Milo Avera
Nom. Avera
Prénom. Milo
Âge. 19 ans
Région d'origine. Sinnoh
Ambitions futures. Monter une grande firme multirégionale d’herbologie humano-pokemon
Life is a beautiful magnificent thing, even to a jellyfish
évolution envisagéeGrade 0.Apprentis Herbologue: l'Herbologue connait les bases de l'herbologie. Son savoir se limite aux soins de son prochain en donnant les plantes à manger ou à boire sous forme de thé.
Grade 1. Herbologue amateur : L'Herbologue connait déjà mieux son métier, il sait dorénavant mélanger différente plante sans risque d'empoisonnement pour le client. Il connait quelques recettes de mixture à manger.
Grade 2. Herbologue initié : Sa connaissance sur les plantes lui permet de fabriquer différentes crèmes homéopathique. Les plantes non toxique n'ont plus de secret pour lui
Grade 3. Herbologue reconnus : A ce stade, l'herbologue arrive à concevoir différent produits à base de plantes ayant les mêmes effets que certains autres objet tel un spray soignant comme une potion Pokemon.
Grade 4. Herbologue professionnel : Son savoir s'étend maintenant à toute la flore qui l'entoure, il a aussi des bases en ce qui concerne les plantes toxiques et comment révéler leurs vrai potentiel mais mieux vaut ne pas commercialiser quoi que se soit. L'herbologue peut par contre vendre les produits commun sous toute les formes possibles et imaginable (bonbon, sucette, pastille effervescente, comprimé)
Grade 5 et 6. Docteur chercheur en Herbologie : A ce stade, la flore n'a aucun secret pour lui, il peut donc se permettre d'inventer des produits toujours plus différents, et surtout avec des ingrédients venant de toujours plus loin. A lui d'inventer des mélanges toujours plus efficaces les uns les autres. Son imagination est sa seule limite à l'appréciation de son travail.
Description
Comme toujours, je me levais, m’habillais, embrassais ma femme et réveillais mes deux jeunes enfants. Je ne travaillais pas aujourd’hui mais ma femme oui et elle partait si tôt que c’est moi qui amenait les enfants à l’école primaire. Toute mes taches accomplis je m’affalais sur le canapé. Depuis la semaine dernière nous n’allions plus courir avec Kapoera, il se sentais fatigué plus psychologiquement que physiquement. Je jetai alors un œil vers la cuisine, il était en train d’aider et de ranger la vaisselle propre. Il n’avait plus goût en le sport alors qu’il était pourtant un pokemon Combat. J’avais entendu dire qu’un nouveau magasin à la sortie de la ville avait ouvert et proposait des plantes pour les hommes et les pokémons afin de les soigner de leurs maux.
Aussitôt pensé, aussitôt partit ! Kapoera s’assis sur un siège à l’arrière de mon vélo et je pédalai jusqu’à un petit chalet joignable grâce à un chemin de terre joliment aménagé quittant la route principale pour rentrer dans le foret sur une centaine de mètres. Nous étions juste à côté de la ville et pourtant on se serait cru loin de la civilisation. La végétation empêchait les bruits citadins de venir ici. Je poussais la porte, je fus étonné de voir derrière le comptoir de bois un jeune garçon qui, affalé se releva aussitôt.
« Bonjour monsieur » me dit-il, c’était un jeune homme polis, son visage laissait passer une chaleur et une douceur mystérieuse. On avait l’impression en le regardant qu’il savait s’y faire avec les gens pour camoufler la réalité de sa vie, un vrai Kecleon !
