Marcus Lefèbvre
Nom. Lefèbvre
Prénom. Marcus
Âge. 15ans
Région d'origine. Hoenn
Ambitions futures.Il aimerait devenir policier comme maman car c'est un bon fils.
Il n'y a pas de tragédie, il y a seulement l'inévitable. Paulo Coehlo
Description
« Marcus c’est le roux là-bas qui gagate le galifeu. Mais dites pas qu’il est roux ou gâteux hein, il risquerait de s’énerver à mort… pendant au moins 30secondes. Nan je me fou de sa gueule car il n’est pas crédible quand il est en colère, il le sait d’ailleurs il s’énerve rarement. Par contre payes son coup de pute le jour où il décide de se venger. » Doyle Rubens, ami de Marcus.
« C’est un bon pote, on se marre bien quand on le connait un peu. On s’est mit sur la gueule quand il a serré Clara mais on s’est réconciliés. Je comprends pas pourquoi il serre plus de filles que moi je suis sûr qu’il est pd en plus. » Hector Fulgence, ami de Marcus.
« Il n’est pas doué de ses dix doigts, c’est une catastrophe ambulante. Je ne l’envoie même plus au tableau il me pète toutes mes craies. Il a déjà renversé le sceau pour le tableau sur mon sac. Il ne l’a même pas fait exprès, il s’est juste prit les pattes dedans. » Monsieur le prof de maths.
« Mon fils, il est comment dire, de bonne volonté. On va dire qu’il a pas encore trouvé son domaine d’excellence.» Maxime Lefèbvre, éducateur pokémon et père de Marcus.
« Marcus, policier ? ahah. J’éprouve de la la... mais si vous savez, oui de la fierté à ce qu’il veuille faire comme moi mais il n’a pas l’étoffe d’un flic, ni même d’un entraineur Pokémon pour la brigade. Appart faire diversion je ne vois pas ce qu’il pourrait faire. Car ce n’est même pas qu’il est tête en l’air, il n’est juste pas doué. Jamais il n’oubliera ses clefs ou les perdra sur le chemin de l’école. Non, lui, il va les péter dans la serrure de la maison quand il fait -4° dehors. » Jo Lefèbvre, commissaire à la retraite de Charbourg et mère de Marcus
« Moi il me fait bien rire, et puis il a en général du bol dans ses conneries : il trouve toujours le moyen de s’en sortir. Pas beaucoup de monde ne le sait mais c’est un bon comédien et un écrivain subtile. Une fois en cours de français on devait faire du théâtre et on s’est retrouvé en binôme. Comme il avait été seul à recevoir le texte, il a réécrit discrètement toute la scène pour nos répétitions juste histoire de me pécho à la fin. J’y ai cru en plus. Dommage que le théâtre ne l’intéresse que pour serrer. » Clara Lohn, ex copine de Marcus.
« Mon mec ? Je l’ai détesté la majorité de ma vie. On se connait depuis qu’on est petit et je ne supportait pas sa gueule: Il a l’air tellement fragile et il te regarde comme si c’était lui qui allait te casser la gueule. Ça fait un peu chiwawa garou si vous voyez ce que je veux dire, il ne ressemble à rien mais tu finis par craindre qu’il se change en quelque-chose d’autre quand il te fixe en chien de faïence. Et c’est encore pire quand il sourit, je l’ai tellement haï ce sourire doux qu’il affiche la moitié de son putain de temps d’éveil journalier. Et puis, j’ai compris qu’il n’était juste pas fini ou qu’il ressentait la vie bizarrement : il peut rigoler quand il est frustré ou qu’il a peur. C’est quand j’ai fini par saisir que ce n’était pas un sourire de faux-cul que j’ai arrêté d’en vouloir à sa vie dès que je le croisais.
