La tension était à son comble, tous trépignaient d'impatience pour le top départ. Les dernières précautions étaient discutés entre les équipes Rangers et les équipes scientifiques. Je n'avais jamais vu autant de monde aussi nerveux et surexcités en même temps. Le stresse qui planait sur l'intégralité du groupe était de loin le plus impressionnant expérimenté jusqu'alors. Est-ce que les prochaines expéditions provoqueraient ce même sentiment de gloire et de curiosité ? Je l'espère. Cette émotion était unique et particulièrement plaisante !
Mon groupe était celui qui passerait en premier. J'étais tout agité, frétillant d'admiration. Mais de nature calme et posé, j'ai contrôlé mon trop plein d'exaltation. Placé au centre même de mon peloton, j'étais pris en sandwich entre Milène Micoton et le paléontologue dont j'épargnerais le massacre orthographique. Equinox, le Pharamp était à la tête, tandis que ma Statitik éclairait le centre et qu'un Pichu s'occupait du fond. Nous avions aussi nos lampes respective pour s'assurer de prendre le bon chemin.
La roche était lisse, humide, et il y était facile de s'y tordre la cheville. Certain endroit était si étroit qu'il fallait y retenir son souffle afin d'aplatir son buste au maximum. Lente progression sur plus de huit cents mètres jusqu'à atteindre une paroi calleuse et odorante. L'espace était envahis d'une forte saturation et d'une lourde odeur de souffre. C'est sans trop savoir que j'avais tout d'abord associer ce parfum aux gaz expulsés par la terre, mais en fin de compte, l'émanation venait surtout d'en haut et non d'en bas. Quelque chose, tourner et virer. Manue, de son habituelle voix défaillante nous avait affirmé qu'il s'agissait de tunnels crées par des Onix, mais le Paléontologue et son assistante en étaient bien moins sûr. Nous n'avons jamais réellement sut de quoi il en retourné.
Après avoir traversé des couloirs et des couloirs de granites, nous avons trouvé une petite crevasse de roches magmatiques couleur basalte où nous nous avions octroyés une petite pause. Archéologue de spécialisation j'en avais profité pour discuter un peu avec le professeur, docteur, astronome et a ses temps perdu poète, le paléontologue au nom à l’ortographie douteuse. Lui même en possession de nombreux fossiles dont je n'avais pas encore vue la moindre couleur ou forme, il m’expliqua en détail les grands types de roches dont est constituée la Terre.
Les roches sédimentaires : Les roches sédimentaires proviennent de l'accumulation de sédiments qui se déposent le plus souvent en couches ou lits superposés, appelés strates. Elles résultent de l'accumulation de sédiments divers, c'est-à-dire d'éléments solides - clastes : morceaux de roches ou fragments minéraux, débris coquilliers...- et/ou de précipitations à partir de solutions, elles-mêmes constitutives ou à l'origine de ciments, souvent intercalaires entre grains, particules ou clastes. Les principales catégories de roches sédimentaires sont les roches détritiques, les plus abondantes, les roches biogènes ou physico-chimiques, mettant en jeu des équilibres chimiques dans des conditions de température et de pression externes, que ce soit à la surface des continents ou au fonds des mers ou des océans.
« Elles sont de loin les plus intéressantes pour les archéologues car c'est souvent là que sont enfermés les fossiles. » Prof. Zakharchenko Wiki'sgolikhin (enfin je crois)
Les roches magmatiques : Les roches magmatiques, également désignées sous le vocable de roches ignées, voire comme roches éruptives, se forment quand un magma se refroidit et se solidifie, avec ou sans cristallisation complète des minéraux le composant. Cette solidification peut se produire :
en profondeur, cas des roches magmatiques plutoniques ou
à la surface, cas des roches magmatiques volcaniques. Dans tous les cas, les roches magmatiques sont qualifiées d'endogènes car formées en profondeur, par opposition aux roches exogènes (telles les roches sédimentaires et les roches métamorphiques), elles sont formées par solidification de matériaux à la surface du globe. Les roches volcaniques ne sont que trempées à la surface, la cristallisation s'effectue bien plus en profondeur.
« Mais pour des raisons encore inconnues ces cristallisations crée des pierres évolutives qui finissent, avec le continuelle retournement de la roche des Onix et des Steelix, par remonter aux profits des nombreux autres pokemons qui vivent à la surface. » Prof. Zakharchenko Wiki'sgolikhinLes roches métamorphiques : Une roche métamorphique est un type de roches dont la formation a pour origine la transformation à l'état solide des roches sédimentaires, magmatiques ou encore métamorphiques, en raison des modifications des paramètres physico-chimiques du milieu dans lequel elles évoluent (notamment la pression et la température). Cette transformation, désignée sous le terme de métamorphisme, se traduit par une modification de la texture, de l'assemblage minéralogique à l'équilibre ou de la composition chimique de la roche. La roche originelle d'une roche métamorphique est appelée le protolithe. En raison de leur diversité et de la complexité pour déterminer leur origine, la classification des roches métamorphiques n'est pas clairement définie et se base sur différents critères qui amènent à plusieurs types de classification.
« Ce sont les résidus, le reste de nos fouilles, les repas des pokemon sol, de leur bataille, de leurs migrations» Prof. Zakharchenko Wiki'sgolikhinAprès avoir longuement discuté autour de la luminosité de nos pokemons et de nos lampes Luminax ( la sienne étant d'un calibre totalement différents -notelenom- Éclair de feu LUMINAX 2000), je lui ai fait part de mon scepticisme envers les Pokemon dit, Légendaire.
