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« Le truc, avec la perfection, c’est que ça n’existe pas. »
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année 11, semestre 2
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Bienvenue sur Leiar ! Une île hébergeant la Pokémon Community, campus universitaire accueillant de tous les profils, humains comme Pokémon. Élève ou adulte, vous vivrez au jour le jour une vie trépidante au sein du campus, votre quotidien ponctué de mille et unes folles histoires typiques de la Pokémon Community. Cette île couverte de cristaux vous réserve quelques surprises, tout ça entre deux cours ou mission pour devenir le meilleur dans vos spécialités respectives ! En savoir plus ?
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Audrey Hatoria
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Taille de l'équipe : 8
Région d'origine : Elle ne s'en souvient pas
Âge : 16
Niveau : 28
Jetons : 0
Points d'Expériences : 890
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Elle ne s'en souvient pas
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Elle ne s'en souvient pas
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Audrey Hatoria
est un Scientifique Mécano
Le moral c'était pas vraiment ça, on pouvait dire que tu avais le moral au fond des baskets, Warren était absolument introuvable sur cette foutue île et il te laissait ainsi seule. Tu semblais inconsolable tu ne fabriquais que des objets morbides, entre la planche de surf en bronze, le temps te semblait si long et le soleil ne t'étais pas, il faisait super chaud et tu n'aimais pas ça, déjà que durant l'hiver tu t'habillais comme en été car tu brûlais sur place, alors imagines en ce moment. Tes pieds se faisaient mous sur le sable, tu avais ressorti tes habits exentriques, le haut de maillot rouge et bleu que tu portais supposé des formes féminines délicates alors qu'en bas était un short en jean jaune canari arrivant au quart des cuisses avec une épaisse ceinture de cuir à laquelle était attachée une douzaine de grenade chantilly, ah ces grenades, si tu pouvais tu en exploserais avec joie sur Warren en lui hurlant de revenir t'aimer. Niveau chaussure c'était aussi spécial, un talon aiguille rose de dix centimètres au pied gauche et au pied droit une botte compensée qui remontait jusqu'au dessous du genoux.

Tu soupirais, avec toi il y avait ce Funécire, que tu avais attrapé spécialement pour Warren, la bougie était triste tout le temps et restait sur ton épaule en pleurant de temps à autre de la cire chaude qui coulait par terre imprimant le sol de votre passage. À ce moment précis tu ne pleurais pas, tu n'y arrivais plus et tes yeux maquillaient masquaient ta peau fatiguée par le manque de sommeil alors que ton rouge à lèvre orange lui donnait un faux air joyeux. Tes doigts naviguaient doucement sur ton pistolet silencieux tireur de chewing-gum. Il ne fallait sous aucun prétexte qu'on te parle de Warren sous peine d'engloutir l'île sous une danse pluie qu'aucun Tarpaud ne pourra égaler même en dansant plusieurs années de suite.

Perdue dans tes pensées tu n'avais même pas vue le beau jaune homme devant toi, tu le percutas sauvagement te renversant sur lui, la chute fut brutale et tes longues tresses bleus qui t'arrivaient aux mollets volèrent dans une danse artistique très abstraite avant de s'écouler un peu partout sur le jeune homme. Cependant quelque chose attira ton attention, un cliquetis qui remontait vers le buste du jeune homme sur qui tu étais tombé : une grenade chantilly. Tes yeux devinrent rond et tes iris se rétractèrent alors que tu roulais sur le côté pour esquiver l'explosion autant que possible.

BOOM

Il y eut de grosses effluves de chantilly dans les airs et plusieurs giclée qui firent leur intrusion sur ton corps, ventre, poitrine, jambes, cheveux visage, ton corps n'est pas trop amoché mais lorsque tu regardes celui du jeune homme tu prends peur, ce n'était pas la saison des bonhommes de neige et pourtant il y en avait un devant toi en chantilly. Ton Funécire se met à pleurer sous le feu de l'action laissant le sol se tacher de cire. Ton visage s'étire d'un petit sourire en voyant la situation mais rapidement tu te rapproches du jeune homme en touchant la zone qui devrait être normalement un front.

-Dis.. t'es mort ? Hein, si t'es mort lève la main droite. Si tu es vivant la main gauche et si tu sais pas cri : Bouyachaka. Comme ça on verra si t'es vivant. Puis.. pardon, faut pas me bousculer comme ça, t'es un malade toi.. c'est dangereux...
Alban Abernaty
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https://pokemoncommunity.forumactif.org/t3559-alban-abernaty-voltali
Région d'origine : Hoenn
Âge : 17 ans
Niveau : 70
Jetons : 20638
Points d'Expériences : 2487
Hoenn
17 ans
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pokemon
Hoenn
17 ans
70
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Alban Abernaty
est un Pokeathlète Coach
Le plumage blanc neige moucheté de bandes d’or du Goélise était devenu terne et poisseux. Les embruns, l’eau, et le sable s’étaient déposés entre les plumes autrefois si pures, souillant l’apparat de ce pauvre Zéphyr. Depuis quelques jours déjà, l’oiseau chromatique ne se sentait pas dans son assiette ; avant si jovial et plein d’énergie, il était resté morose, prostré sur les genoux d’Alban dès lors que ce dernier était assis, pour une raison qui échappait au Voltali. Il avait pourtant longuement vérifié l’alimentation de son Pokémon, et avait examiné le Goélise pour essayer de déterminer la raison du mal qui le rongeait. Rien. Il avait beau regarder la langue de l’oiseau, la couleur de ses plumes, le mouvement de ses iris, et la légèreté de ses pattes ; Alban n’avait jamais connu pareil cas de maladie, et il commençait à s’inquiéter sérieusement pour la santé de son partenaire. Il avait tenté de palier les éventuelles carences en allant chercher des baies fraîches de l’île, et en composant tous les repas du Goélise ; plus de restaurants, plus de cantine, et surtout, plus de snack pour la pauvre mouette. Le régime était devenu strict pour permettre de n’assimiler que les éléments essentiels et nécessaires à son bon maintien. Pourtant, Zéphyr restait las de vivre, comme déprimé. Il ne mangeait plus avec le même appétit qu’avant, et piaillait juste faiblement lorsqu’Alban venait lui apporter sa nourriture. Alban avait beaucoup contacté ses parents depuis la baisse de tension de son Pokémon ; et pourtant, ces éleveurs d’oiseaux expérimentés n’avaient pas pu déterminer la raison de ce blues. Résigné, Alban était parti consulter l’Infirmière Needle, malgré les conseils de ses camarades de ne surtout pas aller la voir. Et pourtant, même après plusieurs remontants de la part de la délicieuse Médecin, Zéphyr n’avait pas réagi. Ni les piqûres de Mine, ni les cajoleries de la belle Needle ne lui avaient fait recouvrer la santé. Impuissant, Alban avait essayé de l’amener au bord de l’eau pour qu’il essaye de s’amuser ; chose qu’il voulait éviter de faire car le sel de la mer n’allait pas forcément aider ce pauvre Zéphyr si celui-ci avait déjà un déséquilibre alimentaire. Même ça s’était révélé inefficace. Le Goélise avait barboté quelques secondes en agitant ses ailes piteusement, était tombé bec le premier dans le sable, puis s’était relevé et était parti faire la seule chose qui semblait le motiver ces derniers temps : se rouler en boule sur les genoux d’Alban.

Au bord de l’eau, le châtain réfléchissait, tout en caressant le plumage de son Pokémon. Ses pensées, ordinairement tournées vers une certaine jeune fille depuis leur rencontre, étaient à présent totalement monopolisées par la santé de Zéphyr. Le Pokémon avait l’air d’être atteint d’une maladie qu’aucun médicament Pokémon ne pouvait guérir : la déprime. Mais pourquoi donc Zéph’ était-il aussi triste ? Alban n’en savait rien, mais il se sentait mal de ne pas réussir à redonner la joie de vivre à son ami. Le Goélise était-il si malheureux en sa présence ? Était-il un si mauvais dresseur ? Ou alors, le fait que Zéph’ n’ait toujours pas réussi à prendre son envol le minait plus qu’il ne l’aurait pensé ? Comme pour confirmer ses suppositions, le Pokémon leva ses yeux dépités vers le ciel, où volaient une nuée de Goélise aux couleurs plus conventionnelles. Étendre ses ailes, prendre son envol, et aller à la rencontre des nuages et des vents violents. Voilà une sensation qui, même s’il ne l’avait jamais connue, devait lui manquer horriblement ; comme une partie de votre cœur qu’on arrache. Alban était bien placé pour le savoir. Lui qui ne pouvait plus voler depuis son accident, avait l’impression qu’on lui avait scié les ailes brusquement. Il n’aspirait qu’à une chose : pouvoir revoler dans le ciel comme un oiseau, sur une monture avec qui il serait tant en symbiose qu’il aurait l’impression qu’il avait réellement des ailes. Mais pour le moment, rien ne lui était possible. Il n’avait pas de Pokémon pouvait devenir une monture. Et surtout, il avait une jambe qui ne lui servait plus à rien.

Se relevant doucement, prenant Zéph’ dans ses bras, Alban décida de se promener un peu au bord de l’eau. Étonnamment, les touristes se faisaient rares dans cette partie-là de Cobaba ; sûrement parce qu’il n’y avait pas de zone de baignade surveillée, et que de nombreux Pokémon crabes sortaient du sable pour aller se chamailler dans ce qu’ils imaginaient sûrement être des batailles de cape et d’épée. Le châtain, lui, était paisible, ici. Il préférait largement la solitude et un beau coin de paysage, plutôt que la cacophonie incessante des autres personnes. Enfin… Il aurait été bien plus apaisé si Zéphyr reprenait un peu du poil de la bête…

- Qu’est-ce qui t’arrives, mon grand ? demanda-t-il à son Goélise, qui leva tristement les yeux vers lui, soupira, et reposa son bec dans le creux de ses bras.

