Sans même que j'ai eu le temps de dire ouf les vacances touchaient déjà a leur fin. C'était passé tellement vite ! J'aurais bien aimé rester encore un peu en vacances mais bon comme je me dis "il faut bien retourner en cours pour avoir à nouveau des vacances". Et puis je pense que si on était en vacances trop longtemps, elles n'auraient plus la même saveur. Il est 10h, et après l'entrainement matinale, je suis restée à lire dans ma chambre et je ne suis toujours pas allée à la douche. Quand je me motive enfin pour y aller, Diane toque à la porte et me remet une lettre qui est arrivée hier mais qu'on ne me donne qu'aujourd'hui. En même temps c'est logique, le facteur ne passe pas le dimanche. Je la remercie et reste dans la chambre pour l'ouvrir en compagnie de Ruru. Je reconnais l'écriture, c'est celle de Papa. Je l'ouvre avec précipitation , trop hâte de découvrir son contenu. J'agrippe la feuille blanche et me met à lire son contenu. Papa me donne des nouvelles de tout le monde. Comment il va, et Marie aussi. Ca fait vraiment plaisir de voir ça. Ensuite j'ai le droit à un mot de chacun de mes frères et sœurs. Julie me raconte l'enfer pour gérer les autres te me demande de rentrer vite pour reprendre la main, Amandine et Matthieu arrivent à se disputer même par écrit, et Elwey qui fait de son mieux pour écrire en bâton me souhaite bonne chance. Je suis si heureuse de recevoir des nouvelles de tout le monde. Mais il y a autre chose dans l'enveloppe : une photo. Je la sors pour la voir et à cet instant j'ai cru que j'allais tombé dans les pommes. Sur la photo, tout le monde était réuni autour du feu, et sur le côté Maman était là. Je lâche la photo et suis prise d'une crise de panique. Je n'arrive plus à respirer. Ruru me regarde en panique pendant que je reprends tant bien que mal mon souffle en m’étouffant au passage. Devenue toute pâle et pleine de sueurs froides, j'attrape de nouveau la photo et Maman n'est plus là. La photo est maintenant normale. Cette photo ressemble comme deux gouttes d'eau à celle qu'on a prise le Noël de mes 9 ans, quand maman était encore là. Papa ne l'a pas fait exprès mais ça ma fait un choc : Atroce. Je file alors à toute vitesse sous la douche, jette mes vêtements un peu partout et me fait couler de l'eau bouillante sur la tête. Je reste là le temps de calmer ma respiration et mon cœur. Ca va de moins en moins bien... Après 20 minutes sous l'eau bouillante, je ressors de la douche et m'habille avec une idée en tête : quitter le chalet pour la journée. Il fallait que je m'échappe pendant un moment. Ca ira sans doute mieux après. Je décide donc d'aller louer du matériel de ski. Générale Jackie avait insisté plusieurs fois pour qu'on aille glisser sur les pistes. Autant le patin à glace c'est pas mon truc mais le ski je me débrouille pas mal même si ça fait longtemps que je n'en ai pas fait. Et puis c'est pas le moment de douter va t'amuser un peu. Je sors donc du chalet et me dirige vers la boutique de ski pour en louer, parce que je crois que personne ne vient ici avec des skies ! Je trouve donc une jolie paire bleue et marron assortie à mes vêtements. Il en temps d'aller s'éclater. Je monte donc plusieurs tire-fesse pour aller le plus haut possible. J'avais envie de rester le plus longtemps sur les pistes. Arrivée tout en haut, je décide d'emprunter un chemin peu fréquenté et qui semble intéressant au niveau des sensations. Je me lance et profite des sensations et du paysage. Le vent fouette mon visage, c'est géniale. J'aimerai aller encore plus vite mais mieux vaut ne pas prendre trop de risque inutile. Je continue à m'éclater entre les bosses et les slaloms en oubliant momentanément l'incident du matin. En fait, je n'ai croisé personne depuis le début. Je continuais ma course au milieu des arbres et arrive devant une sorte de fossé. Je sors Ruru de sa pokeball pour lui expliquer ce que je vais faire. Je