Samaël J. Winchester | |
Nom : winchester. Prénom : samaël jaye ephram. Âge : douze ans. Région d'origine : hoenn. Ambitions futures : topdresseur, spécialité non définie. | |
« c'est parce que la vitesse de la lumière est supérieure à celle du son que tant de gens paraissent brillants avant d'avoir l'air con. » | |
Description |
Samaël semble au premier abord un garçon assez sec, davantage blasé par sa condition de pensionnaire qu'autre chose. Pour autant, traînant souvent seul avec Pimousse, il se satisfait de pouvoir étudier dans une école ou il pourra affronter des champions d'arènes comme il le souhaitait, et dès lors que l'on gratte un minimum sa coquille, on découvre sous sa tignasse mi longue et de couleur noisette un garçon joyeux, tout simplement désintéressé des gens qui ne s'acharnent pas en amitié. Doté d'une paire d'yeux accordés niveau teinte à celle de ses cheveux, son regard pétillant la plupart du temps, le jeune garçon naturellement dynamique et décidé à ne plus se laisser abattre, maintenant qu'une partie de son rêve est exaucée, est d'une corpulence assez mince ; du haut de son mètre soixante on a affaire à un adolescent assez sportif, détail contrastant avec l’oisiveté de son starter – les opposés s'attirent, paraît-il. Curieux et admiratif envers chaque chose qu'il peut apprendre, Samaël compte dans ses défauts en plus de son attitude parfois solitaire et d'électron libre, quelquefois qualifiée de désinvolte, le fait qu'il est assez dépensier, chose qu'il a commencé à développer à Illumis et qui lui fait regretter le système des jetons instauré au pensionnat. |
Histoire |
❖ 04 ANS « Je suis Alizée, Championne d'Arène de Cimetronelle ! » Les mains agrippées aux barrières, l'enfant observe les retardataires monter avec empressement les marches qui les séparent des gradins dans le but d'assister au combat. Les hauts-parleurs retransmettent au public chaque parole de la jeune femme spécialisées dans les types vol, paroles qui d'ailleurs ne change pas énormément d'un adversaire qui vient quérir son badge à l'autre tandis que les dernières personnes ayant réussi à accéder à la salle d'observation prennent place sur les bancs du fond. Samaël sourit légèrement avant de se retourner pour observer l'affrontement qui va bientôt débuter et pour lequel il est au premières loges – il faut dire qu'il est tranquille, son statut de cousin de la championne lui assurant une place de choix lorsqu'il souhaite la regarder combattre. « Mon harmonie avec le vent touche la perfection.. Admire l'élégante chorégraphie que mes pokémons Oiseaux et moi avons préparée ! » Une sorte de petit louveteau jaillit de la pokéball du dresseur souhaitant remporter son badge, pokémon de couleur principalement bleue avec sur le visage un masque noir de la même teinte que ses oreilles et qu'une partie de ses pattes, deux bosses blanches sur ses avant bras complétant le tableau. Intrigué par cette créature qu'il n'a jamais vue dans les environs malgré le statut d'éleveur de son géniteur, le jeune Winchester se penche davantage sur sa barrière en essayant de se rappeler malgré tout s'il n'a pas aperçu le pokémon un jour ou l'autre, mais rien. La réponse à ses interrogations vient finalement de derrière son dos, deux adultes discutant entre eux sur le banc juste au dessus à celui ou est situé l'enfant. « Oh, un Riolu ! » La suite de la conversation lui apporte des précisions sur la créature en question, notamment qu'il s'agit d'un pokémon de type combat et que le choix contre des combattants volant n'est ainsi par le meilleurs qu'aurait pu faire le dresseur novice. Samaël se concentre à nouveau davantage sur le combat qui le passionne énormément malgré son jeune âge, et constate que le choix d'Alizée s'est porté sur son Altaria, tout récemment sorti de sa forme de Tylton.Le village de Cimetronelle ou il a vu le jour n'est qu'une implantation de maisons, créées à même le bois et perchées dans les arbres pour la plupart, même