Ce n’est pas la joie, à l’Adala Community.

Tant bien que mal, les élèves ont dû s’acclimater aux nouvelles règles, jugées nécessaires pour certains, et oppressives pour beaucoup d’autres.

Après la fusion des deux écoles Pokémon Community et Adala Elite School, la prise de pouvoir de Charlie ne fait toujours pas unanimité. Ses partisans avancent que les étudiants se tiennent à carreau depuis l’instauration du nouveau règlement ; d’autres soulignent qu’il est bien trop tôt pour en juger, et que leur colère grondante finira par éclater tôt ou tard.

La vague de protestation lors de la rentrée souligne cette contestation du tout récent système. Hélas, celle-ci s’est vite retrouvée étouffée dans l’œuf : même les citoyens ayant tenté d’outrepasser les nouvelles règles se sont vus adressés un message signé par l’adjoint à la mairie lui-même, avançant que leur réaction était tout à fait excessive et disproportionnée compte tenu de la nécessité d’apporter sécurité et discipline aux adolescents.

Et s’il y a bien quelques têtes blondes qui trouvent leur épanouissement dans ce cadre strict, ce n’est pas le cas de la majorité. Rescapés de la Pokémon Community et de l’AES ont d’ailleurs trouvé un terrain d’entente quant au fait que les uns comme les autres ne se supportaient pas, et que mettre fin à cette cohabitation forcée était le meilleur moyen de résoudre le problème.

Mais les quelques plaintes, revendications et actions menées pour y parvenir n’ont abouti à rien d’autres que des séries de punitions, et dans certains cas, renvois. D’autres étudiants ont fini par partir d’eux-même, prolongeant cette vague de départ initialement engendrée par la fusion.

Si l’adjoint et directeur actuel Charlie maintient qu’il s’agit d’un moindre mal, la maire Juliet Jones se veut plus nuancée. « Il est dommageable que de jeunes dresseurs, futur de notre île, se sentent acculés par une réglementation n’ayant que pour seul objectif de pérenniser leur avenir. »

Cette dernière a également ajouté vouloir effectuer une visite au sein de l’établissement le Samedi 18 Décembre, afin de s’entretenir personnellement du problème avec le corps professoral et les étudiants. Attendue au tournant, les élèves ont espoir que cette rencontre mette en lumière les soucis de bien-être engendrés par le règlement.

Plus d’un an après, l’enquête sur l’attaque subie lors de la Fête des Récoltes 2020 est au point mort. Si la piste d’une blague ayant mal tourné a d’abord été privilégiée, la thèse de l’acte criminel serait finalement la plus pertinente en vue des éléments mis en œuvre. Son objectif ou sa source restent un mystère pour les forces de l’ordre…

• Ce topic est une simple mise au point du contexte. Un autre topic rp fera suite à celui-ci dans les jours à venir.