Moïra O'Brien | |
Nom : O'Brien Prénom : Moïra Âge : 14 ans Région d'origine : Oblivia Ambitions futures : Très bonne question, mais dans l'immédiat, je compte plutôt me tourner vers la filière de coordination. | |
« Quels que soient nos luttes, nos triomphes, quelle que soit la façon dont ils nous affectent, ils ne tardent pas à se fondre en un lavis, à s'estomper, comme de l'encre diluée sur du papier. » | |
Description |
Me...décrire physiquement. Mine de rien, ce n'est pas un exercice si facile que ça, la difficulté étant d'être objective. Parce que c'est bien connu, une personne se voit différemment de la façon dont les autres la perçoivent. Je ne fais probablement pas exception...mais essayons quand même. Commençons par les informations de base. Je mesure environ 1m65 pour une cinquantaine de kilos la dernière fois que j'ai vérifié : je suis donc fine, mais dans la moyenne, ni plus mince ni plus grosse qu'une autre. Cependant, je cours tous les jours. Outre le fait que cela me détend, cela me permet surtout de brûler mes graisses. Je ne fais pas partie de ces personnes qui peuvent manger n'importe quoi ou alors en quantité ahurissante sans prendre du poids, alors je m'entretiens. Ma mère est exactement pareille, alors on peut dire qu'elle m'a un peu initiée à la course à pied...Et maintenant, c'est une habitude bien ancrée. Je ne m'en plains pas. De cette façon, je me sens en forme. Et qui pourrait regretter d'être en bonne condition physique ? Rentrons maintenant un peu plus dans les détails..Mes cheveux sont de la même couleur que mes yeux, d'un violet très pâle. Violet lavande, en fait. Ils sont très longs, m'arrivant à la taille., et raides. Il est assez rare que je garde mes cheveux attachés, sauf pour les moments où je vais courir ou pratiquer un autre sport. Je ne voudrais pas qu'ils me gênent...Ah oui. J'avais oublié de préciser que je me fais toujours une petite tresse sur le côté droit, que je retiens à l'aide d'un ruban noir. Petite coquetterie de ma part s'il en est, un peu de fantaisie ne peut pas nuire après tout Je suis assez fière de ma chevelure, d'ailleurs..Je n'ai pas prévu de la couper de sitôt. Ca a représenté un certain effort de les laisser pousser autant – ce n'est que depuis l'an dernier qu'ils ont cette longueur définitive-, donc ça serait dommage de s'en débarrasser aussi vite... Passons ensuite à mon visage..J'ai la prétention de penser qu'il est assez joli. Rien de comparable à une actrice ou un top-model, mais joli quand même, je ne suis pas un laideron...Mais je m'égare. J'ai donc un visage en forme de cœur, avec des joues bien prononcées et un menton pointu. En revanche, mon front est large, caché sous une frange droite. De même que mes sourcils épais, d'ailleurs. Contrairement à ma bouche et mon nez, qui sont plutôt petits. Dieu merci, je n'ai pas besoin d'un appareil dentaire, ma dentition est parfaitement normale, sans qu'il y ait besoin de rectifier quoique ce soit. Ensuite, mes yeux...Il n'y a pas grand-chose à ajouter à ce que j'ai déjà dit sur leur couleur, mis à part le fait que j'ai besoin de porter des lunettes pour lire. Donc, quand je suis en classe, c'est plus comme ça que l'on risque de me voir. J'ai porté mon choix sur une paire de lunettes à la monture noire. C'est simple, discret, élégant et passe-partout, que demander de plus ? Rien. Je pourrais aussi ajouter que je ne suis pas du genre à baisser facilement les yeux. Au contraire. Quand je parle à quelqu'un, je le regarde en face, sans ciller généralement. Pourquoi ? Parce que cela montre que je ne suis pas du genre à faire la carpette. Enfin, concernant mon style vestimentaire, je porte souvent des jupes sombres m'arrivant plus ou moins à mi-cuisse, une chemise généralement blanche et une veste coordonnée à ma jupe. Plus une cravate et des mitaines, histoire d'accessoiriser un peu mes tenues, ainsi