si quelques exceptions touchent le sol, mais une implantation suffisamment intéressante pour que la ligue d'Hoenn y ai permis la construction d'une arène, ainsi que comme dans la plupart des autres villes, d'un centre pokémon et de quelques magasins de shopping dont l'un des plus appréciés reste le vendeur d'immobilier qui propose des objets taillés dans des matières naturelles comme le bois ou la pierre. Il paraît qu'ici, les villageois sont en meilleure santé qu'ailleurs selon ce que les parents du jeune Winchester lui ont raconté, justement parce qu'ils vivent au milieu de la nature, dans la même parfaite harmonie avec le paysage que celle d'Alizée et ses prédécesseurs avec les pokémons vols. Parfois parmi les rondins de bois qui permettent d'accéder d'une maison à l'autre une fois en hauteur, des Kécléons s'amusent à se rendre invisible à l'exception de leur zigzag, obligeant les habitants à les effrayer pour leur faire reprendre leur couleurs naturelles et à fuir, parfois sous le regard amusé de Samaël et de son frère qui y voient une distraction de plus dans le petit village. Pour autant, ils ont hâte de quitter cet endroit, de parcourir le monde comme les dresseurs de renommée que l'on voit parfois au journal télévisé parce qu'ils ont battus la ligue pokémon de leur région ou une organisation mafieuse qui s'y développait comme le jeune Red de Bourg-Palette à réussi à démanteler la team Rocket, de partir eux aussi à l'aventure à travers la région d'Hoenn pour commencer, puis les autres s'ils en ont l'occasion. Du haut de l'arbre ou est perchée la maison de ses parents, se sentant plus proche que le reste du monde des nuages qui ressemblent d'ailleurs à des ailes d'Altaria, bien qu'il n'a jamais eu l'occasion de savoir si la sensation de douceur est la même, Samaël pousse comme une plante au soleil. Grandissant au fil des mois et des années, il s'approche un peu plus chaque jour du moment ou il ira à son tour à la découverte de tout les pokémons que l'ont peut trouver dans sa région natale, même si son frère de deux années son aîné partira bien évidemment avant lui, que ce soit avec un compagnon capturé dans la nature ou bien remis par le professeur de Bourg-en-Vol. En attendant, il s'amuse avec les créatures dotées de pouvoir de ses parents, ou bien ceux qui passent quelques temps à la pension, rapportant parfois des œufs lorsque deux reproducteurs se croisent. Tout les pokémons le fascinent, bien que Raïchu, Farfuret, Ectoplasma semblent assez intéressants au combat et que la douceur du Ponchiot de sa mère le fascine – mais lui, il préfère le dressage à la coordination, la puissance à la beauté et la douceur. Plus tard c'est décidé, il ira quérir des badges plutôt que des rubans. ❖ 08 ANS Samaël, tout comme son frère Bélial, tire son prénom d'un prince des Enfers, une sorte de serviteur de Giratina à ce qu'il a compris. Ce choix n'est pourtant pas orienté par le fait que ses parents sont des satanistes bien au contraire, mais parce qu'ils voyaient à l'époque dans les prénoms de leurs deux fils une connotation assez douce, mélodieuse. Dix ans plus tard, leur aîné prépare son départ sous les yeux intrigués et admiratifs du cadet. Dans quelques semaines, il commencera son parcours de dresseur en entamant le traditionnel voyage initiatique à travers d'Hoenn, au bout duquel il reviendra avec plusieurs badges et peut être même avec le titre de maître pokémon tant convoité. En attendant, bien qu'ayant dépassé depuis une poignée de semaines son anniversaire, il se renseigne encore puisqu'il n'a pas trouvé de pokémon pour l'accompagner dans son périple, et qu'il préfère aller voir le professeur Seko en tout dernier recours. C'est la raison pour laquelle Samaël l'accompagne aujourd'hui dans les hautes herbes qui bordent Cimetronelle, non loin du centre météo, sous le regard prudent du Raïchu prêté par leur mère pour combattre les éventuelles créatures sauvages qui les attaqueront. Un bâton à la main, l'aîné