Ah… Voilà déjà plusieurs jours qu’il agissait comme ça avec lui et avec toutes les autres personnes. Peut-être Alban devait-il aller voir un élève Médecin ? Calliope ou Aileen sauraient peut-être déterminer ce que Zéphyr avait… Non. Alban n’avait pas envie de les déranger pour ça, et il préféra prendre son iPok en main. Il ne savait toujours pas se servir de ce drôle d’appareil, mais on lui avait au moins montré comment appeler, et il n’était pas non plus le dernier des crétins. Pianotant sur quelques boutons - le téléphone, il connaissait. C’était déjà moins obscur pour lui que les texto, qu’il ne concevait pas car il avait été élevé comme un postier Pokémon -, il appela son père. Au bout de quelques sonneries, ce fut Arya qui décrocha, et sa voix moqueuse eu don d’agacer Alban de but en blanc.

- Arya… Passe-moi papa s’il te plaît, je dois lui demander quelque chose. Comment ça « mdr », qu’est-ce que tu veux dire par là ? … Non, « lol » non plus je ne connais pas, arrête d’utiliser ton langage de jeune, ce n’est pas dans le dictionnaire…

Perdu dans sa conversation, il ne remarqua pas la jeune fille qui se dirigeait vers lui, et bientôt, les deux élèves se percutèrent. L’iPok tomba et raccrocha immédiatement. Alban bascula légèrement en arrière, et, déséquilibré par sa jambe faible, il s’écroula sur le sable, emporté par la masse de la demoiselle. Le souffle coupé, il se rendit compte du fait qu’il était étalé de tout son long sur le dos, la chaleur et le poids de l’inconnue faisant pression sur son torse. Deux longues tresses d’un bleu vif se déroulèrent sur le reste de son corps, et il grimaça, tandis que Zéphyr piaillait. Par chance, l’oiseau n’avait pas été écrasé par l’humaine, et paniqué, il alla directement se réfugier dans les cheveux d’Alban. Un petit bruit métallique se fit entendre, et le Voltali sentait que la fille roulait sur le côté pour atterrir dans le sable. Une seconde plus tard, sans qu’il puisse comprendre ce qui venait de se passer, une mousse aérienne et blanche recouvrit son corps de la tête aux pieds.

De la mousse à raser ? Une lance à incendie ? Non… Vu l’odeur, cela semblait plutôt sucré. Peinant à respirer sous l’écran de mousse, Alban entrouvrit légèrement la bouche et quelques gouttes de la mixture lui tombèrent sur la langue. De la chantilly ? Décidément, il comprenait de moins en moins. Sonné, abasourdi, il restait là sans oser ouvrir les yeux. Il avait visiblement de la chantilly sur tout le corps, et ne savait pas d’où celle-ci venait. Il y avait de quoi se demander s'il ne venait pas de prendre un coup un peu trop fort sur la tête.

Une voix fluette se fit entendre au-dessus de lui. On lui demandait s’il était mort, et si c’était bien le cas, de lever la main droite. Il ne fit aucun commentaire sur l’absurdité de la chose, et leva donc la main gauche légèrement pour signaler qu’il était encore en vie. Quelques doigts vinrent appuyer sur sa paupière droite, et il grimaça. Non, le front, c’était un chouia plus haut, jeune fille… Se servant de ses mains pour enlever la majorité de la chantilly qui recouvrait son visage, il cligna des yeux et tomba nez à nez avec l’énergumène le plus excentrique croisé sur l’île Cobaba depuis son arrivée. Malgré tout, il ne s’attarda pas là-dessus, et préféra réagir à la seconde partie de la phrase de l’inconnue.

- Je suis vivant, t’inquiète pas. Désolé, je ne t’ai pas vue, mais d’habitude quand des gens me rentrent dedans ou inversement, je ne me retrouve pas couvert de… chantilly. Dis, c’est juste moi, ou la situation actuellement dépasse les règles de logique habituelles ?

Voilà une rencontre haute en couleurs qui annonçait sûrement une longue, très longue journée.
Audrey Hatoria
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Elle ne s'en souvient pas
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Elle ne s'en souvient pas
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Audrey Hatoria
est un Scientifique Mécano
Les choses de la vies étaient tellement plus belles avec de la chantilly. La situation présente t'avais passée de la tristesse à la joie, tu étais bien heureuse de faire quelques bêtises impromptues avec une jeune homme que tu ne connais pas. Il avait la main de la vie, c'était léger mais il était vivant, mais pour combien de temps avec toi à ses côtés. Tu poses ton doigt sur un front et trouve un œil malheureux de s'être fait maltraité de la sorte. Tu retires ton doigt et te recule un peu pour le laisser se redresser, d'un geste le main tu le vois retirer la chantilly de son visage et croise de jolis yeux dans les tiens. Tu lui fais un grand sourire gentil qui se veut involontairement plein de folie.

Ses mots t'arrachent un petit rire alors que la bougie remonte difficilement sur ton épaule en séchant sa cire de ses petites mains fragiles. Ses mots auraient pu être insultants mais pour toi c'est sûrement l'un des plus beaux compliments que l'ont puisse te faire son ton travail. Tu rougis alors légèrement et te redresses avant de lever les mains en l'air et commencer l'un de ces monologues d'une complexité mentale sans nom puisque tu parles très vite.

-Bah c'est le but premier de mes recherches de mécanicienne psychopathe, c'est armes ne sont que les bases de mon projet le plus fou : créer un canalisateur élémentaire pour démultiplier une attaque pokémon. Des sortes d'équipements de power rangers et avec ça on détruira la team rouage et on sauvera des gens et tout le monde sera heureux ! Oui mais je n'ai pas que ça ! Je possède un silencieux à chewing-gum encore plus collant qu'un huissier shooté au viagra qui demande un paiement en nature ! Mais encore un lance-roquettes à confettis ou à peinture, ça dépend la munition ! Je suis aussi créatrice d'objets d'aide en tous genres pour les pokémons et et humains !

Ton regard affûte voit un Goélise chromatique à côté du jeune homme et tu te baisses comme une enfant qui découvre une jolie fleur, tes yeux se remplissent plein d'étoiles et tu penches la tête pour observer le joli pokémon. Tu as ce sourire de gamine curieuse et satisfaite. Puis tu cherches doucement en lui tendant l'index à le caresser, après quelques secondes d'essais peu concluant tu tombes sur son regard morose et tu recules un peu avant d'observer le jeune homme et lui tendre la main.

-Saluuuuuuuut, oui sinon je m'appelle Audre, Pyroli, mécanicienne of doom, scientifique folle et bientôt spécialiste de type normal dans longtemps ! Et toi ? Tu sais que ton pokémon il tire la tronche un peu ? Qu'est ce qui lui arrive ? Car la chantily ça soigne les cœurs ! Vraiment ! Bon moi il m'en faut beaucoup à cause de Warren ce sale... Tu marques une pause et agite les bras dans tout les sens en sortant une phrase dans une langue d'une autre dimension : aptuhgbhrizefrhoz'ethgj zto jzoh'h zoij u iujapo jzpuioh. Et encore c'est la version censuré sinon ça aurait été pire tu sais ! Tu t'appelles comment ? Car depuis tout à l'heure tu parles pas ! Et pour ton pokémon je peux t'aider, fin si tu connais la source du problème ! Hein dis, tu veux bien que je t'aide ? Allé ça sera sympa comme ça je pourrai continuer à élaborer mes thèses !


Il semblerait approprié de dire que le respect sera un excellent casse croûte pour ces deux jeunes gens cet après-midi avant de le digérer et l'oublier dans l'espace-temps. Tu es irrécupérable Audrey.
Alban Abernaty
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Hoenn
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Alban Abernaty
est un Pokeathlète Coach
Décidément, la journée démarrait du mauvais pied. Premièrement, une fille inconnue lui était tombée dessus. Ça, encore, il pouvait comprendre ; il avait eu presque le même problème avec la petite Karel quelques jours auparavant. A croire qu’il était devenu maladroit en arrivant sur l’île Cobaba, mais qu’importe. Dans les faits, l’intitulé n’avait rien de bien loufoque. Deuxièmement, il s’était retrouvé face à une sorte de créature venue d’une autre planète. Longues tresses bleues, tenue flashy, haut de maillot de bain aux couleurs patriotiques sur short jaune pétant et rouge à lèvre orange. Fallait dire que ce n’était pas le genre de personne qu’il croisait à tous les coins de rues, mais là encore, admettons. L’originalité des filles n’avait pas de limites, et il n’était pas du genre à se préoccuper des habits dont elles se revêtaient pour attirer l’attention. Par contre, quand la bombe de chantilly avait explosé et l’avait recouvert d’une mousse blanche, épaisse et sucrée, là ce fut le pompon. Il eut d’abord envie de se dire « Ah ok, je vais me recoucher » en tournant les talons et en remontant se blottir sous ses couettes douillettes, dans le chalet qu’il partageait avec Abel et Heath. Puis, sa seconde pensée fut de se rouler par terre et de taper des pieds comme un gamin, en jetant tout ce qu’il avait dans les bras - oui, oui Zéphyr, même toi – et en piquant une crise à grands renforts de braillement insupportables. Mais ça encore, ça ne semblait pas encore être la meilleure des solutions. Alors, il avait opté pour le dialogue. Ce qui, on le conçoit bien, était tout aussi grotesque que toute cette scène qui se déroulait devant lui.