que des bottes noires. Lorsque le temps le permet évidemment : je ne vais pas porter une telle tenue en plein hiver, soyons sérieux. Pour résumer, je cherche avant tout l'élégance dans ma tenue, mais aussi le confort. Passons ensuite à mon caractère...Je déteste parler de moi, aussi je vais tenter d'être concise. Surtout que je ne suis probablement pas la meilleure personne pour me décrire, mon jugement n'est probablement pas complètement objectif. Enfin. Trêve de digression. D'ailleurs, cela ferait probablement un élément de caractère à mentionner. J'ai horreur que mon interlocuteur tourne autour du pot, c'est non seulement fatiguant mais en plus, cela me fait perdre mon temps. Cela n'a l'air de rien comme ça, mais additionnez le temps que vous perdez en digressions au lieu d'arriver directement à l'essentiel, et osez dire que j'ai tord. . Enfin. Je déteste aussi l'inactivité et la paresse. Je veux bien que certains veuillent se détendre, mais il y a détente et détente. Rester juste comme ça, allongé comme un mollusque, je trouve ça tellement stupide. Je pourrais aussi ajouter..que j'ai la critique facile ; quand quelque chose ne va pas, j'estime qu'il faut le dire. Ou du moins le penser. Le remarquer en tout cas. Je ne suis clairement pas la personne la plus bavarde du monde. Etrange ou non, je n'aime pas attirer l'attention sur moi. Il est très facile de comprendre pourquoi. Quand on est au premier plan, les gens vous attendent au tournant, profitant de la moindre erreur que vous commettez pour vous traîner dans la boue. Raison pour laquelle je ne suis pas pas vraiment ambitieuse : je veux devenir une bonne coordinatrice, c'est évident, mais de là à devenir la meilleure...Non. C'est pour ça que je préfère rester en périphérie : on ne me voit pas, mais moi, je regarde et j' observe. Il faut dire que ce n'est pas bien difficile pour moi de passer inaperçu.Je reste en retrait, je ne suis pas une grande gueule, je ne suis pas bruyante...Donc malgré ma couleur de cheveux, je reste relativement invisible. Et je juge silencieusement. Trouillard ou héros, ami ou ennemi, je fais peu de place à la demi-mesure. Pas la moindre trace de gris dans mon monde, juste du noir ou du blanc.. J'ajouterai ensuite que je m'énerve assez rarement. Pourquoi ? Je n'en vois simplement pas l'utilité. Je trouve que gaspiller mon énergie pour ça est là aussi...stupide. Le maximum que je m'autorise, quand je suis vraiment agacée, est de durcir mon ton et ma voix. Je refuse en effet de passer pour une hystérique en me mettant à crier contre quelqu'un. Sans parler du fait que c'est une véritable agression sonore ; et ça, c'est extrêmement désagréable. Que voulez-vous, je tiens à mon calme plus que tout. Pour réfléchir, notamment. Et il faut savoir que je réfléchis beaucoup, trop peut-être selon certains...Dès que je vois quelque chose, il faut que je l'analyse sous tous les angles. C'est pour moi presque un besoin. Tout analyser pour tout comprendre. Par peur d'être perdue face à une situation que je ne comprends pas entièrement, je suppose, même si je parviens presque toujours à m'en tirer. Je lis d'ailleurs beaucoup : romans, bandes dessinées, ouvrages scientifiques, je ne suis pas bien difficile de ce point de vue là...Mais je m'égare. S'il est vrai que je ne suis pas facile à énerver, il faut en revanche compter avec mon côté sarcastique et ironique. Pourquoi critiquer directement alors qu'on peut faire plus dans la délicatesse et finesse d'esprit ? Comment ça je cherche les ennuis avec une lanterne ? Mais absolument pas, c'est faux - et ma mauvaise foi vous dit zut. Je précise tout de suite : je suis du genre pacifiste, je ne commence pas une dispute, mais je sais la terminer. Venir embêter quelqu'un juste pour le plaisir de l'embêter – ou faire un sale coup dans le dos de quelqu'un - est pour moi hors de question, j'ai un minimum de