« Bonjour, lui répondis-je, je viens à vous car mo Kapoera semble avoir perdu gout en la vie, il est maussade depuis la semaine dernière »
Son visage changea rapidement, il était empathique envers toute choses qui s’approchait de lui, il pouvait ressentir le chagrin de Kapoera aussi bien que moi sans le connaitre, un talent sacrément utile pour son métier. Mon pokemon était timide et il n’osa pas réagir quand le jeune homme lui demanda de monter sur le comptoir pour l’examiner. Soudain un Moustillon s’approcha et rassura Kapoera. Il s’exécuta alors et Milo, de son prénom, s’occupa de lui avec une grande délicatesse. Je n’avais aucun doute sur le fait qu’il était gentil, doux et particulièrement aimant envers les pokemon. On aurait dit qu’il essayait d’établir un lien psychique avec le pokemon, il le touchait à différent endroit, fermer les yeux et comptait à voix basse. Il se débrouillait assez bien. Il me dit alors de sa voie de jeune adulte posé et calme :
« Votre Kapoera fait une petite déprime, je connais une plante qui peut stimuler l’esprit des pokemon, il existe en existe aussi spécialisé et plus efficace pour les pokemon type combat pour lui mais je ne suis encore qu’un apprentis en la matière je suis désolé. »
Il était très bien éduqué, polis, serviable et se juger comme il le fallait, il reconnaissait ses faiblesses en la matières, je le laissa donc terminer avec de répondre
« Je peux donc vous la prescrire, la guérison sera juste un peu plus longue, forçait le à sortir, marché sinon courir se sera bien. Vous la lui donnerais sous forme de tisane tous les matins pendant deux semaines.
- Merci bien monsieur
- Avera, Milo Avera pour vous servir
- Merci Monsieur Avera, je vous dois combien ? »
La transaction faites, je lançais une conversation sur le temps, qui nous amena au pokemon, à la vie en ville et une heure passa. Durant ce temps, je pu m’apercevoir que Milo était un garçon très mature et responsable, il était sage, une belle qualité. Il avait vécu beaucoup de chose, visité bien des endroits et vu plus que beaucoup de gens dans la région. Il me parla aussi de ce qu’il n’aimait pas chez lui lorsqu’on aborda le sujet. Il se trouvait petit, 1 mètre 73 je trouvais ça bien, sa chevelure châtain lui était difficile à coiffer, il se disait trop maigre, pas assez beau. Je n’étais pas forcément d’accord avec tout ça mais dans le fond il n’avait pas tort, il n’était pas très épais et il y avait des gens plus grand que lui, la beauté étant subjectif je ne m’étendrais pas sur le sujet. Je lui dis aussi ce qui ne me plaisait pas chez moi, mon nez et mes sourcils par exemple, mes grosses mains. Son visage ressemblait à celui d’un ange, harmonieux et lisse, rien ne semblait être « trop gros » ou « trop petit » tout s’accorder. Ses mains à lui était à l’image de son corps svelte, fines et minces. Il me dit que son plus grand défaut était de ne pas savoir se contrôler lorsqu’il s’énervait contre quelqu’un, il pétait un câble et agissait sans que son cerveau ne le commande. Pour lui c’était une faiblesse, mais cela n’arrivait que quand on s’en prenait à quelqu’un qu’il aimait pokemon ou homme, il était de nature calme et sereine selon lui. Un autre de ses défauts était de ne pas assez penser à lui, de trop chercher à aider les autres malgré les risques dans certaines situations.
Il avait une passion pour les pokémons et les gens, une âme charitable, il voulait aider tout le monde et par les moyens les plus naturels possible. Il pensait que Mère nature avait fait de quoi nous soigner des maladies qu’elle avait créée. Il pensait à une sorte d’équilibre constant dans le monde. Je trouvais que c’était une assez belle philosophie. Il ajouta en rigolant que sa seconde passion était la mode et le style, il adorait ce monde et avait chez lui un dressing plus grand que sa propre chambre. Aujourd’hui il était affublé d’une tenue de base baller.
Le temps s’écoula rapidement et midi sonna, je devais rentrer et j’étais content d’avoir appris à le connaitre car c’était un garçon agréable, charmant, intelligent et gentil qui aurait eu sa place chez les Phylalie à la Pokemon Communities.
