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Lucas Emerillon
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Icon : Bonjour, c'est la poste Noctalienne ! || feat. Ciel 0BFLMM9
Taille de l'équipe : 25/35
Région d'origine : Johto
Âge : 24 ans
Niveau : 61
Jetons : 1927
Points d'Expériences : 1907
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Lucas Emerillon
est un Adulte Meneur d'Étage


Bonjour, c'est la poste Noctalienne !

LUCAS
EMERILLON
CIEL
G. MANCINI
Lieu : Dortoir Noctali
Date : 11/09/16
Pokémon utilisés :
Parfait. lanças-tu.

Ta voix perçait à travers le silence monotone qui composait le matin, y apportant sa chaleur et sa vie. Au loin, ce soleil de feu qui se découpait à travers le large dans un rougeoiement puissant. Il n'y avait là que toi. Toi et tes Pokémon, installés dans le parc accomplissement quelque mouvement physique comme vous aviez l'habitude d'en faire. Reprendre l'entraînement t'avait été plus que bénéfique; Tu oubliais tes tracas, reprenait la forme que tu avais habituellement, et tu continuais encore et encore de t'améliorer, d'avancer comme tu le souhaitais. Et puis tu te vidais l'esprit. Tu ne pensais plus à rien, et tu commençais chaque journée avec le sourire sur les lèvres. Et puis tu faisais progresser tes Pokémon, qui se devaient d'être au meilleur de leur forme. Tous le savaient, et chacun, du moins ceux qui se battaient, ne manquaient pas le moindre entraînement, toujours ponctuelles, toujours motivés à aller s'entraîner. Piou était toujours là, lui. Toujours là à t'observer en silence tout en accomplissement les mouvements demandés. Freed aussi, qui se tenait juste là à l'écart, t'observant et semblant réfléchir. Et si au début tu n'y faisais pas attention, tu avais commencé à te demander s'il ne te testait pas. S'il n'essayait pas de comprendre ce qui n'allait pas chez toi, ce qui pouvait bien te faire faire n'importe quoi au malheur de ta volonté. Il ne souhaitait pas vraiment reproduire ce qui s'était passé avec Mikato lors des vacances d'été, et même s'il n'avait pas été présent physiquement, il l'avait bien ressenti au fond de sa Pokéball, tiraillé entre la pitié et la tristesse. Mais tu n'y faisais pas plus attention en vérité. Tu était simplement gêné, mais tu savais parfaitement qu'il n'y aurait rien à faire pour le stopper dans ses réflexions. Il était comme ça, c'était tout. Tu continuais donc de t'entraîner l'esprit vide malgré tout. Et à chaque fin d'entraînement, tu allait déposer tes compagnons, et emmenait ensuite Piou avec toi pour une petite course dans la forêt.

C'était ce moment.
Ce moment où tu commençais à réfléchir.
Comme une sorte de rituel.