Oui, quelque part je contestais leur existences, jusqu'à ce que Wiki'sgo- que le paléontologue ne me fasse part de certaines de ses découvertes génétiques et surtout, d'une très vieille photo (flou et zoomée...) mais bien réel.
Il m'a confié avec fierté que cette dernière était aussi vieille que lui, à savoir plus de quarante ans. Je n'avais rien pour contrer ses arguments qui me semblait plus que solides et sans même le remarquer, je commençais déjà à prêter plus d'attention aux légendes des livres et aux nombreux témoignages que j'avais pus lire a leur sujets.
Mew, Arceus, Kyogre et Groudon... l'histoire même du monde... Hier encore ils me semblaient si lointain, inaccessibles. Aujourd'hui je me sens en possession de la force nécessaire pour y croire, la foi.
Finalement, nous avons repris le chemin aux couloirs confinés pour poursuivre notre objectif premier, l'exploration de la fameuse cavité encore inexplorée. Gurren s'occupait de m'avertir des rochers et cailloux dangereux pendant qu'il y faisait sa mâchoire d'acier, alors que Nyx lancer des échos pour avertir des poutres rocailleuses que l'on aurait put rencontrer sur notre route.
A force d'escalader des dômes de roches, mes pas étaient devenus lourds, tout comme ceux du reste du groupe. Les corridors étrécis s'éternisaient sur des mètres, des kilomètres. La pierre devenue sèche me renvoyait, à plein nez, l'odeur lourd de la terre en grossesse, que le climat avait tranché d'un tremblement terrestre. Les températures se jouaient de nous passant d'un doux 20° à un suffoquant 35, sans oublier ses chutes libres allant parfois jusqu'à 5°. Froid, humide, chaud, sec... Mon nez s'était mit a couler, et mes poumons a trembler. Le choc des climats avaient sut former de la glace au même titre que des minuscules ruisseaux, sans oublier les apparitions aléatoire et souvent tardives d’infime geyser uniquement perceptible à l'ouïe. Tout était devenu si mystérieux et si étrange que j'en avais perdu ma concentration. Mes pieds fatigués avaient déparées sur une mousse imbibé d'eau tiède et j'ai alors basculé dans le vide, dans un tunnel se trouvant juste sur ma droite. Ce couloir, tracé de façon parfaitement circulaire, m'avait fait glisser sur des tapis et des tapis de mousses et m'avait mené directement à la grotte tant recherchée.
JOUR:02 Jungle Cave
| Cour scientifiqueLEONIDAS BLACKHARTpokemon utilisés : |
J'avais pris place sur un petit rocher en hauteur, pour photographier cette magnifique grotte, à défaut d'avoir eu le temps et le matériel pour la dessiner proprement. Elle était simplement immense. Il s'agissait là d'une formation de roches impressionnante créant un espace unique et tempéré où faune et flore s'y étaient développés à l'abri des regards. Mis à part les oiseaux, le reste des Pokemon présent fuyaient à notre approche. Même avec l'aide de nos propre Pokemon le contact était plus alimenté par la peur que par la curiosité, comme si on leur avait de nombreuse fois conté l'histoire de créatures bipèdes capable de les emprisonner avec des objets magiques. Aucun d'eux ne semblaient connaître le monde tel qu'il était à l’extérieure de cette grotte. Les membres de mon groupe ont alors commencé a collecter des échantillons de mousses, de feuilles, de sèves, d'eau et de roches pour les étudier une fois de retour a la surface. Moi, je me contente d'explorer, de fouiller, de prendre des photos. De ce que j'ai pus voir il n'y aurait pas plus de cinq espèces différentes de pokemon en ces lieux. Je pense avoir reconnu sans trop de mal un minuscule troupeau de Nidoran ainsi qu'un couple d'Azumarill.
J'aurais aimer observer d'avantage les grands cristaux de l'autre coté de la rive, mais le professeur Alma Nack et Zakharchenko Wiki'sgolikhin m'ont formellement interdis de dépasser la ligne de sécurité qu'ils avaient tout deux tracés imaginairement pour la sûreté de tous. Ce n'était pourtant pas l'envie qui me manquait de simplement prendre mon Akwakwak et traverser ce mini lac pour visiter les alentours.
A défaut de pouvoir explorer le lac, je me suis donc redirigé vers la mini jungle se trouvant non loin de notre point d'arrivé. Manue, n'ayant pas non plus le droit de dépasser la dite limite, m'a accompagné et ensemble nous avons fouiner le bois tropical. Tempéré au centre, au pied même du menhir, mais une fois la jungle atteinte, la température avait soudainement augmenté, ainsi qu'un accroissement inattendue d'humidité. Mon corps n'avait pas fini d'en prendre pour son grade. Après coup, n'ayant rien trouver de transcendant nous sommes revenues dans la zone fraîche où nos tuteur respectif nous ont finalement amené de l’autre cotés du lac. J'ai pus y observer des tonnes et des tonnes de cristaux qui... en fin de compte, s’avérait être, tous, sans exception, des gigantesques pierres évolutives. Des rouges, des bleues, des vertes, des mauves... vraiment, il n'y en avait pour tout les goûts.
Comment s'étaient-elles formées ? Pour qui ? Est-ce qu'un Légendaire était derrière tout ça ? Y avait-il au sein du Mont Sélénite des cavernes identiques cachant ce genre de trésors ? Est-ce que certain pokemon s'y donné rendez-vous dans le but d’évoluer ? Est-ce que ces pierres étaient illimités , aux pouvoirs sans fin ? Tant de questions auxquelles je ne saurais répondre seul.