Histoire
Bonjour, je suis Milo, un homme ordinaire avec une vie ordinaire, il y a de forte chance pour qu’elle le reste. Je suis né il y a 19 ans et 6 mois dans la région de Sinnoh. Ma maman, Louise et mon père, Noé sont des chercheurs, l’un géologue et l’autre biologiste. Ils parcourent les différentes régions depuis leurs mariages pour récolter de nombreuses informations sur chacune d’entre elles afin de sortir un livre. Les 5 premières années de ma vie, je les passai donc dans cette région magnifique. Je n’ai que trop peu de souvenir, juste des brides d’images, floues pour toutes, mais associées pour chacune à de bonnes émotions. Je ne garde en tête qu’un souvenir, un vrai, long et chaleureux, le jour où l’on me donna mon premier pokemon : Riolu. C’était le jour de mon anniversaire, nous vivions alors dans une caravane pour pouvoir nous déplacer facilement dans la région. Mes parents étaient allés dans une grotte du coin, ma mère pour étudier les mousses et autres plantes, mon père la terraformation du lieu. Ils y avaient passé la journée, nous étions des nomades en ce temps-là et je n’avais pas d’amis, je me contentais de distraction simple, jouer avec des figurines, m’inventer des amis, trainer autour de notre maison sur roue (jamais trop loin) ; un tas d’occupation qui comme Raiponce dans sa tour, nous lasse rapidement et nous fait nous questionner sur l’apparence du monde qui nous entoure. Mes parents étaient des passionnés et ils voulaient sortir un carnet de voyage avant notre départ qui semblait imminent. Ils devaient donc se dépêcher de terminer leurs recherches afin de tout mettre en commun et avaient pris la dure décision de me laisser pour la journée.
Je commençai à m’éloigner, d’abord hésitant puis entendant un mystérieux bruit, plus farouchement, mes jambes ne me faisaient pas aller vite et je perdis la trace d’un probable pokémon. Mon regard se porta alors sur un plan de baies plus loin encore, je les dévorai et me dirigea vers un autre avant de me mettre à la recherche d’un troisième, mon ventre pas assez rempli. J’entendis alors des petits bruits, des couinements, les bruits étaient très faibles à cause de la distance mais ils m’intriguèrent et je m’éloignai une fois de plus de la sécurité. J’atteins en peu de temps l’origines du raffut et je pu voir trois jeune Lixy jouer ensemble, déjà jeune j’avais l’impression de ressentir leur joie commune. L’un d’eux m’aperçut et doucement, comme s’il venait de voir un extraterrestre, s’approcha. Le second se pétrifia et le troisième me regardais de travers. Ils n’avaient jamais vu d’humain c’était évident, peut-être n’étaient-ils sortis de leurs œufs qu’une semaine auparavant. Leur mère n’était pas loin et elle surgit d’ailleurs d’un bond, une Luxray magnifique, grondant tout griffes sortis. Sans empathie on ressentait sa colère et sa méfiance, c’était pourtant une mère. Moi, je ne bougeai pas, je n’avais pas peur, je la fixai du regard et me perdis dans ses yeux. Doucement, ou inconsciemment peut-être, je levai doucement ma main vers elle, comme pour la caresser. La psychologie des pokémon sauvage est bien mystérieuse, qui aurait pensé qu’elle allait non pas me tuer mais me saisir par le col sans me laisser la toucher et me ramener en quelques minutes, à grande allure, près de la caravane. Je partis m’asseoir sur mon lit et cinq minutes plus tard, mes parents rentrèrent heureux de pouvoir m’offrir un cadeau afin « de se faire pardonner » selon eux. Ma mère tenait dans ses bras, enroulé dans une couverture, un petit pokemon endormis, un petit Riolu fraichement né d’un œuf pour me tenir compagnie.
