« Moi Apsu, fils du grand Bahamut, Héritier du dragon créateur, Futur souverains des Carchacrok de l'ancien Hisui, avatar de la Sainte baie Nanana, sauveur légendaire d'oeuf draconique, et libérateur des opprimés de la prison de cristal, je ne laisserai personne faire du mal à l’humaine qui m’aidera à monter aux sommets. »
« Je ne suis pas toi. Je ne suis pas fainéante au point de ne pas vouloir faire d’effort. Je ne suis pas de mauvaise foi au point de refuser changer. Et je ne pense pas qu’abandonner quelqu’un soit une solution à ses problèmes. »
« Euuuuh....C'est une nouvelle forme d'entrainement ! Mais comme ça implique qu'on doit survivre en plein milieu d'une invasion de Baggiguane zombies, on a voulu reproduire l'environnement ! »
Ginji, Cael, Max et Idalienor sont disponibles (principalement) sur Discord pour répondre à vos questions !
année 11, semestre 2 promotion 22
Contexte
Bienvenue sur Leiar ! Une île hébergeant la Pokémon Community, campus universitaire accueillant de tous les profils, humains comme Pokémon. Élève ou adulte, vous vivrez au jour le jour une vie trépidante au sein du campus, votre quotidien ponctué de mille et unes folles histoires typiques de la Pokémon Community. Cette île couverte de cristaux vous réserve quelques surprises, tout ça entre deux cours ou mission pour devenir le meilleur dans vos spécialités respectives ! En savoir plus ?
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Nom. Aka Prénom. Haya Âge. 15 ans Région d'origine. Kanto Ambitions futures. Devenir une ranger connue et respectée et protéger sa propre île
N'y as t-il donc pas un peu de douceur dans ce monde ?
Description
Haya est une jeune fille blonde et mince, qui n'attire pas vraiment l'attention. Ses cheveux dorés ne sont ni lisses ni bouclés, ils semblent d'ailleurs tirer au sort tout les matins afin de savoir qui aura l'honneur d'être parfaitement raide et qui pourra s'entortiller à loisir. Cette chevelure hautement rebelle n'est que très rarement disciplinée par la jeune fille qui préfère les laisser au vent, bien loin de la coquetterie que pourraient avoir d'autres filles, même à son âge. Cela ne la dérange presque pas d'avoir les cheveux qui lui tombent constamment dans le yeux, mais quand elle doit se concentrer, elle attache ses multiples mèches avec une pince d'une manière que l'on pourrait qualifier d'originale.
Ses yeux sont d'un marron assez clair, qui pourrait être aisément confondus avec de l'orange sombre lorsqu'il y a beaucoup de lumière. D'ailleurs, parlons en de ses yeux. Pour une asiatique, ils sont totalement inhabituels, beaucoup trop grands pour son visage fin et délicat. Peut être es ce se origines occidentales qui remontent uniquement pour cette partie de son corps, en tout cas, le résultat est assez étonnant, c'est certains.
Juste en dessous un petit nez et des lèvres fines correspondent déjà plus au reste de son corps, et achevant l'impression de bizarrerie que procure son visage. Même si, au final, en l'observant dans l'ensemble, il pourrait presque sembler harmonieux.
Haya aime beaucoup s'habiller de couleurs discrètes, elle trouve cela plus approprié à ses objectifs comme à son caractère. Pour empêcher ses cheveux de s'échapper à tout vent, elle assortis souvent ses tenues d'un bonnet usé et râpé qu'elle porte depuis des années. Autrement, elle ne porte que deux ou trois ensembles différents, tous très peu assortis en matière de style mais de couleur uniformément verte sombre ou brune, alliant rarement les deux (ce serait une excentricité trop grande pour la jeune fille).