vais me servir de se fossé comme d'une rampe pour squat bord et faire des figures. Je pars donc à pleine vitesse, et commence mon enchaînement de figure. Je m'en sors plutôt bien, c'est très amusant. Je m'amuse comme une folle. Puis un moment, je me stoppe en plein milieu de la piste : je suis où en fait ? J'étais tellement absorbée par le ski que j'en ai oublié mon maudit sens de l'orientation. Je suis encore perdue, c'est vrai que c'est très originale. Ruru dévale la pente et essaie de me dire quelque chose. Le temps que je comprenne j'entends une fille qui m'appelle. Je lève la tête et reconnais la propriétaire de la voix : c'est la fille a qui j'ai donné mon écharpe pendant la soirée du nouvel an. Je ne pensais pas du tout la revoir ici. Salut, euh Mikato, oui ça va. En fait je viens de le rendre compte que je suis perdue. Je te présente Ruru, mon Zorua. Et toi que fais-tu ici ? |
Je ne me suis pas trompée : c'est Mikato, la fille à qui j'ai donné mon écharpe pendant la soirée du nouvel an et aussi la colocataire de Serena. Plutôt étrange de se retrouver ici dans des circonstances pareilles. Elle m'explique alors sa situation. Comment ça elle aussi elle est perdue. Mais qui va me ramener en bas des pistes sans me perdre maintenant ? Pas de panique Idalienor on va bien trouver une solution, ne t'en fais pas. La photo qu'elle a reçu le matin lui apparaît en mémoire. Ne repense pas à ça ce n'est pas le moment ! Mikato me demande alors de l'aider à chercher sa Colimucus qu'elle a perdu de vue. J'imagine l'inquiétude chez elle. Dès que Ruru n'est pas dans mon champ de vision je m'imagine le pire alors qu'elle est juste cachée sous un coussin. Bien sûr que je vais t'aider à la chercher, pourquoi je dirais non. Mais comment tu vas remonter le mur ? C'est vrai qu'elle est en bas de la crevasse et moi en haut. Elle me dit de ne pas m'inquiéter et de partir chercher son pokemon. Je déchausse alors mes skis et me prépare à partir mais avant Si tu as le moindre soucis appelle moi, crie de toutes tes forces d'accord ? Je ne veux pas qu'il t'arrive malheur, je ne me le pardonnerai jamais ! Elle me fait un signe de la tête en signe d'approbation mais avec une tête légèrement paniquée. J'ai dû la surprendre à parler comme ça. Je n'aurais pas dû. Mais en même temps il est hors de question qu'il arrive quelque chose à nouveau à quelqu'un qui m'est proche. Plus jamais ! Je pars donc en direction des bois puisque je ne le vois pas sur le chemin principale. Accompagnée de Ruru, je m'enfonce dans les bois bien déterminée à le retrouver. Si elle est comme moi, elle doit tenir à ses pokemons comme à la prunelle de ses yeux, donc il faut que je sois efficace. Les bois sont très épais dans cette zone. Pour dégager un peu le chemin, je demande à Ruru d'executer son attaque Coupe. Elle le fait immédiatement et le chemin est désormais beaucoup plus clair. C'est quand même pratique d'avoir un pokemon comme elle : calme, adorable et obéissante. J'aperçois au loin une forme violette contre un arbre. Je m'approche et reconnais alors le pokemon de Mikato plaqué contre un arbre comme si il cherchait à passer à travers. Je comprends ce qu'elle voulait dire par aveugle : il n'y voit vraiment rien du tout. Je ne savais pas que certains pokemons ne pouvaient pas voir. Je le saisis alors dans mes bras et retourne vers la crevasse où j'ai laissé sa dresseuse. Il est plutôt sage lui aussi. Le fait d'être portée par une inconnue ne le dérange pas plus que ça. Une fois arrivée, je ne vois pas Mika... Je suis alors prise de sueur froide. Et si elle était tombée ? Si elle était morte ? Des images de sa mère décédée et de l’hôpital traversent son esprit. Je commence à paniquer et les pokemons qui sont avec moi le ressentent. Le Colimucus me regarde fixement et Zorua se colle à moi pour me calmer. Je blêmis à l'idée de sa chute. Je m’apprête à poser le Colimucus pour aller