NOM. Reece
PRÉNOM. Henry
ÂGE. 27 ans
RÉGION D'ORIGINE. Sinoh - Vestigion
AMBITIONS FUTURES. Devenir champion d’arène sur Lansat, disposer d’uns distillerie de liqueur, du moins pour le côté légal. À côté de cela, tenir une salle avec plusieurs match à paris de free-fight afin de se faire un peu d’argent à ne pas déclarer.
ÉVOLUTION ENVISAGÉE
GRADE 0. Garçon de comptoir : Derrière le bar à servir, rien de plus, faire parler un peu le client et il ne dispose que d'un petit espace pour confectionner ses liqueurs. Il arbitre seulement les combats illégaux du bar.
GRADE 1. Barman : Maintenant il a sa place et gère seul les clients, mais il reste encore employé, il a un peu plus d’espace pour gérer la création de ses liqueurs et maintenant il prend les paris des combats libres dans l’arrière du bar.
GRADE 2. Barman accomplit : maintenant il a enfin son établissement et un véritable espace où utiliser sa distillerie. La cave du bar sert aux combats où deux combats peuvent se dérouler en même temps.
GRADE 3. Barman de combat : L’arrivée d’un étage dans l’établissement permet à Henry d’y combattre en temps qu’apprenti champion de type insecte, créant dans le bar, une échelle de noblesse, en bas ceux qui se battent illégalement, au rez-de-chaussée les personnes normales et à l’étage, ceux et celles venues pour le spectacle d’un match officiel. De plus, les liqueurs qu’il produit commencent à lui donner une véritable renommée à Lansat et il se permet même de former un jeune à son art.
GRADE 4. Barman d’Arène : À présent et officiellement champion, sa notoriété lui permet d’exporter à Sinoh et Kanto ses liqueurs en plus d’attirer des combattant de l’étranger pour des combats d’arènes et des combats illégaux. Il forme à présent deux jeunes.
GRADE 5 & 6. Champion de la liqueur : reconnu mondialement, Henry est à l’apogée de son commerce et a réussit à gérer dans son établissement affaires légales, illégales et de plaisantes sans que jamais aucune n’empiète sur l’autre. Ses liqueurs s’exportent partout dans le monde et de grandes multi-nationales viennent lui proposer des collaborations, des barmans de plusieurs régions espèrent devenir un de ses quelques apprentis afin de perpétrer son art et l’enrichir .
Description
Il n’y a rien de moins sacré que la famille hein ? C’est un principe de base chez les Reece, on ne la renie pas, on ne la trahit pas, on agit toujours dans son intérêt. On ne peut que se fier à son propre sang n’est-ce pas ? La famille, la cause pour laquelle t’as décollé de Vestigion pour cette île. Tu soupires longuement, comme à chaque fois que tu penses à ça, les mains posées sur le comptoir en bois, ce dernier craque sous tes grands doigts et ces ongles que tu te ronges. La chemise retroussée laisse tes avant-bras à découvert et quelques marques gravées sur ta peau, comme les marques pages d’une vie légèrement malhonnête.
Ton regard bleu turquoise glisse sur les différentes liqueurs pendant que tes mains tremblent légèrement à la simple imagination de leur goût sur ta langue, cette chaleur qui brûle ta gorge… Rapidement, presque fiévreux tu saisis un verre et y l’en remplis d’une ambre verte voluptueuses. Tes pupilles se dilatent en sentant le goût délicat et raffiné de ce liquide qui soulage ta soif… Ou peut-être autre chose, une sorte de pansement qu’il faut changer de plus en plus souvent pour une plaie qui s’infecte. Ça revient la nuit en flash-back et souvent la sueur dégouline lorsque tu hurles en te redressant seul sur ton lit, bien souvent ton téléphone a prit un vol vers le sol, le réveil embrasse la table de nuit, les rideaux sont tombés. Seul ton souffle et la panique d’un regard qui cherche le danger t’accompagne. Ce même lit qui est trop petit pour toi, de peu, mais trop petit quand même, le mètre quatre-vingt-huit pour ses quatre-vingts kilos n’est pas adapté au lit deux places de petite longueur. Ta main passe sur la seconde place, mais elle reste vide, encore. Toujours.