La petite demoiselle est une élève qui a toujours été très studieuse et appliquée, franchement sérieuse et plutôt timide et renfermée. Il est donc certains qu'elle n'est que très peu sociable et peine à se faire des amis. Ressent elle cette solitude ? Il semblerait que parfois sa mélancolie devienne trop forte à supporter. Elle se renferme alors plus encore, pleurant parfois, solitaire, dans sa chambre ou son dortoir. D'ailleurs, aurais je oublié de préciser qu'elle était de nature mélancolique ? Sans doute, cela me paraissait pourtant être un paramètre assez évident. En effet, cette jeune dame aime à se laisser sombrer dans des états mentaux qui peuvent s'approcher de la dépression pour l'oeil non avertis, mais on conviendra qu'elle a juste une propension exaspérante à écouter de la musique triste et à s'attarder sur le passé.
Il est d'ailleurs assez évident de déduire que Haya serait rapidement une personne ennuyante pour qui serait accoutumé à une plus grande vitalité. Elle aime d'ailleurs à fréquenter (quand elle le peut), des gens qui, sans être exactement de la même nature qu'elle, ont ses traits caractéristique de timidité et de calme. C'est d'ailleurs une autre des raisons qui la pousse à la solitude. Quand les seules personnes qui nous abordent se trouvent être ennuyées en moins de deux minutes par notre présence, les relations sociales en deviennent autrement plus compliquées. Et dieu sait qu'être timide et n'aimer que les timides pose un soucis conséquent pour se lier avec qui que ce soit.
Vous avez donc là le tableau de cette Haya Aka : une toute jeune fille, à l'apparence somme toute déstabilisante que l'on ne pourrait qualifier ni de belle ni de laide tant la disproportion flagrante de ses yeux accapare l'attention, enclinte cependant à les baisser constamment pour regarder le sol attentivement, de cette timidité maladive caractéristique de bien des enfants, celle ci étant couplée à un calme sérieux et à beaucoup, que dis je, énormément de douceur, et peut être au fond de tout cela, beaucoup d'amour et de confiance à donner.
Quant à moi qui ne suit que le narrateur de cette histoire, je dois avouer être le contraire de cette personne. L'exact opposé si il en est. Mais il est d'opinion commune que le narrateur ne parle pas de lui même si il n'est pas le centre de l'histoire, alors je me tairais et n'en dirais pas plus long sur ce qui me pousse à raconter la vie d'une personne aussi fade à mes yeux.
Histoire
Je m'en vais donc vous conter son histoire, cela semble primordial afin que vous puissiez comprendre ce qui as bien pus faire d'une jeune fille qui était promise à être quelqu'un de totalement différente, ce qu'elle est devenue. Devrais je pour cela me lancer dans des effets de narration consistant à mélanger l'histoire à grands coups de flashs blacks ou de remontage de temps ? Qu'en sais je ? Peut être qu'il serait bien pour une fois de s'en tenir à une sobriété toute calme pour correspondre au mieux à cette ennuyante personnalités. Afin cependant d'apprécier (si cela est toutefois possible) cette histoire dans sa pleine intégrité, je ne peux que vous conseiller une musique qui saura vous plonger dans l'état d'esprit de la jeune fille dont nous allons poursuivre la description acide :
Haya donc, naquit en une certaine année dont les chiffres exacts n'apporteront rien à l'histoire. Elle pesait d'ailleurs un certains poids, brailla un certains nombre de secondes et fut câlinée un certains nombre de minutes dont nous n'avons que faire. Je me dois toutefois avant de poursuivre de vous donner quelques précisions.
Il y a des histoires que l'on rend volontairement triste, parce qu'elle créent ainsi un sentiment d'empathie profond pour les personnages se mouvant en leur sein, ou parce qu'elle rendent son auteur plus vivant, en quelques sortes. Ce genres d'histoire ont cela de magnifique qu'elles n'ont pas été vécus et, qu'en conséquence, le plaisir de l'auteur sera intact car il ne sera voilé par aucune tristesse réelle. D'autres histoires cependant, qui, à mon sens, méritent bien moins d'être contée, ont l'extrême désavantage de n'être qu'une triste réalité. Et leur malheureuse justesse les rends parfois moins accablante que d'autres qui auront été vécus par nos personnages fictifs. Croyez moi, j'aurais espéré, de tout mon cœur, et je vous l'assure, que cette histoire n'eut été que fiction, même si mon empathie pour ce triste personnage se limite à quelques tapotements succincts sur l'épaule.
