Cette jeune Triopikeur femelle a été capturée au lac Corail, durant la grande migration des Pokémon du 5 décembre 2015. Elle ne parvient pas à s'intégrer dans mon équipe avec laquelle elle s'entend relativement mal. Elle est à la recherche d'un nouveau dresseur avec qui elle serait plus en phase. Si intéressé, merci de me contacter par texto. Annonce postée par Aileen Sôma, le 05/01/16 à 16h00. |
En ce jour, tout avait changé. Tu n'étais plus le Lucas qui avait jadis passé les portes de la Pokémon Community sans réels convictions. Dormir et combattre. Voilà les idées qui traversaient autrefois ton esprit. Tu étais bête et ignorant à cette époque, tu n'avais que quinze ans ... Mais ce temps était révolu. Aujourd'hui, tu avais changé. Bien changé. Tu avais pris de la maturité, de la hauteur, de l'intelligence, de la réflexion. Tu n'étais plus le maigrichon gosse qui se fichait de tout ou presque, tu étais désormais un homme, un vrai. Un de ceux qui suscitent le respect par sa carrure et son caractère et qui s'impose comme supérieur aux autres. Bien sûr, tu n'étais pas encore de ce bord. Tu réfutais même le moindre signe d'égocentrisme. Tu n'aimais pas te mettre en avant, tu cherchais toujours à offrir le mérite aux autres. Cela relevait bien évidemment de ta propre opinion, forgée sur les erreurs que tu vais pu faire durant ces deux années et demi dans cette académie, et il n'était pas évidemment d'être clair sur soi-même, mais par les faits, tu savais que la plupart des choses auquel tu pensais de toi étaient vraies. Et en ce sens, c'était déjà bien, une sorte de victoire en soi. Et tu en étais bien heureux. Très heureux.
Et c'est armé de cette joie que tu t'étais levé comme à ton habitude pour t'entraîner. Les vacances étaient loin d'êtres terminées, mais cela ne t'empêchait pas de continuer à ne pas perdre la forme tous les matins. Tu avais simplement décalé l'horaire en gagnant deux petites heures de sommeil et ce, grâce à l'absence d'entraînement quotidien et collectif des Noctalis, dû au fait qu'il n'était pas possible de rejoindre tous les matins le stadium depuis le village de Noël et qu'aucune installation n'avait été prévu pour pallier à ce problème. C'était l'occasion de profiter d'un large laps de temps pour entraîner tranquillement mais efficacement ton équipe, et toi en même temps. C'est donc frais et transpirant que tu revins deux heures plus tard à ton chalet, t'acquittant d'une bonne douche pour t'en remettre. Une fois remis, tu te rendis compte qu'on pouvait encore lire de la joie et de l'excitation sur ton visage. Tu voulais continuer de t'entraîner, mais tu savais que c'était tes compagnons qui n'allaient pas suivre. Tu te contentas donc d'aller faire un petit footing autour de l'île pour profiter de l'avoir air frais. Le vent qui soufflait était doux et silencieux. Il n'y avait personne pour venir t'embêter durant cette matinée sportif. Quand s'afficha midi sur ton Ipok, le village se dessinait lentement au loin. Tu y parvins tranquillement avant la demi-heure et t'offrit une seconde douche avant d te préparer sereinement de quoi te revigorer, et te posa près de la cheminée pour profiter du feu qui brûlait dans l'âtre.
▬ Pfiou !! Ça fait du bien de se poser tout de même ... M'enfin, je sais pas trop quoi faire cet aprem' ... Faudrait peut-être que je regarde un peu cela. te dis-tu.
