Cybèle J. Merill | |
Nom : Merill. Oh non, je vous en prie, épargnez-lui ce jeu de mot avec ce fameux pokemon eau... Prénom : Cybèle, elle ne se présente que sous celui-ci. Son deuxième, « Jinie », est quant à lui tenu secret. Âge : Elle a récemment eût 14 ans. Région d'origine : Cybèle est originaire de la région d'Unys. Elle est née et n'a toujours vécu qu'à Flocombe. Ambitions futures : Elle ne vit que pour le show, les strass et les paillettes : elle est née et ne rêve que de devenir une coordinatrice. | |
C'est un jeu simple auquel nous allons jouer. Ferme les yeux, fais-moi confiance, et laisse le destin te guider. Détends-toi, tout se passera bien... Les règles du jeu ? Tu vas voir, elles sont très simples. Donne-moi une pièce, je la lancerai : pile, je gagne. Face ? Tu perds. | |
Description |
Machinalement, on se retourne toujours sur le passage de Cybèle. Non pas qu'elle soit d'une extraordinaire beauté – la jeune fille est jolie, certes, mais elle n'est pas pour autant l'une de ces filles que l'on s'arrache, il faut le dire. Non, si l'on regarde Cybèle, c'est avant tout pour son originalité. L'adolescente n'est pourtant pas des plus excentriques : elle ne porte sur son corps ni piercing, ni tatouage d'aucune sorte. Elle n'a pas non plus décidé précipitamment de se teindre les cheveux en un rose fluo et d'un goût peu certain. Mais en fait, elle n'a pas besoin de ça pour être considérée comme une originale, une fille hors norme. Cybèle, c'est avant tout un personnage : quelqu'un dans le sens du courant, et qui semble pourtant chercher à le remonter à contre-sens. Quotidiennement, l'adolescente ne peut s'accommoder de vêtements simples et confortables, ce genre d'habits dont se vêtissent tous – ou presque – les jeunes de son âge. A quoi bon faire simple, lorsqu'on peut faire compliqué ? Cette phrase aurait sans mal put être sa maxime. Cybèle ne semble pas avoir connaissance des pantalons, des shorts, ni rien qui pourrait s'y apparenter, de près ou de loin. Elle, ne connaît et n'aime que les robes ; et pas n'importe lesquelles : les plus élégantes, les plus chers, les plus volumineuses de toute la boutique. De ces splendides pièces pleines de froufrous, de tulles, de tissus en tous genres ; celles-la même qui lui font prendre deux places dans le bus et dont le bas se met à danser alors qu'elle ne fait qu'un seul pas. Mais ce n'est pas tout. Parce que la robe n'est que le gros de la panoplie : restent les chaussettes montant jusqu'aux genoux, les accessoires qu'elle porte dans les cheveux, et la collection affolante de chaussures qu'elle alimente un peu plus de jour en jour. Pour Cybèle, rien ne doit être laissé au hasard : si elle accorde beaucoup d'importance à sa tenue en général, elle n'en n'oublie pas pour autant tous les petits « à côté » tels que le maquillage dont elle affuble ses yeux aux iris rougeoyantes, la bonne tenue de ses longs cheveux aux boucles impressionnantes, la manucure parfaite de ses ongles ou encore ses manières. Et ça pour en avoir, des manières ! On ne saurait bien les décrire. C'est entre l'enfant candide et la princesse orgueilleuse. Ses mains sont toujours en mouvements, soit pour donner un effet supplémentaire de légèreté à ses jupons, soit pour se couvrir la bouche alors qu'un petit rire passe le pas de ses lèvres. Cybèle est un numéro de cirque à elle toute seule : une splendide poupée de porcelaine en soit, aux traits pas si innocents, qui se complait à importer un peu de son monde dans le notre. Cybèle est très expressive, c'est un trait de sa personnalité qu'on ne peut pas lui ôter. Au moindre bruit, elle sursaute exagérément, prend la pose pour réfléchir, lève le doigt en l'air lorsqu'elle a une idée. Cybèle est même excessive. Chacun de ses mouvements, de ses gestes est exagéré. Le moindre détail, avec elle, devient une véritable montagne. Mais en vérité, l'adolescente n'est ni plus ni moins qu'une actrice. Si elle aime jouer, jamais elle ne se permettrait de jouer ses véritables sentiments, ses ressentis personnels : c'est bien trop risqué. Alors elle se contente de « faire comme si », Cybèle, elle fait de sa vie une véritable comédie, une pièce de théâtre gigantesque où elle serait le personnage principal, et nous de banals spectateurs. Ce qu'elle veut, c'est seulement qu'on la regarde, qu'on l'applaudisse, qu'on l'acclame. La jeune fille est ce monstre insatiable qui ne se nourrit que de la reconnaissance et de la jalousie