Audrey Hatoria | |
Nom : Hatoria Prénom : Audrey Âge : 15 ans Région d'origine : Elle ne s'en souvient plus Ambitions futures : Scientifique Mécanicienne! | |
Vous vous moquez de moi car suis différente. Mais moi je me moque de vous car vous êtes tous les mêmes | |
Description |
La lumière s'ouvrit dans une des nombreuses salles de l'établissement spécialisé pour adolescent, cette salle n'était autre que celle du directeur de l'établissement. Aujourd'hui il fallait se focaliser sur une de leur cas les plus difficiles : Audrey Hatoria. Le directeur fit entrer l'équipe pédagogique, à savoir : Le directeur des activités sportives, la conseillère psychologique, l'infirmière et le directeur des activités créatives. L'assemblée se plaça autour d'une table et la discutions débuta. -Mes très chères confrères, débuta le directeur, si je vous ai réuni c'est pour parler et discuter du dossier de Audrey Hatoria, pensionnaire depuis six ans et doyenne de l'établissement. Elle demande à entrer à Pokémon Community. Que pensez-vous d'elle ? -Pour commencer, dit le directeur des activités physiques, je tiens à dire qu'elle a beaucoup changée en six ans, à son arrivée elle était une enfant hyperactive qui voulait détruire tout ce qui pouvait provoquer des étincelles. Son corps aussi a changé. Si on observe bien son dossier, à son arrivée elle mesurée un mètre quinze à dix ans, autant dire qu'on parle ici d'une enfant naine et à présent elle mesure un mètre soixante-quinze, l'évolution est fulgurante puisqu'une femme qui prend dix centimètres par an c'est rare. De plus, d'un poids inquiétant de vingt-cinq kilos à son arrivée elle fait aujourd'hui soixante kilos, un poids faible certes, mais suffisant pour son âge et son sexe. -J'approuve ! Fit le directeur des activés créatives. À son arrivée quand je lui ai demandé de se dessiner en face d'un miroir, un autoportrait quoi, elle m'avait rendue un vague visage humain avec des couettes et des explosions partout. Maintenant, avec ses progrès elle sait se dessiner à la perfection. Reproduire les traits fins et étroits de son visage, qui s'encadrent dans une chevelure d'un bleu azur tirés en arrièrent pour la plupart pour former deux immense tresses qui lui arrivent aux chevilles, même si deux mèches rebelles se placent sur son œil droit. Son nez fin est à la bonne place et ne ressemble plus à une tâche, comme sur les premiers autoportraits. Ses lèvres fines affichent toujours un sourire en coin, le même qui trône sur son vrai visage, des lèvres rosées, c'est bien le seul point faible du dessin, elle n'arrive pas à trouver la couleur exacte pour les colorer. Le plus intéressant, c'est le tatouage qu'elle s'est faite elle-même il y a trois mois sur le bras bras droit, ainsi que la partie droite du buste, des nuages de fumés comme sur les veilles estampes et des balles, encore, il y a une récurrence des armes, mais aujourd'hui c'est dans un autre but. -Mais, je m'inquiète pour elle ! Fit l'infirmière visiblement troublée par la demande de la doyenne de l'établissement. Pour une jeune femme seize ans justement je trouve qu'elle à un physique vraiment fin... -C'est sûr que toutes les femmes ne peuvent pas dépasser le bonnet E ma très chère collègue, lança sur un ton taquin le directeur des activités sportives. -Mais ! Qu'est-ce que ! L'infirmière rougie, offusquée par ses dires. Audrey à une poitrine à peine existante, elle jongle entre le bonnet A et B ! Elle n'a aucune forme, j'ai peur que ce manque de forme lui forme un vide sentimental amoureux et qu'elle fasse une rechute dans la folie... -Audrey est devenue stable, malgré son caractère fou de nature, son physique peu rebondit ne lui causera pas une rechute. Elle aime son corps tel qu'il est, elle me l'a dit dans l'entretien de la semaine dernière. La psychologue fit une pause. On peut lui accorder sa demande, souvenez-vous de Audrey à son entrée ici ? Un silence flagrant ce fit, l'équipe pédagogique comme le directeur