Nous ne sommes restés qu’un mois de plus dans la région, nous avons alors rejoins Kanto, où papa et maman modifièrent leurs façons de faire pour garder un enfant plus encombrant pour leurs travaux qu’autre chose. Ils prirent donc la décision de me laisser dans des pensionnats pour le reste de leurs aventures dans le monde. Ils repassaient me voir toute les deux semaines ou dans le mois s’ils étaient proches sinon plus. Ce qui me marqua dans cette région fut la relation que je construis avec une fille du pensionnat nommée Eloïse, ma meilleure amie, fidèle qui plus est. Elle était de la région et était accompagnée d’un Miaouss peureux mais gentil ne réclamant que les câlins de sa maitresse. Elle était belle et restera mon seul amour d’enfance. Elle dormait dans l’étage des filles et moi celui des garçons au-dessus. Dans des jeux d’espions nous nous retrouvions la nuit avec nos pokemon qui s’entendaient aussi très bien. Une nuit nous nous étions même échappés pour aller en ville, cela était interdis évidemment, et nous ne l’avons plus refait car nous avons assisté à une horreur. Trois garçons armés de bâtons en fer massacrèrent un pokemon et son dresseur qui eurent le malheur de se trouver au mauvais endroit au mauvais moment. Je me souviens, j’avais eu terriblement mal pour eux et j’aurais crié pour accompagner mes larmes si Eloïse ne m’avait pas couvert la bouche. Elle était bien plus forte que moi, à cette époque je n’étais pas courageux, un courage qui me vint la semaine d’après lorsque j’entendis que le dresseur était décédé de ses blessures, laissant un pauvre pokemon seul. Je réalisai alors que si je perdais Riolu je ne serais plus rien et il serait de même pour lui. Eloïse et moi nous en voudront toute notre vie de n’avoir rien dit et de ne pas avoir témoigné. Lorsque j’eu 7 ans, nous quittèrent encore les lieux vers un autre monde inconnu. La publication de leur carnet de route n’eut lieux que lors de ma sixième année et eut un succès plus gros qu’attendu.
Assez gros pour qu’à notre arrivé à Johto, une région à l’Ouest de Kanto, quelques scientifiques et chercheurs souhaite rencontrer Louise et Néo. L’inscription dans le pensionnat le plus proche fut rapide, un pensionnat affreux. Dans ce lieu était rassemblés les enfants des fortunes de la région afin de les éduquer le mieux possible. J’y appris l’éloquence, la bienséance, le respect et toutes les autres valeurs qu’un jeune héritier se doit de connaitre. Nous avions des cours de danse de salon, de parole, d’expression écrite, d’instrument, d’histoire, de géographie, d’étude pokémon. Je ne reçus pas de meilleure éducation qu’à cet endroit. Vous devez vous demander comment mes parents avaient pu se payer cela, je me posais la même question avant de découvrir qu’un scientifique richissime y avait déposé l’un de ses enfants et m’avait eu une place. Si vous pensez que tous ses enfants étaient horriblement méchants, capricieux, etc. ce n’était pas le cas, au contraire, ils étaient gentils, respectueux et je n’ai jamais eu autant d’amis que dans cet endroit. Ils cherchaient à être les meilleurs en tout pour attirer les regards de leurs parents. C’était surtout ça le plus fatiguant, toujours en compétition les uns les autres, qui allait être le premier de la classe, le plus intelligent, le meilleur musiciens (sûrement pas moi, je n’ai retenu que des bases, solides, de piano), le meilleur danseur. Heureusement, nous avions du temps libre pour nous occuper de nos pokemon. Dans cet endroit, l’on m’apprit que le premier pokemon que l’on possédait était plus qu’un compagnon de route, il devenait notre âme sœur et j’ai beaucoup aimé cette façon de voir les choses. J’y resta trois années, nous partîmes tous pour Hoenn la région suivante un mois avant mon dixième anniversaire. Mes parents sortirent à leurs départ un livre en trois parties sur les trois régions qu’ils avait déjà visité.
La sortis du livre changea beaucoup de chose pour eux, ils étaient demandés de beaucoup de monde, surtout des chercheurs Pokémon car comment étudié les pokemon, la faune sans avoir des informations sur la géographie et la flore. Des lumières de toute les régions dans lequel ils avaient déjà séjourné leurs écrivaient afin d’obtenir telle ou telle information spécifique. Leurs rêves devenaient réalité, d’autant plus que nous avons appris que nous avions de la famille ici, une arrière-grand-mère maternelle. Ma mère la pensait morte mais elle se manifesta sur le port dès notre sortis du ferry. Elle avait plus de 90 ans et vivait recluse dans une sombre forêt. Les habitants d’un village proche venaient régulièrement lui rendre visite, c’était une herbologue après tout et elle savait guérir bien des maux. C’est surtout qu’elle était la première herbologue à avoir porté son attention sur les effets de plantes sur les pokemon. Mes parents me laissèrent donc sous ses soins… Au début, j’ai détesté, elle était accompagnée d’un Raflesia aussi fou qu’elle, il ne devait avoir que quelque minute de lucidité dans la journée, il pouvait s’endormir n’importe, se cacher pour te faire peur, tout qui laissait penser qu’il était plus sénile que n’importe qu’elle personne âgé du monde. Son tic était de te fixer d’un regard effrayant puis de pencher la tête sur le côté, puis de l’autre.