La course te faisait lentement reprendre tes esprits. La tête vide et propre, tu appréhendais chaque détail qui te revenait en tête et qui méritait d'être revu de nouveau. Les vacances et ses événements, l'année passée, les années précédentes. Toute ta vie. Tout était repassé au peigne fin. Mais tu restais calme. Tu appréhendais plus facilement chacune de ces choses. Tu imaginais ce qui aurait changé si tu avais agi d'une autre façon. Tu te dis que parfois tu as fait des erreurs que tu aurais pu éviter, que le destin avait tout simplement décidé de se jouer de toi. Rien n'était oublié. Et il te fallait bien une heure pour tout te remémorer. Une petite heure à courir à travers les arbres, imité par Piou qui restait vigilant à tes moindres faits et gestes, une petite heure à penser et à analyser ces souvenirs qui te revenaient. Et chaque jour tu revenais de ce footing matinal avec l'impression d'être heureux, l'impression d'avoir passé le cap de la souffrance et de ne ressentir enfin que du bonheur. Mais ce jour-là, tout avait été différent. Pour une raison qui t'échappait, tu t'étais senti mal dès le réveil, comme détruit intérieurement par un sentiment néfaste. Un cauchemar peut-être. En tout cas, tu te sentais plus lourd qu'à l'accoutumée, plus dur que ton corps ne l'était normalement. Et tu ne te sentais vraiment pas bien. Comme si tous les maux que tu appréhendais avec calme et sérieux te retombaient dessus sans crier gare. Malgré tout, l'entraînement avait eu lieu. Les habitudes étaient redevenus mécaniques et presque instinctives, mais le footing était une chose nouvelle, une nouvelle façon de supporter le fardeau que tu étais. Et aujourd'hui, tu n'avais pas l'envie de le faire. Tu avais laissé Piou dans sa Pokéball avec les autres, et tu t'en étais allé en silence dans la forêt, impassible, pour marcher sans réfléchir. Pourquoi faisais-tu cela ? Tu n'avais même pas l'envie d'y réfléchir. Tu marchais, simplement, les sentiments néfastes grouillant dans ton esprit. Et sans vraiment te justifier, tu te mis à serrer les dents, les poings, ton corps tout entier, te faisant souffrance pour ne pas craquer. Petit à petit, ton regard se perdit dans le vide, et tu ne te rendis même plus compte du trajet que tu empruntais. Tes jambes avançaient progressivement d'elle-même.

Je ... lâchas-tu.

Ta voix parlait toute seule. Tu n'étais même plus maître de tes mots. Tu ne pensais plus, car une douleur étrangère s'immisçait au fond de toi, et tu n'arrivais pas à le contenir. Finalement, tu finis par t'affaisser contre un mur, un arbre, quelque chose, et te recroquevilla instinctivement sur toi-même. Tu ne pleurais pas, ne hurlait pas, n'était pas en colère. Mais tu n'étais plus toi-même pour une raison obscure. Tes maux revenaient plus forts, plus durs dans ton esprit, et l'embrouillaient au point de le détruire lentement. Tu te sentais partir dans les abysses de ton âme, puis subitement, des questions t'apparurent. Pourquoi moi ? Pourquoi eux ? Pourquoi cela ? Tu ne comprenais même pas pourquoi tu posais ces questions, pourquoi tu étais dans cette situation. Ton corps parlait pour toi. Il en avait marre d'avoir à supporter cela, de devoir apprendre à vivre avec cela. Il se lâchait enfin, rejetait ces choses néfastes qui le tourmentait. Et tu étais en train de supporter leur passage vers l'oubli.

PIAFABEC !

Le cri transperça littéralement le silence qui t'entourait, te sortant in extremis de cette torpeur incompréhensible. Ton instinct réagit de lui-même : le cri était celui d'un prédateur. Il y avait un Pokémon en danger, et quand bien même tu n'étais pas un ranger, tu ne supportais pas, du moins plus, d'avoir à voir souffrir un Pokémon ou d'être complice de sa souffrance en ne lui venant pas en aide. Pas le choix. Ton corps allait devoir remettre tout ça pour plus tard. Te relevant rapidement, tu t'élançais en direction de l'origine du cri et ne mit pas longtemps à comprendre que tu arrivais à l'entrée de la Grotte Granite. Bingo. Tout près de l'entrée, entre l'entrée et le premier arbre, un œuf visiblement abandonné depuis des heures se trouvait là, entouré de volatiles et notamment des Piafabec, chacun se battant pour savoir qui pourrait l'emporter. Ni une, ni deux, tu t'élanças sans prévenir en criant de tout ton souffle et attrapant au passage l'ovale avant de t'enfuir à travers les buissons aussi vite que possible pour fuir le danger qui s'était déjà élancé dans ta direction pour récupérer son dû. Pas le choix. Tu courais comme si ta vie en dépendait, oubliant tout le reste. Le dortoir Noctali n'était pas trop loin, c'était déjà cela. Et connaissant chaque entrée, tu tâcherais de gagner du temps pour réussir à les semer. Tu ne réfléchissais presque pas à ta course. Tu t'imaginais simplement la position du dortoir par rapport à toi et tu courais dans cette direction à toute vitesse. Les cris des piafs se rapprochaient progressivement de toi, mais tu n'y pensais même pas. Tu courais sans t'arrêter.