Nous avons donc une certaine jeune fille qui, dès sa naissance, promis d'avoir des yeux exceptionnellement grand. A son chevet il y avait, et je l'espère, un couple heureux et aimant, se serrant dans leur bras dès qu'ils le pouvaient, ce devaient être ses parents. Rapidement, faisons un portrait de ces deux personnages. L'un, donc, était grand et fort, se cognant sans discontinuer aux encadrements des portes comme au lampes qui tremblotaient au plafond. Son apparente jeunesse cachait habilement son âge certains que ne trahissait que quelques rides éparses autour de ses yeux, ainsi qu'une moustache encore correctement fournie. Il avait ce tic agaçant de passer sans cesse sa main caleuse dans son imposante tignasse de cheveux bouclées et de grommeler sans raison, comme de porter constamment une vieille pipe en bois à sa bouche. L'autre était une jeune femme, de 16 ans plus jeune d'ailleurs, pour être précis. Elle avait des cheveux qui en couleur ressemblaient à ceux de son mari mais en longueur comme en forme s'approchaient plus de ceux de quelques princesse de fiction. A l'époque, un sourire épanouis régnait sur ses lèvres charnues et ses yeux, dépourvues de rides quant à eux, possédaient cette incroyable brillance des gens heureux.
C'est peut être là qu'aurait dû s'arrêter l'histoire, si l'on eut voulus qu'elle ait été belle. Mais elle continua, en dépit de toutes les mises en garde que je pourrais faire. Des matins se levèrent donc, et deux ans passèrent, deux années qui, loin d'être le bonheur parfait que l'on aurait pus espérer avec un pareil commencement, se résumèrent au final à un cri. Un cri aigu mêlé à un cri grave, le cri de la haine et de la colère. Parfois dans la vie, et je vais énoncer là une vérité connue de tous, nous nous devons de faire des choix. Parfois nous y procédons avec une rapidité sans égale, et ainsi voilà que se perds tout notre bon sens et notre raison. C'est ainsi qu'avait procédé le jeune couple de la salle d'accouchement. C'est ainsi donc qu'en deux terribles années ils firent un choix qui ne fut pas moins stupide, de continuer leur chemin chacun de leur côté.
Mais que faire de ce braillard nourrisson qui trônait encore fièrement dans ses couches, se limitant à quelques mots sommaires et trottinant dans un simulacre de gaieté partout où ses jambes rondouillardes pouvaient le porter ? Il fut décidé, envers et contre l'avis de ce même bébé replet, qu'il y aurait des semaines maman et des semaines papa. Au début ce ne fut pas un problème de taille. Ce ne fut qu'une question d'organisation et de toupies perdues d'une maison à l'autre.
Puis ce devint nerveux quand le jeune braillard devint une petite peste, comme le furent sans doute toutes les jeunes braillardes de son âge. Il fut alors convenus que le vieux père, qui ne savait trop que faire de cet être encore plus râleur que lui ne le verrait que 4 jours toutes les deux semaines, un arrangement qui arrangea convenablement les deux partis les moins intéressés, laissant l'actrice principale de cette histoire sur sa faim d'indépendance. Cette geignarde, donc, se révéla ête si insupportable que l'amitié semblait la fuir comme les animaux fuient les éruptions volcaniques.
Elle passa donc une majeure partie de sa vie (de sa courte vie) dans une solitude qui la transforma peu à peu, la rendant plus calme, plus réservée et plus mélancolique. Nul ne sait mieux que l'enfant la cruauté des enfants. Elle appris donc à ses dépends à se cacher pour éviter les cailloux (ou les marrons lorsque c'était la saison), les feuilles mortes dans lesquelles on la précipitait et les éclaboussures de flaques. Elle appris, à son grand malheur, à se méfier de ceux qui disaient être ses amis, à se fortifier comme une petite tortue, et surtout, à haïr tout le monde, le monde entier.