En fait j’ai commencé à bien l’aimer le jour de l'enterrement de mon père. Mon père était capitaine à l’hôtel de police de Mérouville et était très proche de la mère de Marcus; elle avait été son mentor. Sauf qu’elle était hors circuit depuis quelques années déjà, une sale maladie, un Alzheimer précoce qui lui bouffait la vie et la tête. Quand Marcus s’est pointé à l’enterrement, ça a été une victime de choix pour que je défoule ma haine : je lui ai demandé ce qu’il foutait là puis je l’ai envoyé valser en lui balançant que je préférais mon père dans cet état que dans celui de sa mère. Et là.... là, il a esquissé son sourire qui s’est figé en cours de route, mais qui est resté sans haine. Je crois que je suis tombée amoureuse d’un coup. Je l’ai quitté en apprenant que ce con allait patir 4ans sur une île, mais ça me fait bien mal au cœur.»
Lola d’Arbanville, ex-copine de Marcus.
Histoire
Papa m’aide à finir de préparer discrètement ma valise. Ma mère erre un peu dans la maison et me surveille. Mais grâce à notre technique de ninja, elle n’a aucune preuve de ce que je trafique. Elle est de mauvaise humeur, elle se doute bien qu’il se passe quelque-chose. Elle ne s’en souvient pas mais elle a signé pour mon inscription à Lansat. Même si elle l’a fait sans espoir que je sois embauché dans une brigade de police et la rende fière un jour, elle l’a fait avec satisfaction car un des profs a été un de ses instructeurs à elle. Son nom, c’est un des seuls dont elle se souvienne, c’est bizarre mais du coup c’est vraiment important. Je ne lui dis pas que je pars, je lui ai déjà dit deux fois, elle a été malheureuse dix-sept minutes, puis a oublié mais est resté énervée pendant trois jours. Papa, lui, est content que je quitte la maison. C’est normal, c’est un papa, il a envie que je parte loin de sa douleur à lui. J’ai accepté d’aller là-bas à condition qu’il emmène maman à l’accueil de jour* deux fois par semaine ces quatre prochaines années. Il a rigolé en acquiesçant et j’ai deviné que ça voulait dire non, j’ai fait comme si de rien était. Je crois qu’au fond j’ai envie de partir, j’ai un peu honte.
« Tu es vraiment sûr de vouloir t’engager la dedans ?
- Ben oui, t’inquiète pas pour moi, je m’en sortirai papa.
- Tu es sûr que tu ne veux pas faire le test? On s’en fou du billet de train on le rachètera; on retarde de deux semaines ton départ, on va à l’hôpital et ils nous diront vite. »
On en avait tellement parlé que je n’étais même plus en colère. La forme d’Alzheimer de ma mère est génétique, héréditaire et dominante. Ça veut dire que j’ai une chance sur deux de l’avoir, ça se déclencherait vers mes trente ans et mettra ma vie en danger vers mes trente-cinq ans, ma mère est une warrior d’avoir tenu jusqu'à près de cinquante ans. Mon père sous-entend qu’il faut faire un examen pour savoir si je l’ai, le cas échéant, me lancer dans études ne servait à rien.
« Et ça changerait quoi papa ?
- On vendrait la maison, je te donnerai ce qu’on a cotisé pour tes études, tu t’achèteras ce que tu voudras. On partira loin, à Atalanopolis ou même dans une autre région, on ne travaillera pas et on profitera de la vie.
- On fera ça de toute façon un jour où l’autre, quand j’en aurai marre d’être flic ! » rigolai-je sans perdre le nord : la filière d’espionnage de Lansat avait une excellente réputation auprès de toutes les brigades de la région et j’étais sûr que je serais embauché dès ma sortie de l’école. Et puis maman, son boulot, ça l’avait sauvée. Elle était devenue une héroïne quand elle avait apprit qu’elle n’avait plus rien à perdre: elle s'était portée volontaire pour les missions les plus dures et les plus dangereuses. Elle s’en était toujours sortie. Pensant que c'était du courage et de la détermination à l'état pur, les directeurs généraux des forces de police l'avait faite vite monter en grade. Puis maintenant, elle demeurait appréciée et respectée, elle était régulièrement invitée à donner son avis sur une enquête, ça lui permettait de garder le moral.
