Glen Roy Salford
"Tasukete kudasai"
| Nom : Salford Prénom : Glen, Roy Âge : 14 ans Région d'origine : Rosalia, Johto Ambitions futures : Probablement la branche scientifique ? |
Alors Glen c'est le mec qui veut faire croire qu'il est mature et responsable mais justement en voulant montrer ça c'est tout l'inverse qu'il affiche et s'il se prenait moins la tête il pourrait être extrêmement crédible, pauvre chou Pas besoin de lire le reste vous savez tout |
DESCRIPTION
Membre de la famille Salford, Glen ne fait pas exception : c'est une tête blonde de plus. Il ressemble pas mal à ses soeurs, il est facile de voir qu'ils sont de la même famille d'ailleurs. Assez mince (bon légèrement trop en fait, ça manque de muscles chez lui), le teint cadavérique, et… Et non en fait, lui il est pas petit. C'est un garçon en plein dans sa poussée de croissance, si bien qu'il dépasse maintenant même son aînée : un mètre soixante-huit, eh oui ! De quoi en faire rager certaines, de quoi être plus crédible quand il râle. Ce qui n'est pas du luxe, quand on est seul à se faire «martyriser» par deux impitoyables jeunes filles comme Faith et Amy.
Résultat, ses yeux d'un bleu vert intense sont souvent plissés dans une expression d'agacement, les sourcils froncés. Le tout se trouve sous une tignasse blonde comme les blés, qu'il ne prend pas vraiment soin de coiffer. Et pourtant, il devrait : ça pourrait lui donner un air plus sérieux s'il n'était pas tout le temps en train de souffler sur une mèche devant ses yeux, mèche qui retombe bien évidemment à chaque fois à l'endroit où ça gêne encore plus. Faut pas le dire, mais quand il lit ou travaille et que personne peut voir, il se débarrasse de cette maudite frange en se faisant une petite choupette, ce qui ruine d'autant plus sa crédibilité.
À part ça, il n'est pas quelqu'un que l'on pourrait qualifier d'athlétique — ni même de sportif, en fait. Souple comme une planche à pain (coucou les filles c:), aussi réactif qu'un Ramoloss, on ne pourrait complimenter que son endurance et sa persévérance. Mais bon, c'est déjà ça… Oui en fait non. C'est un garçon extrêmement borné, très difficile à convaincre et encore plus à faire changer d'avis. Du coup, quand il essaie quelque chose et qu'il rate, il recommence jusqu'à réussir. Ça peut être très long, car il ne réfléchit malheureusement pas toujours avant d'agir.
Mais faut pas croire, il reste quand même assez intelligent ! Ni trop, ni trop peu. Très assidu au travail scolaire, grand lecteur, le seul domaine dans lequel il est vraiment à la ramasse, c'est celui des relations et des sentiments humains — l'action, en fait. Bien trop compliqué, tout ça. Compliqué. Lui aussi, il est compliqué. À la première rencontre, on le voit timide, renfermé, mal à l'aise. C'est qu'il a du mal à s'exprimer. Il est difficile de savoir s'il souhaite ou non s'ouvrir, avoir de la compagnie. Par contre, une fois qu'il est ouvert (ce qui peut prendre beaucoup de temps), là… On a droit à son caractère de cochon. Génial.
Au fond, Glen est… Nerveux. Oui, c'est un garçon extrêmement stressé dans la vie, il appréhende pour tout et n'importe quoi, se met lui-même une pression bien trop importante, a du mal à se détendre. Les questions existentielles fusent à toute vitesse dans son esprit, le menant à complexer sur énormément de points. Et pourtant, il cache cette faiblesse derrière un caractère bien plus «assuré», agressif quelques fois. Glen crie, Glen se plaint, Glen râle. Mais le problème, c'est qu'il le fait tout le temps. Alors au début ça impressionne, et puis on s'y fait vite. Ça donne envie de l'embêter gentiment.
Et justement, ce qui en rajoute, c'est que le blond, il s'est toujours fait un peu (beaucoup) bizuter par la vie. Ahem. Que je m'explique : vous savez, ce mec chez qui la malchance est chronique, à qui il arrive toujours une merde, ou celui qui dit d'un air blasé par l'habitude «si, regarde la mienne» quand vous dites «rien ne peut être pire que ma vie» ? Eh bien, ne cherchez plus, c'est Glen. Il n'arrive pas du tout à gérer quand une situation comme celles-ci se présente, du coup il aggrave encore les choses. À la base, c'est un mec assez calme et réfléchi, mais le stress brouille très facilement ses pensées, surtout en présence de personnes dont il n'est pas proche.