Au milieu de ton steak tartare donc, tu attrapas ton Ipok et partis surfer sur le web de l'académie. Il y avait divers spectacles et événements pour cet après-midi, mais rien qui ne t'intéresse réellement. Tu soupiras en achevant tes pâtes et te décida à occuper ton après-midi en te promenant un peu. Tu n'avais pas grand-chose à faire après tout ... C'est ainsi que tu te retrouvas à marcher tranquillement parmi les ruelles de la ville. Une odeur aigre de poisson enfumait l' air, manquant d'en faire vomir certains. Mais toi, tu t'en fichais. Ta vie à Oliville t'avait fait apprécié ce genre d'odeur. Tu n'étais pas dégoûté, tu étais nostalgique. Nostalgique de cette vie de tranquillité à jouer avec tes camarades toute la journée et à taquiner gentiment les commerçants. Mais nan. Tu ne pouvais t'arrêter à cette simple d'amusement. Il y avait trop à dire sur ta vie antérieure si pleine de bonheur. Et aujourd'hui, tu te plaisais autant dans ta vie qu'avant. Tu n'avais pas besoin de te remémorer d'anciens moments de ta vie comme si tu les regrettais. Il fallait aller de l'avant. Alors, tu te tapotas la tête pour reprendre tes esprits et t'aperçut qu'il était un peu plus de seize heures. C'est que tu avais bien marché, dites donc ! Pourtant, tu tenais encore la route et ton corps ne semblait pas prêt à lâcher ne serait -ce qu'un instant : Tu étais encore bien frais. Et cela te rendait heureux. Si heureux que tu ne t'aperçus pas du danger qui approchait à grands pas. Ironiquement.
▬ Attention ! cria subitement une voix sur ta droite.
Trop tard. Tu as tout juste le temps de te tourner que le danger blanc passe au niveau de tes jambes et te fit basculer violemment au sol. Tu parvins à te stabiliser un minimum pour ne pas te rétamer complètement mais tu essuie une méchante douleur au postérieur, et te retiens de la crier. Le temps que tu te remettes, une jeune fille parvint à ton niveau, et tu ne mis qu'un instant à la reconnaître. Aileen Sôma, préfète des Pyrolis. Tu l'avais rencontré lors d'une fouille il y a plus d'un an et ne l'avait pas revu depuis, sauf en la croisant furtivement au détour d'un couloir. Elle avait pas mal changé dites donc. Mais cela ne t'avait pas empêché de la reconnaître. Et elle aussi d'ailleurs, malgré ton changement physique apparent depuis le temps.
▬ Désolée, je ne sais pas ce qui lui a pris, elle… Oh, salut Lucas. Ça faisait longtemps, tiens. Ca va, depuis le temps ?
Tu hésitas étrangement à répondre.
▬ Salut Aileen. T'inquiètes pas pour moi, j'ai l'habitude des chutes. Et ouais, ça va depuis le temps. Comme tu peux le voir, je ne suis plus vraiment brun, je vis tranquillement ma vie. Et toi ? répondis-tu.
Elle répondit, du moins en eus-tu l'impression. Pendant ce temps, tu te rendis compte que celui qui t'avait fait tomber se tenait maintenant bien à distance et fixait un Evoli avec intérêt. C'est qu'il semblait relativement agressive le Pokémon. Pourtant, tu sentais qu'il y avait quelque chose d'autre avec lui, mais tu n'arrivais pas à mettre la main dessus. Tu décidas d'abandonner comme la voix d'Aileen reprit.
▬ Désolée. Elle n’aime pas beaucoup mon Evoli. Jalousie possessive, on dirait… Et elle n’a pas l’air de se rendre compte que ce qu’elle fait est mal. Enfin bref… Tu es ici pour l’annonce sur le pôle d’échange ? Dis-moi oui, s’il te plaît. Tu me sauverais la vie. commença-t-elle. T’en veux une ? Chocolat au lait. dit-elle en tendant une fausse cigarette visiblement au chocolat.
