Gabrielle Hamilton | |
Nom : Hamilton Prénom : Gabrielle Âge : 14 ans Région d'origine : Sinnoh Ambitions futures : Topdresseuse/Rangeuse | |
« Reste devant la porte si tu veux qu'on te l'ouvre. Ne quitte pas la voie si tu veux qu'on te guide. Rien n'est fermé jamais, sinon à tes propres yeux. » | |
Description |
Physique La première chose que l'on remarque chez moi, ce sont mes longs cheveux roses et mes prunelles écarlates. À vrai dire, ce n'est pas vraiment surprenant, puisque ce sont des couleurs plutôt inhabituelles. La deuxième chose que l'on note, c'est ma petite taille, je frôle le 1m55. Je suis assez menue, enfin pour ce que j'en sais la dernière fois que je suis monter sur une balance mon poids atteignait les 40 kilos. Ces détails donnent l'impression que je suis une jeune fille fragile, mais c'est sans me connaître réellement. Je garde toujours mes cheveux attachés, car je ne supporte pas qu'ils volettent au vent. Mon visage aux traits délicats laisse croire que je ne suis qu'une innocente et naïve jeune fille. Ma peau pâle accentuent cette image de poupée de porcelaine. D'ailleurs, je dois faire attention, car dès que je suis exposée au soleil, elle rougit presque instantanément. Je peux vous dire que l'été, je me transforme vite en homard sur deux pattes. Mon style vestimentaire se résumerait en un mot : confortable. Je privilégie le confort à l'esthétique, la mode je n'y connais fichtrement rien et je ne cherche pas à la connaître. Je porte ce qui me plait sans me soucier de ce que les autres vont penser. Malgré cela, il m'arrive dans de grandes occasions de faire un effort pour porter de beaux vêtements, mais c'est assez rare. Caractère Les apparences sont trompeuses, c'est un adage que j'aime bien employer pour me décrire. Quiconque croit que je suis une délicate fleure se met le doigt dans l'oeil. Je suis dotée d'une volonté de fer dès que je m'impose un objectif rien de m'arrête. Je n'ai pas peur de l'adversité, au contraire elle me stimule et renforce ma détermination. Je sais garder mon calme lorsque la situation l'exige. Les gens arrogants, ambitieux ne me perturbent pas. Je les laisse parler jusqu'à ce que je leur montre ce que je vaux vraiment même si cela prend du temps. En général, je suis tout de même quelqu'un qui a de l'entregents et tolérante. Je suis toujours positive, pour moi le verre est à moitié plein. Par contre, lorsque j'entre dans une arène, je deviens une tout autre personne. L'instinct de compétition embarque et je suis sans merci. Je veux gagner et j'aime gagner, mais je ne suis pas pour autant une mauvaise perdante. On apprend toujours plus de nos défaites, alors je préfère en tirer des leçons quand cela arrive. Dès que la compétition est terminée, je redeviens la personne souriante que je suis au quotidien. C'est à croire que j'ai un dédoublement de personnalité. Je suis très près de la nature, ce qui m'a amenée à vouloir devenir ranger. Je suis toujours prête à aider ceux qui requièrent de l'aide, qu'ils soient humains ou pokémons. Toutefois, j'ai aussi quelques défauts. Mon esprit de compétition m'amène à cacher mes faiblesses, ce qui fait que j'ai de la difficulté à faire part de mes sentiments. Si j'aime aider les autres, je n'arrive pas à demander de l'aide quand j'en ai moi-même besoin. Je me suis toujours débrouillée seule, alors je préfère nier être dans le besoin. Je suis aussi très dure avec moi-même. Mon calme olympien peut laisser croire qu'en réalité je me fous de tout, alors que c'est faux. Au contraire, tout me tient trop à coeur, je voudrais sauver le monde, mais c'est me demander plus que ce que je peux réellement faire. Ma tendance à être positive me rend parfois naïve. |
Histoire |