Le dialogue. Quelques mots lancés et attrapés au vol par la pétillante jeune fille aux cheveux bleus devant lui. Mutine, elle décocha à Alban un sourire presque psychotique, souligné par l’éclat scintillant de son rouge à lèvre citrouille. Il y avait une petite étincelle de malice dans son regard qui disait en gros « warning, je suis folle à lier et j’aime ça ». Alban était partagé entre le sentiment de vouloir se méfier et se barrer en courant, ou bien l'envie de la trouver tout simplement géniale. La seconde option pris le pas sur la première, et il s’essuya simplement le visage en restant près d’elle, pour écouter la suite. Sans prévenir, elle partit dans un rire aigrelet, ce qui eut pour effet de faire remonter son Pokémon sur son épaule. Un petit Funécire - était-ce bien ça son nom ? - dont la flamme violette tremblotait sous le souffle du vent marin, et qui pleurait des larmes de cire. Pas la chose la plus agréable à porter sur une quelconque partie de son corps nue, mais ce n’était qu’un détail qui ne le regardait pas. Puis, comme un boulet de canon, voilà que l’alien était repartie. Quand elle s’y mettait, c’était un véritable moulin à parole ma foi ! Elle l’abreuva de mots, parlant si vite avec son débit de mitraillette qu’Alban ne comprit que la moitié de ce qu’elle disait. Il comprit qu’elle était une « mécanicienne psychopathe » et qu’elle fabriquait elle-même des armes - pas la pensée la plus réjouissante du jour -. Egalement, il était question d’une sombre histoire de power rangers et d’un huissier qui colle comme du chewing-gum. Ouah. Ses paroles n’avaient ni queue ni tête, et Alban se gratta l’arrière du crâne, enlevant par la même occasion une épaisse couche de chantilly. Bon… Il allait devoir faire quelque chose pour tout ça, avant que la crème ne commence à attirer tout un tas de Pokémon Insectes, mais en attendant, il était tellement assommé par la jeune fille que ce n’était même pas sa préoccupation première.

- Attend, trente secondes, je ne comprends pas tout. Tu es une élève de l’académie, c’est bien ça ? Du coup tu es hum… une élève en cursus mécanicienne, si j’ai bien compris ? C’est toi qui as construit cette grenade de chantilly ? C’est… marrant disons, comme truc. Je viens d’arriver pour les cours d’été donc je ne suis pas encore familier avec tout ce qui est Parcours ou Spécialités… C’est ça que vous apprenez en cours de mécaniciens ? Tu parlais d’autres inventions, tu pourrais répéter plus lentement ? lui demanda-t-il, en essayant de paraître le moins froid possible - pas forcément évident sans sourire, mais elle allait devoir s’en contenter -.

Malgré l’absurdité de la scène, Alban restait un garçon très curieux. Il avait envie de se renseigner sur ce que faisait la demoiselle à l’école, et sur ces drôles de cours qui enseignaient des choses aussi loufoques que construire des grenades de chantilly… Mais voilà que l’alien était déjà passée du coq à l’âne. A présent, c’était Zéphyr qu’elle lorgnait avec ses yeux un peu fous ; et vu son expression, le Goélise avait l’air d’être à son goût. La pauvre mouette esquiva cependant les caresses de la demoiselle, et lui lança un regard triste, comme il le faisait bien trop souvent ces derniers temps. Alban soupira. Même une fille n’arrivait pas à le rendre timide comme d’habitude. On aurait dit tout simplement qu’il s’en fichait comme de sa première moufle. Ce fut cependant bientôt une main qui passa de Zéph’ à Alban, et ce dernier regarda son interlocutrice en se demandant si elle voulait qu’il la serre ou quoi. Bah. Elle n’était pas un garçon et elle souhaitait échanger une poignée de mains ? Vrai que la bise aurait été malvenue avec toute cette chantilly qu’il se coltinait. Doucement, il serra donc la main de cette nouvelle rencontre, en se disant que décidément, il allait de surprises en surprises.

Puis elle se présenta. « Audre » qu’il comprit, parce qu’elle parlait toujours aussi vite. Il en déduisit que c’était donc plutôt Audrey et qu’elle avait dû mâcher la dernière lettre. Elle confirma ses dires en avouant qu’elle était mécanicienne, et également bientôt spécialiste de type Normal. Comme Orren et son type Dragon. Oh… Elle devait être assez avancée scolairement parlant pour avoir déjà à choisir sa seconde spécialité. Pourtant, elle avait l’air tellement jeune par rapport à lui… A moins que ce soit son attitude très enfantine qui l’induisait en erreur. Et elle faisait partie des Pyrolis, le dortoir d’Aileen… Lorsqu’elle parla de Zéphyr, il sentit son cœur se serrer, mais il ne fit aucun commentaire. Et voilà qu’elle était repartie dans un speech sans fin. Il était cette fois question d’un certain Warren - peut-être le fameux Warren Lightning dont certains Voltalis lui avaient parlé en lui disant de s’en méfier ? -, qu’elle insulta copieusement dans une sorte de borborygme étranger.
Il patienta jusqu’à ce qu’elle se soit calmée et il prit la parole, plus posément cependant.

- Je m’appelle Alban, enchanté. Je suis chez les Voltalis, mais je n’ai pas encore choisi mon Parcours ou ma Spécialité. Quant à Zéphyr hum… Je ne sais pas trop ce qu’il a… Je crois qu’il a un petit coup de déprime, il est déjà comme ça depuis deux ou trois jours, mais c’est inhabituel.

Il se secoua un peu pour retirer une bonne partie de la chantilly, et évita soigneusement de mentionner le fameux Warren. Visiblement, elle vivait là une sorte de petite déprime passagère à cause de ce garçon, pour une raison qui lui était inconnue. Il n’avait pas envie qu’elle se mette à devenir hystérique ou qu’elle continue de lui raconter sa vie au débit de 30 mots la secondes, merci pour lui. Malgré tout, il tenta de lui redonner un peu le sourire en tendant vers elle son bras couvert d’une grosse partie de chantilly.

- Hum eh bien… Tu en veux ?

Après tout, n'était-ce pas elle qui venait de dire que ça remontait le moral ? Il espérait qu'avec tout ce qu'il y avait de contenu dans la bombe, ce serait assez pour lui redonner un vrai sourire. Soudainement, au loin, il entendit un bourdonnement qu'il perçu grâce à ses oreilles bien entraînées. Hum ? Il détacha son regard d'Audrey pour lever la tête au dessus d'elle. De cette distance, il ne percevait pas grand chose, mais une masse noire fondait vers eux comme une sorte de brume étrange. Est-ce que ça ne ressemblait pas à des...

- Merde, pesta-t-il en reconnaissant une corne de Scarhino.

Aussitôt, il attrapa Audrey par le poignet, tourna les talons, et commença à détaler comme un lapin - enfin, comme un lapin qui boîte d'une jambe -. Il fallait qu'il enlève cette chantilly de son corps. Il fallait qu'il trouve de l'eau. De l'eau... Dans la ruelle, une femme venait de débouler par surprise d'un passage annexe, et il pivota pour l'éviter, rentrant misérablement dans une poubelle pleine de pommes encore fraîches qui roulèrent sur le pavé. Sans faire attention aux passants qui pestaient, il se releva, encore tout couvert de chantilly, et une idée lui traversa l'esprit. Il regarda la poubelle à présent vide, son couvercle, et se tourna très sérieusement vers la jeune fille.

- Cache toi dedans, je vais détourner leur attention jusqu'à ce qu'on trouve une meilleure solution. Mon dieu mais qu'est ce que je raconte moi... C'est un rêve et je vais me réveiller, non ? Hein ?
Audrey Hatoria
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Audrey Hatoria
est un Scientifique Mécano
Un élève perdu ! Un ! Voilà que ta voix fait des ravages, une fois de plus tu parles bien trop vite et tu as perdu ton auditoire, pas possible quand même que tu puisses ainsi perdre des gens, tu pourrais te réincarner en labyrinthe sans aucunes difficultés. Ainsi le jeune homme reprend ce que tu viens de dire pour s'assurer qu'il avait comprit le sens général de tes mots. À chaque partie qu'il avait comprit tu hochais de la tête de manière enthousiaste heureuse que des gens s'intéressent à toi, mais le pompom c'est lorsqu'il te lance dans le sujet que tu aimes le plus : La mécanique. Lorsqu'il finit de poser ses questions tu respires un grand coup et tu fais un effort sur-humain pour donner des informations attirantes.

-Alors en fait non. Les cours de mécaniques nous apprennent pas à créer mes grenades, elles sont de fabrication artisanale, ça fait des années que j'en fais et c'est super amusant, c'est comme le lance-roquette à confettis ou le pistolet silencieux à chewing-gum ! J'aimerai devenir une mécanicienne spécialisée dans les objets de combat. En mécanique, ou même les cours généraux scientifiques on nous apprend beaucoup sur le fonctionnement du monde autour de nous etc etc, c'est pour nous donner les bases, après rien n'empêche d'aller piquer des cours supplémentaires dans la bibliothèque. Mon plus grand projet.. mon bijou, je l'ai déjà dis mais ça serait un amplificateur d'attaques pokémons. Après dans des projets plus.. bizarre ouais ! Ca serait un 4x4 blindé avec une sulfateuse à eau pour Melty Pots afin qu'elle puisse entretenir toutes les plantes qu'elle aime. C'est beau l'amour, surtout pour des plantes ou des pokémons ça en vaut bien la peine !

À la suite de ce monologue tu te présentas, dans un discours ô combien plus rapide, Audrey il faut arrêter de sauter des vitesses le moteur cérébral des gens à beaucoup de mal à suivre et tu risques de les faire caler à force ! Le jeune homme répond au nom d'Alban, c'est joli, ça commence par un A comme Aaron, ton poto roux de la cascade, toi même tu sais ! Il n'a pas choisis sa spécialité, ça t'interpelle, ho, une proie à appâter dans le monde sombre, obscur, plein de cookies et de Galopa multicolores des scientifiques. Tu prends alors sa main avec un regard enjoué. Tu penses avoir trouvé une solution à tout, même aux problèmes de ses pokémons.