des deux enfants donne des coups dans les amas d'herbes, de plantes et de fleurs qui se dressent sur son passage, dans le but d'attirer les pokémons vivant encore en liberté. Ils se baladent depuis une petite heure lorsque Bélial, probablement lassé par le temps passé sans avoir trouvé de compagnon qui n'ai pas été envoyé au tapis par le type électrique, se rue vers le premier arbre venu et commence à défouler sa colère en frapper le tronc, assez fragile d'apparence. Quelques secondes et coups plus tard, l'arbre laisse tomber quelque chose dans un bruit de choc amorti par les herbes, coquille de forme ovale que les deux fils d'éleveurs reconnaissent en s'approchant, pour l'avoir assez souvent vue dans la pension de leurs parents. « Un œuf ! » Poussant cette acclamation joyeuse, Bélial se précipite vers la coquille, qu'il ramasse avant de l'examiner sous toute les coutures. « Et il n'est même pas fêlé ! Je l'ai, mon pokémon. » Raïchu poussa malgré tout une sorte de rugissement de protestation qui, bien qu'ignoré par Bélial, fait réagir Samaël. « Mais cet œuf ne nous appart.. » Il n'a pas le temps de terminer sa phrase ; derrière lui, un bruissement d'ailes se fait entendre et il comprends en se retournant qu'il a mal saisi la raison pour laquelle la créature électrique de leur mère a grogné. Devant lui se dresse un insécateur, une telle expression colérique sur son visage d'insecte qu'il constate immédiatement qu'il s'agit de la mère de l’œuf. Bélial pour autant ne lâche pas la coquille protégeant le futur nouveau-né et se contente d'observer la génitrice avec les yeux écarquillés, une expression un peu idiote sur le visage. La seconde d'après, malgré le fait qu'il ai laissé glisser ou plutôt fait tomber l'oeuf vers le sol, la femelle sauvage à déjà bondit vers lui, lui lacérant violemment le visage et les bras avant de lui planter une de ses faux dans le ventre. Bélial suffoque sous la douleur, se courbant assez violemment vers le sol tandis que du sang commence à dégouliner le long de ses vêtements. Samaël lui recule d'horreur, incapable pourtant de fuir totalement en abandonnant son frère. « Ra.. Raïchu, lance Tonnerre.. » Il ne parvient qu'a balbutier, admirant le fait que malgré sa voix tremblante et faiblarde, la souris électrique ai réussit à capter l'ordre et attaque avec violence le pokémon insecte, sur lequel elle a une légère supériorité du fait du double type vol d'insécateur. Sous le coup de la haine probablement, malgré le fait qu'il soit une bestiole décrite comme volant assez rarement, la femelle a profité de son accroche au niveau du ventre de Bélial pour le soulever avant de s'envoler dans les airs, devenant assez rapidement trop en hauteur pour que le cadet puisse demander à Raïchu d'attaquer sans risquer de blesser son frère. En désespoir de cause, il hurle au pokémon sauvage de lâcher son frère.. Et son cri est entendu, la mère libèrant l'aîné de deux garçons de son étreinte d'un coup sec.A dix mètres du sol.Le bruit du choc lui reviendra en tête même des années plus tard. Un maëlstrom de sang, un bruit immonde de craquements, entrecoupés par le battement des ailes du pokémon sauvage. Il tourne les talons avec violence et dégoût, s'enfuit en larmes vers le centre Météo dans l'espoir de trouver des adultes, laissant le corps déjà sans vie de son frère avec Raïchu.Il quitte bientôt sa ville natale. Adieu les cabanes dans les arbres, les heures passées à s'amuser des habitants – surtout les jeunes enfants – au chemin bloqué par les kecléons, la vie au grand air, au contacte omniprésent de la nature, il part bientôt pour une métropole. Après le décès de Bélial – mort sur le coup en atterrissant avec violence sur le sol après avoir été lâché par l'insécateur selon les médecins -, ses parents n'ont pas voulu rester à Cimetronelle. Le souvenir de leur fils qui leur pèse sur la conscience sans doute, la souffrance de voir les endroits ou il a été et ou il n'ira plus jamais sûrement... Toujours