Aileen Sôma | |
Nom : Sôma. Prénom : Aileen. Âge : 14 ans. Région d'origine : Elle est née à Kalos, et a passé les quatorze années suivantes à voyager avec sa mère. Ambitions futures : A terme, travailler dans le pôle d'espionnage de la Police Internationale. Devenir Pokéathlète Espionne est donc le premier pas vers son ambition difficilement atteignable. | |
« Longtemps, j'ai cru aimer les autres. Peut-être que je croyais les aimer parce que je voulais qu'ils m'aiment. Vous voulez toujours que les autres vous aiment. Enfin, vous croyez. C'est des gens bizarres, les autres. Vous pensez qu'ils sont comme vous. Et pas du tout. Ils sont comme les autres. J'aime pas les autres. » | |
Description |
Ne vous fiez pas aux apparences : Aileen a beau être assez petite pour son âge et avoir une attitude de fifille bien élevée, de poupée habituée aux pouponnages, elle n’en reste pas moins très difficile à avaler. Par ailleurs, elle a tendance à fuir dès que ça commence à parler de Coordination. Sa petite taille lui permet de se faufiler partout, de se cacher dans les endroits les plus tordus, les cachettes les plus difficiles d’accès, là où elle pourra avoir la paix. Par ailleurs, elle a un très mauvais caractère. Elle ne se laisse pas facilement marcher dessus, et les gens restent assez surpris de voir que la petite chose qu’ils bousculent dispose d’un cynisme et d’un franc-parler qu’elle utilise pour frapper juste. De plus, avoir passé des années à fuir par n’importe quel moyen possible pour échapper à sa mère l’a rendu agile, souple, vive, et pour le moins débrouillarde. Si, pour s’enfuir, elle doit passer par une fenêtre au cinquième étage, marcher sur une corniche glissante et descendre le long d’un tuyau branlant, elle le fera sans même se rendre compte que c’est dangereux et qu’elle pourrait se rompre le cou. Pour le moins hyperactive, elle aime le sport, et déteste l’inaction. Courir dès le matin fait parti de son rituel, et si on l’en empêche, pour une raison ou pour une autre, il y a des chances pour qu’elle soit d’une humeur massacrante toute la journée. Aileen peut donner l’impression d’être distante, ou assez froide. C’est plutôt qu’elle analyse trop. Son regard acéré ne manque que peu de détails, et c’est après une analyse rapide qu’elle décide si elle parle ou pas. Si la personne en face ne lui inspire pas grand-chose, elle n’entretiendra pas la conversation. Si, au contraire, c’est une personne qu’elle aime bien, elle bavardera avec plus de facilité, sans toutefois en dévoiler trop sur elle. Elle préfère, et de loin, laisser parler les gens, ce qui lui permet d’en apprendre plus sur eux, pour satisfaire ce que les gens appellent son insatiable curiosité. En réalité, Aileen est loin d’être curieuse. Elle n’ira pas lire un journal intime posé en évidence devant son regard, elle haussera plutôt les épaules et le rangera dans un tiroir pour que d’autres n’aillent pas le lire. Si deux personnes chuchotent non loin d’elle, elle ne s’approchera pas pour savoir de quoi ils parlent. Tout cela ne l’intéresse pas trop. Elle est, de surcroît, pour le moins égoïste, et avare en services. Elle n’aime pas être redevable, devoir quelque chose à quelqu’un, et quand c’est le cas, se dépêche de régler sa dette pour être à jour. De même, elle a tendance à noter scrupuleusement quand on lui doit quelque chose. Passer une feuille blanche pendant un cours, ok, si elle sait qu’on la lui rendra. Prêter de l’argent est en revanche plus problématique quand elle ne connaît pas les gens. Physiquement parlant, Aileen passe plutôt inaperçu. Elle n’aime pas les robes, dans lesquelles elle se sent serrée, ni les jeans, pour la même raison. Elle opte en général pour une grande cape rouge et blanche qui la fait très souvent passer pour une Coordinatrice, assortie de bottes blanches dans lesquelles elle se sent bien. Ses longs cheveux, pas souvent coiffés, sont ornés de tresses assez longues, et forment deux houpettes au niveau des oreilles, comme des oreilles de lapin, qui lui plaisent assez, d’ailleurs. Elle a également un regard violet assez fascinant, pas vraiment expressif, où brille une lueur d’intelligence parfois presque malsaine tant elle semble animée par ses intérêts personnels. |
Histoire |