la chercher quand je voie Mikato sortir d'un petit passage pas loin de moi. Je tombe à genoux. Trop de pression en si peu de temps. Elle revient vers moi pour récupérer son pokemon qu'elle câline. On voit qu'elle a eu peur aussi. Ne me refais plus jamais ça pitié, j'ai eu si peur que tu sois tombée... Les larmes montaient aux yeux. Non ne pleure pas. Alors je me jette tête la première dans la neige. C'est froid mais ça me détend. Mika m'observe en silence en caressant Ruru qui visiblement à peur pour moi. Je reste comme ça pendant 5 longues minutes à essayer de faire le vide dans ma tête. Si on veut repartir dans de bonnes conditions je ne dois pas être dans cet état. Je me redresse alors et m'assois dans la neige. Elle n'était pas très loin dans la forêt juste à côté ne t'inquiètes pas. Visiblement tu as des difficultés avec tes skis, alors je te propose d'essayer de continuer ce chemin doucement. Je vais t'aider à te tenir debout dessus et tout ira bien. Nous enfilons toutes les 2 à nouveau nos skis. Mika rappelle son Collimucus dans sa pokeball et moi je garde Ruru sur mon épaule comme d'habitude pendant que son Evoli se tient à côté d'elle. Maintenant il ne reste plus qu'à descendre. Enfin "plus que" ... tout est relatif HRP : Utilisation de la CS Coupe |
Utilisation de la CS Coupe Gain Tu gagnes une Baie Fraive et une Baie Maron ! |
Nous partions donc toutes les 2 sur nos skies après que je me sois calmée. Vous n'imaginez même pas cette peur qui me serre les tripes, cette idée de perdre à nouveau quelqu'un, c'est insupportable. Après quelques minutes, Ruru et Tim entendent les bruits de la piste et nous guident jusqu'à celle-ci. On va devoir rentrer un peu à l'arrache mais ça devrait aller. A non pas du tout, je viens de Vermilava a Hoenn donc c'est pas là-bas que je vais avoir de la neige mais je suis déjà aller faire du ski 2 fois à Frimapic à Sinoh en colonie de vacances et puis j'ai quelques facilités pour tous les sports, sauf le patinage mais Serena m'a aidé à en refaire un peu. Je finis ma phrase et le temps que je remarque les skis de Mika qui se penche un peu trop vers la piste elle avait déjà glissé droit sur la piste. Sauf que ça c'est pas une piste bleu mais à cheval entre rouge et noir et vu la vitesse à laquelle elle descend elle va pas arriver en bas en un seule morceau si ça continue. Ce genre de piste doit se faire en slalom et absolument pas en piquée. Vite vite Idalienor action réaction ! Les pokemons qui sont encore là vont pouvoir m'aider. Il va falloir agir vite et bien. Ruru et Tim écoutez-moi ! Vous aller monter sur mes épaules et quand je vous le dirais Ruru tu sauteras sur mes skies et toi Tim sur ceux de Mika pour les décrocher de nos pieds. Le reste vous me laissez faire. Allez on y va. Les pokemons exécutent et c'est partit. Je fonce à toute vitesse vers Mika et une fois que j'arrive à sa hauteur la mission de sauvetage commence. Ruru, Tim c'est partit. J'approche alors Mika de moi et les pokemons décrochent nos skis. A la vitesse à laquelle on était lancé, on a forcement et expulsé assez violemment. Je l'ai attrapé et on commença alors une série de tonneaux interminable. Mais il fallait que je maintienne la position sinon elle allait se faire mal, en revanche là c'est moi qui est mal. Arrive alors une bosse sur notre trajectoire, nous décollons jusqu'à s'exploser dans un énorme tas de poudreuse. Pour amortir la chute, j'essaie de tendre un bras mais ce n'est pas très efficace. Je sors la tête de la poudreuse et attrape Mika pour la sortir de là. Je sens alors une vive douleur au poignet : j'ai du me le tordre en voulant nous rattraper. Nous sommes couverte de neige et je pense que nos skies sont perdus. Je crois que ce que je viens de faire est digne du scène d'action au cinéma, mais là on est dans la vie réelle et pas dans un film avec des choses pour amortir les chutes où des effets spéciaux. On aurait très bien pu y rester. Mika, tu veux vraiment ma mort ... Aie.. Les pokemons nous ont rejoints et jouent dans la poudreuse juste à côté. Mon poignet me fait super mal et j'ai eu encore une fois très peur mais le plus important c'est qu'on soit arrivé à peu près entière en bas. Voyant au moins le positif, on est arrivée en bas de la piste... |