À la manière dont elle avait parlé, refuser ou juste indiquer que tu ne passais pas par là pour son annonce serait bête, mais cela méritait réflexion. Une tête comme celle-ci aurait-elle un intérêt dans ta petite famille ? Hmm, il y avait des chances. Mais quel serait son taux de participation pour l'équipe ? Tes prévisions étaient légèrement trop bas. Cependant, la bête était aussi un défi à ajouter à ta collection : Apprivoiser un Pokémon n'était pas chose aisée. C'est cet argument qui fit ton choix : Tu allais le prendre dans ton équipe. Maintenant, restait à répondre à Aileen.
▬ Je vois. Désolé, je ne viens pas pour ton annonce, mais si tu souhaites t'en débarrasser, je suis prêt à te récupérer. Tu as besoin de quelque chose en échange ? répondis-tu.
Et tu attendis qu'elle réponde, attrapant au passage l'une de ces fausses cigarettes pour la croquer goulûment ...
▬ On fait aller. Comme une nouvelle année qui commence, quoi. avait-elle répondu en premier lieu. Hmm. Ça te dit, d’aller prendre un verre ? On pourra en profiter pour parler affaires. dit-elle quelques instants plus tard.
▬ Je te suis. répondis-tu avec un sourire.
Vous vous mîtes en route, non sans être discrètement suivi par trois petites têtes marrons qui se contentaient d'attendre quelque chose. Quoi ? Tu n'en avais pas la moindre idée. En tout cas, il était là, vous regardant de loin avec l'attente d'une chose qu'il croyait pouvoir arriver avec vous. Pendant ce temps, Aileen semblait en pleine réflexion. Réfléchissait-elle sur le prix à proposer ? Se demandait-elle simplement si elle était prête à me le vendre alors même que je ne l'avais pas contacté de par son annonce ? Là encore, tu étais dans l'ignorance totale. Rien ne semblait vouloir laisser paraître une réflexion. Peut-être pensait-elle seulement à ce qu'elle allait pouvoir prendre à ce petit café où vous dirigiez alors, qui sait. En tout cas, elle réfléchissait, et ne faisait pas vraiment attention à toi. Il régnait en ce court moment un silence implacable et plus inquiétant que reposant. L'angoisse de savoir ce qu'elle allait pouvoir te dire, tu la sentais monter en toi comme une explosion de sentiments prête à te dévorer de l'intérieur jusqu'à ne plus laisser de toi qu'une coquille vide humaine, dénué de sentiments et d'expressions. Mais que comptait-elle te dire ? Tu voulait absolument le savoir. Après tout, tu étais en droit de l'attendre impatiemment. Te faire languir, ce n'était pas vraiment possible. Alors, tu espérais, tu attendais ses mots, ses paroles, ses phrases qu'elle allait te sortir. Enfin, heureusement, vous parvîntes au café, et vous posâtes sur une table extérieur où vous commandâtes, pour toi un bon thé aux baies tropicales comme tu avais l'habitude d'en demander un, pour elle quelque chose dont tu n'avais pas l'importance. Une fois commandé, le serveur repartit et vous laissa seuls tous les deux, ouvrant la voie à la Pyroli qui prit la parole.
▬ Bon. Ne te vexe pas, mais, il y a certaines… Rumeurs, à ton sujet. Selon lesquelles tu aurais abandonné un Pokémon parce qu’il était faible et non adapté à ton équipe. Que ce soit vrai ou faux ne m’intéresse pas, les ragots ça n’a jamais été mon truc. Mais le fait est qu’un de mes amis, Ginji, semble te porter une animosité assez incompréhensible, parce qu’en toute honnêteté, je ne pensais pas Ginji capable de détester quelqu’un aussi ouvertement, ce qui me pousse autant à la prudence qu’à la méfiance. dit-elle.