chaque jour, tu te caches de tes démons, mais ton ombre est bien trop grande, tu as beau être élégant dans ta chemise unie, bretelles en cuir, nœud papillon, chaussures en cuir pointues, tu sais que t’es mains sont sales. Tu as le visage fermé, tes fines lèvres mâchent comme toujours cette clope de trop, « la dernière », mais tu saisis sa sœur une heure après, bien qu’elle aussi soit la dernière. Tu es rasé de prêt comme les murs contre lesquels tu marches dans la rue, pour l’instant, tu n’es personne, tu le sais, fait pâle figure en attendant que le bar ai ouvert et que tu disposes de quelques personnes de confiance. Peu de mots quittent ta bouche, pourtant t’es aussi barman pour vendre et faire boire tes premières liqueurs que le boss à accepté que tu vendes, mais tes quelques habitués aiment beaucoup venir ici pour le calme, ton regard froid et glacial qui parcourt le bar est rassurant. Pourtant, tu cherches ce qui n’est plus. Tu la cherches. Mais elle n’est plus là, tu penses souvent la croiser dehors, même sur le lit lorsque tu t’éveilles en panique, mais non, tu es seul et tout ce que tu gardes d’elle sera à jamais sur tes doigts aux ongles rongés. Ici, au moins personne ne sait ce que tu es, ce que tu as fait. Pour combien de temps ? Au moins tu as ton trio pour t’épauler, sans eux, tu ne serais rien n’est-ce pas ? Personne même. Tu serais même probablement mort. Tu soupires à nouveau, comme à chaque fois que tu penses à ça et tu bois dès que le peu. Chacun ses démons, toi, tu bois et fumes, fort heureusement, tu ne joues pas, ou presque. Tu mises sur des courses ou des combats d’hommes et de femmes qui se battent au font d’une cave sous les cris et la poussières des spectateurs. Ca t’arrive de monter sur le ring, pour conserver un peu de ce que tu as appris, puis pour te confronter à la réalité, ça t’aide de prendre des coups, sentir tes côtes douloureuses pendant plusieurs jours, voir les yeux blancs de tes adversaires ou même le filet de bave au coin de leur bouche lorsqu’ils tombent.
Tu as eu les cheveux longs à un moment, mais tu les as rasés de prêt sur les côtés, gardant une faible longueur sur le sommet du crâne, ce qui te rendait encore plus froid et tranchant. De cette manière, tu as perdu une prise facile lors des combats et gagné en charisme. Tu étais déjà plus impressionnant dans ce long manteau et la talonnette des talons qui frappe comme ton sarcasme lorsque tu dévisages ton vis-à-vis avec dédain.
La seule chose qui te sauvera, c’est le sens des affaires et le goût du risque. T’es gourmand et tu veux prospérer, même plus, tu es ambitieux et tu veux grossir, devenir un type important, mais il faut savoir y aller lentement et porter son courage au bon moment. T’es bon négociant, quand tu te décides, t’es bien organisé, t’as rater une réelle carrière dans le cambriolage d’après ta mère. Gâche pas ça, devient un gars fort et respecté, mais surtout : redouté. Quand on né Reece, le sang coule toujours, tôt ou tard. Tout se paie. Ils paieront.
Histoire
A Vestigion prospère une famille moyennement recommandable : Les Reece. Depuis quelques générations, ils gèrent l’ensemble des affaires illégales de la ville avec une certaine discrétion. Surtout en ce qui concerne la contrebande, les alcools interdit, drogues, etc. Avec une exploitation dans la forêt, ils tirent parti de celle-ci pour offrir à leurs alcools un goût inégalé. Tu fais parti de cette famille Reece contre ton grès. Tu es né dans une cave pendant une perquisition de la maison de ta tante, où ta mère avait trouvé refuge en espérant un peu de tranquillité le temps d’accoucher. En réalité, ta soeur et toi-même êtes nés pendant que votre mère mordait presque à sang dans un torchon en hurlant ô combien d’insultes étouffées. Votre père avait eu le malheur de tomber amoureux d’une Reece, ou plutôt, il avait eu le malheur qu’elle tombe amoureuse de lui. De ce fait John Clack est devenu John Reece quelques mois avant votre naissance.
Elizabeth a tout réussit en même temps que toi, quoi de plus normal pour des jumeaux. Vous avez tout découvert ensemble, le monde a quatre pattes, debout, en courant, en grandissant. Vous vous êtes pris les mêmes angles de tables, vous piquiez les mêmes gâteaux dans les placards, tout ça loin des affaires illégales de vos parents, mais à votre manière vous agissiez déjà dans l’ombre. Les opérations commando pour distraire votre grand-mère et ainsi piquer les paquets, avec des astuces toujours plus tirées par les cheveux comme vous cacher dans le four avant que la mamie n’arrive pour la faire sortir alors qu’elle fermait à clé la cuisine pour être sur l’autre n’entre pas. La famille était partagée entre l’émerveillement et l’indignation.