Le dortoir ! t'exclamas-tu.

Tu avais pris la bonne direction, et le bâtiment se dessinait déjà devant toi. Parfait. Et ta marge de manœuvre était encore assez grande pour ouvrir et fermer une porte à temps. Tu n'hésitas donc pas une seconde et te rendit à la première porte que tu trouvas sur ton trajet que tu ouvris le plus rapidement possible avant de t'engouffrer dans la cage d'escalier qui se trouvait derrière pour la refermer derrière, voyant arriver les oiseaux avec un visage de haine profond. Leurs becs vinrent pour ton grand plaisir s'éclater contre le bois de la porte avec force, et tu les entendis très vite repartir, sans aucun doute dégoûtés à jamais. Tu posas enfin délicatement l'œuf, et souffla longuement, essuyant au passage quelque gouttes de sueurs. Puis, te remettant, tu te tournas vers ce que tu avais sauvé de la mort.

... Qu'est-ce que je vais en faire de ça, moi ? te dis-tu.

Après tout, tu l'avais sauvé par instant. Et s'il s'était retrouvé à servir de trophée de guerre pour un groupe de volatiles, c'est qu'il devait bien se trouver là depuis plusieurs heures, peut-être abandonné et assurément perdu à jamais par sa famille. Qu'allais-tu donc pouvoir faire de lui dans ce cas ? Le garder ? Tu étais déjà suffisamment débordé par toi-même pour avoir à s'occuper d'une nouvelle tête. Le donner ? Tu ne voyais que cela. Mais à qui ? La solution te sembla étrangement évidente.

Ciel ...

Ce nom, dès le premier jour, tu l'avais retenu par cœur. Une vrai boule d'amour qui tranchait littéralement avec l'ambiance parfois malsaine du dortoir. Tu avais appris par une source quelconque qu'il comptait devenir éleveur, ou du moins visait-il un domaine où il pourrait être proche des Pokémon. Il aurait donc sans aucun doute le temps de s'occuper d'un œuf de Pokémon. Mieux encore, tu sentais que tu pouvais lui faire confiance pour le coup. Tu n'avais donc plus d'hésitation. Cela constituerait son cadeau de bienvenue parmi les Noctalis – un peu en retard malheureusement. Attrapant donc l'œuf, tu t'en retournas d'abord dans ta chambre pour te remettre complètement de ta course et préparer l'œuf à être remis à quelqu'un. Et puis … Il fallait bien attendre que Ciel se réveille ...
(c) Alban



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Dernière édition par Lucas Emerillon le Lun 31 Oct - 0:37, édité 1 fois




Lucas
« Le brasier qui brûle en moi est éternel. »

Alexandre Z. Lestrange
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Alexandre Z. Lestrange
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CIEL ET LUCAS

Δ BONJOUR, C'EST LA POSTE NOCTALIENNE !
11 SEPTEMBRE 2016.

Le temps défile horriblement vite. Il y a désormais plus de deux mois que tu es entré à l'académie et tu as rencontré une telle panoplie de personnes que tu n'as pas vu l'été se passer. Tu as désormais quitté Touga pour Lansat, la ou se situe le complexe étudiant et tu as troqué ta chambre au premier étage pour une autre, en compagnie d'Alyx Levi-Harabo. C'est dans ce lieu que tu te trouves pour le moment, incapable de dormir mais ne souhaitant pas sortir du lit avant l'heure prévue, par crainte de réveiller ton camarade.