La puberté s'approchant à grand pas, il était plus que temps de décider de ce qu'il fallait faire de cette existence. Après maintes tentatives infructueuses d'y mettre fin, face à l'impression fataliste que même ceci, elle ne pouvait le faire, elle décida de s'enfuir. Faisons, en cet instant grave, un point sur les raisons qui peuvent pousser une jeune fille de son âge à faire un tel acte stupide. En premier lieu nous citerons sa solitude, puis nous nous rappellerons que ses seuls contacts étant ses parents, eux non plus ne devaient pas tenir la distance.
Et voilà une déduction qui tiens debout puisqu'en effet, le père, face à cette énième déception amoureuse, avait décidé qu'il valait mieux s'oublier dans l'alcool, et en oublier de là que quatre jours toutes les deux semaines, il y avait un autre être vivant dans la maison. Elle n'était déjà plus que fantôme chez elle, plus que jeune damoiselle de quelques années, quémandant un peu d'amour, un peu d'attention, sans jamais n'avoir que des regards colériques. Il n'en était pas mieux de l'autre côté de la parentalité, car nous avions ici affaire à une mère qui, non dénuée du défaut d'alcoolisme, cumulait en sus une propension certaines à la violence. Sans doute aurait elle juste voulus protéger le spectre qui errait 10 jours toutes les deux semaines dans sa maison, mais ne comprenant pas comment, décidait d'éliminer cet ultime échec à coup de cris, et de mains, et de pieds.
Bien, maintenant que nous avons fait ce point nécessaire, revenons en au présent de notre passé. Haya réussit à s'enfuir, de ce que l'on appelle aujourd'hui une fugue. Elle voulut s'enfuir chez qui la sauverait mais ne fut qu'enfoncée. Le triste souvenir de cette époque me désole, moi même. Je passerais donc sous silence ce qui se produisit lors de cette escapade, même si les plus avertis d'entre vous l'auront sans doute compris.
Lorsqu'elle revins, il semblait aux yeux de tous que Haya était morte. Cependant, celle ci ne l'était pas tout à fait, et à l'âge de 14 ans elle s'empressa de renouer des liens avec son père qui commençait à retrouver goût à la vie. De même, elle parvint à s'entendre avec l'autre homme de sa vie, le nouveau mari de sa mère, un homme en tout point charmant et qui avait pris comme mission de donner à sa manière, certes un peu rustre et pataude, mais présente tout de même, l'affection qui manquait à ce chiot apeuré.
L'un comme l'autre cependant n'eurent plus longtemps le choix de faire ce qu'ils voulaient de leur vie. Le premier, père légitime et de moins en moins indigne enchaîna trois cancers, dont le dernier qui l'acheva sous relent de morphine. Le deuxième, père sans droit certes, mais père là tout de même, se vit octroyer une superbe maladie des poumons qui donnait un rendus radiographique pour le moins impressionnant et qui eut tôt fait de l'envoyer rejoindre la fumée du premier.
Quant il ne resta qu'une fille seule et sa mère, quant il ne resta plus de larmes à pleurer et quand elles comprirent, l'une comme l'autre, que la vie s'accrochait à elles, quoi qu'elles puissent faire pour s'en débarrasser, elles décidèrent de s'éloigner autant que possible pour ne plus avoir les conséquences de leurs échecs sous leurs yeux. C'est ainsi que l'héritage du père servit à financer une prestigieuse académie qui devait financer les rêves de la petite et qu'une mère vit partir sa fille, sans une seule larme dans l'oeil, tant toutes celles qui lui avaient été octroyées avaient déjà été utilisées.
Et c'est ainsi également qu'une jeune fille, blessée par la vie, mais sans doute pas vraiment plus que d'autre, posa le pied sur le sol de cette île et lança son regard morne sur l'académie. C'est ainsi également qu'elle remplit son fastidieux dossier d'inscription et qu'elle croisa dorénavant, de ce même œil fade et fixé au sol, tout ceux qu'elle put croiser. Il reste cependant, quelque part au fond de cette fille ennuyeuse, quelque chose de ce jeune bébé braillard, quelque chose de la lumière dans les yeux de sa mère, peut être quelque chose des rides de son père. Quelque chose qui resterait à donner, puisqu'il n'y a plus de larmes, quelque chose qui pourrait encore changer.