d'autrui. Quotidiennement, il lui faut son lot d'admiration : autrement, elle s'en rend tout bonnement malade. Dans tous les sens du terme. Malgré les apparences, Cybèle est très, très peu sûre d'elle. C'est une narcissique maladive, de celles qui passeraient trois heures devant leur miroir juste pour pouvoir admirer leur reflet parfait dans la glace mais qui, étrangement, sentent toujours devant les autres qu'il y a quelque chose qui cloche. Rien ne sera jamais assez beau, assez bien pour la rassurer. La jeune fille court après cette perfection qu'elle n'atteindra sans doutes jamais : et c'est sa hantise. Se retrouver dans les fonds de cale, se trainer avec les autres, ces gens banals et inintéressants ; elle ne veut pas de ça. Elle n'en a pas envie. Pire encore : ça lui fait peur ! Terriblement peur, même. Cybèle n'est pas faite pour l'ombre : elle est faite pour briller ! Briller, plus fort, plus longtemps qu'une étoile. Cybèle est faite, née simplement pour la célébrité. Superficielle et arrogante, Cybèle donne l'image de cette fille prétentieuse et sûre d'elle. Et comme je l'ai déjà dit, il y a un fond de vrai là-dedans. Toujours égale devant les autres, décomplexée et bavarde, elle n'a aucune gêne et se permet d'aller voir de parfaits inconnus seulement pour leur emprunter quelque chose – qu'elle ne leur rendra jamais, bien sûr. Habituée à ce qu'on lui cède absolument tout, l'adolescente ne comprend pas bien le mot « non », et n'abandonne jamais la partie. Elle veut quelque chose ? Alors elle l'aura. Qu'importe les sacrifices qui lui sont imposés, qu'importe la difficulté rencontrée. Cybèle est une personne déterminée, qui saura surmonter tous les obstacles pourvu qu'elle puisse atteindre son but suprême ; quitte parfois à en faire trop, pour très peu... Toutefois, si elle est une orgueilleuse battante, la jeune fille se sent pourtant peu en sécurité lorsqu'elle est accompagnée d'autres personnes. Elle est le genre de fille à se montrer sociable, toujours très à l'aise en société ; de celles qui semblent presque inaccessibles de par leur popularité. Mais la vérité, c'est que si Cybèle n'en montre rien, elle n'a pas réellement d'amis. Elle se méfie de tout et de tout le monde, de peur d'être trahie comme elle trahie les autres – parce que chez elle, c'est ainsi que ça fonctionne. Une personne de confiance, elle ? Laissez moi rire ! Parce qu'elle estime que s'attacher à des personnes est une perte de temps, et que tous ceux en face d'elle ne sont que des pions à déplacer sur son échiquier géant, elle n'hésite jamais à vendre les autres pour se protéger, ou même pour se promouvoir. Mais toujours en finesse : chaque poignard planté dans le dos de quelqu'un l'est avec beaucoup de discrétion, et toujours silencieusement. Cybèle vous offrira son plus beau sourire. Elle vous fera rire, vous mettra à l'aise. Il se peut même que vous finissiez par l'apprécier ! Puis c'est sans honte, aucune qu'elle vous consolera tandis que vous pleurerez toutes les larmes de votre corps, inconsciemment par sa faute. Cybèle n'a ni vergogne ni pitié : c'est une prédatrice à l'affut, qui estime que c'est seulement « manger ou être mangée », et qui n'a, croyez-moi, aucune envie d'être dévorée. La vie pour elle n'est qu'un vaste jeu. Chaque jour elle s'applique à jouer avec finesse et un minimum d'intelligence pour remporter la partie finale, le jour venu. Mais pour l'emporter, il faut avoir quelques atouts dans ses manches, c'est bien connu. Les atouts de Cybèle sont les secrets des gens. Leurs petits secrets les plus noirs, qu'ils lui confient par excès de confiance ou qu'elle découvre d'elle-même en fouinant un peu partout comme elle en a l'habitude. Ils sont pour elle de précieuses choses : avec, elle fait chanter ses pauvres victimes pour obtenir plus, toujours plus – ou s'en sert malicieusement pour accomplir l'une de ses terribles vengeances, dans le plus grand secret. Malicieuse, Cybèle ? Oui. Terriblement mesquine ; et sournoise, aussi. On n'a pas assez d'une main pour compter ses défauts : c'est un peu comme un esprit maléfique qui hanterait une splendide poupée de porcelaine. Mais si son jeu semble imparable et qu'elle semble être si sûre d'elle, Cybèle a pour autant cette peur qui lui enserre l'estomac : qu'on la perce à jour. Jouer sur deux tableaux, c'est bien, c'est divertissant : mais c'est avant tout très risqué. Alors même si elle ne laisse rien paraître de sa phobie en publique, elle ne s'attache ni ne dévoile jamais rien d'elle-même aux gens et préfère vivre en solitaire, par précaution. Chaque soir, pour autant, lorsqu'elle s'endort, mille questions s'imposent toutefois à elle, inévitables. « Ai-je assez bien joué mon rôle, aujourd'hui encore ? » |