étaient mués comme des tombes. À son arrivée Audrey était d'une violence verbale et physique déstabilisante, son goût pour la mort, les armes mécaniques comme celles utilisée dans paintball, étaient une obsession. Audrey ne voulait qu'une chose : Détruire. J'ai dû changer la lampe de ma salle de réception quinze fois deux semaines, soit une fois par jour, une fois par séance. Sa soif de destruction était telle qu'une camisole pour le haut du corps n'était pas suffisant, nous avions dû créer une camisole pour les jambes et l'enfermer dans un lit imperméable pour éviter qu'elle détruise sa chambre. Lors de mes tests de psychologie, avec le test des « tâches d'encres » comme aime dire mon ami sportif, elle voyait des armes partout même quand je lui présentais une étoile. -Il est vrai... ajouta le directeur des activités sportives. Que lors des premières séances, j'ai perdu plus de cent ballons en deux semaines, plus que durant toute ma carrière... en plus de cela, son hyperactivité était un problème, elle était increvable ! Même après dix tours de stade elle courrait comme au premier. Un fléau, aucune politesse, éducation, je me suis longtemps demandé pourquoi l'avoir acceptée ici ! -En plus de cela elle vidait mes stock de désinfectant ! C'était pénible pour les autres pensionnaires, si vous saviez ! Ajouta l'infirmière ! Moi je voyais en elle une petite qui cherchait un but dans la vie... heureusement qu'elle l'a trouvé quand même, sinon, nous serions encore au même stade qu'à son arrivée. -Effectivement, grâce au suivit de notre équipe aujourd'hui elle a totalement changée. À présent elle est d'un joie presque inébranlable, un sourire toujours aux lèvres, elle veut juste profiter de la vie, faire des folies, des frayeurs aux gens, c'est une jeune femme épanouie et qui s'assume. Elle est prête pour vivre. Termina la psychologue. -On voit bien qu'elle s'assume. Fit le directeur de l'établissement. Son code vestimentaire lui est très particulier. Sortir avec un haut de bikini multicolore munit d'une ceinture en cuir avec des fausses balles de mitraillettes de paintball. Puis elle s'habille toujours d'un short violet très court, un peu trop, elle devra faire attention à cela dans l'établissement, ajoutons à cela le fait qu'elle ne poste qu'un seul collant à losanges roses. Il fit pour conclure. Au moins si on tente de lui attenter elle aura ses deux grandes bottes noires montantes au-dessus des chevilles et ses petites créations, une douzaine de grenades à chantilly et un canon lanceur de confetti, l'animation des soirées seront excellentes. Il se fit un peu plus sérieux. Pour finir notre jugement attardons-nous sur le passé de Audrey avant et après son entrée dans l'établissement. Le directeur changea de page, sur celle-ci, un historique de la vie de Audrey.. |
Histoire |
La nouvelle page en place le directeur put donc reprendre avec la même voix de neutralité. -Audrey Hatoria. Née il y a 15 années le 31 avril. Une jeune femme qui aura sous peu 16 ans. Elle ne se souvient plus ou est-ce qu'elle est née, mais nous savons qu'elle est née dans la région de Kalos à Illumis, ville principale de la région. Ses parents ont rapidement déménagés en bordure de la ville pour une maison calme afin que leur fille puisse vivre dans un air non pollué. Il soupira en ajoutant. Quand je lis ça, je me demande comment a-t-elle pu arriver ici... Elle a vécue avec un amour parental parfait, son père tenait le plus grand paintball de tout Illumis, le plus réputé, il avait une sacrée entreprise, sa mère quant-à elle, elle était créatrice de mobilier pour un architecte d'intérieur, une famille qui gagnait bien sa vie il semblerait. -« Hélas » est le prochain mot directeur ? Demanda l'infirmière. -Exactement. Fit-il. Hélas un beau jour, le père de la petite Audrey l'emmena à son paintball principal pour ses neuf années de vie. Un cadeau formidable aux yeux de la petite, inadapté aux yeux de la mère, à point nommé pour le père. La