« Je suis en-QUOI ? » La Coordinatrice ouvrit de grands yeux choqués pendant que son Couafarel, prudent, reculait de quelques pas vers la porte. Le médecin, lui, répéta sans sourciller. « Enceinte. De six mois. » C’était forcément une blague, que la future mère ne goûtait pas tellement. « Mais enfin, je suis juste venue parce que j’avais – » « Des nausées, de la fièvre, des vomissements, une irascibilité persistante ? Vous êtes enceinte. Mes félicitations, je présume ? »Aileen n’est pas une enfant désirée, loin de là. Née d’une nuit un peu trop arrosée entre une Coordinatrice et un jeune chercheur, elle a pour le moins mis un frein à la carrière de sa mère, qui a fait un déni de grossesse très puissant tout au long des neuf mois. Mais les faits étaient là. C’est au bout de six mois que la Coordinatrice s’aperçut qu’elle n’était plus tout à fait seule, qu’elle ne pouvait plus avorter, et qu’elle ne savait pas tellement où se trouvait le père de la gamine qu’elle portait dans son ventre. Et quand vint la question cruciale de garder cette enfant ou de la placer dans un orphelinat, la résolution de la Coordinatrice s’effondra quand elle vit le bébé. Au dernier moment, alors que tout était prêt depuis des mois, elle décida de la garder. Elle ne passa qu’une année à Illumis, dans la maison de ses parents, dans une ruelle tranquille non loin de la Place Rouge, avant de s’envoler pour Johto avec sa fille, son Couafarel, et un monstrueux attirail pour bien s’occuper de la petite nouvelle. « Mais qu’est-ce que tu fais ?! » Prise en faute, la petite fille laissa tomber le tube de rouge à lèvres qui s’étala sur le beau tapis blanc de l’hôtel. « Mais regarde, il est plus mieux beau comme ça ! » La Coordinatrice lâcha un hurlement perçant en voyant son adorable Couafarel couvert de marques de rouge à lèvres, alors que le concours commençait dans moins d’une heure. « Arrête tes bêtises et va mettre ta robe ! Oh, mon pauvre Fifi, mais qu’est-ce qu’elle t’a fait … » La petite se leva et fila en râlant vers sa chambre. « Mais je peux paaas y alleeeer ! »La mère, Coordinatrice assez douée, rêvait que sa fille reprenne le flambeau. Elle rêvait d’une longue lignée de Sôma, Coordinateurs jusqu’à la fin. Manque de chance, la petite semblait peu réceptive à ce discours mégalomane. Les cours sur la grâce la faisaient bâiller, les concours de beauté l’ennuyaient profondément, et alors qu’elle entendait de nombreuses filles de son âge vanter sa chance de participer au grand concours annuel de Nénucrique, elle songeait bien amèrement qu’elle aurait préféré leur laisser sa place plutôt que de s’endormir à moitié sur son siège qui, au moins, avait pour seul intérêt d’être confortable. Aileen n’aimait pas les concours, au grand dam de sa mère, qui essayait pourtant de l’y intéresser, sans grand succès. Pleine de bêtises, elle préférait jouer avec le Couafarel de sa mère, Fifi, le grand gagnant de ses concours, qui aimait par ailleurs se laisser tartiner du rouge à lèvres sur les pattes et se rouler dans la boue en jappant. Aileen était pleine de vitalité, qui se retrouvait contenue dans son tout petit corps d’enfant, parce que sa mère n’aimait pas les bruits incongrus et ne semblait pas comprendre qu’un enfant a besoin de courir vingt heures par jour en criant à tue-tête. En grandissant, Aileen apprit à se conformer à ce que sa mère attendait d’elle, à se fondre dans le décor, plus pour qu’elle arrête de couiner de sa voix perçante que par réel intérêt pour la chose. Elle avait la sale impression de n’être qu’un petit animal de compagnie, bien élevé et propre sur soi, qu’on exhibe dans les soirées mondaines, où elle devait par ailleurs prouver l’étendue de ses connaissances, vu qu’elle n’allait pas à l’école et que sa mère lui faisait cours elle-même. « Aileen, arrête de bouder. » Pour seule réponse, la petite fille s’enfonça encore plus dans son silence borné. « Il fallait bien qu’on s’en aille. Puis ces enfants avaient une mauvaise influence sur toi. » Reniflement méprisant. Et la petite prit la parole. « On jouait. » La Coordinatrice lâcha un rire clair. « Jouer ? Vous vous battiez. Ta robe était déchirée et tu saignais au coude. » Aileen explosa, et frappa ses petits poings sur la table. « Le monde n’est pas aussi aseptisé que ton merveilleux univers de concours ! Peut-être que si tu passais moins de temps à t’occuper de toi et plus de temps à t’occuper de moi, tu saurais ce que s’amuser veut dire ! »En grandissant, Aileen n’apprit pas seulement à se fondre dans le décor ou faire ce qu’on attendait d’elle pour qu’on lui fiche la paix. Elle apprit également à en vouloir à sa mère, avec assez de puissance pour lui tenir tête et lui couper la chique de temps en temps. En plus d’un animal de compagnie, elle se sentait comme une poupée, qu’on trimballe et qu’on pose dans un coin, qu’on maquille et coiffe pour la rendre jolie. Un accessoire. Et elle détestait ça. Par ailleurs, les voyages de sa mère les faisant voyager dans toutes les régions, Aileen n’avait pas beaucoup d’amis. Le peu qu’elle s’en faisait l’oubliaient quand elle déménageait et ne revenaient pas la voir quand elle repassait brièvement dans la région. Elle se sentait seule. L’indifférence de sa mère la