Les années passaient, enfin à l’école, vous œuvriez à deux pour voler les goûters de vos camarades, effacer les croix sur le tableau à ardoise des punitions. Vous rendiez vos devoirs ensembles, trichant par des moyens inimaginable. Vous étiez loin d’être des cancres, au contraire, vous étiez des génies du mal parfaitement organiser. On vous craignait dans la cours de récréation, vous aviez vos larbins, bref, vous marchiez parfaitement sur les traces de vos aïeux. Les années passaient, mais à part votre toilette vous faisiez tout ensemble, jusqu’à dormir ensemble, lorsque vous étiez séparés, vos nuits étaient pleines de terreurs nocturnes, de cris et pleurs.
Votre quotidien n’a pas changé, en ce début d’adolescence vous dormiez toujours ensemble, vous faisiez tout ensemble. Vous aviez tous les deux reçu un Pyronille comme premier pokémon de vos sexes respectifs, les pokémons étant eux-mêmes jumeaux. Ton Pyronille s’appelait Napoléon, brave, aventureux et ambitieux, pour une petite larve, il n’avait pas froid aux yeux, même pas du tout. Même tous vos coups fourrés, vous les faisiez à deux. Comme cette fois où vous vouliez voler dans le coffre du maire de Vestigion en passant par le grand chêne qui mène à l’ouverture du conduit d’aération. Le seul problème, c’est qu’il fallait grimper l’équivalent de quatre étages, une chute était vite arrivée. Et elle arriva. Elizabeth avait pénétré la salle du maire, prit le coffre avant de se faufiler pour revenir à la branche qui avait déjà montré quelques signes de faiblesse lors du premier passage de ta sœur, mais vous aviez tout de même maintenu l’opération. Lorsqu’elle regagna la branche, celle-ci craqua et manqua de se briser, ta sœur fit tomber le butin et resta suspendu à une main à une branche qui menacée de tomber. Toi qui étais assis sur une branche juste à côté, tu t’es penché pour la remonter, mais tu étais trop petit à cette époque, tu t’es penché, manquant de tomber à ton tour et tu t’es rattrapé à sa branche et le choc sourd de ton bras acheva de rompre la branche. Chaque nuit, à présent, le cri de ta sœur te hante, ta maladresse a scellé son destin. Ces secondes sont passées si lentement, elle tombait d’étage en étage et tu savais que tu ne pourrais rien faire. Puis il a la fin du cri, un bruit sourd, quelque chose qui craque, le silence. Ce lourd silence et tu commences à pleurer en voyant ta sœur qui ne bouge plus, les yeux grands ouvert et ses pupilles qui pointent leur regard en direction de leur bourreau : toi. Elle est morte par son propre frère. Tu as tué ta propre sœur, montre horrible que tu es. La suite est floue, ton cerveau a choisit de l’effacer, mais l’enterrement, justifier le coffre, étouffer l’affaire. Pour la famille, c’est un drame et depuis le jour où tu as condamné ta sœur, tu enchaînes les terreurs nocturnes.
Dès que tu fus en âge de côtoyer le monde adulte, tu as immédiatement cédé à ses plaisirs, alcool, clope, luxure, rien pour t’en empêcher, combler le manque que cet accident avait créer, tu aimais ta sœur comme aucune autre femme, sans jamais rien envisager avec, le simple passage de ses doigts dans ton dos suffisait à t’endormir, mais ces gestes de douceurs tu ne les retrouvaient que lors de tes nuits charnelles. Rien ne changea, tu as perdu le sourire, tes joues se sont un peu creusé, seule lueur vive dans ton visage terne : tes yeux turquoise. Ta famille ne t’a pas tourné le dos, au contraire, mais l’amertume de cet accident restera à vie sur tes épaules, tu es responsable de la mort de ta sœur. Tu es devenu maître du sarcasme et bon négociant. Tu ne touchais pas aux liqueurs, seulement leur vente, faire signer les contrats, ça te connaissait bien, un beau signe distinctif, le long manteau, brodé du symbole des Reece : une clé. Souvent ça finissait en bagarre, surtout quand tu négociais la domination familiale de certains bars de la région autour de Vestigion. Œils aux beurres noirs, os fêlés, un quotidien, le sang ne te faisais plus peur depuis que tu te noyais dans celui de ta sœur.