-Alors Alban, sache qu'il faut nous rejoindre dans monde fou et magique des scientifiques, tu verras tu pourras tout faire, des fêtes, des messes religieuses, des enterrements, médecin, plombier qui a une moustache, des recherches, des inventions, des découvertes des films étranges avec des effets spéciaux si badass que même Arceus c'est une petite prostituée à côté ! Nan je déconne Arceus, hein, azi, c'est un blague, me tue pas. Fin voilà ! Et pour ton petit Goélise trop mignon des familles je pense que je pourrai élaborer un appareil capable de l'aider à voler, voir même de le faire voler, car ses ailes ont l'air d'être frêles, il est né il y a peu ? Vu la capacité motrice de ses ailes ? Hein ? Dis.

Tu le vois te tendre un peux de chantilly. Enfant que tu es, pure, innocente et un brin folle et inconsciente, au lieu de prendre la chantilly avec tes doigts tu le lui suce prenant toute la chantilly d'un coup de langue bien maîtrisé et tu n'en laisse même pas une seule trace sur ses doigts. Cependant tes oreilles n'ont pas entendus les bourdonnements de pokémons Insectes prêts à dévorer toutes la chantilly sur le corps d'Alban. Tu l'entends pousser un juron quand il prend ta main pour t'entraîner quelques part. Ton Hisbik ton Funécire totalement paniqué décolle de ton épaule et pour ne pas tomber dans le vide il s'accroche à ta tresse y incrustant sa cire blanche pour ne pas s'envoler et pour ne pas se sentir abandonner. Tu cours toi aussi alors et tu remarques alors qu'il boîte légèrement, sa jambe serait-elle abîmée ? Il devrait consulter Aileen car elle est une très bonne médecin. Puis elle entendit les bourdonnements sauvages des pokémons insectes et tu te mets à réellement courir rattrapant Alban pour arriver à sa hauteur alors vous courrez main dans la main dans un vent de panique. Tu trouves ça amusant, tu en rigoles, tu aimes beaucoup ces situations dénudées de sens, ces journées mouvementées. Puis le jeune homme renverse une poubelle plein de pommes à l'intérieur puis il s'arrête avant de te demander de t'y cacher. À ce moment précis tu ris avant de répondre.

-C'est une blague ? Je reste ! Tu le pinces sauvagement en haussant les épaules. Semblerait que ce soit pas un rêve. Mais t'en fais pas, j'ai la solution. Faut vaincre le sucre part.... LE SUCRE OUAIS VOILA SUCRE PARTOUT.

À ce moment précis tu as un regard sérieux presque militaire. Tu te retournes et porte ta main à ta ceinture pour prendre une première grenade chantilly que tu dégoupilles avant de la lancer sur le toit d'une maison. S'en suis une explosion de chantilly et une partie de l'essaim quitte le groupe principal pour manger ce fameux sucre qu'ils respirent de puis tout à l'heure. Fière de toi tu tends deux grenades à Alban et tu en prends une en main.

-Lance les sur les toits, ça crains rien et les pokémons vont tous nettoyer, j'ai assez de grenade pour rassasier tout le campus.

Tu reprends ta route partant à droite en y entraînant Alban alors que des bourdonnements se font entendre au-dessus de vos têtes, tu dégoupilles la grenade qui se trouve dans tes doigts avant de la jeter sur un toit en continuant de courir. Une second explosion s'entend et tu sauves ton compagnons des mandibules des pokémons puisqu'ils se ré-orientent vers l'épaisse zone pleine de chantilly.

-Bah voilà, c'est super amusant t'as vu ! Allé on continu ! En courant par là, si on tourne à gauche puis à droite on devrait arriver à la piscine ! Tu pourras emprunter leurs douches pour te rincer ! Allé hop hop hop !




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Alban Abernaty
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Alban Abernaty
est un Pokeathlète Coach
Audrey était un véritable tourbillon. Il n’y avait pas à tergiverser là-dessus. Elle virevoltait, ses longues tresses fouettant l’air derrière-elle, et elle abreuvait d’une quantité astronomique de mots ce pauvre Alban. Ses oreilles, si sensibles aux sons et aux perturbations qu’elles détectaient même les changements de direction des vents, bourdonnaient désagréablement. Cette fille-là, elle allait bien facilement taper au-dessus de la limite de décibels autorisés dans un chantier en pleine fleur de l’âge. Une vraie vague qui s’abat sur le bord de mer et emporte tout sur son passage. Pourtant, le châtain était extrêmement intéressé par ce qu’elle lui disait, et il écouta avec attention son exposé sur ses cours de mécanique. Donc comme ça, elle créait encore tout un tas d’autres armes aux intitulés plus loufoques les uns que les autres ? Le lance-roquette à confettis, ça devait être un nom un peu original pour désigner ces canons à confettis qui trônent parfois dans les salles de bals ou les foires bon marché. Pas vraiment… un lance-roquette, non ? Quant au pistolet silencieux à chewing-gum ? Qu’elle pouvait bien être l’utilité de cette chose, à part faire hurler une Mentali en lui décochant une volée de ces horreurs dans la chevelure ? Alban était dubitatif, mais l’imagination de la mécanicienne semblait sans bornes ; par ailleurs, elle semblait tellement perdue dans son monde qu’il aurait bien été inutile de lui demander à quoi servaient telles ou telles inventions, concrètement. Alban ne doutait pas qu’elle leur avait déjà trouvé une utilité dans son monde un peu parallèle et haut en couleurs. L’amplificateur d’attaques Pokémon le rendait déjà un peu plus curieux. Il n’y connaissait rien en informatique, en mécanique, ou en technologies modernes, mais il voyait bien le genre de résultat qu’elle voulait obtenir. Par contre, comment y parvenir…

- Ton amplificateur d’attaques Pokémon se présenterait sous quelle forme ? lui demanda-t-il, un air curieux et intéressé sur le visage. Je veux dire…Ce serait sous la forme d’un lance-roquette, comme pour tes confettis ? Du genre ton Funécire peut balancer une attaque Flammèche à l’intérieur, et ça ressort beaucoup plus puissant par l’autre bout ? Comment tu comptes faire ça, ça doit être super dur, non ?

Ah là là. Une fois qu’Alban était parti dans une conversation, on l’arrêtait difficilement. Il avait beau être timide en règle générale - ou plutôt, très avare en mots -, lorsqu’on arrivait à le brancher, c’était une véritable pipelette. Bon… Pas au point d’Audrey, évidemment, mais il n’était pas en reste. Quoi qu’il en soit, Audrey continua par lui vanter le Parcours qu’elle faisait. Les Scientifiques ? Alban hésitait encore sur son cursus au sein de l’école, mais il n’avait pas écarté cette possibilité-là. Par contre, il était plus branché Recherche Pokémon - dans le cas où on le laisserait uniquement travailler sur les Pokémon Vol - que Mécanique, pour laquelle il n’avait aucun talent. Il retint cependant un petit rire lorsqu’Audrey lui déballa les nombreuses possibilités : messes religieuses, enterrements et plombier avec moustache ? Qu’est-ce que c’était encore que ces drôleries ? Décidément, la jeune fille l’amusait beaucoup, et avec les derniers mauvais jours qu’il avait passé, elle agissait comme une véritable bouffée d’air frais. Zéphyr releva piteusement la tête à l’évocation de son nom, mais même lorsque la demoiselle avoua qu’il était trop mignon, il ne fit que soupirer doucement en tournant le dos aux deux étudiants. Ce pauvre Goélise était visiblement trop déprimé pour être sensible à quoi que ce soit. Alban décida de le laisser un peu respirer, mais il hocha cependant la tête de gauche à droite lorsqu’Audrey lui fit la proposition de l’aider avec un appareil moteur.

- Il est tout bébé, oui. Je pense qu’il a quelques difficultés à voler, mais rien qui ne puisse être arrangé. J’ai  l’habitude d’élever des Pokémon Vol, donc j’arriverai sûrement à le faire décoller d’ici une ou deux semaines… Désolé, j’aimerais plutôt rester sur la méthode traditionnelle, même si je ne doute pas que ton invention soit géniale. C’est comment d’être Scientifique, sinon ? Vous partez souvent explorer des endroits, observer les autres Pokémon ? C’est quoi la grande différence avec les Rangers ?

Il avait en effet encore du mal à saisir la nuance. S’il avait bien compris, les Rangers étaient plutôt focalisés sur la découverte de nouveaux espaces, et la protection d’écosystèmes. Tandis que les Chercheurs eh bien… Ils faisaient plutôt leurs recherches discrètement dans leurs coins, sans avoir un quelconque impact sur le reste, non ? Ranger n’était-il pas mieux que Chercheur ? En tout cas, Alban évita de préciser tous les parcours entre lesquels il hésitait, car Audrey aurait été capable de repartir encore une bonne heure sur chacun, l’aidant à peser le pour et le contre. Et honnêtement, elle risquait plus de l’embrouiller qu’autre chose.

Malgré tout, elle retrouva un peu le sourire lorsqu’il lui proposa de la chantilly, raflant la mise en allant la récupérer directement sur son doigt. Rougissant, Alban s’écarta vivement et s’apprêta à justifier son moment de gêne par une quelconque réplique, lorsque les Scarhino débarquèrent.

Ce n’était pas un ou deux de ces spécimens. Mais une véritable nuée, qui formait un nuage opaque et noir au loin. Comme ces oiseaux migrateurs en formation de V parfait. Sauf que là, c’était la totale anarchie. Les Pokémon Insectes se cognaient les uns contre les autres, mais ils étaient tous attirés par un même odeur : celle, sucrée, qu’Alban portait sur lui. Autant dire que se faire agresser par des Scarhino qui voulaient lui lécher le corps, ce n’était pas l’idée qu’il se faisait de son jeudi. Alors, il attrapa Audrey et l’entraîna au loin, à travers le village, en espérant qu’ils parviendraient à échapper à leurs assaillants. Visiblement, la scène semblait beaucoup amuser la mécanicienne, qui rigolait comme une enfant. Comme si se faire attaquer par une nuée d’insectes faisait partie de sa To Do List. Fêlée la fillette ? Ouais, carrément. Alban ne lui laissa aucun moment de répit, et lorsqu’il rentra dans cette poubelle de pommes, il lui demanda de s’y cacher. Plan qui ne semblait pas au goût de la Pyroli, car elle ripostait déjà vivement, en lui pinçant la joue pour le réveiller. Entre ça et la baffe de Benjamin, Alban trouvait que sa joue prenait un peu trop cher ces derniers temps.