J’ai fini les derniers préparatifs. Sans doute par nostalgie précoce, j’attrape mon album souvenir. Je commence à regarder mes photos :moi à six ans avec mes frères et ma sœur entrain de jouer à la pension pokémon de Lavandia, j’aime cette photo, elle date de quand ils pensaient encore qu’ils étaient de vrais triplets. La procédure d’adoption pour ma sœur avait été validée et ma mère est tombée enceinte juste après, le coup classique. Mais dans le cas de Luisa, c’est un coup de chance de ne pas partager notre drôle de génétique.
Ensuite une photo de « Rubis » mon Galifeu quand elle était bébé. Puis des photos de classe, je ne vais pas les emmener celle-là : la tête que j’ai dessus. Ensuite, je passe des photos de vacances à Nénucrique : la classe. Enfin, la classe tant que personne ne sait que je n’ai jamais trouvé la sortie de la route victoire. Heureusement en un sens, car Rubis et moi n’avions aucune chance de passer la ligue Pokémon. Je passe rapidement d’autre photos, finalement une de moi et Lola. Je vais la cacher tout au fond d’un tiroir et la ressortirai dans quatre ans lorsque je reviendrai à Mérouville. J’espère qu’on se retrouvera, je l’aime. Je crois que je vais juste prendre la photo avec mes frangins et laisser les autres à mes parents. Je vais chercher mon pokémon, il est temps que je me rende à la gare :
« Rubis on y va !
-Feuuu !
- qu’est ce que tu as ?
-Marcus, Marcus viens voir ! » fit mon père ravi et dans une drôle de posture.
Je m’allongeais à côté de lui sur le tapis du salon: Rubis faisait une gueule de dix pieds de long et était assise, prostrée, sur le canapé.
« C’est quoi ! Oh bordel ! » Papa avait trouvé un œuf sous l'assise du canapé.
«Félicitation Rubis!! m'exclamai-je, surpris, mais content:
- Feuuuuuuuuuuu » se lamenta mon pauvre Pokémon, l'air déçu.
"Repose toi et occupe toi du bébé, je reviendrai te chercher une prochaine fois." Le pokémon roux acquieça lentement, apparement rassurée.
« Papa, je dois partir maintenant je vais louper le train » soufflai-je
« T’inquiète je gère.
-Maman, désolé je peux pas manger je dois vite partir, je reviens !
- Tu vas où ?
-Chez Lola !
- C’est qui ? une copine ?
- Voilà !
- C’est bien mon trésor, amuse toi bien.
- je t’aime maman. T'es trop cool! » Dis-je en l'enlaçant, feignant d'être juste reconnaissant. Pour tromper l'instinct de ma mère faut y aller, la seule technique que j'ai trouvé est de donner un faux sens à mes vraies émotions. Je la serre fort dans mes bras.
« Au-revoir fiston, tu fais gaffe à toi hein ? Tu envoies des nouvelles hein ?
- Des nouvelles de quoi, il s’en va quelque-part ? » fit ma mère, décomposée puis furieuse.
Je partis au pas de course, d’ici une quinzaine de minutes, elle aura oublié. Dans quelques jours, j'enverrai une grande photo de moi devant l'école de renom et mon père l'affichera au milieu du salon, comme ça, elle saura toujours où je suis.
Surnom. Myrtille
Espece. Magicarpe
Nature. Doux
Description. Ses moustaches sont jaunes pâles, c'est sans doute une petite femelle mais ce n'est pas tout à fait certain. Pokémon très douce et gentille qui adore les calins. Elle n'hésite pas à bondir hors de son bocal pour s'installer sur les genoux de son dresseur même si elle a des difficultés à respirer. Elle est parfois un peu colérique et possessive : on ne touche pas à SA nourriture, à SON bocal et encore moins à SON dresseur.
Pseudo ou prénom. Michka
âge. 23ans
Comment avez vous connu le forum ? Via un partenaire.
Quelque chose à ajouter ? J'ai vu dans le règlement que ça pouvait être le modérateur qui choississait le pokémon starter. Si c'est possible j'aimerais bien cette option svp :3 Faites vous plaisir
J'ai mélangé la description et l'histoire. Du coup mon histoire est courte pour compenser la description longue (a) j'espère que ça ira à la lecture <3
Et bravo pour le contexte du forum que je trouve super et le design qui est juste sublime!