J'ai vu le jour dans le village de Célestia, dans la région de Sinnoh. À vrai dire, je n'ai pas vraiment connu ma mère, puisqu'elle est partie peu de temps après ma naissance. Mon père m'a raconté, plus tard, qu'elle souhaitait poursuivre son rêve de devenir la meilleure dresseuse. Rester avec nous représentait un obstacle à son objectif, ainsi elle nous a abandonné sans remords. Mon père quant à lui se passionnait pour l'archéologie, ce n'était pas pour rien qu'il s'était installée dans cette ville pour fouiller les ruines dans la grotte au centre du village. Lorsque j'avais deux ans, mon père a rencontré ma belle-mère. Elle m'a élevé comme sa propre fille jusqu'à ce que j'atteigne l'âge de cinq ans. J'ai peu de souvenir de cette période. Me premier souvenirs remontent à quand elle était enceinte de mon demi-frère. Notre relation a grandement changé. Dès sa naissance, son enfant est vite devenu le centre de la famille, alors que je fus reléguée aux oubliettes. C'est là que j'ai découvert le vrai visage de cette femme que j'avais considérée comme ma mère. Elle exigeait de moi que je ramasse les jouets de mon petit frère ou entretienne la maison. Tout cela sous le regard indifférent de mon père qui ne faisait rien pour me défendre. Certes, je ne manquais de rien au niveau matériel, j'avais suffisamment de nourriture et de vêtements, mais je ne recevais aucun amour. Il n'y a rien de pire pour un enfant que d'être confronté à l'ignorance de ses parents. Dès que j'ai été en âge de sortir seule, mon père m'obligeait à jouer à l'extérieur. J'y passais d'interminables heures, beau temps comme mauvais temps, sans pouvoir entrer nulle part. Lorsque je lui demandais d'entrer chez mes amis, mon père refusait systématiquement. Le grand air ne pouvait qu'être bon pour ma santé. Je me retrouvais bien vite seule, sous le regard désolé de mes amis qui allaient se réchauffer. Le plus injuste dans cette situation, c'est qu'il n'a jamais exigé cela de mon cadet au même âge. Je devins vite une enfant triste et amer. J'étais prise au piège dans une famille qui ne voulait pas de moi. La preuve flagrante de cette volonté, je la voyais sur les murs de la maison, lesquels ne portaient aucune photo de moi. Seul mon petit-frère semblait heureux de ma présence. En dépit du favoritisme dont il était l'objet, je l'appréciais vraiment et je ne l'ai jamais jalousé. Ce fut ainsi jusqu'à mes huit ans, car cette année-là ma belle-mère tomba enceinte d'un autre enfant. Je croyais avoir touché le fond de l'indifférence parentale, mais je me fourvoyais. Avec la naissance de ma petite soeur ce fut encore pire, maintenant la marâtre avait sa fille à elle. Je devins vite responsable de mon petit-frère. Ma belle-mère commença à utiliser une nouvelle arme contre moi, sa langue de vipère. Cela commença par de petites remarques sans importances, mais avec le temps ça minait ma confiance. J'avais dix ans et je pensais déjà que je n'aurais jamais dû venir au monde. Cette année-là fut marquée par l'arrivée d'un membre de la famille. Ma grand-mère paternelle emménagea à Célestia. Veuve depuis peu et ne supportant pas les souvenirs de son mari rattaché à son ancienne maison, elle avait décidé de rejoindre son fils. Dès que je la vis, je me pris d'affection pour elle et ce fut réciproque. Je peux dire avec le recul que ma grand-mère m'a sauvé la vie. Elle m'a donné de l'attention au moment où j'en avais le plus besoin. Elle n'hésitait pas à dire à mon père ce qu'elle pensait de son attitude envers moi, lui répétant qu'elle ne l'avait pas élevé de cette façon. Mon père fit la sourde oreille à ses réprimandes. Elle m'accueillait chez elle lorsque j'avais trop froid pour rester dehors, allant à l'encontre de l'autorité paternelle. C'est