- Hein ? Quoi ? Aïeuh ça fait mal, t’es malade ! protesta-t-il en reculant de quelques pas.

Mais Audrey avait déjà dégainé ses grenades de chantilly, et les envoyait partout sur les toits des maisons, pour faire diversion. Alban admira l’ingéniosité du stratagème, mais il entendait également les commerçant hurler lorsqu’une tonne de chantilly se déversait sur leurs murs ou leurs stores. Oups. Il courut avec Audrey, pour échapper aux Scarhino, mais également aux habitants de Cobaba furieux, qui commençaient à les courser avec des balais et des torchons. Une seconde plus tard et le Voltali, qui aurait pu paraître plutôt innocent quelques minutes plus tôt, se retrouva avec une batterie de munitions dans les mains. Ah… Que devait-il faire avec ça ? Les jeter sur les toits ? Merde, elles étaient déjà dégoupillées, il n’avait plus le choix… S’excusant silencieusement auprès des habitants, il balança ses grenades dans deux directions opposées, déclenchant une nouvelle vague de chantilly. Les Scarhino, attirés par l’odeur, s’éloignèrent du troupeau. N’en restaient plus qu’une dizaine qui avait visiblement des vues assez malsaines sur Alban, et en auraient bien fait leur quatre heure. Audrey le guida cependant dans un boyau de ruelles, et elle avait visiblement une idée précise en tête. La piscine ? Aurait-il le temps d’aller jusqu’aux douches ?

- Bonne idée, mais t’as encore des grenades ? Il y a cette bande coriace qui n’a pas l’air de vouloir nous lâcher.

Enfin. Le lâcher, aurait-il dû dire, mais il préférait ne pas rappeler à Audrey qu’il était la seule cible de ces créatures. L’aurait-elle abandonné si elle avait compris cela ? Aucune idée, mais Alban n’avait pas vraiment envie de se retrouver seul. Sur son épaule, Zéphyr, couvert de chantilly, faisait les mêmes bruits qu’une goule enfermée dans une conduite d’aération, qui se plaint constamment en gémissant comme un spectre. Pas le temps de s’occuper de ce pauvre petit. Alban vit enfin le portail de la piscine au loin, et il tapa un sprint, faisant abstraction de la douleur dans sa jambe. A droite ? Les douches qui étaient toutes occupées. A gauche ? La piscine, dans laquelle une vingtaine d’enfants se baignaient avec des bouées colorées. Pas le temps de réfléchir plus. Alban passa devant le vigile, ne prêta pas attention à ses cris et ses protestations, puis se dirigea vers la piscine. Lorsqu’il fut arrivé au bout, toujours poursuivi par les Scarhino à qui venaient de s’ajouter les habitants de Cobaba et le vigile de la piscine en furie, Alban plongea brièvement et ressorti presque aussitôt propre comme un sou neuf mais dégoulinant d’eau chlorée, sous les hurlements paniqués des enfants. Attrapant ensuite Audrey, il poussa la porte qui le séparait de la piscine intérieure, fit irruption au milieu d’un cours d’aqua-gym, puis s’engouffra dans les vestiaires pour filles. Des cris et des jets de sous-vêtements suivirent cette intrusion, et le garçon ressorti de l’autre côté, une horde d’adultes mécontents à ses trousses.

- Heu, Audrey ? lui dit-il en tournant sa tête sur laquelle un haut de maillot était accroché. T’as un plan pour la suite ?
Audrey Hatoria
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Audrey Hatoria
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C'était beau les vacances, on faisait des nouvelles rencontres, on énervait de nouvelles personnes, de nouveaux amis, la vie au soleil, les petites courses en ville, esquiver des torchons, des râteau, se faire chasser par des pokémons insecte parce que votre nouveau potes est plein de sucre par votre faute. Alala Audrey tu les enchaînes les conneries, tu devrais créer ton propre parcours « boulet de compétition » on sait tout aussi bien l'un que l'autre qu'avec ça tu deviendrais rapidement multimilliardaire. Vous couriez donc, toi et Alban dans la rue pourchassés par des habitants en rute et des pokémons souffrant de famine. Joli tableau qui a pour nom : « RIP Respect ». Vous étiez entrain de courir quand l'idée de la piscine effleura l'esprit, après tout il y avait de l'eau et des douches, donc Alban pourrait se débarrasser de toute la chantilly et l'odeur sucrée qu'il avait. Il te demande s'il te reste des grenades chantilly pour pouvoir disperser les dix derniers insectes qui persistaient à vouloir vous manger. Tu te retournes un instant et en dégoupille une en la lançant en l'air juste après pour reprendre ta route.

-Ouais ! J'en ai trois encore ! On a de quoi s'amuser ! Allé courrons à la piscine !

Votre ascension s'effectue au pas de course car mine de rien les habitants restent sauvagement énervés et endurants pour des gros pleins de soupes, sauf le boucher, car un boucher c'est classe, svelte, musclé avec un couteau à hym.. à rien du tout, j'ai honte d'être omniscient parfois. Bon passons à autre chose. La piscine. La piscine est à portée de bras et tu pousses la porte et dans ce court instant de répit Hisbik en profite pour remonter sur tes épaules en regardant derrière pour pousser un petit cri de panique, il y avait encore plus de monde, sûrement à couse de ta dernière explosion. Tu fermes la porte d'un revers de la main et tu vois Alban qui s'est déjà mis à courir et le garde ne semble pas apprécier, alors qu'il commence à poursuivre ton ami tu dégoupille une grenade chantilly et tu hurles à la grenade. Le pauvre garde se jette à terre et l'objet explose après ton passage bloquant l'allée de chantilly, mais aux vues des cris derrières toi ça n'arrête pas les paysans de vous poursuivre en piétinant ce pauvre petit bonhomme.

Tu déboules dans la piscine et tu y vois déjà Alban ressortir tout mouillé et tout propre avec son pokémon qui a prit le tarif baignade aussi. Tu glousses légèrement et continues ta course avec ton pokémon feu sur l'épaule qui veille bien à ne pas glisser de ton épaule pour mourir sous l'eau. Tu ris joyeusement alors que les parents râlent car tu frappes dans divers objets pour rejoindre plus rapidement Alban. Après quelques mètres tu arrives à sa hauteur et tu n'as que le temps de lui sourire qu'une masse de cris révoltés s'entendent, parents, enfants, vigiles, commerçant, ça fais du monde, au moins il n'y a plus de pokémons à votre poursuite. Il prend ton bras et vous arrivez dans un cours d'aquagym et les demoiselles semblent choquées mais tes petites excuses de la main ne suffisent pas, elles aussi vous prennent en chasse. C'est peu être un peu trop pour vous et tu arrives à entendre Alban qui réclame un plan. Tu cherches quelques instants et ton œil repère la sortie de secours non loin. Tu prends ton avant dernière grenade et la lance pour faire sauter la porte juste avant que vous ne sautiez au dessus de la porte qui a aplatit la chantilly vous empêchant de vous salir à nouveau.

-Par là !

Tu tournes à droite pour prendre une ruelle sur la gauche alors que tes doigts laissent tombe ta dernière grenade à ta disposition sur la droite pour faire croire que vous avez fuis par la droite. Vous tournez à droite à la prochaine intersection et tu entends les cris de rage de la moitié de ville suivre la fausse piste. Heureuse et fatiguée de ta course tu t'arrêtes de courir pour observe le jeune homme tout aussi fatigué que toi. Puis tu ris dans un immense sourire révélant ton magnifique sourire blanc, tu passes une main sur tes côtes tatouées à cause du point du côté et tu lui dis en riant.

-Gosh on a survécu Alban... t'as vu ! Tout le monde ils nous couraient derrière avec des armes dangereuse et des pistolets en mode « tatatatatatatatata » et puis y'avait des maîtres ninjas des eaux en maillots de bain et des vieux maître Cradopaud toutes flétries dans le cours d'aquagym, elles avaient tellement de rides que tu pouvais en faire des rideaux ! Piffou Alban, c'est une bonne journée non ?




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Alban Abernaty
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Alban Abernaty
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Se faire asperger de chantilly ? Check. Se faire agresser par une alien aux cheveux bleus ? Check. Se faire courser par des Scarhino car on est couvert de sucre ? Check aussi. Foutre le bordel dans une ville en lançant des grenades de chantilly sur les toits, se faire poursuivre par une horde de commerçants en rogne, entrer par effraction dans une piscine et effrayer des gosses, s’introduire dans les vestiaires des filles et en ressortir avec un bonnet-soutien-gorge ? Check, check, et encore check. En moins d’un quart d’heure avec Audrey, le Voltali avait fait tant de choses qu’il n’aurait jamais pensé faire en toute une vie que c’en était fou. Alban Abernaty ? Le gentil élève modèle discret, qui ne faisait aucune vague, poursuivi par des adultes en furie ? Il lui semblait même avoir entraperçu l’un d’eux avec une machette et du sang sur son tablier… Aha. Il remerciait le ciel de ne pas s’être fait attraper malgré son genou endommagé. Visiblement, les grenades de chantilly d’Audrey faisaient des merveilles et faisaient office d’excellentes diversions. Enfin… Il ne fallait pas oublier qu’à la base, c’était à cause de ces dites grenades qu’ils s’étaient mis dans un bordel pareil. Mais laissons les détails, voulez-vous ?