Mais je m’y suis fait, j’ai appris à connaitre grand-mère (elle voulait que je l’appelle comme ça) à travers son amour des plantes, elle m’apprit beaucoup et me transmit cet amour. Même Raflésia j’ai appris à l’aimer. Elle m’enseigna la sagesse, une sagesse et une maturité qui me manquait, là était mes lacunes. Je compris à ses côtés qu’il fallait juste se mettre sur la même longueur d’onde d’une personne ou d’un pokemon pour le comprendre, pour qu’il t’accepte. Si vous vous posez la question, non elle n’est pas morte, heureusement ! Je l’aime trop pour ça. De toute façon, lorsqu’elle agitait son mouchoir en pleurant notre départ quand j’avais douze ans, ma mère me dit que « de toute façon, elle nous enterrera tous ».
Nous posâmes alors nos valises dans la région de Kalos, une région que je n’appréciai pas plus que ça. De toute façon, nous y restâmes une année seulement car mes parents s’associèrent à cinq autres chercheurs et engagèrent une dizaine de personnes en plus pour aller plus vite. Ce que je compris à Kalos c’était que lorsque je m’énervais, je devenais incontrôlable, tant pour moi que pour les autres personnes m’entourant. Si habituellement c’est lorsqu’on touche à ma famille, un ami proche, un pokemon, c’était cette fois contre mes parents. Ils s’étaient, entre l’équipe, divisé la région et eux s’occupaient donc de la capitale et des terres alentours seulement. Ils avaient donc loué un appartement en ville et nous vivions en famille. En apparence seulement, cela m’énervé, leurs comportements, il faisait comme si je me fichais qu’ils n’aient jamais été là, la pression monta jusqu’à ce que le couvercle explose. Un soir, ma mère et mon père me firent une réflexion car j’étais rentré un peu tard d’une sortis cinéma avec des amis. Une dispute éclata, je hurlais sur eux de toute mes forces, mon père me congédia dans ma chambre et avant d’en partir je donnai un coup de pied dans une petite table basse qui vola et renversa tout par terre. Je m’y enfermai trois jours avec Riolu qui ne savait plus trop comment s’y prendre avec moi. J’en sortis lorsqu’en voulant voir comment j’allais je lui répondis mal, je m’en voulu de suite et me pardonna.
La prochaine région fut Fiore où je fis la rencontre des Ranger, des dresseurs pokemon assez spéciaux. J’y fêta mes 14 ans. L’équipe de mes parents était devenue encore plus grande, ils avaient à notre départ sortis un nouvel ouvrage plus complet et plus gros que tous les précédents augmentant leur renommé. La région était petit et Louise et Noé se contentait de réunir et d’étudier les informations que leurs employés récoltaient, il ne se déplaçait qu’une fois par semaine pour observer un détail incompris ou surprenant. Nous quittâmes donc six mois plus tard Fiore pour Unys.