Toutefois, en présence des Pokémon, tout va mieux. Il s'ouvre à eux bien plus facilement, range ses complexes et son côté râleur et devient un câlinours, pour montrer une immense douceur et une attention tout aussi grande. Aux petits soins, souriant, parlant franchement et tendrement, c'est une autre personne. Le feeling qu'il n'a pas avec les humains est largement compensé par la proximité quasi-immédiate qu'il peut avoir avec presque n'importe quel Pokémon. C'est comme une aura qu'il dégage, les bestioles l'aiment et il les aime en retour.
Bon, en fait j'exagère, il lui arrive quand même de sourire à ses semblables, mais c'est plus rare, moins naturel. Néanmoins il suffit de bien savoir s'y prendre, de faire comprendre qu'on ne mord pas… Ou d'évoquer les bons sujets. Pokémon, cuisine, lecture (essentiellement des ouvrages documentaires sur le mode de vie des Pokémon) et musique sont ses passions. Tradition familiale, quand Faith joue du violon et Amy du piano, Glen sort la guitare. Et la voix. Il aime tout autant chanter que gratter, et la musique est l'une des rares activités qui le détendent entièrement.
Et quand il est détendu, il arbore un léger sourire très agréable à voir pour quiconque connaît son caractère habituel. Il révèle aussi un fond gentil, très attentionné (même s'il le montrera jamais de son plein gré), fragile. Mais voilà, il faut qu'il pense que comme c'est lui l'homme de la fratrie, il faut savoir en tenir le rôle, endosser les responsabilités qu'il croit que Faith délaisse, montrer l'exemple à Amy, etc… Il ne montre donc que trop peu souvent cet aspect bien plus doux de sa personnalité.
En bref : stupide garçon, bien trop influençable, le Glen.
HISTOIRE
Glen, si vous lui demandez, il vous dira qu'il a eu le malheur de naître Salford. Mais c'est un mensonge, au fond il est très heureux d'avoir eu cette vie-là. Il ne l'avouera cependant probablement jamais (ou sur son lit de mort quand ce sera un vieux croûton, peut-être).
Le début de sa vie fut paisible, c'était une famille comme une autre. Une, deux, trois têtes blondes, énergiques, maladroites, joyeuses. Des disputes, des jeux, des sorties, des bêtises… On ne peut pas dire que le garçon ait eu une enfance malheureuse. Il était tranquille, vivait au jour le jour, sa plus grande préoccupation étant (déjà à cette époque-là) de réussir à échapper aux complots de ses machiavéliques soeurs.
À ses huit ans et demi, la perte de ses parents va commencer à doucement changer le blondinet. Avant, un enfant un peu timide, maladroit, mais gentil, rieur. Et puis, il se renferme de plus en plus sans s'en rendre compte. C'est très difficile, de penser qu'il ne va jamais revoir ses parents. De perdre une autorité paternelle, une tendresse maternelle. Il perd tous ses appuis, il n'a plus de repère. Bien sûr, les grands parents des trois têtes blondes font de leur mieux pour les élever, mais ce ne sera plus jamais pareil. Ils leur racontent que leurs parents se sont transformés en étoiles, qu'ils veillent sur eux. Le garçon se plaît à y croire, ça le soulage des doutes laissés par l'incompréhension. La mort, voilà quelque chose de tellement abstrait, pour des enfants.
Cet évènement a quand même resserré étroitement les liens entre les frère et soeurs, ça peut être un peu «dur» pour les vieux, mais Amy et Faith étaient les deux seules personnes sur lesquelles Glen pouvait compter à présent. Alors ils se sont rapprochés, même si ce n'était pas tout à fait de la manière dont il l'avait envisagé. Des coups foireux, des blagues, des dessins faits sur son visage pendant qu'il dormait. Chaque jour était le théâtre d'une nouvelle machination. Allez savoir pourquoi, Amy et Faith se sont gentiment liguées contre le pauvre garçon sans défense, et ce fut le commencement d'une nouvelle ère, j'ai nommée : vas-tu réussir à déjouer notre piège avant de te faire victimiser, Glenou ? ♥ La plupart du temps, il y arrivait pas, le pauvre gosse. Mais au fur et à mesure des jours, il s'améliorait, doucement mais sûrement.
C'est durant cette période qu'il a développé son caractère de cochon, sa tendance à râler pour un rien, à être sur la défensive dès qu'on le dérange. Meh, pas de sa faute. Entre Faith qui faisait un peu n'importe quoi, Amy qui l'aidait, et Glen qui devenait imbuvable, ils devaient être contents, les vieux. Le garçon s'est aussi passionné de lecture, la bibliothèque devenant comme un lieu saint pour lui : autant pour échapper à ses viles soeurs que pour en apprendre toujours plus sur les Pokémon. Ça l'occupait des heures et des heures d'affilée. Leur comportement, leur apparence, leurs lieux de vie, absolument tout au sujet de ces créatures fantastiques l'intéressait. Alors il a lu, encore et encore, et même aujourd'hui il n'est pas rare de le voir avec un bouquin en toutes circonstances, même quand il marche. Autant dire qu'il lui arrive souvent des merdes pendant ses trajets à cause de ça.
