Île Cobaba, 20/06/2014
Deux silhouettes se distinguent en cette soirée estivale dans les terres de l'Île Cobaba. A priori, deux hommes semblent discuter mais c'est en se rapprochant qu'on distingue les attributs de Jackie qui ne laissent plus de doute sur le sujet.
C'est donc là qu'ils vont passer leurs vacances ! Avec cette épreuve, ils ne seront pas prêts de les oublier.
Qu'il les force à m'affronter, au moins on dépensera pas le budget dans des prix...
Ce que je ne comprends pas c'est qu'il me force à m'occuper de ça avec toi, je m'en serai très bien chargée seule...
Il ne pouvait pas laisser une charge pareille à une femme !
Et si tu ne veux pas devenir eunuque je te conseille de la fermer, t'es qu'un sale gosse tu vaux pas mieux que la marmaille qui va s'essayer aux épreuves !
Ahah ! On en reparle en duel ? Bon arrêtons de bavarder et mettons nous au travail.
Ace S. Creed et la Général Jackie se mirent alors à créer cette grande épreuve, encouragé dans leur inventivité par leur rivalité faisant de chacune des zones un enfer pour ceux qui souhaiteraient les traverser.
Île Cobaba, 08/07/2014
Approchez approchez !
Bienvenue au Grand Jeu de l'été ! Bien sûr, cela n'a rien d'un jeu pour ceux qui auront le courage de s'y lancer ! Ne perdons pas de temps ! Prenez vos dossards numérotés et alors rejoindre l'entrée qui vous est attribuée.
Des arches numérotées encadraient les entrées de chaque première zone qui débutaient toutes comme des longs couloirs. Des barrières, des murs, des haies suivant les zones séparaient ces couloirs, impossible de voir les zones des camarades sauf par endroit où les lieux sont plus dégagés.
Évitez de vous pisser dessus dès la première zone ! Quoique vous finirez sûrement mouillés de toute manière!
Allez les jeunes ! C'est parti et que les meilleurs gagnent ! Défoncez tout ! C'est la guerre !! Pas de quartier !
BELLE the Victreebel | ||
Tendre et affectueuse, elle traite les élèves comme ses propres enfants, comprenant caresse, léchage et autres douceurs matinales. Elle n'en est pas moins autoritaire et ayant la main-mise sur son dresseur, elle l'a aussi sur le reste de l'école. Si jamais vous souhaitez vous accorder ses faveurs, elle adore les poffins et autres offrandes ! | perso' le plus badass |
J'ai entendu dire qu'il y avait une sorte de "grand jeu" sur l'île, aujourd'hui. Qu'on pouvait y gagner des choses qui nous plairont. Sans réfléchir plus longtemps, je marche sur la plage en compagnie de Water et Fly, dans l'ordre, un Grenousse et un Furaiglon. Je sautille jusqu'à que je tombe sur un "point de départ". Je penche la tête sur le côté. Devant moi s'étend des obstacles, des murs, tout ces trucs de sport quoi. On m'a jamais dit qu'il s'agit de sport, je ne serais sans doute pas venu sinon... J'rigooole ! Ca fera de l'entrainement, c'est magnifique !
— C'est parti.
J'avance lentement dans ma course, je n'aime pas courir. Water me dit de me dépêcher, comme quoi on ne gagnera jamais, mais je n'ai pas envie de courir, moi. J'éternue, je mets mes mains devant ma bouche, ma tête se baisse vers l'avant. Je la relève. Oh mon dieu... Devant moi se plantent touts pleins d'arbres où leurs lianes se tortillent dans tous les sens. Ils sont noirs, telles les vêtements d'un ecclésiastique. Il faut que je passe ça ? Je m’apprête à faire un pas en arrière quand je sens quelqu'un me pousser vers l'avant : Water. Tous les trois, on rentre dans les tas de lianes où pleins de Mimigales pendouillent.
Je fais quelques pas en compagnie de mes pokémons. Je n'ai pas peur de ces bestioles toutes poilues, mais je les aime pas, ça casse la tête. Chaque fois que je croise une d'elles, je la prends entre mes doigts et la jette à l'arrière, se qui fait frissonner mes pokémons à l'idée d'être traiter pareil un jour. J'avance encore et encore. Encore une liane couverte de Mimigales. Rha, j'en ai assez !
— Fly, utilise Aeropique en battant des ailes pour dégager ces trucs de mon chemin.
Il s’exécute. Un et deux violents battements d'ailes, les Mimigales s'enfuient et enlève les lianes devant moi. Le sol terreux fait tellurisme le temps que l'attaque se finit. Je cours le plus vite possible pour en profiter quand je sors mon Ipok. Avec tous ces arbres qui entoure un objet électronique, on pourrait dire qu'il s'agit d'un anachronisme pour voir l'heure qu'il est. Enfin dehors de tous ses arbres noirs et de ses lianes couvertes de Mimigales, je range mon Ipok. Water et Fly me rejoignent, on continue à marcher.
Mots à utiliser : Plan, brûlant, frigo.