principes. Incroyable, hein ? Je pourrais dire aussi que même si mes convictions sont assez fermes, je sais reconnaître lorsque je commets des erreurs. Je ne suis pas si monstrueuse que ça, quand même.. La preuve : je ne suis pas particulièrement froide ( ou du moins, il ne me semble pas..), je ne fais pas partie de ces nanas inaccessibles. Je ne mords pas aux dernières nouvelles. Si on vient me parler, je réponds. Évidemment. Question de politesse, même s'il s'agit d'une personne que je n'apprécie pas. J'estime qu'il faut simplement apprendre à me connaître, en d'autres mots à briser la glace. Et cela marche dans les deux sens..j'ai peut-être des jugements tranchés, mais j'essaye de connaître un maximum une personne avant de prononcer un jugement définitif. Si après ça ne passe pas..tant pis. En parlant d'amis justement, j'ai plutôt tendance à agir en solo. Trop de personnes autour de moi, ça me met mal à l'aise..mais cela ne veut pas non plus dire que je suis une asociale. J'ai peu d'amis, mais j'y tiens beaucoup.Quant à une éventuelle arrogance, eh bien...je vous laisse décider par vous-même. |
Histoire |
Mon histoire...Il n'y a pas grand-chose à en dire, à part le divorce de mes parents, mais je vais quand même essayer de détailler au maximum... D'autant que je me rappelle, j'ai toujours été cette fille solitaire, qui préfère observer plutôt que prendre part aux événements. Celle qui se laisse porter par le flot des événements, en gros. Celle qui ne dit pas grand-chose en classe, qui ne discute pas avec ses voisins à part pendant les projets de groupe, celle qui lève très rarement la main mais répond toujours juste quand le professeur l'interroge. Celle que les petits malins qualifient de bizarre, mais qui s'en moque. J'avais quelques amis fidèles dans ma classe et en dehors, c'était largement suffisant. Quand on s'attaquait à moi, ils me défendaient. Bon évidemment, je ne leur racontais jamais toutes les petites vexations qu'on me faisait subir. J'avais une fierté, je voulais gérer ça par moi-même. Première de mes brillantes idées. Ça a fini par cesser ceci dit.. Une année à me voir répliquer à leur « Eh mais tu es muette ? » par l'air le plus imperturbable que je pouvais sortir, ça a dû les lasser. Quelle bande de crétins quand même. Mis à part ça, ma vie était simple, agréable. J'avais des parents qui m'aimaient et qui me traitaient comme leur petite princesse, sans que je devienne pourrie-gâtée pour autant. Ah oui, mes parents. J'allais presque oublier d'en parler. Pedro et Eileen, respectivement cadre dans une entreprise et journaliste. Je ne les voyais pas énormément du coup. Forcément. Papa finissait tard, Maman était toujours par monts et par vaux. Elle aimait l'action, le terrain, comme elle me le disait souvent. Rester dans un bureau, ce n'était pas pour elle. Mais ils essayaient de se faire pardonner en s'occupant de moi de leur mieux lorsque l'on était ensemble. Enfin, je n'étais jamais vraiment toute seule, puisque la fille de notre voisine, Lara, venait régulièrement pour me garder. Je l'aimais bien, elle était gentille et n'hésitait pas à m'expliquer plusieurs fois une leçon si je ne l'avais pas comprise, lorsqu'elle me faisait faire mes devoirs. Et elle amenait son pokémon avec elle. Une Caninos femelle. J'ai oublié son surnom, mais je me rappelle qu'elle était adorable. Ce qui m'amène probablement à parler de la relation que j'avais aux pokémons à cette époque... J'aimais bien ces bestioles, mine de rien. Je les trouvais fascinantes, attachantes, adorables même – évidemment, c'était avant que je ne découvre des monstres comme Rhinoféros et Nidoking. Nettement moins mignon d'un coup, n'est-ce-pas. Ils pouvaient, pour moi, faire de formidables compagnons. Je ne voyais que ça : le plaisir de leur compagnie. Juste avoir une bestiole comme ça à chouchouter, à câliner... Ça me paraissait