Tout a changé quand sa grande soeur s'est faite «virer» de la maison, parce qu'elle faisait trop le bordel. Un pensionnat ? Pourquoi ? D'un côté ça lui ferait comme une pause au blond, comme une grande inspiration entre deux apnées. Mais d'un autre côté, lui enlever cet appui-là aussi, c'était trop. Trop dur. Pendant ces quelques mois avec Amy, c'était une intense gêne, un sentiment de malaise : comment se comporter ? Comme toujours ? Crier, la gronder ? Il voyait bien que ça lui faisait du mal, la pauvre. Mais que faire d'autre ? Il ne savait pas faire autrement, Glen. Alors il s'est mis à stresser comme un nul, à faire n'importe quoi, à se renfermer encore plus. Il s'en voulait. Et quand l'autre fut de retour, renvoyée de son établissement, c'était un nouveau soulagement. Il ne l'a jamais montré, préférant de loin s'indigner sur le manque flagrant de responsabilité de son aînée. Mais l'équilibre était rétabli. Plus (trop) de stress, plus d'angoisse existentielle.
C'est à ce moment-là qu'il a compris qu'il aimait quand même bien plus ses soeurs qu'il ne se l'avouait (et qu'il ne leur avouait non plus). Mais il faisait des petits trucs mignons, pleins d'attention, style leurs gâteaux préférés pour le goûter, ou aller dormir dans leur chambre après avoir fait un cauchemar, voire (éventuellement et uniquement sous réserve, ahem) un petit câlin ou deux à la petite de temps à autres, quand il était de bonne humeur. Dans ces cas-là, ça se voyait pas sur ses traits, mais on le sentait, et c'était toujours agréable.
Et puis, finalement, au début de cet automne comme les autres, un tournant majeur dans sa vie. Pokémon Community. Une académie prestigieuse visant à former les jeunes gens à s'occuper des Pokémon, justement. Le rêve. Glen avait attendu ça toute sa vie, et c'était devenu réalité, maintenant. Étudier les Pokémon, vivre avec eux, d'autres passionnés, en apprendre toujours plus… Que demander de mieux ? C'est avec une grande impatience qu'il s'est rendu là-bas.
Il a malheureusement (?) vite déchanté après être passé chez ce «collectionneur». Louche, ce bonhomme. Et puis. ET PUIS. Pourquoi. Pourquoi une Magicarpe ? Amy et Faith ont eu des Pokémon cools et mignons, et lui, Magicarpe ? Bon, il a gueulé pendant une heure, le blondinet, et puis il a trouvé un point d'eau, a fait sortir le poisson, et a changé d'avis. Ça reste un Pokémon comme un autre, et il est très faible face à eux. Un peu trop, même. Il arrive à la trouver adorable, La Poiscaille, comme il l'appelle. Bon, c'est vrai qu'elle lui fait la fête à chaque fois qu'il la laisse sortir, en détruisant sa coiffure déjà mal en point par un petit jet d'eau affectueux. En fait, il est encore plus faible face à elle qu'à n'importe quoi d'autre.
Les voilà donc, paumés dans l'académie et dans la vie, mais pleins de rêves naïfs et d'énergie pour les réaliser. Ça promet, tout ça, ça promet.
STARTER
Surnom : La Poiscaille Espèce : Magicarpe Nature : Naïve Description : Une Magicarpe qui, en plus d'être faible, est stupide, crédule, et bien trop câline. Oui, une Magicarpe câline. Glen a donc pris l'habitude de repérer en premier lieu les points d'eau quand il sort, histoire de pouvoir la faire sortir tranquillement. Le pire avec ce Pokémon, c'est qu'il est attendrissant. Oui. Glen ne lui résiste pas du tout et l'aime bien trop, en fait. Du coup si tu te moques, tu es mort aux yeux de son Dresseur. Tu n'existes plus et ils vont faire leur vie de câlinours ailleurs. Voilà. | HORS RPG
Pseudo/Prénom : Kono ! Age : 17 ans Comment avez-vous connu le forum ? Les deux autres folles là Quelque chose à ajouter ? Alors oui je suis en retard mais j'ai une excuse je suis à l'internat et même si y a des câbles ethernet j'ai pas de PC portable donc voilà :l Et en plus je suis pas mieux niveau exams, je suis aussi en prépa avec le concours blanc avant les vacances donc adieu productivité OTL Et sinon euh je voulais vraiment dire que ce forum est très joli et très bien organisé, c'est du bon travail donc voilàààà uwu (vas-y Kae on fait le concours de qui finit la fiche en premier) |
Dernière édition par Glen R. Salford le Dim 29 Nov - 21:42, édité 2 fois