jeune fille avait des paillettes pleins les yeux, des couleurs partout, toujours plus de couleur. Ce qu'elle avait adoré c'était le bruit de la gâchette sur les armes, un son délectable pour elle, presque jouissif quand je relis ses mots lors du premier examen psychologique. Il regarda la psychologue avant de reprendre. Depuis ce jour la petite à lentement, mais sûrement sombré dans la folie des armes, ses dessins devinrent petit à petit des scènes de combats violents, des actes de suicides. Elle faisait des caprices pour un rien, alors qu'elle n'en faisait pas avant. Une dépendance au son des armes naquit en elle. Quand ses parents s'en rendirent compte, c'était trop tard, la petite était déjà une folle, elle voulait détruire sans s'arrêter, elle brisa la télévision six fois en un mois, heureusement que les parents avaient les moyens... -C'est d'ailleurs cet horrible changement qui l'a poussée à être internée dans cet établissement... souffla le directeur des activités créatives. À son arrivée elle s'amusait à créer des pièges sur lesquels elle mettait un gâteau, et quand un enfant prenait le gâteau BIM il se refermait sur le doigt de la victime lui faisant une douleur de moyenne intensité. Ce fut comme cela pendant les deux premières années.... -Mais heureusement cette soif a commencée à se calmer quand l'étape une de la psychologue se finalisa après deux longues années ! Fit l'infirmière dans un sourire. À la suite de ces deux ans Audrey faisait beaucoup de crises d'angoisses, car elle commençait à prendre conscience de ses actes, mais elle voulait toujours recommencer. Douze mois difficiles à apprendre à gérer ses crises d'angoisses deplus en plus violentes. Elles ont commencée à se calmer à partir du moment ou les directeurs d'activités ont réussit à exploiter son potentiel physique et créatif pour associer ses envies à des idéaux justes. -Effectivement, poursuivit le directeur des activés créatives, cela c'est déclaré avec le premier dessin ou une des explosions ne détruisait pas quelque chose, mais rependait des bonbons partout, ce premier pas fut le début d'une longue série de victoire, le problème Hatoria à mit trois ans à se soigné quand nos cas les plus difficiles prenaient un an. Pendant un an et demi son état est passé de la folie destructrice à la folie joyeuse, elle restait quand même incontrôlable, elle voulait faire des bisous à tous les pensionnaires, des câlins, des cadeaux, ça en devenait aussi pénible que sa folie destructrice, elle passait d'un opposé à l'autre. -C'est au cours des douze mois suivant qu'elle s'est progressivement calmée, mes cours intensifs que je lui faisait subir étaient difficiles, et pour son corps et sa mentalité nouvelle, car le physique ne fait pas tous, le mental joue plus que le physique. Un obèse peut faire un marathon, et bien plus rapidement qu'un athlète démotivé sur-entraîné si jamais lui a la motivation de réussir. Sa mentalité s'est donc rapidement solidifié, en plus de prendre de l'assurance, elle c'est « calmée » elle sait être sérieuse dans la plupart des moments où il le faut. -Puis finalement, les six derniers mois furent le résultat d'une nouvelle stabilité, le vrai caractère d'Audrey était en elle, à sa place, canalisé par sa volonté. La preuve, elle a crée des armes festives sans danger pour la soirée de Noël, les anniversaire et autre saint-valentin ! Il posa l'image du canon lanceur de confettis et des grenade chantilly. Une jeune femme pleine de créativité. Il fit un silence rapidement imité par ses autres collèges. Pouvons-nous laissez partir Audrey Hatoria que nous jugeons stable après six ans dans notre établissement et la laisser entrer à Pokemon Community ? Ce fut un « OUI » unanime de l'équipe pédagogique, aucun doute, preuve que la jeune femme avait beaucoup changée depuis son arrivée. Le lendemain elle fut mise au courant par le directeur en face à face qui était présent pour le départ. La jeune femme dans excès de joie