Vers tes vingt ans, tu as réellement frôlé la mort à ton tour. Négociations souterraines à Voilaroc, avec une autre famille sur le commerce d’alcool contre du minerais. Tu étais parti seul, Napoléon sur l’épaule et la dégaine qui t’étais propre, le béret, cheveux courts et rasés de prêt. On peut dire que ça ne s’est pas réellement passé comme prévu. Lorsque tu es arrivé sur place seul, l’orage menaçait et ton adversaire rhétorique n’était pas seul. Les négociations étant biaisé tu as décidé de te retirer… la famille de Voilaroc à préféré te tirer. Le sol s’est dérobé sous tes pieds et tu as chuté suite à une détonation sourde. Le sol était piégé et en ces lieux pleins de tunnels, il suffirait de justifier ta cupidité déjà bien avérée et ainsi faire passer cette mort pour un accident. Tu as chuté, comme ta sœur, ce jour-là, quel comble de mourir comme sa jumelle, décidément vous aurez tout fait exactement de la même manière. Mais ce jour n’était pas arrivé, au contraire, ce cri qui a franchit tes lèvres, cet appel à la vie t’as sauvé. Tu ne pouvais pas mourir maintenant, il te fallait vivre pour elle, vivre pour ta sœur. Napoléon en a ressenti le même besoin, il a perçu cette volonté chez toi. C’est alors qu’une grande lumière a irradié la zone puis un cri effrayant et enfin un bourdonnement fracassant. Napoléon, le glorieux conquérant avait évolué et te portait sans difficultés en remontant la crevasse mortelle. En regagnant la surface, il a carbonisé les alentours de ses nouvelles flammes pour écarter les menaces qui t’en voulaient. Sans vous éterniser vous avez fuit. Les pourparlers ayant échoué, c’est une guerre entre deux familles qui débuta et celle-ci durant de longs mois.
Tu as eu du mal à te remettre de cet évènement, même Napoléon n’arrivait pas à te faire sourire, sa nouvelle taille l’empêchant de te chatouiller. Ta famille se battait en brûlant plusieurs bars rivaux, éteignant ses propres feux, c’était une guerre silencieuse où la police ne pouvait pas réellement agir. Toi, tu restais loin de tout ça, tu ne voulais pas t’en mêler tant que tu ne te sentais pas prêt psychologiquement. Toi, tu restais loin de tout ça, tu ne voulais pas t’en mêler tant que tu ne te sentais pas prêt psychologiquement. Par la même occasion, tu t’es défoulé dans le combat encore plus qu’avant frapper et encaisser, te rendre mentalement plus fort, pour l’oublier… Pour l’atténuer… Sans jamais y arriver. Tu en a profité pour sortir et t’entraîner au combat, capturant par ailleurs un second pokémon, un petit Rapion du nom de Bismarck, discret, manipulateur, frappant de façon chirurgicale, un bon élément dans ce monde sombre dans lequel évolué Henry. Puis à force de s’entraîner, pourquoi ne pas tenter l’arène de Vestigion, juste pour tester ses capacités ? L’idée n’était pas folle à vrai dire et vous avez relevé le défi. Ce fut un échec, trop habitué au combat physique, diriger correctement tes pokémons releva de l’impossible, du moins à ce moment de ta vie. Mais cette cuisante défaite t’as ouvert les yeux, il fallait devenir un meilleur dressé. À force de t’entraîner avec ton duo, tu as fini par acquérir les bases, chaque venue chez Flo se soldait par un échec néanmoins de moins en moins cuisant, l’occasion pour toi de constater au grès des mois tes réussites.
Par ailleurs, tes talents de distillateurs furent approuvés dans la famille. Mais pour peu de temps, maintenant âgé de vingt-cinq ans, tu étais un pilier commercial de la famille, gérant des bars, des négociations et de la fabrication d’alcool, tu t’effondrais chaque nuit sur toi-même, plongeant encore dans tes drogues douces.. Puis un acte de vandalisme a déchiré la famille. Un intrus a fait sauter ta distillerie. Tout ce que tu as réussi à construire après des années de travail venait de s’effondrer. C’était bien trop pour toi. Peu de temps après tu as annoncé ton départ de Vestigion pour l’île de Lansat. Le but était de fuir cette région qui te tuerait tôt ou tard. Tu voulais juste prendre un nouveau départ et faire prospérer les affaires de familles à l’étranger. Ton départ vu relativement mal venu, mais on ne renie jamais le sang, c’était une règle chez les Reece et ils comprenaient aussi ton besoin de t’exclure. Tu es parti à pieds, sans richesses avec seulement un nécessaire de survie et des idées de liqueurs.