Mon poignet me fait mal, je pense que c'est une entorse. Avant même de vouloir faire quoi que ce soit pour ma blessure, Mika prend les choses en main et sort de son sac une crème et des bandages pour me faire un petit truc de fortune. Elle demande même à sa Colimucus de l'aider. Celle-ci me fait d'ailleurs un gros câlin gluant mais ce n’est pas grave c'est l'intention qui compte. Elle se débrouille bien je trouve, c'est du bon boulot. Elle me propose d'aller manger un truc. J'avoue que je ne dis pas non. Je commence à avoir faim aussi. Nous sortons de notre tas de neige et Ruru et Tim nous suivent bien sagement, tous les 2 couverts de neige. Ils sont trop choupis. Par chance, quelqu'un avait ramassé nos skies et les avait mis en évidence en bas de la piste. Nous allons donc les rendre à la boutique de location. Le gérant était mort de rire à voir nos têtes. Entre moi et mon poignet et Mika et son nez on formait une bonne équipe. Nous aussi nous rigolions de cette situation. On s'arrête alors à un petit café pour manger. Je commande une crêpe et un chocolat chaud pour me réchauffer. On est bien là, ça me rappelle nos diners de famille autour de la cheminée. C’est vrai que j’ai beaucoup de frères et sœurs mais pour le reste c’est quasiment inexistant. Mon papa est fils unique et il ne voit plus ses parents depuis qu’il est parti avec maman. Les parents de maman n’ont jamais cherché à reprendre contact avec elle depuis son départ de la maison. Donc il ne reste plus que sa sœur qui a tout fait pour retrouver son modèle. Marie est super gentille, je l’adore. Elle a tellement fait pour moi et pour papa surtout. Je ne te remercierais jamais assez. Tu m’as aussi enseigné tout un tas de truc géniaux. Franchement je t’adore. Je déguste tranquillement quand la question qui fâche arrive. Pourquoi je pleurais tout à l'heure ? Je suis coincée... Et bien, il y a longtemps j'ai perdu ma maman. Elle est morte parce que je n'ai pas réagi quand je le pouvais. C'est pour ça que maintenant je ferais tout ce qui en mon pouvoir pour que personne ne soit blessé ou pire avec moi... Ma gorge se nouait au fur et à mesure. Je ne l'ai dit à personne dans l'académie jusqu'à présent. Ce sont des choses que je ne veux pas dire habituellement mais là je n'ai pas eu la force de me défiler. La photo du matin même, sa famille en pleurs et sa maman mourant s'affiche dans sa tête. Oh non, je me sens mal, je n'aurais pas dû parler. J'ai envie de vomir. Excuse-moi, je me sens mal... Je me lève précipitamment de ma chaise et me dirige vers les toilettes du restaurant. Je ne me sens pas bien du tout. Je suis prise d'une crise de panique à nouveau. Essaie de te calmer, allez. Je finis par vomir mon repas du matin tellement j'ai mal au cœur. Mais qu'est ce qui ne va pas chez moi à la fin. Je suis blanche comme un cachet. Je sors alors du restaurant avant de retourner à la table où Mika m'attend toujours. Je...je...suis désolée, je n'arrive pas à parler de ça, pardon C'est comme si mon passé me courait après. J'ai beau vouloir courir de toutes mes forces, je n'arrive pas à y échapper. Comme mon ombre. Elle est collée à moi en permanence. Pour ce que j'ai fait à maman c'est pareille. Je peux toujours me boucher les oreilles, essayé d'ignorer, tout finis par revenir un moment ou un autre. C'est dure... HRP : Juste il me semble que Idalienor n'a jamais dis à Mika qu'elle était Pokéathlète médecin mais ce n'est pas très grave. |