Tu as cauchemardé cette nuit. Tu ne te souviens plus vraiment de quoi, mais la sensation d'écœurement qui te balaie la bouche et la gorge depuis ton réveil et la sueur qui a perlé sur ton visage et dans tes cheveux ne présageait rien de bon. Il t'a fallu du temps pour apaiser les battements apeurés de ton organe cardiaque, qui ne s'est calmé que depuis quelques minutes et tu es là, les yeux ouverts, depuis plus d'une heure, à attendre que le temps qui est bien trop lent pour une fois se décide à accélérer son rythme et que tu puisses enfin de te lever pour participer aux cours. Cinq heures du matin. Les jeunes filles du dortoir Pyroli doivent être en train de se préparer pour participer à l'entraînement matinal, si elles ne l'ont pas encore commencé. Tu te tournes et de retournes dans ton lit, faisant rouler le drap plat et la couverture entre tes doigts filiformes, en possédant à la fois l'envie de chercher le sujet de ton cauchemar et la peur de le trouver. Tu as pourtant décidé de te lever sur le coup des six heures, ou peut être six heures trente, du matin. Tu n'as pas regardé l'heure à laquelle tu as commencé à t'habiller après avoir été tiré de ton lit par des bruits sourds, comme des coups haineux, donnés sur la lourde porte de bois du dortoir. Ils devaient être enragés, étant donné la précision avec laquelle tu les as entendu et tu en es satisfait pourtant puisqu'ils te donnent un prétexte pour te lever.

Tu attrapes ta sacoche en jetant la bandoulière par dessus ta tête. Tu la remplit avec tes affaires de cours ainsi que les pokéballs de tes deux compagnons et l'œuf d'Evoli – tu auras l'air fin s'il éclot au beau milieu d'un cours de Roseverte ou du Général Jackie – et tu ramasses le porte-document contenant ton dossier pour le passage au Grade 1 que tu traîne avec toi depuis que tu es revenu d'Unys, après avoir complété l'offre de stage consistant à s'occuper d'un Dracolosse et tu quittes la chambre le plus silencieusement possible. Tu n'as pas mis tes chaussures d'ailleurs, dans le but de prendre une précaution supplémentaire et tu commences à les lacer sur le pallier du couloir, après avoir refermé la porte de la chambre derrière fois. Tu fais sortir Sobek de sa pokéball et tu places ton index gauche devant tes lèvres pour l'intimer au silence.

« On va se faire discret. La plupart des étudiants, si ce n'est pas la totalité, doivent encore dormir. »

Tu achèves de mettre tes chaussures de trekking avant de prendre la sortie des lieux. Tu remarques au passage un fin rayon de lumière percer entre l'espace du sol et du bas de la porte en passant devant la chambre de ton préfet mais tu ne préfères pas y faire attention. Il a après tout sûrement ses propres raisons d'être levé et ce n'est pas la peine que tu ailles le déranger. Tu reprends le dossier de ton grade 1 en mains avant de descendre les escaliers – tu as l'intention de le relire et, pourquoi pas, de le déposer aujourd'hui si tu l'as suffisamment rogné et amélioré. Il faudra bien le faire à un moment ou un autre de toute évidence. Tu auras d'ailleurs bien le temps d'y réfléchir avant d'aller en cours puisque, pour le moment et en dehors de Lucas, seules les Pyrolis doivent être levées et de sortie.