lança une grenade chantilly en hurlant. -CADEAU ! Un mélange de joie et d'agacement envahit les adultes, mais que faire devant la vraie Audrey ? Une folle joie de vivre qui nul ne pouvait stopper, pas même les tempêtes. Elle fit donc ses valises, bien que son canon à confettis et les bombes chantilly prenaient prenaient plus de place que les vêtements, bien sûr qu'elle en avait mit, de jolies sous-vêtements et plusieurs hauts de bikinis et s'ils faisaient froid ? Et bien un pull à triple épaisseur avec deux paires de collants d'hiver en simultané sur les jambes. Après des vrais au revoir déchirants et larmoyant pour Audrey, car elle quittait un peu sa famille, car la sienne n'avait en réalité plus jamais donnée de nouvelle sinon le paiement des trimestres d'internat. Elle arriva sur l'île Lansat avec des étoiles dans les yeux, elle avait rendez-vous à 14h chez le collectionneur, en arrivant à 10h elle avait le temps d'arrivée, mais non, sa curiosité l'entraîna dans les petites ruelles où elle s'émerveillait d'un rien, comme des excréments de Rattata, il en faut peu pour être heureux. Avec ces petites découvertes inutiles elle arriva à 14h30 chez le collectionneur, ce dernier occupé à faire son travail n'avait même pas remarqué son retard, en arrivant dans la salle remplie de pokéballe la jeune femme s'exclama. -Mais ! C'est zoli ici ! Y'a plein de pokéballe ! Encore, partout, chaque étagère, chaque mur, monsieur vous faites comment pour en avoir autant ? Hein ? Hein ? Hein ? Monsieur vous m'écoutez ? Vous savez même si je suis en retard c'est pas poli d'ignorer quelqu'un ! Hé ho ! Monsieur sans vie socialeuh ! Écoutez-moi ! Vous êtes méchant ! Je vais pleurer ! Et la jeune femme tomba à genoux en pleurant et hurlant son chagrin d'être ignorée, le collectionneur qui préparait ses questions au lieu de lui répondre n'eut besoin de poser qu'une question : -Tu aimerai voler, aller sous le sol ou bien courir à toute vitesse au sol? Audrey heureuse qu'on s'intéresse enfin à elle dit avec un grand sourire idiot et des restes de larmes sur les joues. -Je veux voler ! I believe i can fly ! Elle se mit à chanter plus fort. I BELIEVE I CAN FLY AND I CAN TOUCH THE NUAGES ! Dans un soupire le collectionneur prit une pokéballe en hauteur et la donna à la nouvelle élève. -Tiens, vu que les ondes sonores ça te connais, celui-ci les aimera particulièrement ta voix. Elle prit la pokéballe comme si c'était sa propre vie. -Marchi monchieu chan vie chocialeuh !! Elle tourna les talons et se mit à remonter vers l'établissement scolaire, mais elle revint après quelques minutes pour prendre ses valises oubliées -Oups ! Puis elle repartit comme une flèche en découvrant la Sonistrelle aussi folle qu'elle, elle serait à présent sa première amie.. |
Surnom du Pokémon | |
Surnom : Akali Espèce : Sonistrelle femelle Nature : Folle Description : Akali est aussi folle que sa dresseuse, elle vole dès qu'elle peut, aussi vite qu'elle peut, essayant de raser les obstacles ou les gens proches pour leur faire peur, nul doute que le jour ou elle évoluera, Audrey et Akali voleront dans le parc et feront beaucoup de frayeurs aux personnes présentes à ce moment là. |
Hors RPG |
Pseudo : Josh/Gaëtan Age : 16 ans et demi Comment avez-vous connu le forum ? Je suis le DC de Josh Aéris (Alias farmeur chinois) Quelque chose à ajouter ? Licorne, rien n'a changé |
Bienvenue dans le Dortoir Givrali ♀ ! N'hésites pas à poser tes questions si tu as le moindre soucis, et bonne intégration parmi tes confrères ! Tu peux dès lors poster ta T-CARD dans la partie correspondante, ainsi que gérer tes RPs grâce à aux RECHERCHES DE RPs ET RELATIONS. N'oublie pas de remplir les champs de ton profil dès que possible (T-card et Fiche de Présentation) pour faciliter la navigation aux autres joueurs, et de réserver ton AVATAR dans la partie adéquate ! Ton numéro étudiant est 0086. Bon jeu sur Pokémon Community ! |
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