Tu te mis à glousser. Cela faisait un bon moment, si ce n'est presque un an, que tu n'avais plus entendu parler de cette histoire. Plus depuis cette nuit où tu t'étais retrouvé à affronter Ginji afin de t'expliquer sur ton comportement et sur l'abandon de Racaillou, renommé Goldfroy par Ginji Labelvi, la personne qui avait recueilli le petit. C'était dur d'entendre de nouveau parler de cette affaire, elle sonnait comme un hurlement strident dans tes oreilles. Tu avais mal rien que d'y repenser, de repenser à cet imbécile que tu étais à l'époque pour ne pas avoir voulu chercher plus longtemps le pauvre type roche qui aurait pu finir seul si le Voltali n'avait pas été là ce jour-là pour le récupérer. Aujourd'hui, tu ne peux pas le récupérer, tu ne le veux pas. Goldfroy s'est intégré à l'équipe de Ginji, il y a évolué, a pris en maturité. Il se plaît avec le blond. Tourner la page, voilà ce que tu avais fait. Tu n'oubliais jamais cet épisode, mais cela te rappelait que tu n'étais plus le même qu'autrefois, que tu avais grandi, et qu'aujourd'hui, tu avais l'occasion de montrer que tu n'étais pas de ces salauds qui renient leurs Pokémon, que tu les appréciais qui qu'ils soient et que tu chercherais à les aimer du mieux que tu pouvais. Aileen avait raison de se méfier sur ce point, car cela signifiait une chose : tout était encore à faire. Et cela commencerait en ce jour en accueillant la Triopikeur dans ton équipe.
▬ Tout ça pour dire, je veux juste avoir ton point de vue sur la chose. Comprends que même si j’ai réellement envie de me débarrasser de cette Triopikeur qui en veut à mort à mon Evoli, je tiens tout de même à la placer dans une équipe où elle se sentira plus à sa place que dans la sienne, et pas dans la première équipe venue parce qu’on m’en propose une somme astronomique. Sans vouloir te vexer, bien sûr. dit-elle, te tirant de tes esprits.
Tu souris pour la énième fois après avoir soupiré un très court instant.
▬ Ta méfiance est tout à fait légitime, et je la comprends parfaitement. Pour ne pas te mentir, ces rumeurs ne sont pas totalement vraies, mais pas totalement fausses non plus. Il y a deux ans environ, j'ai perdu l'un de mes compagnons, un Racaillou, dans le chaos du fameux cirque des Boulons, que Ginji a recueilli ensuite. J'ai tenté de le chercher, mais pas assez, pas avec la motivation que je devais avoir. J'ai lâchement abandonné ce pauvre Racaillou ce jour-là . Mais j'ai fini par le retrouver, et ça s'est mal passé, amenant Ginji à me détester au plus haut point. Cependant, il y a un an, j'ai eu l'occasion de m'expliquer clairement avec Ginji, et si maintenant nos relations sont neutres, il n'en reste pas moins que l'affaire a été réglé. Plus encore, cela m'a permis de prendre conscience de l'imbécile que j'étais, et des erreurs que j'ai pu faire en cette période. Désormais, je mets tout en œuvre pour ne pas les répéter, et ce Triopikeur est de ceux que je serai prêt à recueillir dans ma petite famille pour en faire un véritable membre, qu'il ait son utilité et qu'il s'y plaise au mieux. Après, libre à toi de me croire, mais j'ai espoir de faire de ce petit … cette petite ? Quoiqu'il en est, j'ai espoir de lui offrir une vie qu'il/elle pourrait apprécier pleinement tout en te permettant de te libérer du poids qu'il/elle doit représenter. répondis-tu avec le plus de sincérité possible.
Et tu attendis qu'elle te réponde, laissant le goût si fruité de ton thé se répandre lentement sur ton palais, te procurant un plaisir sans nom ...
▬ Je comprends. Ce sont des choses qui arrivent. dit-elle.