Un an et demi de voyage sur différentes régions, explorations, découvrir de nouvelles saveurs, toujours seul et sans jamais t’accompagner. Tu n’avais pas envie de côtoyer une personne étrangère, pas maintenant, ce voyage était en quelque sorte un pèlerinage. Napoléon et Bismarck à tes côtés, il ne pouvait rien t’arriver. Mais comme tu étais un voyageur discret, même en pleine nature, il ne t’es pas arrivé beaucoup de mésaventures, tu t’es seulement perdu quelques fois. C’est dans une petite forêt par ailleurs que tu as fait la rencontre d’une petite araignée qui n’as pas voulu te quitter après s’être servie dans une de tes liqueurs. Petit Statitik qui a bien voulu rejoindre l’équipe. Tu ne lui as pas dit non, elle était bien mignonne, Néfertiti comme tu l’appelais. Elle était toujours sur ton épaule et ne refusait jamais quelque goutte de liqueurs, une véritable alcoolique, comme toi, un point commun qui te faisait un petit peu sourire, il faut l’avouer. Au terme du voyage, Lansat et un poste comme barman dans un bar un peu reculé, avec ses habitués et au fond, une salle de free-fight, il existait un fight club avec des prises de paris, des combats jusqu’au comas, tout était possible et le patron se faisait pas mal d’argent. Il t’a embauché en goûtant tes liqueurs et en entendant ton nom. Avoir un Reece c’était pour les affaires, surtout lorsqu’il s’agissait de l’expert en brasserie.
Maintenant tu es pas trop mal installé hein, une petite piaule pour toi, au dernier étage, ce qui permet à ton trio de prendre l’air quand bon leur semble. Tu ne lui as pas dit non, elle était bien mignonne, Néfertiti comme tu l’appelais.
SURNOM . Napoléon
ESPECE. Pyrax
NATURE. Fier
DESCRIPTION. Napoléon est le premier pokémon de Henry, sa totale dévotion envers lui en fait son plus grand allié. Ils se connaissent parfaitement. C’est un combattant féroce, possessif envers son dresseur, il n’aime pas la rivalité et aime l’écraser du moment qu’il a l’accord de son dresseur. Relativement discret, il n’intervient que sur ordre ou lorsqu’il estime qu’on chercher a s’accaparer son dresseur.
SURNOM. Bismarck
ESPECE. Rapion
NATURE. Orgueuilleux
DESCRIPTION. Bismarkc est un fin stratège, assez vicieux qui aime tout contrôler et calculer, il agit de face, mais prépare toujours des coups fourrés. Trahison, faux espoirs, c’est un bel agent du mal, surtout dans un univers comme lui dans lequel Henry vit. Bien qu’il n’est pas évoluer il est tenace et féroce. Provocateur au possiblei l pousse toujours les autres à la faute pour agir en légitime défense et ainsi martyriser sans retenue et publiquement ceux et celles qu’il n’aime pas
SURNOM. Néfertiti
ESPECE. Staitik
NATURE. Discrète
DESCRIPTION. Toujours nichée sur l’épaule et en quête de liqueur, cette petite boule électrique est un anti-stress pour Henry qui se calme de ses terreurs nocturnes avec de petites décharges électriques. Elle le chatouille en marchant sur son corps criblé de marques, elle est innofensive, jusqu’à ce qu’on menace une bouteille d’alcool, surtout s’il s’agit d’une bouteille distillée par son dresseur. Dans ce cas d’urgence extrême elle devient violente
PSEUDO OU PRÉNOM. Josh / Audrey / Lyca / Gaëtan, j’crois que vous me connaissez bien maintenant haha
ÂGE.. 16 ans à mon arrivé et 21 ans dans deux semaines, quel parcours !
COMMENT AVEZ VOUS CONNU LE FORUM ? Hum, je ne me souviens même plus pour être sincère
QUELQUE CHOSE À AJOUTER ? Il fait bon de revenir à la maison