Je n'arrive pas à regarder Mika en face, c'est comme si tout ce qui m'entourait venait de disparaitre pour me laisse me noyer dans mon chagrin. Cette sensation de vide à l'intérieur de soit est insupportable. Pourtant, cela ne fait que peu de temps que j'ai réalisé mon implication dans ce qu'il s'est passé ce jour là. Pendant 4 ans, cette pensée c'est enfoui au plus profond de moi comme si elle n'existait pas. Mais lors de mon arrivée à l'académie, plus précisément lors du voyage en bateau qui me conduisait à l'ile Lansat, ce moment du passé a refait surface et n'est plus jamais partit. Mika me sort de mes penser en prenant ma main et en partant du restaurant où nous étions pour trouver un banc un peu plus loin. Elle commence alors à me parler de peine, de solitude et d'ami. Toutes ces choses qui sont actuellement mon quotidien. Cette solitude qui m'habite depuis 5 ans déjà, qui ne me lâche plus, c'est surement le plus difficile. Je ne peux confier mes problèmes à personne, en fait depuis mon arrivée ici je n'ai tissé de lien avec personne. J'ai fais des rencontres amusantes et pleines de rebondissements. J'ai aussi rencontré des gens vraiment chouettes mais personne a qui je puisse parler de tout ça. Habituellement je ne parle à personne de moi. Je n'aime pas ça. Je préfère écouter les autres me parler de leurs soucis que l'inverse. Mais là Mika là où ça fait mal, très mal. Quelques larmes coulent le long de mes joues, je ne dis plus rien. Les mots ne veulent pas sortir de ma bouche et de toute façon je n'ai rien à dire. Elle me tient contre elle, comme une Maman le ferait pour sa fille. J'ai l'impression d'être une enfant de 3 ans qui revient en pleurs de l'école parce qu'elle s'est fait bobo aux genoux. Cette situation pourrait faire rire en temps normal mais pas là. Elle dépose ensuite un casque sur mes oreilles avec de la musique que je reconnais assez vite. C'est une musique assez vieille mais c'est mon style. Je n'écoute que ça, des musiques qui datent d'il y a 10 ans mais je pense que se sont les meilleurs. Celle de maintenant, du moins de ce que j'ai pu entendre, non pas d'intérêt. Nous restons ainsi un petit moment. Mais cette situation m’oppresse, je ne peux plus rester là, avec quelqu'un, aussi gentille soit elle. Alors.. Quel est ton numéro d'Ipok ? Elle me regarde souriante avant de me le donner tout naturellement. Elle a un joli visage, très chaleureux. Peut être qu'on pourra devenir de bonnes amies plus tard. Mais aujourd'hui ma limite est atteinte. Merci beaucoup Mika, merci pour tout Je me lève alors du banc, rappelle Ruru dans sa pokeball et part à toute vitesse en courant le plus vite possible. J'ai bien vu quelle avait essayer de me retenir mais je cours très vite, en tout cas bien plus vite qu'elle. Merci Absol pour toutes les courses qu'on a faite ensemble. Je cours pour rejoindre au plus vite le dortoir. Arrivée dans ma chambre je claque la porte et m'assoit contre elle. Je ressors Ruru de sa pokeball avant d'enfermer mon visage sur mes genoux et de pleurer à nouveau. Ruru reste à côté de moi pour veiller sur moi. Au bout d'un moment je quitte mes affaires pour le ski, me mets en pyjama et saute sur mon lit avec mon Ipok à la main. Je vais envoyer un message à Mika quand même, ce n'était pas poli de partir comme ça. Je rentre alors son numéro dans cet engin qui me sert à communiquer avant de lui écrire mon texto. Idalienor - 04/12/2015 ; 17h00
Le message envoyé, je pose mon Ipok sur la table de chevet et attrape un bouquin de science fiction. J'ai besoin de me vider la tête. |
Coucou ^^ c'est Idalienor désolée de m'être enfuie comme ça mais disons que ce genre de situation me met très mal à l'aise et j'ai craqué. En tout cas encore merci pour tout à l'heure et j'espère te revoir vite. |
Ne t'inquiètes pas je comprends que tu ne sois pas très à l'aise, c'est pas très évident, désolée pour cette question ^^ Moi aussi j'espère te revoir, après la rentrée peut-être ? |
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