est-il qu'eux qui admiraient la campagne et vantaient les bienfaits de vivre dans un village aussi apaisant que Cimetronelle ont décidé de partir pour une ville immense. La pension pokémon revient à une jeune cousine de Samaël, et bientôt le déménagement se fait, ses parents ayant souhaité partir le plus vite possible une fois les formalités réglées. L'enfant quitte son village natal. Dans le camion de déménagement, coincé entre les cartons de livres et de vaisselle, il jette un dernier coup d’œil au seul village de sa région et probablement des autres ou l'on vit dans les arbres, en sachant qu'il ne le reverra sans doute jamais. ❖ 12 ANS Samaël a mis du temps à aimer la ville de Kalos sur laquelle ses parents ont jeté leur dévolu quelques années auparavant. Le bruit omniprésent, les voitures et leur pollution, les lumières éclatant à toutes heures du jour et de la nuit.. Tout ici était un contraste violent avec son ancienne vie, et il ne comprends toujours par le choix de ses parents. En réalité, plutôt que de l'apprécier, il s'est plutôt résigné à la ville, à accepter d'y vivre pour ne pas se terrer toute la journée dans la dépression, à rester à compter les heures dans sa chambre en zappant d'une chaîne à l'autre de la télévision. De toute façons, il ne parcourra jamais le monde alors autant traîner dans la métropole en espérant trouver quelques contacts intéressants, à défaut d'en avoir dans le reste de la région. Ses parents, après des heures d'angoisses, de larmes, des nuits blanches d'abord puis remplies de cauchemars ensuite, ont décidé sans le consulter qu'il n'irait jamais en voyage initiatique, que ce soit à la quête des badges d'arènes ou des rubans de coordination. Ils avaient perdu un fils. La vie ne leur enlèverait pas le deuxième. Et c'est pour ça que Samaël se trouve actuellement à la gare d'Illumis.Les mois devenant des années, le gamin adorable et curieux de tout, aidé par un deuil précoce qu'il n'avait pas vraiment terminé même quatre ans plus tard s'est mué en un adolescent blasé par la vie. Se baladant uniquement dans Illumis, il voit régulièrement des enfants plus jeunes que lui aller visiter le laboratoire du professeur pokémon et en ressortir heureux, une pokéball accrochée à la ceinture ou leur starter à l'air libre, marchant à leurs côtés ou installés sur les épaules de leur nouveau dresseur. Feunnec, Grenousse, Marisson, les mêmes propositions feu, eau et plante que l'ont propose à ceux qui ont le courage de faire le voyage jusqu'au laboratoire pokémon de leur région s'ils n'ont pas déjà leur propre starter. Se forçant à ne pas végéter sur place mais reprochant assez souvent leur choix à ses parents, c'est pourtant à la télévision et pas dans la rue que la solution à son problème lui apparaît, sous la forme d'une publicité pour une académie pokémon ouvrant bientôt les inscriptions pour son second semestre scolaire. Il ne sait pas pourquoi cela a rapidement rassuré ses parents, au point qu'au bout de quelques jours il ont commencé les formalités administratives mais il est là, à la gare d'Illumis ou son train va arriver dans quelques minutes à quai. Silence. Il se lève, se tourne du côté de ses parents encore assis. Ils ne l'accompagneront pas dans le train, et de fait pas non plus dans le bateau qui le mènera sur l'île, et il réalise soudain qu'il les quitte pour la première fois de sa vie et pour longtemps. Une boule aussi emmêlée qu'un Saquedeneu lui tord le ventre dans un accès de stress, mais il se refuse à faire marche arrière. « Votre attention s'il vous plaît. Le train numéro huit mille six cent vingt à destination de Batisques est annoncé voie quatre. Il desservira les gares de … » Samaël n'écoute plus la suite, ses pensées déjà tournées vers son avenir. Il cligne des paupières, reporte son attention sur ses géniteurs. « Bon, ben voilà. Je dois y aller.. » Nouveau silence. Les secondes lui semblent des heures, et il prie, silencieusement d'abord, pour que