Je fis la rencontre du professeur pokemon Keteleeria qui appréciait et souhaitait travailler en collaboration avec mes parents. Elle passait souvent à la maison et deux mois après notre arrivait, elle me demanda de passer à son labo, qu’elle avait besoin de moi. Elle disait que j’étais empathique, un talent qui me permettait de ressentir les émotions des êtres vivants à côté de moi, chose que j’avais remarqué sans pour autant y porter attention. Elle voulait que j’établisse un lien avec un pokemon traumatisé qu’elle avait sauvé d’une attaque au bord d’un lac. C’était un Moustillon, il ne voulait être approché de personne et elle voulait que je l’aide. La pièce dans laquelle était le pokémon était vide, il attaquait toute personne l’approchant. Il avait peur, mais n’aimait pas être enfermé, il se sentait en danger bien que personne ne lui veuille du mal. Une thérapie longue, au début et toute la première semaine, je ne fis que rester collé au mur de l’autre côté de la pièce, ne disant rien, le regardant, lui apportant à manger, cherchant à gagner sa confiance. Après une semaine, il commença à s’approcher, ce cap passé, quelques jours suffirent avant qu’il m’adopte. Le professeur Keteleeria me permit de l’emporter, elle sentait qu’un lien fort nous unissait déjà. Riolu l’accepta facilement, il n’est pas jaloux et Moustillon était un enfant à ses yeux. Riolu l’année suivante. Son caractère changea, tout comme le mien, je devenais plus grand, en finissant avec l’égoïsme poussé caractéristique de l’enfant. Passé après les autres devint alors une priorité pour moi, moi qui me mit à détester l’égoïsme, haïr les gens qui ne pense que pour eux. Une année passa avant que l’ancre d’un nouveau bateau ne nous arrêtes là où avait était récemment construite la Pokemon Communities, une école pour jeune dresseur.
Mes parents ne voulaient pas s’installer, ils s’apprêtaient à rencontrer des scientifiques, faire un peu de tourisme, visiter la nouvelle académie, moi j’en avais marre de bouger. Eux ne comprenaient pas, ils ne comprenaient que je ne veuille pas aller à Almia, Rhode, Oblivia, Alola et les autres régions de ce vaste monde. Ils n’avaient pas saisi qu’ils m’enfermaient plus qu’autre chose en m’emmenant dans leurs aventures, je voulais m’installer et ne plus bouger. Ils décidèrent donc à leurs grands regrets de devoir continuer leurs recherchent à distance par le biais de sous-fifres, afin que j’atteigne 18 ans au moins pour pouvoir m’installer et s’assurer que je puisse vivre seul. Me laisser fut un déchirement pour eux, j’étais assez content et fier de mon côté, j’allais me lancer dans l’herbologie comme grand-mère le faisait, j’avais retenu beaucoup de chose mais il fallait que je me prépare, que je fasse venir différentes plantes pour les faire pousser. Après calcul, je ne pouvais ouvrir mon commerce dans une longue année!
Surnom. Lucario
Espece. Lucario
Nature. Brave
Description. Milo a reçu Riolu alors qu’il n’était qu’un enfant dans la région de Sinnoh, afin de lui tenir compagnie. Ils ont tissé un lien très fort, se soutenant en toute situation. Milo n’aime pas mettre les pokemon dans leurs pokeball et de toute manière Riolu a toujours refusé d’y rentrer. Il a évolué l’année des 15 ans de Milo, ils se considère comme des meilleurs amis, des frères d’armes en quelque sorte. Les deux sont fidèle l’un envers l’autre. Il aura toujours une relation privilégiée avec Milo qui ne le considère pas comme un pokémon mais comme une personne. Même si le pokemon semble sérieux, il lui arrive de s’amuser, Lucario fait sérieux car il se responsabilise comme le protecteur de Milo et de Moustillon, de la famille qu’ils forment. Lucario est plus grand que les habituels pokemon de son espèce, de plus tout comme les siens, il est doué d’un très puissant pouvoir d’empathie, très utile à Milo.
Surnom. Mousti
Espece. Moustillon
Nature. Doux
Description. Milo n’aime pas capturer de pokemon sauvage c’est pourquoi il n’a pas beaucoup de pokemon, deux seulement. Mousti lui a été donné par un professeur, assez récemment pendant son passage dans la région d’Unys. C’était il y a trois ans de cela, Moustillon était un pokemon sauvage qui a été sauvé par ledit Professeur d’une attaque sur le bord d’un lac. Il fut traumatisé et apeuré de tout contact, il accepta et adopta Milo pour devenir un pokémon à l’image de son maitre, doux et empathique. Il l’aide beaucoup dans son travail d’herboriste.
Surnom. Pas d’idée, pour plus tard
Espece. XXX
Nature. XXX
Description. XXX
Pseudo ou prénom. K-lu
âge. 19 ans et demi
Comment avez vous connu le forum ? Grâce à un top site
Quelque chose à ajouter ? J’espère que ma fiche vous a plu ^^