© GASMASK
Lucas Emerillon
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LUCAS
EMERILLON
CIEL
G. MANCINI
Lieu : Dortoir Noctali
Date : 11/09/16
Pokémon utilisés :
Finalement, en attendant que le jeune Noctali ne se réveille, tu étais parti t'installer dans le grand salon du dortoir où tu avais sorti Kaïn de sa Pokéball, rapidement récupéré deux minutes auparavant, pour venir piquer un petit somme à ses côtés avec l'œuf qu'il réchauffait grâce à la chaleur naturelle qu'il dégageait. Il régnait dans la pièce un silence que certains trouveraient pesant mais que pour ta part tu appréciais tout particulièrement. Tu pouvais t'y sentir libre comme l'air, débarrassé de tout stress et de tout sentiment qui t'était néfaste. Tu te sentais particulièrement zen dans ce genre d'ambiance. Et mêlé à l'obscurité semi-présente, uniquement percé par une légère lumière à l'extérieur ; les lampadaires du parc qui s'étaient allumés voilà maintenant une bonne demi-heure ainsi que le soleil qui pointait de plus en plus le bout de son nez à travers l'horizon. Six heures devait bientôt sonner, et pourtant, toujours personne n'était levé. C'en était un peu désespérant mais en cet instant, tu ne t'en souciais guère, respirant lentement et laissant ton esprit s'évader au rythme des secondes qui défilaient dans ton esprit. Le souffle presque brûlant de Kaïn venait te réchauffer les jambes et te rendait plus mou, plus léger, comme transformé en montgolfière en train de s'envoler. Petit à petit, tes yeux commencèrent à se fermer, emportés une envie de dormir étrange et fourbe, et te plongèrent finalement dans un état de semi-endormi, toujours prêt à réagir à la moindre arrivée mais n'ayant plus vraiment conscience de ce qui t'entourait si ce n'était le silence qui se déformait dans tes oreilles comme si un rêve se mettait en marche. Tu te sentais partir dans le vide, disparaître à jamais, n'être plus rien, mais le destin ne t'en laissa pas le temps.

Hmmmm.

Des bruits de pas t'avaient immédiatement tiré de ce sommeil léger qui te prenait, et te fit tourner le regard vers les escaliers de la pièce qui donnaient sur les chambres à l'étage supérieur. Quelqu'un se dirigeait par ici. Qui ? Difficile de le savoir pour l'instant. Les pas étaient plutôt tranquilles, pas trop bruyants ; bien qu'assez audibles à cause du sol qui n'était pas vraiment en béton ; donc la personne était soit quelqu'un d'agile, soit un des jeunes membres des Noctalis. Une pensée te traversa l'esprit : et si c'était Ciel ? Il était bien le seul membre à se lever en pleine nuit donc il se pouvait que cela soit probable, mais rien n'était sûr. En tout cas, si c'était le cas, tu avais de la chance, car tu avais l'assurance du fait qu'il soit seul et que personne d'autre ne soit encore debout. Tu allais pouvoir discuter avec lui. Quittant donc le canapé où tu t'étais posé, tu te dirigeas calmement vers les escaliers, te tenant à une distance assez suffisante pour ne pas paraître suspect, et attendit de voir quelle personne était en train de venir dans le salon.

Oh, bonjour Ciel !

Et finalement, ce fut bien ce que tu espérais : il s'agissait de Ciel. Tu le vis descendre jusqu'en bas et venir dans ta direction, visiblement encore un peu dans le lard. C'était incroyable de voir à quel point il était petit. Non pas qu'il ressemblait à un nain, mais tu avais vraiment du mal à ne pas avoir cette impression d'être son père au vu de votre différence de taille assez significatif ; à laquelle s'ajoutait la différence d'âge de tout de même six ans. C'était un petit gars très sympathique qui ne semblait pas vraiment avoir sa place mais que tu t'efforçais d'aider comme tu pouvais en tant que préfet Noctali ; mais aussi en tant que camarade. Il se trouvait en pyjama, sortant probablement de son sommeil depuis peu, à moins qu'il n'ait simplement eu la flemme de se changer avant l'heure des cours. Enfin, peu importait. Toujours était-il qu'il n'était en vérité pas si seul que cela. Son starter l'accompagnait. Un mimi petit Mascaïman chromatique. Très charmant. Là n'était cependant pas la question. Si tu étais content de voir que tu étais tombé sur la personne que tu cherchais, tu te demandais bien quelle était la raison de sa présence ici. Il ne fallut pas longtemps pour repérer le dossier qu'il tenait entre ses mains.

Tu me cherchais ? demandas-tu.

Et armé d'un sourire, tu attendis de voir quel serait sa réponse.
(c) Alban





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