l'un de ses deux parents brise le moule, comme qui dirait lors d'un combat pokémon. « Oh Arceus, créateur de notre monde, redonnez à mes parents la force et le pouvoir de parler. » Aucun des deux ne sourit pourtant. La tentative d'humour est un échec.Son père se lève malgré tout peu de temps après, et Samaël réalise qu'il ne l'a jamais vu aussi vieux, bien que l'homme ai à peine quarante ans. Les traits tirés par l'angoisse et la fatigue probablement sont tels sur son visage que le fils prends le parti de rassurer le père. « Il ne m'arrivera rien. » Enfin, il croise les doigts pour. « … Tu es content qu'on te laisse partir au moins ? On te fais confiance.. » L'adulte sourit enfin. Samaël voudrait soudainement bien s'attarder sur les au revoir, mais une nouvelle annonce sonore le coupe dans son élan. « Voie quatre, le train numéro huit mille six cent vingt à destination de Batisques entre en gare. Veuillez vous diriger vers le quai d'embarcation. » Il pense soudainement à Alizée qu'il n'a pas revu depuis près de quatre ans, se dit qu'elle viendra peut être un jour combattre les élèves du pensionnat dans lequel il pars étudier. A son frère aussi, qui ne pourra jamais réaliser son rêve à cause d'un simple coup en trop donné dans un arbre fragile, un certain jour d'Avril. Inspiration. Expiration. Autour de lui, une masse gluante formée d'humains tous pressés d'avoir les meilleurs places dans le train, que ce soit côté fenêtre ou couloir se forme, et après avoir attrapé sa valise, il va mécaniquement la compléter. Sans savoir si ses parents le suivent, il s'entend finalement murmuré, plus pour lui même que pour les autres personnes à côté de lui. « Putain Bélial, c'est pour toi que j'en suis la. Alors ou que tu sois, si tu me regarde, t'as intérêt à être fier de moi. » |
Pimousse | |
Surnom : pimousse. Espèce : héricendre mâle. Nature : solo. Description : Pimousse, petit mais costaud... ou pas. Véritable feignasse peinant à se lever le matin et plus encore à combattre, l'héricendre passerait volontiers ses journées à dormir comme si la nuit ne suffisait pas. Une plaie en somme pour la carrière de topdresseur que souhaite entamer Samaël, mais le pokémon a encore de la chance d'être mignon et, si son dresseur le pousse parfois avec virulence au combat notamment en prévision des sorties captures à venir, l'oisiveté de Pimousse lui est pardonnée la plupart du temps. Enfin, heureusement d'ailleurs que d'autres pokémons vont grossir l'équipe de Samaël dans les temps à venir, parce que s'il fallait qu'il compte uniquement sur sa petite souris feu pour sa carrière, cela finirait à un moment par lui taper sur les nerfs ; il espère d'ailleurs que d'ici à sa forme de Typhlosion, Pimousse aura un minimum changé de caractère et sera devenu plus vif. |
Hors RPG |
Prénom : Chloée. Age : 19 ans. Comment avez-vous connu le forum ? Via un top partenariat avec un forum ou j'étais inscrite. Et mon homme est inscrit aussi, il joue Astrée :3 Quelque chose à ajouter ? A part que j'adore le design, rien :3 |
Bienvenue dans le Dortoir Noctali ♂ ! N'hésites pas à poser tes questions si tu as le moindre soucis, et bonne intégration parmi tes confrères ! Tu peux dès lors poster ta T-CARD dans la partie correspondante, ainsi que gérer tes RPs grâce à aux RECHERCHES DE RPs ET RELATIONS. N'oublie pas de remplir les champs de ton profil dès que possible (T-card et Fiche de Présentation) pour faciliter la navigation aux autres joueurs, et de réserver ton AVATAR dans la partie adéquate ! Ton numéro étudiant est 0062. Bon jeu sur Pokémon Community ! |
BELLE the Victreebel | ||
Tendre et affectueuse, elle traite les élèves comme ses propres enfants, comprenant caresse, léchage et autres douceurs matinales. Elle n'en est pas moins autoritaire et ayant la main-mise sur son dresseur, elle l'a aussi sur le reste de l'école. Si jamais vous souhaitez vous accorder ses faveurs, elle adore les poffins et autres offrandes ! | perso' le plus badass |