lassait, l’univers pailleté et aseptisé des concours la dégoûtaient, et plus que tout, elle aurait aimé s’installer quelque part au lieu de voyager en permanence. Elle en devenait insupportable, et pire que ça, elle se mit à fuguer. Elle n’apparaissait plus aux concours ou aux réceptions qui avaient lieu par la suite, préférant sortir en douce par une fenêtre pour déambuler dans les rues et jouer avec les gamins du coin, après leur avoir prouvé qu’elle n’est pas une chochotte en collant son poing dans la mâchoire du petit caïd de la bande. Alors ils allaient jouer, sur les docks, dans la zone industrielle, derrière une grande roue en ruines, partout où ils pouvaient se cacher. Et le soir, en rentrant, elle supportait les couinements de sa mère, contente de sa petite révolte et de la bonne journée qu’elle avait passé, sachant au fond d’elle-même que tout cela ne durerait pas. « J’ai décidé de t’envoyer dans une école. » La gamine haussa les épaules, tournant sans grande conviction sa cuillère dans sa tasse de chocolat. « On l’appelle Pokémon Community. » Aileen cessa son manège, et leva un regard méfiant vers sa mère. « L’école sur une île, là ? » La Coordinatrice hocha la tête. « L’île Lansat, oui, c’est ça. Tiens, voilà une brochure. » Sa mère posa la brochure sur la table, et Aileen s’en empara pour y jeter un coup d’œil. Coordination. Comme par hasard. Cependant, un autre mot apparaissait sur le papier glacé. Pokéathlétisme. « Ca a l’air très intéressant. »Finalement, la Coordinatrice céda. Elle n’arrivait plus à supporter les sautes d’humeur de sa fille, ses fugues perpétuelles, et si elle avait abandonné l’idée de l’intéresser à la mode et aux concours, elle n’avait pas abandonné celle de l’instruire. Aussi se mit-elle à chercher assez activement une solution, bien consciente qu’elle ne pouvait plus traîner sa fille de ville en ville avec elle si cette dernière ne manifestait aucun intérêt pour la coordination. Elle ne pouvait cependant pas la placer dans une école normale, vu qu’elle passait son temps à voyager. Comment pourrait-elle aller chercher sa fille à la sortie de l’école de Mauville alors qu’elle se trouvait à Yantreizh ? Elle aurait bien demandé de l’aide à ses parents, si ces derniers n’étaient pas morts de vieillesse quelques années auparavant, à deux mois d’intervalle, comme s’ils ne pouvaient survivre l’un sans l’autre. Ce fut finalement par hasard qu’elle trouva la solution, en attrapant négligemment une brochure distribuée à l’entrée d’un musée. Alors qu’elle allait la jeter, elle s’aperçut que ça parlait d’une école, à pension complète, sur une île, pour former les enfants aux métiers de leurs choix. Quelques semaines plus tard, c’était plié. Le dossier d’inscription avait été envoyé et validé aussi sec, et le jour de la rentrée, Aileen se retrouva seule, au milieu des autres enfants, avec sa petite valise et son sac à dos, une peluche lapin dormant tout au fond dudit sac avec son ordinateur portable et un iPok un peu rayé à force d’être utilisé. |
Sphax l'Absol | |
Surnom : Sphax. Espèce : Pokémon Désastre. Nature : Rigide. Description : Tout comme sa dresseuse, Sphax a un caractère assez particulier. Relativement calme et discret, il a pour habitude de regarder les gens de son regard profond, de les étudier, presque de les disséquer des yeux, ce qui peut mettre mal à l'aise parfois. Il peut se révéler vicieux avec ses adversaires, même si, comme sa dresseuse, il n'a pas tellement d'esprit de compétition. Il participe pour s'amuser, pas pour gagner, et tout comme elle, il a ses petites habitudes, comme la course du matin, durant laquelle il court à côté d'elle. Par ailleurs, s'il est très placide et très calme, il deviendra immédiatement très dangereux si quelqu'un ose toucher sa corne, même accidentellement. |
Hors RPG |
Pseudo/Prénom : Champifeuille, aka Champi. Age : 23. Ca va, je suis pas la plus vieille ? Comment avez-vous connu le forum ? Coucou Oko =) Quelque chose à ajouter ? Oui ! J'aime vraiment beaucoup Absol et je le voudrais shiny Si c'est pas possible, on peut me le dire avant de me valider, que je change de starter, s'il vous plaît merci ? |
Bienvenue dans le Dortoir Pyroli ♀ ! N'hésites pas à poser tes questions si tu as le moindre soucis, et bonne intégration parmi tes confrères ! Tu peux dès lors poster ta T-CARD dans la partie correspondante, ainsi que gérer tes RPs grâce à aux RECHERCHES DE RPs ET RELATIONS. N'oublie pas de remplir les champs de ton profil dès que possible (T-card et Fiche de Présentation) pour faciliter la navigation aux autres joueurs, et de réserver ton AVATAR dans la partie adéquate ! Ton numéro étudiant est 0121. Bon jeu sur Pokémon Community ! |
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