Alban continuait de courir avec comme musique de fond, les cris des filles scandalisées et des adultes indignés. Ses pieds glissaient sur le carrelage mouillé, et Zéphyr sur son épaule hurlait à la mort comme un forcené. Le Voltali espérait que dans la masse de commerçants, personne ne l’avait reconnu. Il aimait se balader dans ce village, et n’avait pas envie qu’on se rappelle de lui comme un terroriste à la bombe chantilly, qui ravage les rues et pille les sous-vêtements. Il osait espérer un titre un peu plus glorieux, merci pour lui. Quoi qu’il en soit, pour le moment, il ne s’en préoccupait pas. Audrey et lui courraient comme des dératés, prenant des virages serrés, évitant les jets de divers objets de nature inconnue - que faisait ce drôle de concombre dans la main de cette ménagère de 60 ans ? -. Par chance, la Pyroli aux milles idées semblait avoir un plan en tête, et elle entraîna son acolyte dans un dédale de couloirs, avant de balancer une grenade comme appât. Alban eut un petit sourire ; c’était exactement la chose qu’il avait faite dans la base Rouage, pour s’enfuir face au sbire qui les poursuivait. Pris d’une soudaine inspiration, il demanda à son Goélise de lancer une attaque.

- Zéph’ ! Utilise Brume pour nous camoufler !

Avec satisfaction, Alban s’aperçut que son Pokémon lui obéissait encore. Légèrement à contre cœur, le Goélise lâcha une volute de vapeur opaque qui se diffusa dans toutes les rues, les dissimulant aux yeux de leurs assaillants. Si avec la fausse piste et l’écran de brume de Zéphyr ils les retrouvaient, c’était qu’ils avaient vraiment un bon flair - ou une soif de sang assez prononcée -. Le duo mit cependant un peu plus de distance entre eux et leurs poursuivants par mesure de sécurité, puis s’écroulèrent, haletant, complètement lessivés par cette course infernale. Audrey semblait énormément s’amuser, comme elle le faisait depuis qu’ils s’étaient rencontrés et qu’elle l’avait aspergé de chantilly par inadvertance - ou peut-être pas, en fait -. Elle eut un rire hystérique et se tordit en deux. Alban dû reconnaître que sa joie était communicative, et il se fendit d’un petit sourire discret ; probablement l’une des meilleures choses qu’on pouvait tirer de son visage inexpressif, actuellement. Toujours caractérisée par son imagination débordante, la mécanicienne partit dans ses grandes envolées lyriques où il était question de maîtres ninjas, de maître Cradopaud qui faisaient de l’aquagym et de rideaux. Alban avait toujours du mal à la suivre, mais il la regarda d’un air amusé, comme pour ces enfants qui racontent des histoires abracadabrantes mais qu’on écoute toujours avec grand plaisir. Elle lui faisait l’impression d’une petite sœur, dans un genre différent de celui d’Arya. Avec des armes et trente-six façons de le tuer, aussi.

- Ouais tu as raison, c’était marrant, avoua-t-il en passant une main dans ses cheveux dégoulinants d’eau. Ceci dit, je suis sûr que les armes les plus dangereuses sont en ta possession. Par curiosité, t’as quoi encore, dans tout ton bric à brac ?

Le pistolet silencieux à chewing-gum ? Le lance-roquette à confettis ? Il avait envie d’en savoir un peu plus, même s’il n’était pas encore prêt pour une nouvelle démonstration. Et surtout, pas une démonstration avec lui comme cible d’essai. Se rendant soudainement compte de la bourde qu’il venait de faire, et qui risquait de lui éclater au visage comme… ben comme une grenade de chantilly, il préféra changer de sujet bien rapidement avant qu’elle ne se mette à dégainer tous ses bijoux en les lui présentant.

- D’ailleurs, on a eu droit à la chantilly, à la piscine, au soleil, et même à des maillots de bains. Tu trouves pas qu’il manque quelque chose ? T’as pas envie de glace ? lui dit-il avec un sourire amusé en coin.

Eh bien oui. Après tout, c’était la suite logique - si on pouvait supposer qu’il y avait une quelconque logique dans cette histoire - des choses. Il la prit donc doucement par la main puis l’entraîna dans une ruelle. Il avait un bon sens de l’orientation, en général, et il connaissait le chemin par cœur. Faisant cependant attention à ne pas retourner dans des endroits trop fréquentés, où ils risquaient de rencontrer leurs assaillants, il fit rentrer la jeune fille dans un bar à glaces dans lequel il était déjà allé. Là, ils prirent place sur des chaises, et il lui présenta l’endroit.

- Bar à glaces ! Regarde, t’as différents types de parfum qui défilent sur ce tapis roulant, ainsi que différents accompagnements. Tu prends les bulles que tu veux, tu mets dans ta coupe, et tu manges. Comme dans les bars à sushi, en gros.

Le restaurant était spacieux et presque vide. Au comptoir, une femme à l’air souriant était en train de mettre des boules de glaces dans une petite assiette qu’elle refermait avec un couvercle en plastique transparent évoquant cette fameuse forme de « bulle ». Elle les déposait ensuite sur le tapis roulant qui courait le long du bar, où les mets pouvaient arriver devant les clients. Chantilly, paillettes de chocolat, vermicelles sucrées, cacahuètes et autres douceurs circulaient également comme des petits trains entre les couverts des gens. Ce n’était certainement pas la façon la plus pratique de manger une simple coupe de glace, mais Alban avait été charmé par le concept, et il était plutôt certain que cela plairait à son atypique camarade. Faisant glisser des couverts et une coupe en verre vers elle, il lui adressa un nouveau sourire.

- C’est moi qui invite, prend tout ce que tu veux. Tu dois avoir un gros creux après tout cet exercice, non ?
Audrey Hatoria
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Votre course s'est finalement arrêtée et voilà que le jeune homme te pose des questions qui te font sourire de joie, tes lèvres s'étirent laissant tes dents blanches apparaître, tes yeux grandissent laissant quelques étoiles pointer d'envie lui raconter tout ce que tu sais. Tu te rapproches de lui avec un petit rire, lorsque tu arrives à sa hauteur tu réfléchies un peu.

-Actuellement, j'ai que trois armes, mon Poiscaille qui est le lance-roquettes à confettis, mes grenades que tu as pu voir, le silencieux à chewing-gum ultra collant ! Genre tu marches dessus t'y reste collé des heures. Par contre je pense me lancer dans le projet d'une sulfateuse aquatique à forte pression avec des réservoirs dans le dos, aussi un sceptre à lumière ultra concentrée pour aveugler ou éclairer celons les envies.

Puis il lance un sujet fortement intéressant. C'est vrai qu'après tout ce qu'ils avaient subit il manquait quelque chose qui te semblait absolument vital pour la saison. Tu passes tes doigts sur ton mentons pour te donner l'air de réfléchir sauf qu'en réalité tu imagines la fusion pokémon entre Pijako et un Magicarpe, il faut avouer que le résultat te fait glousser de rire. Puis quand il parle de main tu tapes dans ta main comme un génie qui vient de trouver la grande réponse. Oui c'est 42, non on ne sait pas pourquoi, mais quoi qu'il en soit ça a la classe. Tu lui tires sur le bras avec le regard d'une petite fille en lui répondant.

-Si ! Allé ! Viens, on va manger des glaces, allé s'il te plait Alban, j'ai trop faim en plus tout ce sucre ça donne faim, t'es a croqué ! Fin avant vu que maintenant tu sens plus le sucre. Dis, hein, ils font des glaces à la raclette ou pas ? C'est trop bon la raclette... le fromage fondu tout ça avec des PATATEUH ça passe comme papa dans m... papaye dans myrtille !

La première marche lente et contrôlée de la journée peu finalement débuter. Tu marches à ses côtés te demandant à quoi pourrait bien ressembler l'endroit, il doit y avoir tellement d'étagères de glace que la serveuse doit prendre une échelle pour accéder aux glaces les plus hautes. Ça doit être classe, dans ton esprit une pensée te traverse : tu dois leur faire un jet pack à glace. Mais bien vite tu dois abandonner l'idée quand ton accompagnateur et « tuteur » du jour parle d'un bar, donc pas d'étagères de dix étages pour toi. Tu es un peu déçue, mais l'idée même de manger de la bonne glace te redonne le sourire. Heureusement que Mafioso n'est pas là sinon le pauvre aurait mangé tout le magasin. Sur ton épaule le petit Funécire s'accroche bien à toi et tu le caresses doucement en lui soufflant un petit air chaud qui le ravigote et le fais frisonner.

Alban t'explique le fonctionnement du bar, sous tes yeux se trouvent un magnifique tapi coulissant ou plein de boules passent en attendant sagement d'être mangée. Tes yeux dévorent chaque glace avec envie alors que tes doigts griffent la table à laquelle vous êtes assis. Tu as la dalle et ça se voit, tu serais prête à manger des dalles pour combler cette dalle qui trou ton estomac de jeune femme en pleine croissance. Tu te lèves et t'approches du tapis et guette les différents parfum. Tu veux essayer des mélanges qui te semblent bon. Alors d'un coup tu attrapes la boule de glace à la pistache rapidement rejointe par un sorbet à la rose. Tu ramènes les deux boules à ta table et tu souris à Alban.

-Atta, je vais demander un truc, je crois que je peux les mettre au défis !

Tu files voir la serveuse à qui tu fais des petits yeux ronds de petite fille trop mignonne de six ans sauf que tu en as dix de plus. La serveuse sourit et elle te demande d'une voix enjôlée ce que tu veux.