grâce à elle que j'ai retrouvé confiance en moi. En allant chez elle, je commençai à côtoyer des pokémons. Rapidement, je me liai d'amitié avec son Lucario, son fidèle compagnon depuis sa plus tendre enfance. J'appris qu'elle avait embrassé la vocation de ranger, ce fut elle qui m'encouragea à suivre cette voie. J'étais toujours impatiente de retourner la voir pour entendre le récit de ses aventures dans sa quête de préserver l'équilibre du monde pokémon. Je pris conscience à quel point l'écosystème pouvait être fragile. Ma grand-mère était devenu mon modèle. Peu à peu, ma vision de la vie changea radicalement. Je ne me laissais plus abattre par mon vécu familial. Au contraire, la moindre brimade ne faisait que renforcer ma détermination à voler de mes propres et leur montrer que j'allais faire quelque chose de bien de ma vie. Comme j'étais encore trop jeune pour partir de chez moi, j'endurais ma vie familiale désastreuse. Jusqu'au jour où ma grand-mère me parla d'une académie qui venait d'ouvrir ses portes. Ce serait l'endroit idéal pour que j'apprenne à devenir ranger. Avant cela, je devais suivre la voie du dressage pokémon et des combats d'arènes. Je fus emballée par cette perspective. Ma grand-mère remplie le formulaire d'inscription pour moi. Vint le jour où je dus partir, car ma candidature fut retenue. Ce fut à la fois déchirant et libérateur. Je fis mes adieux à mon frère et à ma soeur, dont leur supplication pour que je reste me fendirent le coeur. Malgré tout ce que j'avais vécu en raison de leur existence, je les aimais d'un amour inconditionnel d'une grande soeur envers ses frangins. Je leur promis de rester en contact avec eux. Je n'accordai pas un regard à leurs parents, je me contentai de leur tourner fièrement le dos, niant à mon tour leur existence. Ensuite, vint les adieux à ma grand-mère, ce fut une autre étape difficile de mon départ. En dépit de nos larmes, nous concevions cette séparation comme un moment positif. Je savais que nous allions rester en contact. C'est ainsi que je quittai ma ville natale afin de me rendre sur l'île Lansat située au centre des différentes régions. Maintenant, je savais que peu importe les difficultés qui m'attendaient durant mon parcours scolaire tous les espoirs m'étaient permis. |
Karael | |
Surnom : Karael
Espèce : Nidoran F Nature : Affectueuse Description : Karael n'aime pas se battre, mais elle se défend âprement lorsqu'elle est poussée dans ses retranchement. Timide, elle reste toujours en retrait. Par contre, dès que la carapace est percée, elle devient une boule d'affection au point qu'on pourrait la comparer à un pot de colle ambulant. La nidoran femelle se montre toujours délicate avec son entourage, car elle a une peur bleue de blesser ceux qu'elle aime. Elle est aussi très nerveuse, le moindre changement la fait paniquer. Il faut l'apprivoiser en douceur. Karael est très gourmande, il faut donc surveiller ses portions en raison de son appétit insatiable. Désireuse de se faire accepter par sa dresseuse, elle est prête à tout pour lui faire plaisir. |
Hors RPG |
Pseudo/Prénom : Sayouk
Age : / Comment avez-vous connu le forum ? Par Yamato Quelque chose à ajouter ? Texte |
Bienvenue dans le Dortoir Pyroli ♀ ! N'hésites pas à poser tes questions si tu as le moindre soucis, et bonne intégration parmi tes confrères ! Tu peux dès lors poster ta T-CARD dans la partie correspondante, ainsi que gérer tes RPs grâce à aux RECHERCHES DE RPs ET RELATIONS. N'oublie pas de remplir les champs de ton profil dès que possible (T-card et Fiche de Présentation) pour faciliter la navigation aux autres joueurs, et de réserver ton AVATAR dans la partie adéquate ! Ton numéro étudiant est 0053. Bon jeu sur Pokémon Community ! |