Surnom. Kibo Espece. Lixy Nature. Joyeux Description. Kibo est un petit Lixy joyeux et gentil qui ne cherche qu'un maître sympathique. Il ne tiens pas en place et déteste s'ennuyer, d'ailleurs, si jamais son maître est ennuyeux, il a décidé qu'il ne le laisserait pas faire. C'est un petit Pokémon pleins d'ambition et déterminé à se tracer un avenir sans faille, et à devenir le leader de la team de son maître. Il admire d'un œil fiévreux tout les Luxor qu'il peut croiser, espérant un jour leur ressembler.
Cependant Kibo à une particularité bien visible qui l'empêchera à tout jamais d'être exactement comme eux. Contrairement à tout ces Lixys bleus et jaunes, Kibo est né rouge et noir. Il n'aime pas cette différence, il pense qu'elle pourrait l'empêcher d'atteindre son rêve d'être un jour un grand Luxor.
Pseudo ou prénom. Luciole âge. 18 ans Comment avez vous connu le forum ? nierf … alors c'était aujourd'hui … j'ai cliqué sur un lien … ah oui ! Un top site ! Quelque chose à ajouter ? Bisous tout doux :3 !
Dernière édition par Haya Aka le Mar 29 Mar - 17:22, édité 1 fois
Taille de l'équipe : 8 Région d'origine : Kalos Âge : 17 Niveau : 58 Jetons : 2911 Points d'Expériences : 1843
Hej Haya ! Bienvenue sur Pokémon Community ! Ta fiche est niquel et je n'ai rien à y redire. Cependant avant de te valider, j'ai un petit truc à régler, mais ne t'en fais pas, tu seras bientôt validée (et si tu veux déjà commencer à parler avec les gens je peux dores et déjà t'ajouter au chan Skype envoie moi juste un ptit MP ^^)
Voilà voilà ! =)
Orren Losvrôk
If you resist, You'll feel the darkness penetrate on you. Don't resist. To the appeal of twilight...Let the darkness absorb your light...
Bon comme je t'en ai déjà parlé en privé, après concertation avec Élisabeth nous t'offrons un starter chromatique ! Donc à toi de modifier rapidement ta fiche si tu le souhaite pour y mettre les couleurs comme tu le veux. Car si tu ne l'as pas remarqué dans les règles, les shineys sur PC voient leurs couleurs être au choix, donc éclates toi ! Sinon mis à part une fiche jolie et agréable à lire, y a rien de plus à dire. DOnc place à ton dortoir !
Bienvenue dans le Dortoir Givrali ♀ et bonne intégration parmi tes confrères ! N'hésites pas à poser tes questions si tu as le moindre soucis à ta préfète qui est Calliope Pryde. Tu peux dès lors poster ta T-CARD dans la partie correspondante, ainsi que gérer tes RPs grâce à aux RECHERCHES DE RPs ET RELATIONS. N'oublie pas de remplir les champs de ton profil dès que possible (T-card et Fiche de Présentation) pour faciliter la navigation aux autres joueurs, et de réserver ton AVATAR dans la partie adéquate ! Tu repars aussi avec 2 Pokeball, données par le Collectionneur. Ton numéro étudiant est 0345. Bon jeu sur Pokémon Community !
• Tu es officiellement arrivé le 01 Février 2016 et fais donc partie de la promotion du 6e semestre.
• Il te faudra juste attendre le passage d'Élisabeth, notre admin pour qu'elle t'ajoute au groupe des Givrali et te donne ta couleur officielle !
• L'Event #5 est sorti avec les Compétitions des différents parcours. Si tu veux t'y inscrire pour y participer et lire les détails, je t'invites à te rendre juste ici
Orren Losvrôk
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