-Vous avez saveur raclette ? Avec un coulis de fromage ? Non ? Vraiment pas ? Nan sérieux vous le cachez où le pot ? Avouez vous mangez ça toute seule le soir, c'est trop bon comme glace ! Allééééééééé dites le moi ! Non ? Aucune ? Bon ok.. ; je vais vous prendre goût raisins secs avec du citron vert et du café. De quoi ? Ça va pas ensemble ? Bien sûr que si ! Pff vous même d'abord !

Tu prends tes pots et tu reviens à ta place avec tes cinq boules. Tu regardes un instant le jeune homme avec un sourire malicieux avant de lever les deux cuillères en l'air avec un petit filet de bave au coin de la langue.

-BANZAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAI !

Tes bras se baissent dans la glace et tu commences à manger comme une enfant de dix ans, tu te mets de la glace partout autour de la bouche et même jusqu'au nez, on ne sait pas comment ce morceau de glace à la pistache s'est retrouvé là, mais il ne vaut mieux pas savoir. À ce moment précis on dirait que tu te nourris, mais putain tu la savoures ta glace, elle est délicieuse.

-Chais chrop bon chest glaches là ! Tu manches quoi toi ?! Tu finis d'avaler et reprends. Au fait, si tu me parlais un peu de toi Alban ? Pourquoi t'es là ? D'où tu viens ? Allé vas y dis moi tout ! On est potos de survit wesh !

Tu lui tends le poing fermés pour un tcheck des familles.




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Le personnage le plus hyperactif !
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Alban Abernaty
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https://pokemoncommunity.forumactif.org/t3559-alban-abernaty-voltali
Région d'origine : Hoenn
Âge : 17 ans
Niveau : 70
Jetons : 20638
Points d'Expériences : 2487
Hoenn
17 ans
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pokemon
Hoenn
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Alban Abernaty
est un Pokeathlète Coach
Passer un quart d’heure avec Audrey, c’était comme sauter d’un volcan en éruption poursuivi par l’antique Groudon, et se faire détruire chaque molécule du corps à coup d’attaque Tonnerre. C’était à la fois épuisant, exaltant, enrichissant et stressant. Une véritable épopée qui ne se terminait jamais, avec de nouvelles surprises à chaque coin de rue. Un voyage où on risquait sa vie, son honneur, sa fierté, et ses bijoux de famille. En clair, et en tout lucidité, Alban pouvait dire qu’il avait adoré. Quelle personne ! Elle lui en avait fait voir de toutes les couleurs, et autant dire que sortir de ses habitudes ne lui était pas désagréable. Lui qui avait vécu d’ennui et de routine durant toute l’année précédente était à présent ravi. Si la course poursuite aux bombes chantilly dans toute la ville avait été à refaire, il aurait signé immédiatement. Il se serait presque cru dans un film, avec toutes ces explosions, ces gens qui couraient, ces Pokémon enragés et ces cascades grotesques. Sauter dans une piscine et passer dans les vestiaires des filles ? Peuh, trop facile ! Enfin bon. Euphorique actuellement, il était fort à parier qu’une fois l’adrénaline estompée, Alban se rendrait compte de ce qu’il avait fait et irait se morfondre dans un coin en se maudissant d’avoir été si téméraire. Lui, qui avait toujours été un garçon bien élevé et complètement rangé ; effacé, dans la norme, et toutes ces choses. Mon dieu, qu’est-ce qu’elle l’avait fait basculer du côté obscur ! Marchant à ses côtés tandis qu’elle riait de bon cœur, il l’écouta parler de ses multiples inventions. Par chance, elle n’avait pas eu le temps de se lancer dans la partie démonstration, et il en profita pour orienter le sujet sur les explications plutôt que sur la pratique.

- Ah bon, c’est quoi comme genre de chewing-gum ? Tu le fabriques toi-même aussi ou tu l’achètes tout prêt à un camarade Scientifique ?

Il évita cependant de demander quelle serait la différence entre le sceptre à lumière et une lampe torche. Selon-lui, c’était à peu près la même chose, non ? Il laissa ses dernières questions de côté et lui proposa plutôt d’aller manger une glace, ce à quoi elle réfléchit quelques secondes avant d’éclater de nouveau de rire. Evidemment qu’elle était partante ; le contraire aurait été étonnant, tiens. Il eut envie de rire également lorsqu’elle lui dit comme ça, naturellement, qu’il était à croquer en se reprenant et en ajoutant que ça, c’était avant qu’il ne se lave. Pour ce qui était du goût raclette cependant, il n’en savait pas grand-chose. Il se contenta donc de l’accompagner en la laissant s’accrocher à son bras, comme une petite sœur qu’il emmènerait en promenade.

- Je ne sais pas, on verra bien, lui dit-il avec une voix apaisante, se prenant un peu au sérieux dans son rôle de pseudo grand-frère qui veut éviter la grosse crise en plein milieu d’une ruelle.

Au bout de quelques minutes de marche, ils arrivèrent enfin au fameux bar à glace, et Alban s’installa au comptoir en guettant attentivement la réaction d’Audrey. S’il avait bien cerné la jeune fille, elle pèterait complètement un plomb en découvrant l’endroit, et irait courir partout pour se servir de tout et de n’importe quoi, sous le regard scandalisé des serveuses. Et autant dire que, dès les premières secondes, il ne fut pas déçu. Et la voilà repartie comme une tornade, prenant des boules de glaces dans tous les présentoirs, allant voir une serveuse pour lui demander s’ils avaient ces fameuses saveurs raclette. Avec un sourire amusé, il se demanda où la mécanicienne avait pu manger ce type de parfums, et il la regarda revenir vers lui avec trois boules supplémentaires. Un sourire échangé, et la voilà qui mangeait son tribu comme si elle n’avait rien avalé depuis des jours et des jours.

- Banzaï, lui répondit-il comme pour lui souhaiter bon appétit, en se servant à son tour.

Voyons-voir… Il regarda attentivement les bulles qui défilaient devant lui, et d’un geste expert, il se saisit d’une coupelle qui avait des teintes dorées. Il la déposa ensuite dans sa coupe de glace, et recommença jusqu’à avoir trois parfums différents, ainsi que quelques vermicelles de chocolat, du sucre pétillant et - évidemment -, de la chantilly. A croire qu'il n'en avait pas eu assez de la journée, tiens ! A côté, Audrey avait de la glace plein la bouche, et elle commença à le rebombarder de questions, comme d’ordinaire. Un vrai moulin à parole, cette fille. C’en était impressionnant. Lorsqu’elle lui demanda cependant ce qu’il avait pris, le regard d’Alban se fit plus froid, plus dur, et tellement professionnel. Une petite étincelle brilla dans ses yeux bleus et gris, et il tendit sa petite cuillère vers la Pyroli.

- Page 3 du Guide Touristique de Cobaba : le bar à Glace, et ses fameux parfums locaux. Hibiscus, Bambou, et évidemment, Baie Cobaba. Il faut ABSOLUMENT venir goûter ces produits-là, car il n’y a que sur cette île qu’ils sont aussi bons. Tu devrais en prendre un peu, toi aussi !

Il toussa, et perdit un peu de son sérieux. Décidément, quand il partait dans ses histoires de tourisme et autres guides, il en devenait presque méconnaissable. Piochant distraitement dans sa boule parfum Cobaba - un réel délice légèrement amer, comme du chocolat noir 90% -, il laissa Zéphyr grimper sur le comptoir et essaya de lui donner un peu de glace. Avec un coup de bec mou, le Goélise pris une bouchée et sembla apprécier la saveur, même s’il restait toujours aussi déprimé. Tiens ? Il y avait un peu d’amélioration, pour le coup. Alban continua de le nourrir, tout en poursuivant sa discussion avec la jeune fille aux cheveux bleus.

- Hm bah je viens de Cimetronelle, je me suis inscrit aux cours d’été de la PC, tu sais ? Je viens d’arriver au début du mois de Juillet, du coup. Je trouvais la brochure et le programme intéressants, et puis je voulais mon propre Pokémon, donc je suis venu voir comment c’était… Et toi ?

Il se doutait bien qu'elle était venue pour devenir mécanicienne, mais il ne connaissait rien d'autre d'elle. De quelle région pouvait-elle débarquer ? Il pariait sur l'espace. Quoi qu'il en soit, la vie à la maison ne devait pas être de tout repos, avec cette dingue qui sautait partout et déversait son flot de parole. Il eut un nouveau sourire discret tandis qu’elle tendait le poing vers lui, et il alla doucement à sa rencontre avec son propre poing. Check.

- Et oui, on est des potos de survie, comme tu dis… Et heu… « wesh ». dit-il avec un certain enthousiasme - c'est à dire dans le langage d'Alban : très mollement et sans chaleur -.

La journée n'était même pas encore finie. Dans quelles autres aventures l'embarquerait-elle ?
Audrey Hatoria
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Taille de l'équipe : 8
Région d'origine : Elle ne s'en souvient pas
Âge : 16
Niveau : 28
Jetons : 0
Points d'Expériences : 890
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Elle ne s'en souvient pas
16
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Elle ne s'en souvient pas
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Audrey Hatoria
est un Scientifique Mécano
C'est fou comment Alban te semblait changeant, oui c'est toi qui dit ça, à certains instants tu le trouves froid et distant, parfois chaleureux et amusant, ou encore très professionnel et cultivé. Ce moment ou le jeun homme a pris son air sérieux en parlant du bar à glace de l'île t'as fais mourir de rire. Tu as premièrement fait de grands yeux, puis tes lèvres se sont étirées dans un sourire et tu as fini par écarter les dents pour rire follement en te tenant les côtes, tu te tordais de rire en tapant des pieds sur le sol en espérant ne pas tomber de ta chaise. Quand tu arrives finalement à t'arrêter en poussant des gémissements étranges tu poses tes mains sur les tables comme s'il s'agissait d’attributs masculins.

-T'es trop choupinou Alban quand tu prends ton air sérieux, il te manque une tunique blanche et tu pourrais faire un docteur fou d'une série. Ça serait super cool, on pourrait tourner un film absolument génial !

