatant qu’elles ont sans le vouloir adopté un style vestimentaire très similaire, puis hausse un sourcil face à cette excuse pour justifier de son retard. Avoir de l’ego est une chose, mais il y a quelques limites. Elle ne peut s’empêcher de relever à sa manière.

Excusez-moi très chère je ne savais pas que j’allais travailler avec une star aujourd’hui.

Un sourire narquois sur le visage, la jeune femme sort tout de même de sa poche son Ipok, puis déverrouille la carte qu’elle a préparé avant de partir. Elle se penche alors vers sa camarade du jour pour lui expliquer. Après tout plus vite ça sera fait, et plus vite elles pourront se mettre en route.

On doit rallumer des balises de prise de mesure. Normalement, elles sont à ces endroits de la carte. Mais comme elles se sont désactivées, on ne peut pas les géolocaliser et simplement les suivre sur un GPS. Normalement on a des boussoles dans nos portables, on devrait s’en sortir. On a aussi quelques photos mais elles peuvent être trompeuses, l’hiver a transformé la forêt.

La danseuse se tourne vers la forêt puis commence à marcher, s’orientant suivant la carte. Elle l’envoie également à Léonie par message Ipok avant de reprendre, son Kranidos marchant déjà devant tandis que son Tutafeh vole au-dessus de sa tête.

Ensuite faudra les remettre en marche, tout en comprenant pourquoi ils se sont désactivés. Flemme de revenir dans 2 jours parce que ça se sera éteint à nouveau. D’après mon ami mécano, c’est dû à des interférences électromagnétiques. Ca peut être dû à d’autres machines, des pokemons, ou carrément la météo étrange de l’île et dans ce cas le pôle pourra bien s’assoir sur ses relevés pendant cette période.

Pour ne pas avoir trop froid aux mains, la danseuse range son portable dans la poche de sa doudoune à manche courte, sachant qu’elles vont devoir marcher tout droit dans la brume pendant un petit moment, puis se tourne de nouveau vers Léonie. Quitte à mettre les pieds dans le plat autant y aller direct, sans méchanceté aucune, juste en constatant.

Et toi pourquoi Katia t’envoie ? T’es pas une scientifique, et t’as pas l’air au top de ta forme avec ta main gênée. T’es sûre que ce n’est pas moi qui dois te protéger plutôt ?

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