suffisant. Je n'aimais pas spécialement les combats pokémon quand j'en voyais à la télévision alors que les concours pokémon passaient déjà mieux. Trop de violence pour la petite fille sensible que j'étais ? Allez savoir. Je savais aussi que parfois, des jeunes enfants quittaient le domicile de leurs parents pour aller à la conquête des badges ou des rubans, et je ne comprenais pas. Comment est-ce qu'on pouvait tout claquer comme ça, pour partir à l'aventure ? Ça me dépassait. Je n'avais peut-être pas la passion nécessaire pour comprendre, si ça se trouve. Ou alors, j'avais peur de quitter la maison, grande casanière que j'étais. Allez savoir... Mon enfance s'est donc déroulée tranquillement. Ce n'était pas plus mal..Mais l'année de mes neuf ans, le monde a basculé sur ses fondations. Mes parents ont divorcé, et c'est ma mère qui a hérité de ma garde. Avec le temps, je remarque les signes avant-coureurs de cette séparation ; une distance entre mon père et ma mère qui ne faisait que grandir à cause de leurs emplois du temps respectifs, les disputes qui devenaient de plus en plus fréquentes, la tension qui existait parfois entre eux, la disparition de gestes affectueux entre eux...Je me rappelle de nombreux soirs où j'étais allongée dans mon lit, attendant le sommeil, et les voix de mes parents venant du salon. Comment aurais-je pu dormir, avec l'apocalypse qui se déroulait sous mon toit ? Mes parents, que j'aimais autant l'un que l'autre, qui se disputaient pour presque rien ? Et puis ce jour d'avril. « Moïra, papa et moi allons nous séparer.. » J'ai accusé le choc, je me suis réfugiée dans mes livres et mon travail scolaire..Je voyais occasionnellement mon père, qui avait loué un appartement pas trop loin de chez nous, mais cela n'a duré qu'un temps, puisqu'il a reçu une promotion à Safrania. Pour moi, cela aurait pu être l'autre bout du monde.. Il continuait à m'envoyer des lettres et des petits cadeaux, mais ce n'était pas lui. C'était mon papa que je voulais, sa simple présence, pas un bout de papier froid... Dire que ma vision du monde a été changée par ses évènements, c'est un euphémisme. Je suis devenue sarcastique, voire cynique. Et blasée, surtout. Ma mère ne l'a pas vu tout de suite, occupée comme elle l'était. A cette époque, je passais presque plus de temps avec la bonne qu'elle avait engagée pour s'occuper de moi le matin quand elle n'était pas là qu'avec ma propre mère. Elle a juste vu que j'étais devenue encore un peu plus solitaire, mais ne s'en est pas spécialement inquiétée. J'avais des sentiments très partagés à son égard. Est-ce-que je l'aimais encore ou est-ce-que je la détestais ? La limite me paraissait si floue entre les deux... Finalement, alors j'avais presque onze ans, elle s'est rendue compte qu'elle ne me voyait pas grandir et a fini par accepter un poste de rédactrice-en-chef dans le magazine où elle travaillait. Son emploi du temps est devenu un peu plus stable, je la voyais tous les jours. Elle a essayé de refaire sa vie avec d'autres hommes, mais ça n'a pas marché. Ses relations ne duraient pas pour des raisons diverses...Elle n'était pas suffisamment intéressée pour leur proposer de venir habiter chez nous, ses prétendants n'appréciaient que moyennement le fait qu'elle soit divorcée avec un enfant... Allez savoir. Je n'y ai pas mis de la bonne volonté non plus, ceci dit. J'avais l'impression que chacun de ces hommes voulait remplacer mon père, et je n'appréciais pas. Mais alors, pas du tout. En guise de vengeance, je jouais ma reine des glaces. Pas question de me laisser amadouer par un de ces paons... Et puis Owen est arrivé quand j'avais environ douze ans. Ma mère m'avait parlé de lui plusieurs fois, elle l'avait rencontré dans le cadre de son travail et le courant était tout de suite passé, puisqu'ils avaient décidé de se revoir. D'un côté, j'étais contente pour elle parce