Bon, elle le prenait plutôt bien, c'était le principal. Tu n'avais pas besoin de t'enfoncer plus encore dans le sujet, c'était du passé désormais. Tu avais tourné la page, et Ginji aussi. Pas besoin de revenir dessus plus longtemps. Au moins, de ce côté, c'était réglé. Revenons-en donc à la situation présente. Aileen semblait désormais réfléchir à la chose. Quels étaient donc ses pensées ? Que se disait-elle ? Allait-elle refuser ta requête ? C'était légitime après tout. Même si elle comprenait tes erreurs, il n'était pas certain qu'elle soit réellement compréhensif et soit prête à te confier le/la Triopikeur en connaissant tes antécédents. Néanmoins, tu étais motivé, tu étais prêt à faire en sorte que le type sol s'intègre bien dans l'équipe, qu'il soit accepté et qu'il apprécie ta famille en pouvant un jour se considérer comme l'un des vôtres à part entière, le plus tôt étant le mieux. Et puis, si cela pouvait aider la Pyroli qui mettait enfin fin au calvaire que le Pokémon lui faisait vivre, c'était parfait. Vraiment parfait. Mais se sentait-elle prête à choisir le choix de la confiance, de te remettre les rennes de la vie du Pokémon, sans véritable preuve de la véracité de ta motivation à t'occuper de la bête ? Tu en fus enfin prévenu dès que la brunette fut sortie de ses pensées.
▬ Hmmm. D’accord, ça marche. Tu m’en proposerais combien, pour cette petite demoiselle, du coup ? dit-elle finalement.
Tu souris, content de savoir que l'on était prêt à te faire confiance. Tu n'allais pas décevoir la demoiselle. En cet instant, tu te fis la promesse de faire en sorte que la, puisqu'Aileen venait de dire qu'il s'agissait là d'une femelle, s'intègre pleinement à l'équipe et qu'elle oublie enfin la Pyroli qu'elle semblait haïr. Maintenant, il fallait la payer. Fouillant furtivement dans ton sac, tu vérifias ton porte-monnaie jetable, une simple bourse en tissu rempli à ras-bord, et réfléchit un court moment avant de l'empoigner fermement et de la déposer devant la Pyroli, ajoutant quelques Capsules Techniques usagées et une belle écaille coeur dont tu n'avais pas l'extrême utilité, puis tu récupéras la Pokéball de la Triopikeur qui avisa la boule avec intérêt, et te leva, te dirigeant lentement loin du petit café. T'arrêtant après cinq pas, tu te tournas vers ton interlocutrice, et lui sourit.
▬ Il doit y avoir tout juste quatre cent quarante-cinq jetons dans cette bourse, si on ne m'a rien volé depuis que je l'ai rempli, et ces capsules techniques ont encore une utilisation à leur compte. Envoies-moi un message s'il manque quelque chose, je viendrais corriger l'erruer. tu te tournas vers ta nouvelle compagne. Tu viens avec moi, ma belle ? l'invitas-tu. Bonne fin de journée à toi. saluas-tu amicalement à ta camarade.
Et sans plus de cérémonie, tu pris congé de la Pyroli et te dirigeas tranquillement vers ton chalet. Un nouveau boulot t'attendait : t'occuper de la demoiselle qui était désormais à tes côtés. Mais avant, il fallait bien le présenter à ton équipe. Tu farfouillas alors tes poches et fit sortir toute ta petite compagnie, et plus particulièrement Poséidon, qui salua humblement la Triopikeur avant de se tourner vers Aileen, encore visible d'ici, et repéra alors l'Evoli lové dans les bras de la Pyroli. Tu ne saurais dire ce qu'il y a pris à cet instant mais il s'est littéralement jeté en direction du Pokémon, est venu au niveau du type normal, et le fixant de son seul oeil, l'autre affichant visuellement la belle trace qui l'avait rendu borgne, il lâcha un cri d'Aquali, lui disant quelque chose avant de sourire et de revenir vers toi. Tu ne saurais jamais ce qu'il y a dit à ce moment-là, mais une jour était sûr : depuis ce jour, le type eau affiche un grand sourire heureux ...
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