Histoire |
Il n'y a pas grand chose à conter sur Cybèle. Elle a été l'unique enfant d'un couple aujourd'hui bien banal : tandis que Monsieur travaille dur pour garder sa propre entreprise au plus haut, Madame fait la vaisselle et s'entache à tenir parfaitement la grande maison familiale. Depuis toujours, l'enfant n'a jamais manqué de rien, et s'est même vu offrir plus qu'elle ne pouvait même en demander. En fait, elle était simplement la fille à son papa, celle qu'il veut ravir à tous les prix et pour qui il se damnerait. Même chose du côté de maman, qui était très proche de son enfant. Pour autant, Cybèle a toujours été une enfant un peu différente : elle est celle qui aurait pu rester insouciante le plus longtemps, et voilà pourtant qu'elle se retrouve être une véritable adulte, alors qu'elle n'a pas passé encore la limite entre l'enfance et l'adolescence. Elle était précoce, mature avant l'heure : on ne sait pas trop pourquoi ni comment, toujours est-il que la gamine a grandit très, très vite. De fait, les gens de son école ne l'intéressait guère. Elle n'a jamais réussi à vraiment s'attacher à eux, d'une quelconque manière qui soit ; elle n'a donc jamais eût d'amis non plus. Cybèle était plutôt dans son petit monde à elle, celui des princesses. Mais attention, pas des princesses Sucre d'Orge et compagnie ; non, des princesses crédibles, véritables, de celles qu'elle pourrait prétendre être un jour. Elle ne s'habilla jamais qu'avec des robes. Elle ne voulut jamais rien d'autre qu'être fabuleuse. En soit, Cybèle était donc une enfant tout à fait normale – ou presque. L'école. Parlons de l'école. La brunette n'y a jamais eût de soucis. Solitaire mais épanouie, elle parvenait sans difficulté à se hisser jusqu'aux sommets : jusqu'à aujourd'hui, sa photo n'a jamais connu que le tableau d'honneur. Beaucoup de travail ? Ma foi, pas tant que ça. Du travail, certes. Mais jamais qu'un peu. Une bonne mémoire et des prédispositions au savoir ont fait ses notes – peut-être quelques séances de tricherie, aussi. Soyons honnêtes : Cybèle, elle, ne l'a jamais vraiment été. Depuis toujours, l'adolescente ne sait faire cette différence entre les choses morales, et celles qui ne le sont pas. Tricher, mentir, voler. Ça ne lui a jamais posé problème ni même attiré d'ennuis ; c'est certainement pour ça qu'elle n'y voit aucun mal. Bien que s'en sortant, la jeune fille a mit un point d'honneur à réussir ses études plus par orgueil que par réelle conviction. A quoi bon s'assoir tristement sur une chaise, lorsqu'on peut sortir pour récolter quelques regards ? Cybèle n'a toujours pas réussi à comprendre pourquoi est-ce que c'était si important. Elle, n'avait pas grand chose à faire des nombres qui se multipliaient, se divisaient au gré des signes mathématiques ; pas plus que les dates de naissance et de mort de quelques poètes incompris, dont elle même ne comprenait nullement les œuvres. C'était une tête, et pourtant, elle n'avait nullement le cœur aux études : au grand damne de ses parents, qui la voyaient si bien médecin ou avocate, plus tard... Mais Cybèle, ce qu'elle désirait, envers et contre toutes les attentes de ses géniteurs, c'était devenir quelqu'un. Pouvoir sortir un jour, entrer dans une presse et voir sa photo en couverture de tous les magazines. Être reconnue dans la rue, admirée à outrance, excessivement adulée par la société toute entière. Et ça, elle en était convaincue, ce n'était pas grâce à des études de droit qu'elle pourrait concrétiser son rêve. La jeune fille a commencé à s'intéresser très tôt aux pokémons. Oh, non, pas au point de leur livrer une passion et un amour sans borne, mais elle appréciait ces petites bêtes aux capacités bien spéciales. Chez elle, il y avait Snoopi, le Mastouffe familiale. C'était une bête bien sympathique, docile, dévouée, mais atrocement calme. Pour autant, Cybèle passa un nombre incalculable d'heures à ses côtés. Il fut un peu son ami, son confident. Celui à qui elle pouvait bien tout dire sans risquer de se retrouver le lendemain fichée sur le tableau de la honte. Pour autant, elle n'entra jamais dans le monde des combats ni même des concours avec lui. Il était là, présence