qu'elle semblait vraiment beaucoup l'apprécier, mais de l'autre...je ne voulais pas qu'il s'agisse de l'un de ces idiots qui croyaient pouvoir remplacer mon père. Pour une fois, j'étais contente de m''être trompée. Il était gentil, attentif, mais sans en faire des tonnes. Il comprenait quand j'avais besoin d'espace, mais il était là pour moi quand j'en avais besoin.. C'est très bête à dire, mais j'étais heureuse. C'était quelqu'un de bien. Tout simplement. Au fil des discussions, j'ai appris qu'il avait un fils de mon âge, Soren, que j'ai fini par rencontrer. Lui par contre, j'ai eu plus de mal. Un peu trop surexcité et pile électrique pour moi ceci dit, même si je sentais qu'il n'était pas méchant. Impression qui s'est confirmée par la suite d'ailleurs, quand on a déménagé avec ma mère pour aller habiter avec eux après qu' Owen et elle se soient mariés. J'ai mis un peu d'eau dans mon vin, j'ai appris à faire des concessions. Je voulais préserver l' harmonie de notre tout nouveau foyer. Si mettons j'étais en train de lire dans ma chambre ou dans le salon, voire dans le jardin et qu'il venait me voir, je ne disais pas non – s'il restait à peu près calme. Mais de là à lui faire confiance, sans concession, c'était quelque chose qu'aujourd'hui encore je ne suis pas encore complètement prête à faire. Il faut encore qu'on se connaisse mieux...Qu'on s'apprivoise, comme j'aurais presque envie de dire... Et puis il y a quelques mois, ma mère et Owen nous ont parlé d'une école pokémon qui organisait une sorte de classe d'été pendant les vacances. J'ai dit oui tout de suite, même si cela impliquait d'être sociable. J'appréciais toujours les pokémon, le projet lui-même me paraissait sympathique, alors pourquoi refuser ? C'est ainsi que le 1er juillet, je me suis retrouvée face à un collectionneur qui m'a posé un milliard de questions, pour finalement me confier une Hypotrempe. Au départ j'étais un peu perplexe, je ne m'attendais pas vraiment à ça...Pourquoi ce pokémon en particulier ? Je ne le savais pas, mais ce que j'ai su tout de suite, c'est que ma relation avec Soren s'est un peu refroidie...Était-il jaloux ? Allez savoir, mais ce n'était pas ça qui aillait m'empêcher de m'occuper de cette Hypotrempe du mieux que je pouvais...et de devenir une bonne coordinatrice. |
Vinea | |
Surnom : Vinea Espèce : Hypotrempe, c'est-à-dire le Pokémon Dragon. Nature : Modeste Description : Vinea.. Cette charmante petite Hypotrempe que j'ai reçue en starter. Cela fait relativement peu de temps que je la connais, mais je l'apprécie déjà beaucoup. Elle est calme, douce et très affectueuse. En ces conditions, comment ne pas l'aimer ? Elle ne pose pas de problèmes, obéit à tous mes ordres..Je suis sûre qu'on ira loin toutes les deux. En tout cas, je sens que le duo que nous formons est déjà solide. Elle adore les nourritures sucrées, et se pâme littéralement quand je la gratte sous le menton..Adorable non ? En plus, c'est un pokémon extrêmement sociable. Jamais elle n'irait attaquer un autre pokémon d'elle-même, au contraire...Elle serait plutôt du genre à essayer de devenir amie avec. Adorable je vous dis. |
Hors RPG |
Pseudo/Prénom : Moïra, c'est parfait o/ Age : 22 ans. Comment avez-vous connu le forum ? Partenariat Quelque chose à ajouter ? Nope. |
Bienvenue dans le Dortoir Mentali ♀ ! N'hésites pas à poser tes questions si tu as le moindre soucis, et bonne intégration parmi tes confrères ! Tu peux dès lors poster ta T-CARD dans la partie correspondante, ainsi que gérer tes RPs grâce à aux RECHERCHES DE RPs ET RELATIONS. N'oublie pas de remplir les champs de ton profil dès que possible (T-card et Fiche de Présentation) pour faciliter la navigation aux autres joueurs, et de réserver ton AVATAR dans la partie adéquate ! Ton numéro étudiant est 0165. Bon jeu sur Pokémon Community ! |
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