Puis il se mit à parler de lui un petit peu, il venait de Cimetronelle, c'était un nouvel étudiant, c'est pour ça que le pauvre n'avait jamais eu vent de toute la folie que tu apportes à cette école. Tu souris légèrement, tu sais juste que sa ville vient donc d'Hoenn. Quand il te retourne la question tu t'étires avant de prendre une posture et un mauvais accent de Mafieux de la Mafia de Kanto.

-Alors moi je viens de Illuminatis, euh Illumis à.. euh... je connais plus la région en fait. Mais j'ai passé genre huit de ma vie ne hôpital psychiatrique car mes parents semblaient trop lâche pour combattre une vilaine manie que j'avais de frapper des gens avec des armes de lazer quest ou de paint ball. Puis je suis arrivé ici au second semestre 2014, puis après l'été, j'ai revu mes parents alors j'ai fais une rechute de sadisme frénétique qui m'a valu six mois en hôpital psychiatrique encore. Puis je suis devenue mécanicienne car j'adore la confection d'armes ou d'équipements pokémon. Là je suis actuellement à la recherche d'un pokémon combat super trop costaud of doom !

Tu ris joyeusement en t'étirant à nouveau, puis ton œil s'aventure sur l'extérieur du magasin et tu vois cette foule de gens qui en avaient après vous s'avancer dans la ruelle où vous êtes. Pas une seconde à perdre tu prends la main de Alban pour le faire passer sous la table avant de type cacher aussi. Pour le faire taire car il semble se demander ce qu'il se passe tu fais la chose qui te semble presque la plus absurde du monde : tu l'embrasses, comme ça il pourra pas parler pendant quelques secondes. Tes lèvres se lient aux tiennes un peu maladroitement et tu abaisses les bras de haut en bas comme pour essayer de lui indiquer de se taire. À un moment tu vois un visage se coller à la devanture du bar à glace à la recherche des coupables de ces explosions de chantilly. Puis son visage se décolle et les bruits de pas s'éloignent finalement. Tu te recules donc t'asseyant par terre avant de reprendre une immense respiration comme si tu allais suffoquer.

-Mon Arceus, j'ai cru qu'ils allaient nous trouver, t'imagines on aurait eu que de la glace pour se battre, quelle horreur on touche pas à la nourriture ! Au fait ça va t'as les lèvres douces hein, bon j'en redemanderai pas car c'était un cas de force majeur en terme de silence mais bon ! Puis ta copine risque d'être jalouse. Bon dans le doute je vais rentrer, j'ai quelques expériences à faire et des grenades chantilly à confectionner, je t'en donnerai une à l'occasion ! Allé à plus !

Tu lui fais un bisou sur la joue avant de sortir du magasin en laissant assez d'argent pour payer ta part et celle d'Alban pour rentrer aussi discrètement que possible, c'est à dire en hurlant devant tous les restaurants que tu vois car tu as horriblement faim, tu aurais quand même voulu un peu de glace à la raclette pour avoir l'estomac calé.

[Fin du rp pour Audrey, merci Alban pour ce rp magique! :3 ]




Le personnage le plus loufoque !
Le personnage le plus hyperactif !
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Alban Abernaty
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Âge : 17 ans
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Hoenn
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Alban Abernaty
est un Pokeathlète Coach
Visiblement, le passage d’Alban du côté guide touristique de la force avait beaucoup fait rire Audrey. Et le jeune Voltali ne pouvait l’en blâmer ; après tout, il était le premier à reconnaître qu’il pouvait s’enflammer d’un rien, lorsqu’il s’agissait de tourisme. Ils pris cependant un air pseudo offusqué - à comprendre dans le langage faciès d’Alban : avec un froncement de sourcil dubitatif - quant à la remarque de son amie. Choupinou ? Mais enfin, ce n’était pas viril du tout, ça ! Choupinou c’était très… Très… Enfin bref, ça ne lui correspondait pas du tout, de son humble avis. Toussant discrètement dans sa main comme pour changer de sujet, il eut cependant un sourire lorsqu’elle le compara à un docteur fou d’une série.

- A supposer que le docteur fou soit mordu de tourisme… commenta-t-il, en se disant que la Pyroli pouvait être vraiment mignonne lorsqu’elle s’y mettait.

Puis vint le moment de la séquence souvenir. Alban en avait révélé un peu à Audrey ; très peu, comme toujours, car il ne souhaitait pas qu’une fille à peine rencontrée s’immisce dans ses secrets et dans toutes ces cachotteries qu’il souhaitait garder à l’écart de ses camarades. Pourtant, Audrey ne sembla pas en demander beaucoup plus, et elle ne le bombarda pas de questions comme d’ordinaire. Elle se contenta de répondre à la sienne, avec toujours le même ton enjoué et naïf qui la rendait si ambiguë. Alban n’aurait même pas su dire si elle rigolait ou si son histoire était réelle. L’hôpital psychiatrique ne l’aurait pas des masses étonné, quand on savait que cette fille-là se trimbalait avec des grenades à chantilly, mais tout de même… Elle n’était pas si… dérangée que ça, non ? Il avait certes plusieurs fois pensé qu’elle était totalement déjantée, il est vrai. Mais de là à envisager un cas médical, ça semblait trop gros pour être vrai. Il considéra donc qu’elle se payait sa tête, comme plus tôt lorsqu’elle parlait de leurs poursuivantes en employant mille mots tirés de films asiatiques d’arts martiaux. Après, le fait qu’elle ait la fâcheuse tendance de vouloir frapper des gens avec des armes de jeux, ça, ça ne l’étonnait pas plus que ça. Quant à sa région d'origine... Elle venait donc d’Illumis, hein ? Cette ville de lumière dont Alban avait tant entendu parler. Impossible de passer à côté des nombreuses brochures qui vantaient la grande tour de lumière d’Illumis, l’un des plus célèbres monuments de Kalos. Le garçon se fit la réflexion qu’il aurait bien aimé y aller, et il esquissa un léger sourire à la mécanicienne.

- Illumis, hein ? J’aimerais bien y aller, je suis certain que la tour doit être merveilleuse…

Puis elle lui avoua qu’elle cherchait un Pokémon combat. Aha, il voyait bien Audrey avec un Chapignon ou un truc du genre. Un Pokémon de sa région qui était mi champignon mi boxer, et qui se mouvait de façon assez comique, comme s’il était perpétuellement sur un ring. Sûr que ça aurait fait des étincelles, avec cette fille aux cheveux bleus ! Laissant cependant de côté ses visions amusantes, Alban sursauta lorsqu’il entendit du bruit au dehors. Son corps se raidit et se tendit, comme lorsqu’il sentait un obstacle arriver sur la piste de course aérienne, grâce au vent qui se levait brutalement. D’un bond, il sauta de sa chaise, prêt à s’échapper, lorsqu’Audrey l’attrapa par la main pour se cacher sous la table avec lui.

- Qu- commença-t-il, avant de se taire car la jeune fille venait de plaquer sa bouche contre la sienne.

Immédiatement, le monde autour de lui arrêta de tourner. Dans sa tête, ce fut un tourbillon de sentiments, et son cerveau ne cessait de lui balancer des signaux absurdes qui devaient donner un truc du genre : H%ID#HOIHZ8%9YRèçNDOIQDJ ??!
Mais qu’est-ce qu’elle était en train de faire ?! Complètement paniqué tandis que ses lèvres en devenaient froides tellement il était perdu, Alban sentit son cœur bondir hors de sa poitrine. Il aperçut ensuite du coin de l’œil la Pyroli lui faire signe de se la boucler avec son bras, mais ne se détendit pas pour autant. Il comprenait un peu mieux où elle voulait en venir, mais n’aurait-elle pas pu lui plaquer une main sur la bouche, comme une personne NORMALE ? Aha, c’était bien stupide, comme genre de raisonnement. Audrey n’était justement PAS normale. Le corps tremblant, il entendit les habitants passer en trombe devant le bar à glaces, puis le bruit de leurs pas s’évanouir au loin. Ils étaient partis. Ils étaient sauvés. Aha, comment auraient-ils réagit s’ils avaient trouvés leurs deux fauteurs de troubles en train de se galocher sans vergogne sous la table d’un bar ? Ils auraient sans doute pété les plombs tant le manque de respect était évident. M’enfin. Audrey se décolla doucement de lui, et elle le regarda avec un air toujours aussi mutin, comme si tout ce qui venait de se passer ne l’avait même pas perturbée outre mesure.

Elle avança qu’en cas de confrontation, ils n’auraient eu que de la nourriture pour se battre et qu’elle n’aimait pas qu’on y touche. Aha la blague, n’était-ce pas elle qui faisait des bombes avec de la chantilly ? Puis elle le complimenta sur ses lèvres, ce qui était le truc le plus hors de propos qu’il ait entendu de la journée ; et pourtant, il en avait entendu, des trucs. Et, sans lui laisser le temps de parler, comme d’habitude, elle le planta là en lui disant au revoir et en lui promettant une grenade à chantilly. Comme le tourbillon qu’elle était, elle s’engouffra hors du bar, tandis que le châtain était encore assis sur le sol, tout abasourdi de la journée incroyable qu’il venait de passer. Puis, passant sa main sur sa joue - là où Audrey l’avait embrassé de nouveau -, il se mit à rougir et à regarder ailleurs.

- Pfff, et c’est comme ça que tu dis au revoir, Audrey ? marmonna-t-il, non sans un petit sourire.

Décidemment, la journée avait été incroyable. Et même si ce baiser entre deux acolytes ne signifiait rien, Alban était persuadé qu’il s’était fait une très bonne amie. Puis, avisant la monnaie qu’Audrey avait laissé sur la table pour leur payer à tous les deux les glaces, il se releva, et nota dans un coin de sa To Do List :

Trouver des glaces à la raclette pour Audrey.
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