agréable dans un monde compliqué, et c'est tout ce qui leur plaisait, à elle comme à lui. Certes, elle s'intéressa aux créatures de ce monde à travers lui ; mais elle ne le découvrit réellement qu'en assistant à un concours pokémon organisé dans sa ville, un jour. Elle y assista avec sa mère, en tant que simples spectatrices. Cette dernière venait acclamer l'un de ses amis d'enfance, qui s'était lancé il y a de nombreuses années dans la coordination. Cybèle y alla au départ en trainant la patte : qu'allait-elle bien pouvoir faire dans des tribunes, fondue dans la masse ? Elle s'apprêtait à s'ennuyer ferme... Pourtant, il n'en fut rien. La jeune fille fut tout simplement subjuguée par la beauté des pokémons, la fluidité de leurs mouvements, leurs impressionnantes attaques. Elle se plut à les observer lutter, combattre avec finesse et élégance. En ressortant de l'immense pièce, plus tard, elle regarda sa mère, un sourire peu habituel encré sur le visage. « Maman, je veux faire ça moi aussi ! » Cybèle a toujours eût ce qu'elle voulait, et plus encore. Je l'ai dit, je le répète, et je le ferais sans doute encore tant ce point est précieux. Les parents ne résistèrent pas une seconde à leur fille chérie : certes, ils la voulaient haut placée dans la vie, avec un bon travail. Mais avant tout, ils la voulaient heureuse : l'année suivante, Cybèle était inscrite dans la prestigieuse académie Pokémon Community, et, un employé chargé de ses innombrables valises, elle embarquait dans le ferry qui la conduirait jusqu'à son nouveau chez elle. Une boule de stress avait prit toute la place dans son estomac ; elle était nerveuse, mais pas à l'idée de quitter son chez elle si confortable : maintenant, elle n'avait plus droit à l'erreur, elle le savait. Maintenant, tout son avenir allait se jouer. |
Surnom du Pokémon | |
Surnom : Elle se fait affectueusement surnommer Sully. Espèce : C'est une Scrutella. Nature : Il paraît qu'elle est de nature « mauvaise ». Description : Sully et Cybèle ? Le début d'une belle et longue histoire, sans doute. S'il peut arriver au collectionneur de donner un peu n'importe quel pokémon à un peu n'importe qui, sur ce coup là, on pourra dire qu'il a visé juste. Les deux s'entendent à merveille : et pour cause, elles sont quasi identiques. Tandis que la maîtresse est d'une nature hypocrite et ressemble en tous point à une vipère, la petite n'a, quant à elle, rien de bien meilleur à donner à autrui. Elle aide sa partenaire jusque dans ses desseins les plus miséreux, et, en toute honnêteté, semble même s'y complaire. C'est une joueuse, tout comme elle, et ensemble, forment un duo de choc. Autant dire que, si elle s'attendait à être sincèrement déçue, Cybèle ne l'est finalement pas, et va jusqu'à considérer sa nouvelle partenaire comme sa seule et unique amie. |
Hors RPG |
Pseudo/Prénom : Onee les chéris. ♥ Age : 16 ans. Comment avez-vous connu le forum ? A travers divers top-sites, il y a de ça un bon moment ! Quelque chose à ajouter ? J'étais inscrite il y a un bon moment déjà, sous le nom d'Annie Valloy. Je tiens d'ailleurs à m'excuser pour être partie ainsi sans explications : comme ceux qui avaient mon skype ont pu le constater, je n'avais tout simplement plus d'ordinateur, et de fait, plus aucun moyen de passer du temps nul part, que ce soit sur ce joli forum ou ailleurs. Pour autant, le RP m'a terriblement manqué, alors j'ai finalement décidé de m'y remettre, et de repasser par ici en prime. En revanche, je n'avais pas l'envie ni l'énergie de remettre sur pied ma petite Annie : je vous laisserais donc la supprimer au prochain recensement, mon choix est fait, et je ne voudrais pas qu'un compte inactif ne vous encombre plus longtemps. Bref ! Je m'excuse encore pour les désagréments qu'a pu causer mon départ précipité ; et puis, ça fait du bien de voir que le forum n'a pas changé. ♥ |
Bienvenue dans le Dortoir Givrali ♀ ! N'hésites pas à poser tes questions si tu as le moindre soucis, et bonne intégration parmi tes confrères ! Tu peux dès lors poster ta T-CARD dans la partie correspondante, ainsi que gérer tes RPs grâce à aux RECHERCHES DE RPs ET RELATIONS. N'oublie pas de remplir les champs de ton profil dès que possible (T-card et Fiche de Présentation) pour faciliter la navigation aux autres joueurs, et de réserver ton AVATAR dans la partie adéquate ! Ton numéro étudiant est 0131. Bon jeu sur Pokémon Community ! |
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